Duras et l’univers médiatique

L’identité télégénique durassienne (1964-1996)

En parlant de la présence de Marguerite Duras dans l’espace public, Alain Arnaud signale, dans une étude publiée dans Lire Duras 389 et intitulée « L’impudeur : les interventions publiques de Marguerite Duras » 390 , une certaine impudeur de l’écrivain. Cette impudeur est constatée par rapport à l’énonciation durassienne, à l’exposition de soi dans l’espace public et à l’« extériorité qui en constitue le fondement ». Cette extériorité de l’espace public est désignée d’ailleurs par le critique comme « l’espace du commun convoqué par l’exposition de la singularité de l’écrivain » 391 .

En effet, la présence publique de Duras se traduit par deux, voire trois modalités d’exposition de soi différentes : la télévision, la radio et la presse écrite. Toutefois, ces trois modalités constituent trois espaces du commun (au sens de « publics », dans l’acception de A. Arnaud), qui supposent d’abord l’idée de présence physique. Cela « met en jeu un corps et ne lui retranche rien, contrairement au procès de l’écriture de fiction pour Duras ». 392 C’est la raison pour laquelle A. Arnaud considère qu’il est nécessaire de penser que l’écriture de Duras dans et pour les mass-médias, au même titre que ses interventions à la télévision ou à la radio, prend en charge sa voix, « avec sa scansion, c’est-à-dire la dimension physique et le chiffre de son énigme » 393 .

Nous nous proposons dans un premier temps de nous occuper des interventions télévisées et radiophoniques de Duras, car un autre chapitre sera réservé à l’écriture de Duras pour la presse. Revenons donc aux interviews et aux entretiens accordés par Marguerite Duras devant les caméras de télévision ou à la radio. Comment Duras entend-elle se mettre en scène dans l’univers médiatique ? Quelle est l’image que l’écrivain se construit aux yeux de son lectorat après ce genre d’interventions publiques ? Duras est-elle vraiment préoccupée son image publique ?

L’inventaire des interventions publiques de Duras, fait par Noëlle Nel simplifie substantiellement le travail des chercheurs intéressés par ce sujet. 394 En effet, elle affirme que sur près de trente-deux ans, les apparitions de Duras sur le petit écran en tant que romancière, dramaturge et cinéaste, représentent une centaine d’émissions. Noëlle Nel avance ce chiffre à partir des données de la base documentaire de l’Inathèque de France, qui comptabilise près de cent trente références, dont une vingtaine concerne les œuvres de Duras diffusées sur le petit écran (pièces et films). Il faut noter que juste une quinzaine d’émissions importantes fonctionne comme métatexte et péritexte de l’œuvre publiée et diffusée.

Le métatexte résulte des commentaires prodigués par Duras sur les récits, pièces de théâtre et films 395 . Les confidences de l’écrivain à la télévision ou à la radio sont attendues avec impatience par ses lecteurs et servent le plus souvent aux biographes et chercheurs comme clé d’interprétation de l’œuvre. Il faut noter que la plupart des journalistes de télévision ou de presse accablent Marguerite Duras avec des questions sur sa vie privée. Mais faut-il se fier entièrement à ses confidences pour interpréter l’œuvre ? On attend ainsi avec grande impatience et émotion l’émission de Bernard Pivot, Apostrophes, sur Antenne 2 du 28 septembre 1984, pour élucider la source dans laquelle Duras puise pour écrire L’Amant 396 . Pour Duras, on parle d’un grand nombre d’apparitions occasionnelles à la télévision (quatre-vingts) aux motifs variés en rapport avec des questions d’actualité : sortie d’un film ou d’une pièce de théâtre, événement cinématographique, affaire de justice, problèmes sociaux, événements politiques etc.

