Cette période correspond au règne de George I, et il s’agit d’une période importante pour la capitale car elle voit sa population augmenter d’une manière importante, ainsi que sa taille. Sa physionomie change et ses infrastructures s’améliorent.
Lorsqu’en 1860 est publié le premier guide officiel d’Athènes sous la commande de la municipalité d’Athènes95, l’écrivain, en introduction, note : « Cela fait seulement 25 ans depuis (qu’Athènes a été proclamée capitale) et cette bourgade misérable s’est transformée en une ville resplendissant de beauté. Partout, des demeures de pierre de l’Hymette s’élèvent, embellies avec du marbre pentélique. La vallée et les collines sont vertes et couvertes d’arbres. Des plantations florissantes, des arbres, ont remplacé les marécages, de belles rues carrossables relient les banlieues à la ville, les larges et grandioses avenues facilitent la circulation au cœur de la ville. [...] Athènes est déjà la ville la plus belle de l’Orient [...] Quelles que soient les imperfections de notre ville à l’heure actuelle, l’étranger ne peut qu’être indulgent. Car il faut se souvenir de ce qu’Athènes était il y a seulement vingt-cinq ans... »96.
Cependant, lorsque quelques années plus tard, en février 1865, M.G. Hinstin97 rend visite à Athènes, ses impressions ne diffèrent pas beaucoup de celles des voyageurs de la période précédente : « Nous voilà donc, pour le moment à Athènes, si vous le voulez bien. On y éprouve tout d’abord, je l’avoue, une assez vive déception. On arrive la tête meublée de poétiques souvenirs; l’imagination se représente la glorieuse cité dans son ancienne splendeur et l’on voit une petite ville moderne, mal bâtie, mal entretenue, qui n’est guère plus imposante, qu’un de nos modestes chefs-lieux de préfecture ».
Les impressions du représentant diplomatique des Etats Unis à Athènes lors de la période 1867 – 1874, Charles Tuckerman, qu’il a rendu publiques en 1872 étaient plus positives : « Si quelqu’un avance des quartiers commerçants et denses vers les parties les plus neuves de la ville, la vue est plutôt attirante. Les rues sont larges, les trottoirs propres et, en dehors de quelques déchets, qui obligent les passants à descendre sur la rue, les trottoirs d’Athènes ne sont pas inférieurs à ceux d’autres villes.[...] »98.
Cependant, la vérité est que lors de cette période, la ville d’Athènes change énormément, non seulement ses limites, mais sa physionomie et ses infrastructures. Au début de la période les constructions, surtout dans les régions en dehors de la vieille ville, continuaient à être disparates, alors que la ville s’étendait de plus en plus. En 1858 le conseil municipal a demandé au gouvernement la mise en place d’une commission pour travailler au tracé définitif du plan d’Athènes. Cette commission était composée d’officiers, d’architectes, d’ingénieurs, du Maire et du directeur de la Santé ; ses travaux se sont terminés en 1860 ; selon le plan de la commission, la ville -avec aussi l’allongement des tracés- aurait dû couvrir une surface de 2,799 kilomètres carrés, elle était divisée en 4 parties par le croisement des rues Ermou et Eolou. Ce plan, finalement, n’a jamais été validé par le ministère à cause surtout du coût des expropriations nécessaires à l’unification des espaces archéologiques. Ainsi quelques années plus tard, en 1864, le gouvernement demanda un nouveau plan d’aménagement de l’urbanisme, cette fois ci à la direction du Génie civil et de l’Armée. Selon ce plan, qui a été d’ailleurs construit sur la base des tracés de la commission de 1860100, la ville couvrait une surface de 3 kilomètres carrés101. Par rapport à sa population, qui ne dépassait pas les 42.000 habitants- la densité de population ne dépassait pas les 140 personnes par hectare. La ville était séparée en 4 comme l’avait fait la commission précédente. Pour le secteur sud-est les tracés des rues s’étendaient jusqu’aux Colonnes du temple de Zeus olympien, la rue Makriyiannis et le fleuve Illissos102. Le secteur nord-est allait jusqu’aux rues Stournari, Arahovis, Z. Pigis, Didotou, Sina, Skoufa, Pindarou, Anagnostopoulou et la place Kolonaki. Le secteur nord-ouest s’étendait jusqu’au torrent de Kiklovoros et de la rue de Salamine. Enfin le quartier sud-ouest103 respectait le plan initial de la commission en unifiant l’espace archéologique.
