Dans un premier temps, nous allons réaliser le portrait du lecteur élogieux, à partir des mots-clés évoqués par celui-ci à l’égard des livres durassiens. En même temps, nous allons voir si Duras répond à l’horizon d’attente de la réception ou bien si c’est le lecteur qui change selon la production littéraire de l’écrivain. Qu’est-ce qu’on apprécie chez Duras ? Qu’est-ce qui la rend aimée, enviée et célèbre ?
Entre 1955 et 1962, la série « des grands défis », comme nous l’avons intitulée, Duras jouit la plupart du temps des éloges de ses lecteurs. Des vingt-six articles de presse dont nous disposons, datant de cette période, sept seulement formulent des reproches. Les autres saluent unanimement la (re)naissance de Duras. A propos du livre Le Square (1955, Gallimard), la critique parle d’une certaine « insignifiance » de l’œuvre, qui plaît quand même. L’accueil est pourtant partagé entre des mots au superlatif et quelques avis moins élogieux. Queneau est à nouveau le lecteur privilégié du livre. Il a lui-même révélé quelques lignes de ce que fut alors son rapport de lecture :
‘« Il y a chez Marguerite Duras un souci de renouvellement, d’approfondissement de son art qui est peu commun chez les femmes écrivains. Peut-être a-t-elle été influencée ici par Compton-Burnett ; on pense aussi à certaines tendances du théâtre contemporain (Beckett, Ionesco et même Tardieu) mais ce sont moins des influences proprement dites que des prétextes à la recherche de sa propre originalité. » 1212 ’Qu’est-ce qu’on apprécie au juste chez Duras pendant cette période ? Gabriel Venaissin 1213 dégage judicieusement le tragique très humain qui se cache dans ce qu’on peut appeler cette « littérature de l’insignifiance ». On y voit un livre tragique et antique en quelque sorte. De ces deux personnages qui ne se disent rien on va tout apprendre. En réalité, ils philosophent. Ils inventent la philosophie. Le critique joue avec le mot « réalité » se situant consciemment ou non aux confins ambigus d’un double regard que Duras commence à jeter sur la vie à travers l’écriture :
‘« Leur absence de la réalité a pour signification la prise en charge de toute réalité ; leur triviale aliénation se gorge, de minute en minute, de ce problème de la vie qui n’a de solution que dans la mort, et le vertige nous gagne à seulement fréquenter le ronron de leurs dialogues…Le Square, englué en apparence dans la non-existence et dans la non-littérature, est le plus beau roman de la révolution de la conscience… » 1214 . ’Par ailleurs, une autre voix de la critique s’élève à travers un article très élogieux écrit à propos de ce livre. Il s’agit de Maurice Blanchot, qui cherche les plus beaux mots pour contrebalancer quelque part l’accueil défavorable de ce livre :
‘« Ecoutons les deux simples voix du Square : elles ne cherchent pas l’accord, à la manière des paroles discutantes qui vont de preuve en preuve pour se rencontrer par le simple jeu de la cohérence. Cherchent-elles même la compréhension définitive qui, par la reconnaissance mutuelle, les apaiserait ? But trop lointain ? Peut-être ne cherchent-elles qu’à parler, usant de ce dernier pouvoir que le hasard leur donne et dont il n’est pas sûr qu’il leur appartienne toujours. C’est cette ultime ressource, faible et menacée qui, dès les premiers mots, prête au simple entretien son caractère de gravité. Nous sentons que pour ces deux personnes, pour l’une surtout, ce qu’il faut d’espace, et d’air, et de possibilité pour parler, est très près d’être épuisé. Et peut-être, si c’est bien d’un dialogue qu’il s’agit, en trouvons nous le premier trait dans l’approche de cette menace limite en deçà de laquelle le mutisme et la violence fermeront l’être. Il faut être le dos au mur pour commencer de parler avec quelqu’un. » 1215 ’Une autre caractéristique du lecteur de cette série littéraire, à part les mots appartenant au registre très élogieux, est la recontextualisationdes livres pour l’interprétation des symboles ou le permanent retour aux textes antécédents, qui, on va constater, n’est pas sans risques. Dans cette perspective, Gaëtan Picon parle de Moderato Cantabile comme d’un « beau récit qui ne prend toute sa force que si