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Je voudrais exprimer toute ma gratitude à l’égard des personnes, qui, à divers titres, m’ont témoigné au cours de ce travail de longue haleine leur soutien, leur estime, leur affection. Le voyage a été long, parfois difficile, mais jamais périlleux grâce à toutes les personnes qui m’ont accompagnée au cours de ces années.
Je remercie Yves Grafmeyer d’avoir bien voulu montrer la direction et permettre la concrétisation de ce travail. Je tiens aussi à remercier Bernard Bensoussan qui, pour cette longue traversée, a tour à tour joué le rôle du bateau de ce voyage, le capitaine et/ou la houle. C’est en le côtoyant durant ces treize années que j’ai appris à faire mes nœuds et à tenir bon pied bon œil en toutes circonstances.
Toute ma reconnaissance également à Gérard Claisse, Jean-Hugues Déchaux, Claude Martin et Martine Segalen, qui ont bien voulu porter un regard et une parole d’experts sur ce travail.
Je remercie aussi Chantal Rodez et Martin Goutte, à qui je dois d’avoir redressé la barre et maintenu le cap.
L’Institut des Sciences de l’Homme, l’Université Lyon 2 et le GRS ont largement contribué sur un plan matériel à ce voyage. Que leurs équipages respectifs qui ont croisés ma route soient ici remerciés pour leur bienveillance et la confiance qu’ils ont pu me témoigner. Evelyne Labrosse, en particulier, en œuvrant à mes côtés, m’a permis dans les débuts de recueillir les données essentielles au voyage. Au CIRDD, Catherine Miachon, en m’accordant sa confiance, me permet d’achever l’aventure dans de bienveillantes conditions.
La sociologie ne serait rien si des personnes ne se prêtaient pas au jeu des récits et des réponses. Merci à toutes les personnes dont je fais l’écho dans ces pages d’avoir joué le jeu.
La thèse est un travail solitaire où paradoxalement, l’entourage est essentiel. Merci à mes amis, grâce auxquels j’ai pu avancer au quotidien. Une attention toute particulière à Joseph, Paul-Frantz, Emilie, Eva, Simon, Stéphanie, Franck, Nathalie, Olivier, Alexandra, Louis, Ludo, Florence et aux filles d’Echo Marengo, qui en s’enquérant de l’avancée du chantier ont donné du sens à cette entreprise. Merci à Christophe pour le coup de pouce final.
Merci enfin à Philippe et Françoise, qui par leurs parcours courageux, m’ont inspiré ce sujet et fourni les ressources éducatives et affectives pour mener à bien ce projet. Merci aussi à Pierre et Monique, pour m’avoir permis d’entrer dans un autre fonctionnement familial et d’objectiver celui dont je suis issue.
Merci enfin à Sébastien et à son implacable optimisme. Il a porté ce projet avec moi et a parfois dû y croire à ma place. Quant à Philéas, en me faisant mère, il m’a permis de prendre la mesure de la fonction parentale, dans l’exigence de son quotidien et l’immensité de l’amour qui l’accompagne. Merci de n’avoir rien fait d’autre que d’être, mon Philou.