2.2. Sous-hypothèse n° 1 : Pour lier psychiquement ce « largage du non-contenu  », l’autre est contraint à produire des images. Le SEU trouve ses propres repères au travers l’espace psychique de l’autre

Ce « largage de non-contenu » produit de l’obscène qui contraindrait l’autre à construire des images scéniques pour lier les dépôts-déchets psychiquement. Cette déposition psychique s’étayerait sur le modèle d’un « corps conçu comme lieu de transit producteur ou fabrique de déchets ». Cette déposition au dehors amène alors l’autre à produire des scènes qui l’affole du fait de leur caractère étrangement obscène. C’est, au fond, au travers de l’affolement de la psyché de l’autre que le SEU tente de construire ses propres limites.