A mon grand-père et à Sarah
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Je remercie tout d’abord Annik HOUEL et Christine DURIF-BRUCKERT pour leur soutien et leur disponibilité tout au long de ce travail, dans une complémentarité qui me fut précieuse.
Je remercie toutes les personnes de mon entourage qui m’ont encouragée et aidée tout au long de ce travail, et tout particulièrement mes parents (et mécènes pour cette recherche !), Olivier, Sandra, Sandrine, Nicolas et Alexandra – je ne peux les nommer tous et toutes ici. Je saisis cette occasion pour leur dire ma gratitude vis-à-vis de l’amour ou de l’amitié qu’ils et elles me font l’honneur de me porter.
Merci également aux doctorant-e-s du GRePS et d’ailleurs, qui, dans ce long travail impliquant nécessairement des moments de “traversée en solitaire”, ont constitué des archipels d’échange et de dialogue vis-à-vis desquels ce travail est redevable. Merci à l’ensemble de l’équipe du GERA, puis du GRePS, pour leurs retours critiques ainsi qu’à toutes celles et tous ceux qui ont bien voulu prêter une attention à mon travail, et l’enrichir par leurs critiques et leurs retours.
Je remercie les participant-e-s de cette recherche, qui ont accepté de m’accorder un peu de leur temps pour me donner à entendre leurs points de vue et leurs questionnements.
Merci à France Culture, pour la transmission des connaissances à laquelle elle contribue.
Merci enfin à mes collègues de l’Hôpital de Saint-Cyr-au-Mont-d’Or, pour leur convivialité qui contribue à rendre notre travail d’équipe vivant. Un remerciement tout particulier est adressé à Alain TOULMOND, pour son accueil lors de mon arrivée au Centre Médico-Psychologique de Thizy, et pour la diversité de nos échanges (de la clinique à la “condition de l’homme hypermoderne”, en passant par le commentaire sportif du coup de tête de Zidane…). Ces échanges sont pour moi la source d’une émulation intellectuelle, mais ils contribuent aussi, boussole précieuse s’il en est, à me diriger dans le sens… de l’humour !
J’ai essayé, dans ce travail, de « faire du mieux que je pouvais », comme mon grand-père me le disait avec son bon sens (de) paysan ; ce qui m’a rappelé, quand j’en ai eu besoin, qu’à l’impossible nul n’est tenu, mais que le domaine du possible est à explorer… Il est des phrases que l’on garde comme des trésors intérieurs, surtout quand elles sont dites et reçues avec affection. Cette thèse est également dédiée à l’arrière petite-fille qu’il aurait rencontrée avec joie : ma nièce Sarah, grâce à laquelle je redécouvre la dimension essentielle du jeu…
« L’approche des représentations sociales dans leur genèse, leur structure et leur transformation est la voie pour comprendre le rôle de l’inscription des sujets dans un ordre social et une historicité, et rendre compte de la construction, nécessairement sociale par leurs appartenance et leurs communications, des interprétations qu’ils produisent dans le cadre d’une culture. »
Denise Jodelet, Les représentations sociales dans le champ de la culture (2002)
« Un phénomène demeure incompréhensible tant que le champ d’observation n’est pas suffisamment large pour qu’y soit inclus le contexte dans lequel ledit phénomène se produit. »
Watzlawick, Helmick Beavin et Jackson, Une logique de la communication (1967)
« Et puis comme la mémoire commence tout de suite à prendre des clichés indépendants les uns des autres, supprime tout lien, tout progrès, entre les scènes qui y sont figurées, dans la collection de ceux qu’elle expose, le dernier ne détruit pas forcément le précédent. »
Marcel Proust, A l’ombre des jeunes filles en fleurs (1919)