Avenches

Présentation de la Capitale

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Le Cigognier

‘By a lone wall a lonelier column rears
A grey and grief-worn aspect of old days ;
‘Tis the last remnant of the wreck of years,
And looks as with the wild-bewilder’d gaze
Of one to stone converted by amaze,
Yet still with consciousness ; and there it stands
Making a marvel that it not decays,
When the coeval pride of human hands,
Levell’d Aventicum, hath strew’d subject lands.’
Lord Byron, Childe Harold’s Pilgrimage III, 65
1275
Notes
1275.

Extrait des Œuvres complètes de Lord Byron. Première série, Poésies diverses. Childe-Harold, trad. par Benjamin Laroche, Paris 1847 : ‘Près d’un humble mur, une colonne plus modeste encore s’élève, grisâtre, antique, et usée par la douleur ; c’est le dernier vestige du naufrage des ans. On croirait voir l’attitude égarée d’une personne que l’étonnement a pétrifié, mais qui a conservé encore l’usage des sens : elle est là, debout, qui résiste à l’outrage des ans, tandis qu’Aventicum, l’orgueil d’une civilisation contemporaine, est abattue, et jonche de ses débris les campagnes où jadis elle régnait.