Par ailleurs, on parle de cinq moments importants de la construction de l’identité médiatique de Duras qui font référence uniquement à son identité télévisuelle. Noëlle Nelpropose par exemple un parcours 1965-1996 avec les émissions, à son avis, les plus « importantes ». Ce parcours commence par l’émission Lectures pour tous (1964, 1966) 397 , réalisée par Pierre Dumayet. Pourtant, nous signalons que la reconnaissance publique de l’écrivain commence bien avant, en 1958, quand on parle à la télévision du livre Les Petits Chevaux de Tarquinia, en l’absence de l’écrivain 398 . Un deuxième moment est marqué par les deux émissions « capitales » 399 réalisées par Michelle Porte, Les Lieux de Marguerite Duras 400 , suivies par une troisième étape et « la plus riche », qui se déroule entre 1984 et 1988, avec les émissions de Frédéric Mitterrand, Etoiles et toiles (5 mars 84), de Michelle Porte, Savannah Bay, c’est toi (2 avril 1984) 401 , de Bernard Pivot (28 septembre 1984), Apostrophes 402 , Océaniques 403 , du 28 décembre 1987. Le quatrième moment important est marqué par les émissions de Luce Perrot (1988), intitulées Au-delà des pages 404 . Enfin, la dernière étape, qui suit la maladie de 1988-1990, se résume aux émissions Lire et écrire 405 de Pierre Dumayet et Robert Bober, aux deux apparitions dans Le Cercle de minuit de Michel Field (14 octobre 1993) puis de Laure Adler (4 mars 1996) et à un portrait de Caroline Champetier (18 septembre 1996) – Un siècle d’écrivains 406 . Il faudrait peut-être rajouter à cette liste les émissions de Benoît Jacquot, Le Cercle de minuit, un entretien inédit sur France 2 du mars 1966 et l’entretien réalisé par Bernard Rapp, dans l’émission Caractères, Antenne 2, du 5 juillet 1991.

Evidemment, cette présence abondante de Marguerite Duras à la télévision nous incite à une étude plus approfondie des manifestations durassiennes dans le milieu télévisuel, car elle témoigne de l’importance qu’on prête à cet écrivain. Cet aspect visant la présence fréquente de Duras dans l’univers médiatique a réveillé aussi l’intérêt de bon nombre de critiques. Noëlle Nel, par exemple, trouve que l’identité télégénique de Marguerite Duras se construit sur deux axes : celui de la singularité d’artiste « différente » et celui de la singularité de femme unique, revendiquant l’universalité féminine, tournée vers le mythe 407 . Dans la vision de N. Nel, le premier axe de l’identité télégénique durassienne est formé à partir de trois images différentes : celles d’écrivain inclassable, de dramaturge fervente et de cinéaste « différente ». N. Nel dit qu’à partir d’Apostrophes (1984) jusqu’à Océaniques (1987) ou au Cercle de minuit (1993), « l’écrivain inclassable assène des affirmations qui dénigrent certains auteurs (Sartre, tout spécialement, ou le Nouveau Roman) pour en louer d’autres (Proust, Blanchot, Bataille et Queneau). Elle défend la “maladie d’écrire” qui fait pleurer ou qui réveille la nuit » 408 .

Mais nous pourrions affirmer tout de même que son acharnement contre ses « confrères romanciers, créateurs ou disciples de l’école du Nouveau Roman » remonte quelque part vers les années 60, quand, dans une interview accordée à Pierre Hahn, Duras se déchaîne : « Robbe-Grillet est un ami, je ne veux pas lui adresser des critiques. Mais il est regrettable que de jeunes écrivains de talent, comme Philippe Sollers et quelques autres, se croient tenus à une scolarité littéraire. Quels livres auraient-ils écrit autrement ? […] D’une manière générale, le Nouveau Roman tourne en rond ; il a atteint son point de chute. Personnellement, je ne crois pas à ce mouvement littéraire. » 409

En ce qui concerne la dramaturge fervente, comme l’appelle N. Nel dans son étude, plusieurs émissions de 1983-1984 (Etoiles et toiles, du 5-03-84 et Savannah Bay, c’est toi, du 02-04-84) « donnent à voir l’extraordinaire connivence de la “bande des trois” : Duras, Renaud, Ogier. » 410 Quant à la cinéaste « différente », ses apparitions à la télévision entre 1966 et 1987 coïncident avec la période la plus intense de son activité cinématographique. Un exemple parlant est l’émission Ciné 3 (du 6 décembre 1975) où Duras parle à Dominique Noguez de la différence cinématographique comme un acte politique de rupture avec le cinéma commercial dominant. Dix ans plus tard, en 1984, dans l’interview accordée toujours à Dominique Noguez, elle dévoile la raison qui l’a poussée à faire du cinéma :

