C. Les aides financières.

Les opérateurs fluvio-maritimes tirent peu profit des aides existantes si ce n’est le projet Iberlim avec le programme Marco Polo. Il convient en conséquence de proposer de nouveaux leviers d’action susceptibles de favoriser le développement du fluvio-maritime. Cette troisième section présentera une réflexion sur la taxe maritime et une aide à l’investissement visant à renouveler et fixer la flotte fluvio-maritime fréquentant le bassin Rhône-Saône.