5. Discussion de l’hypothèse n°2 et n°4.

Le lieu et le cadre clinicien : entre dedans et dehors , entre « sauvage » et « domestiqué »

Les situations cliniques ont montré que la notion de « lieu » chez les SEU révèle un défaut de contenance dans leur fonctionnement psychique. Je vais approfondir la discussion avec cette problématique en rapport avec les « qualités » de l’objet que constituent les dispositifs de prise en charge. Cependant, en abordant la capacité réceptive de l’objet, je ne peux éviter d’aborder le positionnement du clinicien ou des personnes chargées du lien d’accompagnement auprès de cette population. Il me semble que l’entrecroisement entre la capacité réceptive de l’objet et la question de ce qui fait lieu pour ces sujets permet d’aborder la question complexe du cadre clinicien.

Je viens d’exposer la manière dont la « capacité réceptive de l’objet » est perçue par les sujets dans le cadre des institutions.

Je vais maintenant rapprocher la question du lieu à la notion du cadre.