Le cautionnement des plans de nouvelles banlieues prouve par ailleurs l’extension de la capitale lors de cette période, notamment après les années 1870. La décision d’ouvrir la rue Patission en 1841 étend la ville vers cette direction. La construction du Musée national et de l’Ecole polytechnique permet à cette tendance de se développer. En 1871, à une distance d’à peine un kilomètre du plan de 1869, le plan d’une banlieue indépendante est validé entre la rue Ziller, Sp. Lambrou, Naxou et Anafis : il s’agit du quartier de Ano Patissia104. Quelques années plus tard, en 1879, le plan du quartier de Kato Patissia est aussi validé : il est défini par les rues Patission, Agiou Meletiou et Knossou. Aussi, aux alentours de 1881, parce que de belles maisons sont construites en grand nombre, le quartier Ambelokipi cesse d’être considéré comme une banlieue et se trouve rattaché au centre105. Le quartier de Kallithea, au sud-ouest de la ville, obtient en 1884 lui aussi un plan validé et enfin, pour le quartier du Vatrahonissi le premier plan est réalisé en 1886106.
Source : Lya et Raymond Matton, Athènes et ses monuments du XVIIe siècle à nos jours, Athènes, IFA, 1963.
L’expansion de la ville ne suit donc pas de plan préconçu, mais elle est directement influencée par la disposition des bâtiments publics107, l’ouverture de nouvelles rues et bien entendu le fait que le Palais s’est finalement dressé Place Syntagma (Place de la constitution). Selon le plan d’urbanisme de Kleanthi -Shaubert, le Palais aurait dû être construit sur la rue du Pirée, alors que selon le plan Klenze, près du Céramique. Dans les deux cas, la seule mention de l’endroit où serait logé le roi avait eu comme résultat la construction de bâtiments et de demeures dans ces quartiers, pour bénéficier du voisinage royal. Finalement, le palais royal ayant été placé à Syntagma et cela a entraîné la construction de nouvelles demeures princières autour de la place. L’ouverture de l’avenue Alexandras (lors de la période 1876-1878) quant à elle, ainsi que la construction des prisons Averoff, a entraîné l’extension de la ville vers la rue Hippocratous. L’hôpital Evanghelismos et des casernes sur la rue Kifissias (aujourd’hui V. Sofias) ont eu le même résultat. Enfin, la capitale s’est étendue vers l’est après les restaurations du Palais de Zappio, du Stade Panathénien et l’ouverture de l’avenue Syggrou108.
En février 1878, grâce à la ratification de la loi « sur la création d’un corps d’ingénieurs », pour la première fois un bureau des travaux publics a été organisé au sein du Ministère de l’Intérieur. Ce bureau était responsable de la validation de plans et de l’extension du plan d’urbanisme. Il faut noter qu’alors qu’à la fin des années 1878 la surface du plan couvrait 3.203 hectares ; jusqu’en 1907 ce service a validé en tout soixante réaménagements pour une superficie totale de 15.980 hectares109.
Les limites de la capitale ne sont pas les seules à être modifiées. Sa physionomie aussi change. Les constructions en dehors du vieux centre commencent à être plus denses, sa partie Est est « décorée » par des bâtiments monumentaux terminés –ou encore en construction-110 qui avaient été expropriés mais aussi par des jolies maisons toutes neuves. La vieille maison athénienne, avec sa cour, son potager et ses vérandas a laissé sa place à l’ordonnancement classique111.
Par ailleurs, le calme politique de la période des premières années du règne de George I a pour résultat l’installation de riches familles grecques de l’étranger à Athènes. La hausse du niveau de vie en ce qui concerne l’économie et le social va avoir une forte influence sur le développement de la construction de la ville. A partir de 1870 le gouvernement comprend qu’il ne pourra jamais construire les ministères prévus. Les terrains de l’avenue Kifissias sont par conséquent libérés ce qui permet la construction privée112. Cette avenue, ainsi que les autres rues autour de la place Syntagma, commencent à recevoir de très belles demeures avec des porches richement ornés de colonnes. Des noms connus de la diaspora grecque – originaire d’Egypte, Russie, Roumanie…-non seulement s’installent en ville mais ils y installent aussi une partie de leurs activités économiques et commerçantes, et contribuent ainsi au renforcement de l’économie nationale. De cette manière, le premier hôtel particulier à s’installer sur l’avenue Kifissias est celui d’Irini Stournari alors que les premiers à acheter un terrain sont Andreas Syggros, Aristidis Hatzifotiou-Papoudof, Stephanos Skouloudis, Ioannis Vouros et suivent les hôtels particuliers de Psiha, Harokopos, celui de Stathatos, de Kazoulis, Embirikos, P. Kalligas, Zlatanos – Voglis. Une série de ces hôtels particuliers a été aussi édifiée sur l’avenue Amalias113. Le Comte DeMoüy en 1881 écrit dans ses lettres: « (La rue Kifissias) est bordée de resplendissantes demeures, construites par des riches Grecs et qui auraient été caractérisées comme un palais dans des pays différents. Un peu moins amie avec la notion d’Egalité, [...], la rue Filellinon, [...], a de chaque côté de beaux bâtiments et c’est sur cette rue que se trouve l’ambassade autrichienne, [...], (La rue Stadiou) a été définie comme la rue des demeures de luxe et des bâtiments publics. L’imprimerie Nationale et l’école Arsakio s’y trouvent aussi »114.
