Les limites

Les limites de ce travail sont inscrites dans sa genèse : il s’agit de l’ouvrage d’un praticien totalement engagé dans sa pratique. Par conséquent, il y manque des bases théoriques, des références suffisantes, une modélisation conséquente, et parfois l’humilité qui accompagne le chercheur travaillant dans son domaine. Dans beaucoup de cas, nous avons manqué des ressources nécessaires pour compléter une recherche importante, ou tout simplement prometteuse, pour notre thèse.

Il est aussi regrettable que nous n’ayons pu effectuer une étude de perception : comment les propriétaires immobiliers réagiraient à cette offre ? En comprendraient-ils le risque ? De même, nous n’avons pas consulté des institutions internationales publiques ou privées. Le Certificat ne pourra, en effet, voir le jour qu’une fois ces démarches et ces études complémentaires accomplies.

C’est dire que notre thèse est avant tout une invitation à d’autres recherches. Nous espérons, par ce travail, avoir facilité celui de ceux qui nous succéderont et au moins de leur en avoir donné le désir.

Au terme de cette entreprise, nous ne pouvons que revenir à cette citation de Goethe que nous avions mise en exergue. Il était, de fait, insensé de croire à l’achèvement de cette thèse, il est insensé d’attendre la réalisation des projets proposés, mais ce n’est pas toujours la raison qui mène le monde.