nous le situons dans l’œuvre de son auteur déjà considérable, et à la fois vigoureuse, intelligente, émouvante : l’une des premières d’aujourd’hui. » 1216 Pourquoi ce besoin d’ancrage dans l’œuvre ? S’il s’agit d’un thuriféraire durassien, et c’est le cas de ce critique, l’on peut croire qu’il considère nécessaire cette opération pour défendre ou prendre appui pour une nouvelle tendance de l’écrivain, qui a depuis toujours peut-être été annoncée ou prévisible, dans l’œuvre antécédente. Dans l’autre sens, pour un détracteur, l’appel au contexte peut se faire pour argumenter sa déception vis-à-vis de son horizon d’attente insatisfait, tout en montrant que ce qui précède est bien meilleur que le nouveau livre. Les exemples dans ce domaine sont nombreux chez Duras et on va en parler plus loin lorsqu’on fera le portrait du lecteur déçu. A ce même propos, un article qui fait l’accueil en 1962 à L’Après-midi de Monsieur Andesmas, laisse lire que les « cent vingt pages du livre ne sont rien si l’on ne connaît pas l’œuvre entière de Marguerite Duras, puisqu’on ne peut pas juger cet écrivain sur un seul de ses ouvrages » 1217 . En effet, le critique dit qu’il faut avoir en mémoire la poésie extraordinaire des récits qui composent Des Journées entières …, l’absurde précision des dialogues du Square, le lent désespoir presque ironique du Barrage, la virtuosité descriptive de certaines scènes dans Moderato, pour comprendre, pour excuser ou pour admirer le dépouillement presque insupportable de cet Après-midi de Monsieur Andesmas.
Revenons quelques instants à Gaëtan Picon. La réception est encore fragile, timide. On ne fait pas encore totalement confiance à Duras. On n’a pas encore le courage de dire ouvertement son talent naissant. On ressent le besoin de s’expliquer, de trouver des arguments pour soutenir le nouveau Duras, surtout que Moderato Cantabile marque une nouvelle entreprise durassienne en matière d’édition : elle change d’éditeur. En effet, on fait remarquer que dans Moderato, non seulement ce qui se passe n’est pas dit, mais qu’il ne se passe peut-être rien. Les mots utilisés par le critique prouvent, avec le conditionnel présent, une certaine hésitation, pour ne pas dire incertitude, à l’égard de la nouvelle production littéraire de Duras :
‘« On hésite à parler d’un art de la suggestion, car il n’est pas certain que cet art prenne appui sur une réalité que le romancier connaîtrait, et qu’il dissimulerait au lecteur à seule fin de la contraindre à l’initiative. Sans doute faut-il dire que cette réalité n’existe pas, du moins que son existence est problématique » 1218 . ’On apprécie dans ce récit « plein de son vide, sourd de son silence » l’art d’une suggestion sans objet. Rien ne se passe, en effet, et ce livre en annonce d’autres à venir où le prétexte est le fait-divers le plus dramatique : un crime passionnel. Dans un bar, un homme a tué une femme. Mais ce geste n’existe que par la fascination qu’il exerce sur un autre homme et sur une autre femme qui n’en sont même pas les témoins directs et qui n’en approchent la signification qu’en l’inventant à travers l’étrange rêverie qui les possède désormais. Arrachés par le cri d’agonie à l’ordre quotidien, à cette « vie tranquille » où il n’y a plus de respiration pour l’espoir, l’homme et la femme se rencontrent chaque jour dans le bar du crime. Ils se parlent et revivent peut-être la même légende de la mort et de l’amour. « Peut-être… », car le romancier même ne sait rien de tout ce qui se passe entre Chauvin et Anne Desbaresdes. Tout est suspendu à l’attente d’un événement qui ne vient pas et qui est la part à construire par le lecteur. Quant au récit précédent, Gaëtan Picon dit qu’il témoigne de la même technique et repose sur la même situation. Un homme et une jeune fille se rencontrent sur un banc d’un jardin public un samedi après-midi. Leur dialogue fait toute la matière du livre. « Rien ne vient vraiment à la lumière et ce qui bouge dans l’ombre, on ne sait si c’est l’espoir ou le désespoir, l’amour possible ou l’ineffaçable solitude. » 1219 Se retrouveront-ils le samedi suivant ? On l’ignore, comme on ignore tout de l’avenir des complices du Moderato Cantabile.
