Je tiens à remercier tout particulièrement Christine HAMON-SIRÉJOLS, ma directrice de recherche, pour sa disponibilité sans faille, ses connaissances illimitées dans le domaine théâtral et ses conseils sûrs. Elle n’a jamais cessé de me témoigner sa confiance tout au long de l’élaboration de cette thèse, même lorsque le doute m’a gagné. Sans son soutien psychologique et intelllectuel, ce travail n’aurait pu être réalisé.
Je tiens à exprimer ma reconnaissance aux membres de la Société Internationale d’Études Giralduciennes ainsi qu’à l’Association des Amis de Jean Giraudoux ; grâce à la publication régulière des volumes des Cahiers Jean Giraudoux, j’ai pu mettre à profit de nombreux documents précieux et inédits.
À l’équipe de la Bibliothèque Nationale de France, notamment le département des arts du spectacle, pour leur accueil amical et pour m’avoir permis d’accéder aux documents du Fonds Jouvet.
À l’équipe de Tsubouchi Memorial Theater Museum à Tokyo qui m’a permis de rédiger ce travail dans des conditions matérielles favorables.
Merci mille fois à tous ceux qui ont lu et relu mes textes, pour leur patience, leur disponibilité, leur regard critique, et surtout leur amitié fraternelle et chaleureuse.
À toux ceux qui m’ont apporté leur soutien affectif et moral pendant ces années.
À mes parents.
À l’époux anglophone d’une fille francophile, Tomonori.
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