3) Les maîtres-autels

Le maître-autel est l’élément essentiel d’une église. Jusqu’au concile de Vatican II en 1965, la messe était célébrée par le prêtre en direction de l’est, aussi pour adapter l’autel principal à la liturgie post-vaticane, le dispositif des autels fut changé. Ce changement dans le mobilier architectural ne se fit pas sans heurts. Du fait que le maître-autel était un élément capital et des plus nobles dans les églises, sa conception avait toujours été l’objet d’un maximum de soin de la part des paroisses, en fonction de leurs moyens. L’importance de cet élément est rappelée implicitement dans le décret Presbyterorum Ordinis :

‘« Quant à la maison de prière où l'Eucharistie est célébrée et conservée, où les fidèles se rassemblent, où la présence du Fils de Dieu notre Sauveur, offert pour nous sur l'autel du sacrifice, est honorée pour le soutien et le réconfort des chrétiens, cette maison doit être belle et adaptée à la prière et aux célébrations liturgiques. »318

Ne fallait-il pas conserver intacts ces chefs-d’œuvre d’art religieux ? En pensant à leur valeur patrimoniale, historique et artistique, leur conservation eut parue évidente. Le concile ne disait-il pas de même : « Les ordinaires veilleront avec zèle à ce que le mobilier sacré ou les œuvres de prix, en tant qu'ornements de la maison de Dieu, ne soient pas aliénés ou détruits »319 Mais un autre autel était bien nécessaire « Dans la construction des édifices sacrés, on veillera soigneusement à ce que ceux-ci se prêtent à l'accomplissement des actions liturgiques et favorisent la participation active des fidèles ». Fallait-il supprimer l’ancien ? « Ce qui paraît mal accordé à la restauration de la liturgie sera amendé ou supprimé » 320.

À Lyon, le dilemme donna lieu à plusieurs solutions. Dans quinze églises321 le chœur fut amplement remanié, l’ancien autel totalement supprimé au profit d’un nouvel autel souvent placé plus près des fidèles. Cependant, quelques-unes découpèrent des éléments pour les conserver : à Saint-Pothin (cat. 803) comme à Saint-François-de-Sales, le relief du devant (cat. 590) est préservé dans un bras du transept ; à Saint-Denis, le tabernacle (cat. 546) a été déposé au fond du chœur pour continuer à garder l’Eucharistie ; à Notre-Dame Saint-Alban, le maître-autel (cat. 396) a été entièrement déplacé dans une alcôve qui forme chapelle. Plus étranges sont les cas de Saint-Augustin322 et de Saint-Joseph qui possèdent chacune un autel datant du milieu du XXe siècle de taille importante, à l’arrière du chœur, et un plus petit autel avancé : l’autel originel a donc été supprimé pour permettre la célébration la messe face à l’assemblée.

Dans onze églises, l’autel fut remanié afin de continuer à servir au culte : à Notre-Dame Saint-Vincent (cat. 424), à Saint-Maurice de Monplaisir (cat. 701), à Saint-Bonaventure (cat. 498), à Saint-Nizier (cat. 724), à la Rédemption (cat. 250), à Saint-Martin d’Ainay dont les restes (l’autel et le tabernacle démontés et placés à l’arrière ; cat. 680) furent tardivement classés par les Monuments historiques323, à Saint-Paul (cat. 757), à Notre-Dame de Bellecombe (cat. 343), à Sainte-Croix (cat. 856, 867)324, à Saint-Georges (cat. 608), à la primatiale Saint-Jean (cat. 894) dont l’autel date des années 1930, et peut-être à Saint-Bernard (cat. 477), église en voie de désacralisation où le tombeau est le seul élément du maître-autel restant en place.