A cet état de la création durassienne, la réception semble enchantée par l’impression dominante que crée Duras de posséder l’ « art de la tenir en haleine avec des silences et des vides. » 1220 « Du Duras » commence à prendre forme, puisque tout au long de l’œuvre à venir, la réception sera confrontée aux mêmes « stylographèmes » qui tournent autour du rien. Les mots qu’on lit dans cet article critique caractérisent tout ce que Duras produit par la suite :
‘« Nul récit ne relie entre eux les gestes accomplis, les paroles prononcées pour leur donner un sens autre que celui de leur manifestation ; rien ne survole les personnages pour leur donner un passé, une conscience ou un destin. Sur ce vide, dans ce désert, l’art seul se détache, attire sur lui la lumière : admirable ce pouvoir d’animer cette immobilité, de faire parler ce silence » 1221 . ’Gaëtan Picon voit dans le ton des voix du Square et de Moderato Cantabile, la tristesse et le pathétique ambigus de la voix durassienne qui le font croire à une « remarquable prouesse technique » qu’on ne peut pas reconnaître sans avoir une « expérience globale » des autres romans de Duras. Il est fort convaincu que les autres livres offrent les signes et les symboles des récits présents.
Ce que le critique essaie d’offrir au lecteur dans son article, c’est la clé de l’écriture durassienne. Sa démarche a tous les mérites d’une introduction à l’œuvre de Duras pour au moins deux raisons. Premièrement parce qu’il renvoie le lecteur au texte, à la lecture. Deuxièmement, parce qu’il ne prétend pas avoir une vision interprétative définitive sur les signes et les symboles qu’on retrouve dans les livres durassiens. Au contraire, il attire l’attention du lecteur sur la difficulté qu’on peut avoir dans l’interprétation des récits, car « nous risquons de prendre pour un signe précis et déchiffrable ce qui est pure manifestation de l’ambiguïté ou même de l’irréalité, et, à l’inverse, de prendre pour de simples prétextes, pour des détails sans intérêt ce qui est signe personnel chargé de sens ». 1222
Pourquoi cette méfiance de la critique aux accents de prophétie devant une œuvre en mouvement ? Gaëtan Picon, attire l’attention, par exemple, sur l’enfant qui accompagne l’héroïne dans Moderato et qui ne parvient pas à apprendre ce morceau de musique. Le critique se contente de mentionner les livres où l’enfant apparaît, sans lui attribuer un sens. Il y a aussi un enfant dans Le Square et dans Les Petits chevaux de Tarquinia. Mais le rapport mère-fille, mère-fils existe aussi dans Un Barrage contre le Pacifique et dans Des Journées entières dans les arbres. Il faut prendre garde aussi à cette « vedette » qui passe, pendant la leçon de piano, dans le cadre de la fenêtre ouverte : le bateau, dans Les Petits chevaux de Tarquinia, et dans Le Marin de Gibraltar, qui est, selon Picon, le symbole de la liberté, de l’évasion. Il faut prendre garde au vin dont Anne ne parvient pas à se rassasier, puisque l’alcool accompagne toute l’œuvre de Marguerite Duras. Il ne faut pas négliger le symbole du repas bourgeois ou non, où Anne fait scandale, mais qu’on rencontre aussi dans Un Barrage ou bien dans Des Journées entières dans les arbres. Pourtant le signe essentiel de tous les livres de Duras est selon Picon celui de la rencontre : rencontre des deux personnages anonymes du Square, de Sara et de l’homme au bateau, des deux clients de l’hôtel dans Les Chantiers, même de Mme Dodin et du balayeur, la rencontre mythique des deux personnages de Moderato sur le lieu même du sacrifice etcelle d’Anna et du narrateur après celle (peut-être imaginaire) d’Anna et du Marin de Gibraltar. Bref, on attire l’attention du lecteur sur le fait qu’on assiste chez Duras à l’ouverture d’une technique à laquelle l’auteur va rester fidèle. Selon Gaëtan Picon, il s’agit d’une écriture autour de l’attente, du désir, jamais de l’accomplissement, que le lecteur ne peut appréhender qu’avec le souvenir des autres œuvres.