Bien sûr, la ville avait encore beaucoup de surfaces non construites et l’amélioration n’était visible que dans quelques-uns uns de ses quartiers. Dionissios Tavoularis, lorsqu’il écrit ses mémoires, note pour les premières années de la décennie 1870 : «...les pluies fortes n’étaient pas rares, elles étaient torrentielles et formaient des torrents d’eau mai que balayer ? En dehors des rues Ermou, Eolou, Panepistimiou, Stadiou et Athinas, où se trouvaient dispersées quelques maisons d’un étage ou un peu plus grandes, (dans le reste de la ville) il y avait des enclos, des champs, des jardins, des fabricants de savates, des étables, des fabricants de lait ; et les deux trois places –mis à part la place Syntagma- étaient remplies de poubelles et des déchets des cafés et des hôtels. Alors, les rues Sepolion, Liossion, Aharnon, Aristotelous, Filis et 3’ Septembriou n’étaient que des sentiers, ravins et fossés. Il était possible à partir de la rue Patission d’arriver jusqu’à l’Ecole polytechnique et le musée, qui avait déjà été fondé mais dont la construction se faisait lentement »115.
Cependant, on note dans les impressions des voyageurs étrangers en ce qui concerne le visage et la vie de la capitale que les commentaires commencent à être plus positifs, malgré quelques critiques touchant aux problèmes du milieu urbain. Quelques années auparavant les commentaires positifs ne visaient que l’Acropole et plus généralement les anciens monuments de la ville. Le Comte DeMoüy116 note de manière caractéristique que « la grande avenue qui relie le Pirée à Athènes, […] est une belle avenue. Sur la rue du Pirée il existe de petites maisons avec des volets verts et des balcons, une crèche, un orphelinat et un conservatoire». Il décrit la « grande place qui s’appelle place Omonia [place de la concorde] », la rue Stadiou qu’il soutient être « la plus belle de la ville» avec de grands trottoirs pavés, et la rue Filellinon « large et bien aérée ». Aussi, Elie Cabrol note en 1889 que « … toutes ces rues (Pireos, Stadiou, Panepistimiou, Akadimias et la rue de Patissia sont de véritables boulevards, dignes des plus grandes villes »117.
Grâce à DeMoüy, nous disposons par ailleurs une description plus analytique des rues centrales de la capitale au début de la décennie 1880 : « La rue Stadiou est la plus belle de la ville. De trois à cinq heures en hiver et de cinq heures à huit heures en été, tous les habitants d’Athènes flânent sur les trottoirs de la place qui existe sur cette rue. En longeant cette rue vers le haut ou vers le bas, tu peux rencontrer les personnes que tu veux rencontrer. Dans la rue Stadiou il n’y a presque pas de centres commerciaux. […] Beaucoup de rues aboutissent à la place de Syntagma ; il s’agit d’un point central. S’y rencontrent la rue Stadiou, comme nous l’avons dit auparavant, puis la rue Kifissias qui s’étend au long du côté gauche du jardin royal […] Au centre de la place et exactement en face du palais royal, la rue Ermou commence et traverse tout le long de la ville du Nord au Sud. Cette rue est une rue commerçante et coupe perpendiculairement la rue Eolou, qui est aussi occupée par des centres commerciaux »118.