Enfin, dans neuf églises, l’ancien maître-autel a été conservé de manière plus ou moins intégrale – servant en quelque sorte de tabernacle monumental – et un nouvel autel a été placé à l’avant : à Saint-Just (cat. 662), à Saint-Pierre de Vaise (cat. 775), église qui fut pourtant à moitié détruite lors des bombardement de la seconde Guerre Mondiale, à Sainte-Blandine, à Saint-Polycarpe (cat. 790) – sculpté par Fabisch sous la direction de Desjardins et de Bossan, et préservé depuis 1978 par un classement par les Monuments historiques325 –, à Saint-Eucher (cat. 569), mais le tabernacle a été démonté, au Saint-Sacrement (cat. 326) où le ciborium a été supprimé, à l’église de l’Hôtel-Dieu où l’œuvre du XVIIe siècle fut respectée, à Saint-Bruno-des-Chartreux où le baldaquin, œuvre de Servandoni, et le double maître-autel (cat. 523) de 1738 en marbres polychromes sont classés aux monuments historiques326, à la basilique Notre-Dame de Fourvière où le chef-d’œuvre de Pierre Bossan et Paul-Émile Millefaut (cat. 111) et la cohérence de l’ensemble a certainement imposé du respect, même si le style était en forte désunion avec la mode du moment et le canon conciliaire.

En observant les autels des trente-neuf églises concernées par cette étude – c’est-à-dire celles ayant été construites au XIXe siècle ou ayant subi des remaniements à cette époque – uniquement deux conservent encore des maîtres-autels antérieurs au XIXe siècle : celui de l’église Saint-Bruno-des-Chartreux datant de 1738, et celui de l’église de l’Hôtel-Dieu conçut par Chabry au XVIIIe siècle, provenant de l’ancienne chapelle du couvent des Carmes Déchaussés, religieux chassés à la Révolution et dont le couvent fut dévasté. Tous les autres autels furent refaits au XIXe siècle, parfois encore au début du XXe siècle, puis après 1965, comme nous l’avons vu, ils furent soit supprimés, soit remaniés, soit laissés au fond de l’église.

Au XIXe siècle, les autels sont conçus systématiquement avec les mêmes éléments traditionnels. La table est posée sur un bloc en forme de pavé et constitue un tombeau plein dont le devant est sculpté ; l’arrière du tombeau est adossé à un muret qui dépasse de la table en hauteur et forme le gradin sur lequel étaient posés les chandeliers ; le plus souvent, ce muret déborde aussi sur la longueur du tombeau et, occasionnellement, ce retour est remanié pour former une colonnette de chaque côté ; le tabernacle se place sur la table, au centre du gradin.

Viollet-le-Duc fut le premier à composer un maître-autel néogothique, qui soit à la fois adapté à la liturgie et au style de l’église ; le projet fut approuvé en 1851, pour la cathédrale de Clermont-Ferrand327. Pour les maîtres-autels à Lyon, l’adaptation au style de l’architecture se faisait de manière succincte par des éléments d’ornementation, telles quelques arcades ogivales ou trilobées pour le gothique, des arcades en plein-cintre ainsi que d’autres motifs adéquats pour le roman, des pilastres et de la simplicité pour les styles classiques, de la variété pour l’éclectisme. Ce qui différencie davantage ces autels du XIXe, c’est le devant. Trois solutions se distinguent : un devant dépouillé ou simple, un devant orné d’un seul relief, un devant compartimenté.

Ceux que nous appelons « dépouillés » sont au nombre de cinq ; ils se découpent rectilignement, sans fantaisie, avec un devant plus au moins plat : à Saint-Denis (cat. 546), il jouait sobrement avec des marbres de couleur, découpés en formes géométriques ; celui de Saint-Eucher (cat. 569), de marbre blanc est uniquement orné de l’inscription « DOM / Sub invocatione S. Eucherii » ; l’autel de Notre-Dame Saint-Vincent (cat. 424), d’une longueur importante, est orné de rinceaux et d’une guirlandes formant une petite frise, avec au centre le monogramme ‘IHS’ ; mal visible sur les photographies anciennes, l’autel de Notre-Dame Saint-Louis (cat. 400) semble simplement avoir eut un devant en marbre de couleurs différentes ; tous les quatre s’accordent à des intérieurs « classiques ».