‘« D. Noguez : Est-ce que votre rapport au cinéma s’est établi tout à fait par hasard ?’ ‘M. Duras : Si l’on veut, oui. Il s’est trouvé que les films qu’on a faits à partir de mes livres étaient si mauvais que je me suis dit que je pouvais en faire autant, ou plutôt que je ne pouvais faire que mieux. » 411

A José Artur, elle avoue, dans Ecran blanc, rideau rouge (12-12-1976), qu’elle aimerait arriver à faire des films en six jours et que Le Camion est le risque le plus fou qu’elle ait pris. 412 Dans Cinéma, cinémas (16- 03-1982), Duras déclare entre autres n’aimer que le « cinéma intellectuel, intelligent » 413 .

L’autre axe sur lequel se constitue l’identité télégénique de Marguerite Duras, signalé par N. Nel, est celui de la « singularité de femme tournée vers le mythe » 414 . C’est en effet le résultat d’une alliance entre le discours autobiographique et la parole poétique. A l’exemple du tournage du film Des Journées entières dans les arbres, Duras cherche, à l’écran, à redonner vie à ce qui est enfoui dans l’oubli, tout en se laissant entraîner par la « fascination des mots et des silences et des splendides plans fixes » que l’on retrouve dans ce film. 415 « C’est une écriture à nulle autre pareille », dit Alain Remond, « qui fait de chacun de ses films autre chose qu’un enchaînement d’images et de sons : de purs films poèmes » 416 .

Par ailleurs, la construction identitaire télévisuelle de Duras se fonde sur de longs silences qui interviennent dans le discours autobiographique télévisé, silences qui confèrent à la parole durassienne ce caractère « poétique » et surtout oraculaire, d’inspiration divine. Dans ses expositions de soi à la télévision, Duras renvoie toujours « à la destinée universelle de la Femme » 417 , tout en transformant le scénario originaire personnel en mythe.

Mais avant de parler du mythe durassien dans l’aveu public, il serait peut-être intéressant de voir quels sont les éléments qui contribuent à la construction de l’image de Marguerite Duras à l’écran. Peut-on parler d’une identité télévisuelle de l’écrivain, comme on parle par exemple de son identité littéraire, cinématographique etc. ? Pourquoi parle-t-on d’une certaine singularité durassienne devant les caméras de télévision ? Ses apparitions télévisées font-elles l’objet d’une mise en scène soigneusement préparée par l’écrivain ?

Notes
389.

Lire Duras, Claude Burgelin et Pierre de Gaulmyn, Presses Universitaires de Lyon, coll. « Lire » dirigée par Serge Gaubert, 2000

390.

Alain Arnaud, « L’impudeur : les interventions publiques de Marguerite Duras », in Lire Duras, Claude Burgelin et Pierre de Gaulmyn, Presses Universitaires de Lyon, coll. « Lire » dirigée par Serge Gaubert, 2000, p. 578

391.

Cf. Alain Arnaud, op. cit.

392.

Alain Arnaud, op. cit.

393.

Ibid.

394.

