8) Les Chemins de croix

a) Recensement

Dix-huit églises ne possèdent pas ou plus de Chemin de Croix (ou il est réduit à de petites croix) : la primatiale Saint-Jean, Saint-Paul, Saint-Just, Saint-Polycarpe, Saint-Bonaventure, Saint-Nizier, Saint-Martin d’Ainay, la Rédemption, Saint-Eucher, Notre-Dame Saint-Alban, Notre-Dame de Bellecombe, Saint-Augustin, Saint-Nom-de-Jésus (dans le cloître ?), la basilique de Fourvière, Saint-Bruno-des-Chartreux, Saint-André de la Guillotière, Saint-Pierre de Vaise, Saint-Bernard, l’Annonciation. Quatre autres possèdent des Chemins de croix du XIXe siècle réalisés en d’autres techniques : à Saint-François-de-Sales et à Saint-Joseph des Brotteaux en émail, à Notre-Dame Saint-Vincent et à l’Immaculée-Conception en peinture. Puis, sept autres sont largement hors de la période étudiée : à l’église de l’Hôtel-Dieu (bronze du XVIIIe siècle ; cat. 221), à l’Assomption (peinture de la seconde moitié du XXe siècle), à Notre-Dame-des-Anges (ardoise gravée du XXe siècle ; cat. 371), Sainte-Croix (bois du XXe siècle), Saint-Camille (bas relief de pierre et cadre de bois, du XXe siècle), Saint-Charles de Serin (terre cuite de la seconde moitié du XXe siècle), Saint-Maurice de Monplaisir (bois de la seconde moitié du XIXe siècle). Ajoutons que l’intérieur de l’église du Bon-Pasteur n’a pu être visité à et qu’à Saint-Irénée (cat. 623), il est extérieur, associé à un Calvaire. Sur les trente-neuf églises qui pouvaient être concernées, il reste donc seulement huit cas possibles à examiner.