Le maître-autel de Saint-Maurice de Monplaisir (cat. 701), aujourd’hui démonté, fut certainement conçu par Sainte-Marie Perrin après 1896. Le devant est orné de fins pilastres jumelés à chaque extrémité, au centre se trouve un bas-relief de bronze représentant l’Agneau portant l’oriflamme et dont le sang se déverse dans un calice. Son style s’adapte à l’éclectisme particulier du projet de cette église, teinté de roman et de classicisme, à la fois sobre, élégant, puissant et rustique (en référence au parement extérieur). Cette date approximative fait de lui le premier de la série des maîtres-autels du début du XXe siècle, plus sobres et plus majestueux (voir pp. 162-163).

Trois autels furent ornés d’un seul relief narratif, avec des partis architecturaux leur permettant de s’insérer dans des églises aux styles très différents. À Saint Pothin, La Cène était représentée sur un autel assez long, entre deux larges pilastres. Celui de Saint-Georges (cat. 608), sculpté en marbre par Fabisch, est composé de personnages en hauts reliefs figurant La Mise au tombeau. Dans une composition hiératique, l’autel majeur de la basilique de Fourvière figure en relief de la Vierge délivrant Adam et Eve, encadré d’anges en cariatides.

Les devants d’autels compartimentés sont les plus nombreux, dix au total. Tous s’organisent autour du Christ. Toutefois, il est préférable de les subdiviser en deux : ceux compartimentés en cinq, voire plus, offrant un cadre pour chaque personnage ; ceux divisés en trois autour d’un relief principal. Parmi les cinq devants compartimentés, celui de Saint-Bonaventure (cat. 498)328 figure le Christ entre les quatre principaux docteurs de l’Église et sur les côtés, saint François d’Assise et saint Bonaventure ; à Saint-Nizier (cat. 724)329, le Christ est entre les douze apôtres dont deux de chaque côté de l’autel ; à la Rédemption330, le Christ figure entre les quatre sacrificateurs de l'Ancien Testament, Abel, Melchisédech, Abraham et Aaron, tous assis ; à Saint-Martin d’Ainay (cat. 680)331, il s’agit des mêmes, mais debout ; celui de Saint-Pierre de Vaise (cat. 775)332 représente le Christ entouré des quatre évangélistes, il est placé dans un compartiment de forme différente et plus grande, un quadrilobe.

Cinq autres devants sont compartimentés plus irrégulièrement, toutefois toujours tripartis avec une figure du Christ au centre. À Sainte-Blandine (cat. 840)333, le relief au centre figure le Christ trônant entre sainte Blandine et saint Pontique, et aux deux extrêmes, un ange dans une niche. À Saint-Polycarpe (cat. 790)334, la scène centrale représente Le Christ remettant à saint Pierre les clefs, à droite, Saint Polycarpe, patron de la paroisse, à gauche Saint Irénée, second évêque de Lyon ou Saint Pothin premier évêque de Lyon et disciple de saint Polycarpe. Chacun des saints évêques est encadré de pilastres corinthiens, rythme qui n'est pas sans évoquer celui des doubles pilastres corinthiens monumentaux de la façade. Cette répartition du devant de l'autel est identique à celle de l'ancien maître-autel (cat. 871) de la chapelle des carmélites de Fourvière, aussi réalisé par J.-H. Fabisch. À Saint-Bernard, le devant représente le Christ en Bon Pasteur (cat. 477) trônant dans un polylobe, de chaque côté un triplet d’arcatures trilobé, puis aux extrémités sous des arcades, saint Paul et saint Pierre. L’ancien maître-autel de Notre-Dame de Bellecombe (cat. 396) réalisé par Joseph Chenevay sous la direction de l’architecte Duret en 1894, transféré à Notre-Dame de Saint-Alban, offre une variante dans la composition. Le centre figure Le Repas à Emmaüs, encadré de deux évangélistes sous des arcs brisés ; la variante consiste dans le fait que le muret d’appui, débordant de chaque côté du bloc principal, ait servi à placer les deux autres évangélistes ; de plus, pour éviter une rupture des arcades, les côtés du bloc ont été ornés des mêmes niches abritant des anges. Enfin, le devant du maître-autel à Saint-François-de-Sales (cat. 590), plus strict, est divisé en trois parties égales par quatre pilastres. L’Agneau vainqueur y figure au centre, sur une auréole en conque, avec des têtes d’angelots dans les écoinçons. Dans les deux autres compartiments de chaque côté, les initiales de saint François sont inscrites dans cette même forme circulaire décorée comme une conque, de plus petite taille. Ce motif est lui-même inscrit dans un carré posé sur la pointe, avec des chardons dans les écoinçons. Si ce relief n’est pas narratif, cela ne l’empêche pas d’être richement ciselé.