N. Nel, « L’identité télévisuelle de Marguerite Duras (1964-1996) », in Lire Duras, Claude Burgelin et Pierre de Gaulmin, Presses Universitaires de Lyon, coll. « Lire » dirigée par Serge Gaubert, 2000, p. 583 Selon nos recherches plus récentes (décembre 2007) dans les archives de l’INA, il y a 189 références au nom de Marguerite Duras, interviews (85 références, dont dix interviews réalisées par Marguerite Duras), téléfilms (une référence), portraits d’écrivains (huit références), documentaires, reportages réalisés par Duras ou par les autres autour de son nom (19 références) confondus. Les interviews disponibles (85 références) sont accordées par Duras à la radio ou à la télévision, mais aussi on y retrouve des interviews de grandes voix de la critique littéraire au sujet de l’œuvre durassienne, tels : Dominique Noguez, Laure Adler, Robbe-Grillet ou des interviews de grands acteurs au sujet de Duras (Depardieu, Jeanne Moreau, Michel Piccoli, Delphine Seyrig, Michel Lonsdale etc. Parmi les interviews accordées par l’écrivain, nous mentionnons par exemple l’émission exceptionnelle « Le cercle de minuit » qui lui est consacrée entièrement le 14 octobre 1993 sur Antenne 2, la dernière apparition, parait-il, de l’écrivain à la télévision avant sa mort, à propos de la parution de son livre Ecrire. Michel Field lui pose de très nombreuses questions. Après une entrée en matière sur la façon dont elle ressent l’admiration et l’estime que lui porte le public et dont elle vit sa célébrité, il est longuement question du « phénomène » de l’écriture. Qu’est-ce qu'écrire ? est-ce que ça rend sauvage ? Est-ce une expiation, un soulagement. Michel Field l’interroge notamment sur le texte « camouflé au milieu du recueil » et qui raconte la mort du jeune aviateur anglais et les réactions des habitants du village voisin. Elle déclare qu’elle-même pleurait en lisant sa propre écriture de cette scène. C’est l’évocation de « l’épouvante d’écrire », « du bonheur atroce » de dire ces choses. L’entretien tourne autour de l’amour de Marguerite Duras pour la musique et de son « ratage » de ses études de musique, et du « ratage » en général, des « erreurs réussies ». Elle porte un jugement globalement négatif sur les livres des autres écrivains, en général « très contents d'eux-mêmes », comme Robbe-Grillet par exemple. Elle dit malgré toute son admiration pour Bataille, Michaux, Queneau, Blanchot qui étaient ses amis. S’ensuit une série de questions sur la différence pour elle entre film et livre, sur les lieux, notamment les maisons, comme celle de Neauphle, où elle a reçu Ami Flammer et Benoît Jacquot qui a tourné deux films sur elle (« La mort du jeune aviateur anglais » et « Ecrire »). Marguerite Duras parle de sa sensibilité à la voix, comme celle de Delphine Seyrig. Elle parle de l’émotion que lui procurent les chants yiddish, de son « envahissement » par les crimes allemands. Elle se déclare « anti-allemande » et le proclame depuis quelque temps. Michel Field la questionne sur ses parti pris politiques, sur son appartenance au PCF (7 ans) où elle s’est inscrite le lendemain du retour de De Gaulle. Elle est « mitterrandienne », comme « il » est « durassien ». L’entretien se termine par quelques mots sur la situation de l’histoire aujourd’hui et sur l’importance pour Marguerite Duras de voir son livre rencontrer le public.

395.

N. Nel, op. cit.

396.

A l’occasion de la sortie de son dernier roman L'Amant, Marguerite Duras est l’unique invitée d’Apostrophes. Elle répond en direct aux questions de Bernard Pivot, sur le succès populaire inattendu de L'Amant : 100000 exemplaires vendus en 4 semaines. Succès critique aussi après 10 ans de silence, le prix Goncourt raté de peu pour Barrage contre le Pacifique en raison de son appartenance au parti communiste. Elle évoque sa rencontre à 15 ans avec l’amant chinois milliardaire ainsi que les rapports entretenus avec sa mère et ses deux frères, sauvages. Bernard Pivot lit un extrait sur la rencontre avec L'Amant - leur liaison scandaleuse, ce qui les rapproche : son attirance, elle est créole ; sa mise en quarantaine, le racisme ambiant. C’est sur le bateau du retour qu'elle prend conscience qu'elle l’a aimé. Elle parle de sa mère, institutrice, personnage central de Un Barrage contre le Pacifique seule avec trois enfants, qui perd ses économies dans l’achat d’une concession, sa folie. Elle a pardonné à son frère aîné, ce voyou, à cette mère adorée dont elle a eu honte. Elle ne leur a pas dit cette liaison. De retour en France, la mère a refondé une école pour sortir de la misère. Elle lèguera tout au fils aîné. Elle parle ensuite de l’écriture, du style mais aussi de la nécessité douloureuse d’écrire. Sartre n’a jamais ressenti cette urgence de l’écriture, il n’est qu’un « moraliste ». Elle évoque ses personnages fictifs ou réels, son visage ravagé. Autres thèmes abordés : son alcoolisme (les cures de désintoxication et les rechutes...), l’automobile symbole de la richesse inaccessible, les cris, le corps, le désir, la politique de la seconde guerre mondiale à Amnesty international en passant par François Mitterrand « seigneurial ». L’émission se termine sur l’évocation de l’enfance, la peur vécue dans cet environnement sauvage et retrouvée pendant la guerre, le manque de la mère à son premier séjour en France, puis la place de « l’amant ».

