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L’Université de Lumière Lyon 2 n’entend donner aucune approbation ni improbation aux opinions émises dans cette thèse : ces opinions doivent être considérées comme propres à son auteur
Au terme de ce travail, ma première pensée va, tout d’abord, à mon Oncle et père adoptif, DIALLO Yaya pour sa contribution incommensurable dans ma formation « intellectuelle » et dans mon éducation.
Je ne remercierai jamais assez Pr. René Sandretto, sous la direction de qui cette thèse a été inscrite et réalisée. Sans sa disponibilité et ses encouragements, ce travail n’allait certainement pas aboutir.
Ce travail bénéficie également d’entretiens fructueux et enrichissants avec M. Jérôme TROTIGNON, Professeur à l’Université Lumière Lyon 2 et avec M. Baidy ARIBO, cadre à la Banque centrale de Guinée.
Je souhaite aussi témoigner ma reconnaissance envers Doumbouya Mohamed Lamine pour ses réflexions et ses commentaires sur une partie de ce travail. Je remercie Ondo Marina pour avoir eu l’amabilité de relire ce travail et d’avoir contribué à l’amélioration syntaxique de certains chapitres. Je me souviens aussi des encouragements de Mariama Amadou. Je suis également redevable à l’Ecole Doctorale de sciences économiques de Lyon 2. Bref, que tous ceux (ou celles) qui ont contribué directement (je pense en premier lieu à tous ceux qui m’ont enseigné) ou indirectement à la réalisation de ce travail trouvent ici ma très profonde gratitude.
Parfois, la monnaie semble être une pure futilité (…)
car si ceux qui s’en servent abandonnent une monnaie pour une autre,
elle devient sans valeur et sans utilité pour les nécessités de la vie.
Aristote 1
Cité par Jacquemot et al (1993).