L’autel de l’église de la Sainte-Croix (cat. 856) demeure à part. Mal visible sur une carte postale ancienne, il ne comporte cependant pas le relief servant à l’autel actuel. Peint ou en pierre de couleur, il est divisé par trois supports et les deux parts ainsi formées sont ornées d’un motif de croix fleurdelisé et doré.

Les six autels du début du XXe siècle possèdent des caractéristiques qui les rassemblent étroitement. Ils prennent des lignes plus strictes et des formes sobres, les décors sont très contenus et hiérarchisés. Malgré leurs quelques reliefs et décors, ces autels sont caractérisés par une certaine planéité et par une mise en valeur de leur forme générale. Aussi, à cause de la clarté de l’articulation de ces volumes géométriques, leur effet est monumental et noble.

L’autel du Saint-Sacrement (cat. 326), toujours en place, fut réalisé entre 1899 et 1905 sous la direction de Sainte-Marie Perrin. De marbre blanc, il est orné du même Agneau que celui de Saint-Maurice. Le devant est agrémenté de cannelures torses. Les autres éléments s’organisent toujours de la même manière. On remarque que les colonnettes supportant le débordement du gradin sont à bossages.

Les photographies anciennes de l’intérieur de l’église Saint-Augustin permettent de voir que le maître-autel prenait aussi cette forme, mais il est impossible d’en voir les détails. Toutefois, un article extrait de La Construction lyonnaise, écrit par l’architecte lui-même – A. Chomel –, en donne une bonne connaissance :

‘« Le maître-autel mérite une mention spéciale. Il est dû à la collaboration intelligente et consciencieuse de MM. Mottet, marbrier, et Chorel, statuaire. Il s’élève sur cinq degrés, sous l’arc triomphal. C’est un sarcophage antique reposant sur des griffes et adossé au retable du tabernacle. La face du sarcophage est décorée d’un agneau symbolique qui enlace une croix ; une guirlande de raisins et d’épis encadre le motif ; le marbre employé est le marbre statuaire. Le retable, très simple, ne comporte aucune moulure ; il est décoré d’une frise en mosaïque de marbre. »335

À l’église Saint-Paul (cat. 757)336, le centre du devant est un relief représentant Le Bon Pasteur portant la brebis égarée sur ses épaules ; de chaque côté, saint Paul tenant son épée la pointe à terre et saint Étienne tenant une palme. Ces deux reliefs sont séparés de celui du Christ par des cannelures en "S". Il est amusant de noter que le style est jugé renaissance par Jean-Baptiste Martin, alors que Georges Keller-Dorian pense qu’il s'agit d'une « très bonne interprétation moderne des sarcophages antiques »337. La composition de l’autel dans la chapelle du Sacré-Cœur338 à l’église de l’Immaculée-Conception est identique : au centre un bas-relief carré de Bertola représente L’Annonciation, puis à chaque extrémité, un ange ; les mêmes cannelures en "S" s’intercalent entre les trois reliefs. L’autel de l’église Saint-Just (cat. 662) est encore plus dépouillé et rectiligne. Les cannelures en "S" encadrent une couronne qui enserre le chrisme.