Mais dans le guide de Wilberg de 1886, après les informations pratiques qui sont offertes au futur voyageur qui rendra visite à la capitale grecque et une description détaillée de la ville, les écrivains aboutissent au fait que «par la construction de ses nouveaux quartiers, (…), Athènes est devenue l’une des villes les plus propres et les plus régulières de l’Orient, et elle a pris un aspect tout à fait européen »119. A cette phrase, le guide Hachette de 1890 complète : « … et les descriptions, si piquantes et si pittoresques qu’on en donnait il y a quelques 30 ans ne lui conviennent plus en aucune façon, tant les progrès ont été rapides »120.
Dans le cadre de cette période, trois ans après l’appauvrissement de l’Etat en 1893 et un an après la malheureuse issue de la guerre entre la Grèce et la Turquie en 1897 Athènes doit organiser les premiers Jeux Olympiques modernes. Les compétitions auront lieu dans le stade de Panathénaïque, restauré121 alors que le Zappio servira de village olympique ; il avait déjà été inauguré en 1888. Avec l’opportunité de l’organisation des Jeux Olympiques, la municipalité accorde un versement de 100.000 drachmes pour couvrir des rues de graviers, la mise en place de deux mille réverbères supplémentaires et la réfection des caniveaux. Dans le cadre de ces préparatifs la rue Pinakoton (c’est à dire la rue Harilaou Trikoupi aujourd’hui) a été prolongée jusqu’à l’avenue Alexandras et la rue Stissihorou a été ouverte et l’aplomb rocheux de la rue Omirou renforcé, et des ponts ont été construits sur l’Ilissos, à « Metz » (sur la colline d’Ardittos), et au Temple d’Agios Spiridon près du Stade122.
Quand les jeux ont été clôturés, que les fêtes étaient finies et que les visiteurs sont partis, Athènes a finalement fait face à la réalité et aux problèmes qui en découlent. Emmanuel Roidis note la situation de la capitale d’une manière assez réaliste dans une série d’articles écrits en été 1896.
‘« ...la transition de cette place aristocratique (de Syntagma), non en champs, mais en une sorte de tzifoutohori rappelant ces villages de la Pologne russe a été assez rapide [...] Cent quarante pas seulement, et nous parlons de petits pas [...], séparent la place de Syntagma de la rue Voulis. Cette rue s’est améliorée en un court laps de temps. [...]. Ce progrès ne concerne cependant pas les constructions, vu que rien n’a été fait pour désinfecter et restaurer cette rue. Là où la rue Voulis se croise avec la rue Mitropoleos une fosse remplie d’eaux sales, qui n’ont jamais été évaporées par les rayons du soleil, sont toujours là. Lorsqu’il pleut, cette fosse se transforme en une rivière jaune, alors que lorsque le temps est aride il est modifié et devient un marécage vert. Après avoir dépassé cette fosse le passager est obligé de descendre du trottoir en essayant de trouver une étroite sortie au milieu de la rue vu que le marchand de légumes, qui soutiennent que le trottoir est trop étroit, s’est étendu sur une partie importante de la rue avec des paniers, des cruches, des poubelles et des tabourets. [...]. Cette occupation est continuée par le boucher, dont les crochets qui pendent à tous vents menacent les yeux du passant, alors que des moutons y sont accrochés, la tête en bas, venant d’être abattus. [...]D’autres moutons sont égorgés dans le magasin et d’autres attendent leur tour. Sur le plancher gisent des intestins et des entrailles [...] Plus loin se trouve le couturier (installé lui aussi dehors) puis après lui les boutiques des cordonniers à ciel ouvert. Tout de suite après les expositions sur le trottoir de bassines, robinets, tuyaux de toutes sortes des honorables ferblantiers, amènent le passant au point qu’il ne peut plus avancer. J’ai admiré des scènes pareilles en d’autres lieux aussi, comme à Naples, en Sicile, à Venise, mais uniquement dans les faubourgs et les quartiers populaires décentralisés » 123 .’La nouvelle Athènes. Description résumée de la capitale grecque avec le départ des bateaux à vapeur, l’analogie des monnaies grecques vers celles qui sont étrangères e.t.c., Athènes, éditions Α. Sakellariou, 1860. Re-publié par le service culturel de la mairie d’Athènes en 2001.
La nouvelle Athènes..., 2001, p.17-18.