Le principal souci des critiques pendant cette période va visiblement plutôt dans la direction d’une permanente invitation à la lecture des œuvres. Ceci nous fait penser à une insuffisance de cet acte parmi les lecteurs. Un article datant de 1960 1223 , qui fait une analyse rétrospective des livres durassiens parus avant cette date s’avère très élogieux et attire l’attention sur le fait que Duras n’est pas assez connue du public. En effet, on peut lire dans l’article que pour la plupart des lecteurs, Marguerite Duras est l’auteur du scénario et des dialogues du film d’Alain Resnais « Hiroshima, mon amour », mais qu’« on ignore trop les romans, les nouvelles, le théâtre de cet écrivain que je situerais volontiers en tête de sa génération » 1224 . Cet article, très élogieux d’ailleurs, risque cependant de décevoir le lecteur par la direction que prend l’analyse qui porte exclusivement sur un parallélisme établi entre l’œuvre durassienne et différents philosophes ou écrivains. L’impression qui se dégage est celle d’un enthousiasme exacerbé à trouver ce que Duras a tellement détesté : les influences des autres sur une œuvre qui se veut singulière. L’auteur de l’article souligne le fait que de roman en roman, de nouvelle en nouvelle, la communication orale envahit les récits durassiens. Il ne s’arrête pas là et établit une correspondance entre l’œuvre de Duras, plus précisément Moderato Cantabile et Hiroshima, et la philosophie de Heidegger au niveau des situations-limites :
‘« Des Petits chevaux de Tarquinia, frémissant d’une sourde angoisse, à Moderato Cantabile, dont la tension est quasi insupportable, Duras donnerait progressivement la préférence à des situations-limites, à ces moments de l’existence où la communication verbale entre deux êtres les révèle véritablement l’un à l’autre et chacun à soi. » 1225 ’En effet, par cette analyse des influences ou des ressemblances dans l’œuvre durassienne, ce lecteur s’inscrit dans la tendance générale de la réception des tout premiers Duras, lorsqu’on parlait presque exclusivement des influences d’Hemingway, de Vittorini, de Racine etc. sur l’œuvre de Duras. Cet article a pourtant le mérite d’inviter à la lecture, voire à une relecture des œuvres : « Il faut lire, il faut relire Moderato Cantabile, ce chef-d’œuvre du roman court, pour constater le parallélisme de la démarche de son auteur et de celle des hommes de science et des philosophes d’aujourd’hui. » 1226
D’ailleurs, il faudrait remarquer que Moderato Cantabile jouit d’un nombre conséquent d’articles parus dans la presse. De tous les articles dont nous disposons, neuf sont élogieux, voire très élogieux, et quatre sont écrits par des lecteurs déçus. L’accueil se fait impérativement par référence aux autres œuvres durassiennes. En 1962, Henri Hell, dans un article qui parle de l’univers romanesque de Duras 1227 , recontextualise Moderato Cantabile et parle de Hiroshima en disant que c’est avec ce film que le nom de Duras a atteint le grand public. C’est d’ailleurs vrai, puisque le film déchaîne les passions au Festival de Cannes l’année suivante : il est retiré de la sélection officielle française « de peur que sa contestation de la bombe atomique ne froisse les Américains ». 1228 Projeté hors festival, il crée l’événement et obtient des critiques enthousiastes. Ce succès est confirmé l’année suivante lors de sa diffusion à l’étranger : en France et au-delà, Hiroshima mon amour fait connaître le nom de Marguerite Duras à un vaste public, qui excède très largement, comme le note Sophie Bogaert, le cercle de son lectorat habituel.