Les devants des autels du Sacré-Cœur et de Notre Dame de Bellecombe se distinguent légèrement des quatre premiers par des répartitions différentes. Le devant de l’ancien maître-autel du Sacré-Cœur (cat. 291) – de cet autel, il ne reste aujourd’hui que la statue posée au sol – est simplement rythmé par quatre doubles pilastres. Celui de Notre-Dame de Bellecombe (cat. 343) se différencie par la taille du bas-relief qui orne le centre. Datant de 1924, il est l'œuvre de la collaboration de Cateland pour le dessin, Guinet pour l’exécution, Castex pour le relief et Armand-Calliat pour la porte de tabernacle. Le relief, comme celui du maître-autel qu’il remplace maintenant à Notre-Dame Saint-Alban (cat. 396), représente Le Repas d'Emmaüs ; son style est sobre, nette et finement expressif, bien dans le goût de ce début de XXe siècle à Lyon. Le relief encaissé, est encadré de deux aplats de marbre sur lesquels sont gravés l’alpha et l’oméga. Toutefois, son état actuel est remanié et ces arrangements empêchent de juger de l’effet que pouvait produire l’ensemble autrefois.

Notons que tous ces anciens maîtres-autels du XIXe siècle, conservés au fond des absides, ont perdu l’édicule qui surmontait le tabernacle, pour abriter la croix. La présence de ces petits dais est connue uniquement par l’intermédiaire des photographies anciennes. Toutefois, les autels de Saint-Pothin (cat. 803) et de Saint-Nizier (cat. 724) ne semblent jamais en avoir bénéficié, alors qu’au contraire, les églises du Saint-Sacrement (cat. 326) et de Saint-Augustin disposaient d’un grand ciborium recouvrant tout l’autel, à la manière du baldaquin de Saint-Bruno-des-Chartreux (cat. 525) et de la basilique de Fourvière (cat. 110). La présence de cet élément pouvait modifier considérablement la perception des proportions de l’ensemble, en apportant plus d’élévation, ou en équilibrant le regard entre la masse horizontale de l’autel et la verticalité de l’axe du tabernacle prolongé par cet élément.

Notes
318.

Vatican II, Presbyterorum Ordinis, paragraphe 5.

319.

Vatican II, Sacrosanctum Concilium, paragraphe 126.

320.

Vatican II, Sacrosanctum Concilium, paragraphe 128.

321.

Notre-Dame Saint-Louis, Saint-Denis (cat. 546), Saint-François de Sales (cat. 590), Saint-Pothin, (cat. 801 et 803) Saint-Irénée, Notre-Dame de Bon-Secours (cat. 358), Notre-Dame Saint-Alban, le Sacré-Cœur, l’Immaculée-Conception, le Saint-Nom-de-Jésus, Saint-Augustin, Notre-Dame de l’Assomption, Notre-Dame des Anges (cat. 382), Saint-Joseph et Saint Bernard.

322.

L’autel arrière a été supprimé en 2007 à Saint Augustin pour un seul et nouvel autel avancé.

323.

Classé à titre d’objet le 9 mars 1993, base Palissy, réf. PM69000540.

324.

Cependant, le relief de L’Invention de la Croix par sainte Hélène, maintenant inséré dans l’autel actuel, fut récupéré d’un devant antérieur au XIXe siècle. Voir pp. 319-320

325.

Classé comme objet le 11 juin 1978, base Palissy, réf. PM69000481.

326.

Classé le 14 novembre 1907, base Palissy, réf. PM69000326.

327.

Catherine Brissac, Chantal Bouchon, Nadine Chaline, Jean-Michel Leniaud, Ces Églises du XIX e siècle, Amiens, Encrage, 1993, pp. 147 et 149.

328.

Dessiné par Benoît, sculpté par Alanzio et Duret en 1845

329.

Sculpté par Michel Perrache

330.

Sculpté en pierre blanche par Fabisch en 1877

331.

Réalisé par Poussielgue-Rusand sous la direction de Questel

332.

Dessiné par Tony Desjardins, sculpté par Fabisch en marbre

333.

Dessiné par Malaval, sculpté par Comparat

334.

Sculpté par Fabisch en marbre

335.

A. Chomel, « L’église de Saint-Augustin à Lyon », La Construction lyonnaise, 16 novembre 1912, t. 28, n°22, pp. 257-259.

336.

Sculpté par Prost en marbre blanc (cat.)

337.

Lyon, Archives municipales de Lyon, 1 II 123 Fonds Georges Keller-Dorian, "Saint-Paul", p. 5.

338.

Qui fut un temps le maître-autel.