Spectres fauniques

Afin d’appréhender la richesse taxonomique propre à chacun des sites j’ai choisi de présenter les proportions en NRDt et en NMI de chaque espèce sur des graphiques communément appelés « spectres fauniques ». Le principal biais du NMI dans cette utilisation est de favoriser les espèces numériquement faibles (Farizy et al., 1994). Par ailleurs, une fragmentation importante des restes osseux, observée dans la majorité des assemblages étudiés, contribue à augmenter le nombre de restes (NRDt) par rapport au nombre initial d’individus concernés (NMI).