Avant de s’attaquer à Moderato, Henri Hell parle aussi des influences de François Mauriacet de Julien Green sur Les Impudents ou La Vie tranquille. Bien plus, dit le critique, « rien de cela n’est très neuf, ne l’est plus pour qui a lu Proust, Joyce, Virginia Woolf. Marguerite Duras n’innove pas en cette matière. Ce qu’elle dit, d’autres l’ont dit avant elle. Mais ce qui lui appartient en propre, et de plus en plus, c’est sa manière de dire, le style de son art de plus en plus rigoureux et sans concession. » 1229 On évoque ensuite les grands thèmes de l’ennui, de l’amour impossible, de l’attente et du dialogue ambigu qu’on retrouve dans les romans durassiens à partir du premier livre jusqu’à Moderato en passant par Des Journées entières… et L’Après-midi de Monsieur Andesmas. Bien plus, écrit Henri Hell, sans se douter peut-être que dans l’avenir Duras va encore pousser jusqu’aux extrêmes son écriture sur le silence et le vide, Moderato atteint une sorte de plénitude par son art du creux où les silences et les vides sont plus éloquents que ce qui est dit. Sa conclusion ? Duras écrit avec Moderato l’ « un des plus beaux récits classiques français qu’on ait lus depuis longtemps ». 1230
Ces superlatifs de la critique littéraire, qui sont autant de clichés d’expression, abondent tout au long de l’histoire des lectures durassiennes et surtout pour cette série littéraire. On parle de Moderato comme d’un livre rare qui ouvre au milieu du désert du roman une voie nouvelle puisque, comme l’écrit Claude Delmont, « nous sommes las de ces romans où, à la mode d’Hemingway, un sous-roman psychologique s’écoule sous les propos de tables et l’énumération des gestes quotidiens, convenu comme une rivière canalisée. Nous sommes las également du symbolisme imité de Kafka qui donne, au mieux, Beckett et La Peste dans le pire des cas » 1231 . Ce qu’on aime chez le nouveau Duras, c’est ce livre où les gestes et les mots, en même temps qu’ils « ne veulent dire que ce qu’ils disent, dénoncent immédiatement leur transcendance ». On situe ce livre dans le voisinage de Proust.
Parallèlement, on remarque le plaisir que trouve le lecteur de cette période à découvrir des livres écrits différemment. Il est temps que la littérature change, que l’ennui de la critique à l’égard des livres traditionnels se dissipe. Duras encourage par ses livres ce désir, cette soif de la critique. La grande brièveté de Moderato ne gêne pas. Elle surprend par son pouvoir de retenir longtemps le lecteur entre ses pages :
‘« D’où vient qu’étant court ce récit nous retienne longtemps. Non qu’il nous donne l’impression de n’en plus finir : c’est nous qui n’en finissons pas avec lui. D’où que se tenant semblait-il à la superficie des êtres, il nous paraisse aller si profond ? » 1232 ’
Duras . Romans, cinéma, théâtre. Un parcours 1943-1993, « Quarto », Gallimard, 1997, p. 458
Combat, 6 octobre 1955
Ibid.
NRF, n° 39, 1er mars 1956, cité dans Duras . Romans, cinéma, théâtre. Un parcours 1943-1993, « Quarto », Gallimard, 1997, p. 458
Gaëtan Picon, Mercvriale (Mercure de France), « Lettres. Les romans de Marguerite Duras », 1er juin 1958, p. 309
« Les écrivains malades du sommeil », Lettres, 20/2/62 (archives Gallimard, auteur inconnu)
Gaëtan Picon, op. cit..
Ibid., p. 310
Ibid.
Ibid.
Ibid., p. 311
Extrait de la Revue Générale Belge, 19 avril 1960, « La méditation de Marguerite Duras » par Serge Young, pp. 133-136
Ibid.
Ibid.
Ibid.
« L’univers romanesque de Marguerite Duras », par Henri Hell, in Moderato Cantabile, de Marguerite Duras,éd.10/18, 1962, suivi d’un dossier de presse, pp. 119-133
Sophie Bogaert, Dossier de presse. « Le Ravissement de Lol V. Stein » et « Vice-Consul» de Marguerite Duras, Editions de l’IMEC et 10/18, 2006, p. 38
Ibid.
Ibid.
« Une voie nouvelle » par Claude Delmont, L’Heure de Paris, 20/02/58
Le Figaro, « L’étouffant univers de Marguerite Duras » par Claude Mauriac, 12/03/58