M. G. Hinstin, Souvenirs d’Athènes, Lille, Imprimerie de L. Danel, 1865, p.5. (Bibliothèque Municipale de Lyon).
C. Biris, 1995, p.164.
P. P. Kalligas, in Athènes, Encyclopédie moderne Eleftheroudakis, Athènes, éditions Ν. Nikas & Cie, 1927, p.320-321.
C. Biris, 1995, p.161.
A Paris, qui représentait en 1896 une surface de 80 kilomètres carrés, la densité de la population était de 326 habitants par hectare. La ville de Detroit en 1880 couvrait une surface de 30 kilomètres carrés et présentait une densité de population de 40 habitants par hectare. Jean-Luc Pinol, Le monde des villes au XIXe siècle, Athènes, éditions Plethron, p.186-187.
Lorsque ce premier secteur sud-est a été cautionné en mai 1864 avec une expansion dans les quartiers de Makriyiannis et d’Illissos, il a été soutenu que ceci «concerne la formation d’un quartier à caractère rural englobant les agriculteurs de Plaka», C. Biris, 1995, p.162.
Cette partie – au moins jusqu’en 1966, année à laquelle a été publié le livre de Biris, n’a jamais été validée officiellement à cause des expropriations et de leur coût important.
C. Biris, 1995, p.163.
Α. Geogalas, « La ville Nouvelle », in Athènes, Encyclopédie moderne Eleftheroudakis, Athènes, éditions Ν. Nikas & Cie, 1927, p.371-382.
Christina Agriantoni, « Athènes à la fin du XIXe siècle. La genèse d’une grande ville », in Aliki Solomou -Prokopiou et Ifigenia Voyiatzi (dir.), Athènes à la fin du XIX e siècle, les premiers Jeux Olympiques Internationaux, Athènes, Association Historique et Ethnologique de Grèce, 2004, p.113.
Maro Kardamitsi-Adami, « Athènes et les Athéniens », in Aliki Solomou-Prokopiou et Ifigenia Voyiatzi (dir.), Athènes à la fin du XIX e siècle. Les premiers jeux Olympiques internationaux, Athènes, Association Historique et Ethnologique de Grèce, 2004, p.140.
Manolis Β. Marmaras., L’immeuble à plusieurs étages d’Athènes. Le début de l’exploitation des terrains de la ville, Athènes, éditions Banque Hellénique de Croissance Industrielle – Fondation Culturelle et Technologique, 1991, p.95.
C. Biris, 1995, p.274.
La Vieille Assemblée, Le Palais Royal, le Palais Mélathrôn, l’Eglise Catholique, la clinique ophtalmologique, l’Académie, l’Université, la Bibliothèque nationale, l’école Arsakio, le Palais Méla, le Théâtre royal, le Théâtre municipal, la Mairie, le Zappio, le musée archéologique, l’école polytechnique….
Maro Kardamitsi – Adami, 2004, p.141.
Maro Kardamitsi – Adami, 2004, p.142.
Maro Kardamitsi – Adami, 2004, p.142-145.
Kostas Sardelis, « Les impressions d’un étranger pour la vielle Athènes » in Journal d’Athènes de 2000, Athènes, Editions Filippotis, 2000, p.120.
Acteur du théâtre grec moderne. E. Koumarianou, 2005, p.418.
K. Sardelis, 2000, p.120–121.
Elie Cabrol, Voyage en Grèce. Notes et impressions, Paris, Librairie des Bibliophiles, 1890, p.19. (Bibliothèque Municipale de Lyon).
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Athènes et ses environs. Manuel du voyageur. Avec une carte et un plan de ville, 5e édition, Athènes, Editeur Karl Wilberg, L’imprimerie L’union, 1885, p.11. (Bibliothèque Municipale de Lyon).
Grèce : Athènes et ses environs, Paris, Librairie Hachette et Cie, 1890, p.29. (Bibliothèque Municipale de Lyon).
Lors du règne d’Othon, l’architecte Ε. Ziller achète à Koniaris la région Stadiou (18 hectares) contre 2.000 drachmes, et en 1869 il fait les premières fouilles. Plus tard, le roi Georges I achète pour l’Etat Grec cette région, contre 10.000 drachmes. Les plans d’aménagement du Stade sont réalisés par l’architecte Anastassios Metaxas. Il est inauguré en 1896 au cours des Jeux Olympiques.
Eleftherios G. Skiadas, Le petit Romios, Journal pour Athènes, Période D’, Année 18ème, Feuille 100, juillet 2004, p.8.
Emmanouil Roidis, « La rue Voulis », publié dans le journal Estia, 2 juin 1896. In, Emmanouil Roidis, Narrations, Athènes, Editions Nefeli, 1988, p.228 – 233.