397.

Lectures pour tous, « Le Ravissement de Lola V. Stein », entretien avec Pierre Dumayet, réalisation Jean Prat, INA, 15 avril 1964

398.

Selon les renseignements fournis par l’INA, nous mentionnons que la première émission télévisée où l’on parle de Marguerite Duras remonte au 1958, « Le Masque et la Plume », sur RTF, le 23 octobre. Il s’agit d’une émission publique présentée par Michel Polac et Françoise-Régis Bastide, consacrée à la littérature, avec les critiques Nicole Vedres, Alain Bosquet, Guy Dumur, Luc Estang et François Nourissier. Sont abordés plusieurs livres, dont deux recueils de poèmes de Raymond Queneau, L’Empire céleste de Françoise Mallet-Joris, Un balcon en forêt de Julien Gracq etc. et Les Petits Chevaux de Tarquinia de Marguerite Duras. Luc Estang qualifie à l’occasion Duras de « vrai écrivain ». Enfin, la dernière émission télévisée consacrée à Marguerite Duras, stockée dans les archives de l’INA, date depuis le 10 septembre 2003. Il s’agit de Des mots de minuit, sur A2 : « Michael Lonsdale à propos de Marguerite Duras ».

399.

N. Nel, op. cit.

400.

Les Lieux de Marguerite Duras, production INA, réalisation Michelle Porte, TF1, les 3 et 10 mai 1976

401.

Savannah Bay, c’est toi, production INA, réalisation Michelle Porte, 1984

402.

Apostrophes, entretien avec Bernard Pivot, Antenne 2, 28 sept. 1984

403.

Océaniques, rencontre Marguerite Duras-Jean-Luc Godard, émission de Colette Fellous et Pierre-André Boutang, réalisation Jean-Didier Verhaeghe, FR3, 28 décembre 1987

404.

Au-delà des pages, quatre heures d’entretiens sur TF1, 26 juin, 3, 10 et 17 juillet 1988

405.

Lire et écrire, sur Arte, La 7, F comme Fiction/ La Sept, oct. 1992 (réactions 30 ans après à propos du Ravissement de Lol. V. Stein) et Lire et écrire, Arte, La 7, F comme Fiction/ La Sept, octobre 1992, réactions à propos du Vice-consul 30 ans après

406.

« Marguerite Duras », Un siècle d’écrivains,, émission réalisée par Caroline Chmpetier, sur France 3, 18 septembre 1996

407.

N. Nel, « L’identité télévisuelle de Marguerite Duras (1964-1996) », in Lire Duras, Claude Burgelin et Pierre de Gaulmyn, Presses Universitaires de Lyon, coll. « Lire » dirigée par Serge Gaubert, 2000, p. 589

408.

Ibid.

409.

« Les hommes d’aujourd’hui ne sont pas assez féminins », interview de M. Duras accordée à Pierre Hahn, in Lettres et médecins, mars 1964

410.

Cf. N. Nel, op. cit.

411.

« Marguerite Duras raconte l’histoire de sa maison », entretien avec Dominique Noguez, in Elle, n° 2029 du 26 novembre 1984

412.

Cf. N. Nel, op. cit.

413.

N. Nel, op. cit.

414.

Cf. N. Nel, op. cit., p. 590

415.

Cf. Alain Remond à propos du tournage du film Des Journées entières dans les arbres, « Marguerite Duras tourne Des journées entières dans les arbres », document non-daté des archives Gallimard, dossier de presse Duras

416.

Ibid.

417.

Cf. N. Nel, op. cit., p. 590