L’autonomisation saisie à travers la question de la décohabitation.

Au-delà de la question de l’âge, nous pouvons nous demander si la fréquence des communications entretenues avec les parents ne dépend pas également de deux autres aspects :

• Le temps écoulé depuis le départ du domicile parental, pour lequel plus il serait long, plus les contacts téléphoniques seraient rares car la prise d’autonomie vis-à-vis de la sphère familiale serait importante.
• L’âge de la décohabitation, où l’on s’interroge sur les conséquences d’un prolongement de la cohabitation sur les liens tissés avec les parents par rapport à un départ précoce. Est-ce perceptible à travers la fréquence des contacts téléphoniques entre ascendants et descendants ?