« Les bijoux de Marguerite » : petits, mais précieux

Si dans les années 60 il arrive que la critique reproche à Duras le nombre réduit de pages de certains de ses livres, dans les années 80 la réception en fait essentiellement un sujet d’éloge. Des livres tels que L’Homme assis dans le couloir 1415 , L’Homme atlantique 1416 ou bien La Maladie de la mort 1417 pourraient être, à en lire le titre d’un article paru en 1981 et qui traite des derniers Duras de l’époque, les plus beaux « bijoux » de l’écrivain, pour parler aussi bien de la forme que du contenu. Pourtant, il y en a qui voient dans ce retour en force de Duras vers l’écriture une raison de se moquer toujours un peu de cette manière d’écrire « sans lever la plume » 1418 . Le fait que les livres arrivent les uns après les autres serait dû à la forme courte que revêtent les derniers Duras. En 1993, à l’occasion de la publication de Ecrire, la presse dit qu’à ses quatre-vingts ans Duras « séduit et estomaque ses lecteurs au rythme d’un livre par an » 1419 .

Même si l’écrivain jouit de l’appréciation de la critique pendant cette dernière période de sa création, les éloges sont toujours mêlés à des critiques sinon dures du moins légèrement empreintes d’ironie. C’est le cas des articles critiques qui évoquent la brièveté de quelques-uns des livres durassiens, ainsi que le « talent » que Duras a à faire de « nouvelles robes avec ses anciennes » 1420 , ce qui donne l’impression de « déjà-vu, déjà lu ». En outre, une partie de ces livres courts sont classés dans la catégorie « porno comme tout ». Jean-François Josselin voit dans L’Homme assis dans le couloir un texte « parfait », quoique à peine une nouvelle qui parle de choses inconvenables, « mais bien plaisantes » que font un homme et une femme. Duras indécente ? Jean-François Josselin précise :

‘« Pour un peu on dirait que c’est génial. Et pourtant on ne peut pas le dire. Mystère et boule de gomme : qu’est-ce qui nous empêche donc d’admirer totalement Marguerite Duras ? Peut-être le fait qu’elle s’admire tant elle-même… » 1421

Ce critique insiste avec ironie sur le fait que Marguerite Duras est une personne de bon sens et d’économie. Pas de gaspillage, elle sait à merveille accommoder les restes. Le plus simple de ses écrits devient dans une même foulée, scénario et pièce de théâtre comme d’ailleurs ses films peuvent se métamorphoser en roman ou en dramatique radiophonique. Le moindre article trouve sa place dans l’articulation de ses œuvres complètes. Le sommet est atteint, selon Josselin, dans Outside : une chronique commandée par Vogue sur la Callas, en 1965, chronique dont la version originale a été perdue et que Duras publie dans la traduction américaine qui en a été faite… Bref, assure ce critique, la postérité n’a qu’à bien se tenir. Il ne manquera pas un articulet ni un brouillon dans l’inventaire Duras… Est-ce la raison pour laquelle on a toujours un peu envie de se moquer de Duras ? Se prend-elle tellement au sérieux qu’elle devient sa propre caricature, comme l’écrit Josselin ? Il faut peut-être préciser que les « plus beaux bijoux » durassiens sont, selon ce critique, les livres précédents, à l’exemple de Dix heures et demie du soir en été, L’après- midi de monsieur Andesmas, Le Ravissement de Lol V. Stein et en aucun cas L’Homme assis dans le couloir.

Est-ce la longueur du texte qui gêne ? Ou peut-être que les nouveaux lieux d’écriture qui rejoignent la sexualité et l’érotisme choquent, intriguent, fascinent, font peur. Duras revient à la table d’écriture complètement autre. Elle va écrire désormais surtout sur l’absence de l’amour et la tristesse sexuelle, sur l’impossible amour et la maladie de la mort, sur les couleurs de l’amour : le noir tout simplement, qui est positif (la chambre noire), le bleu des yeux et de la mer ou le violet des tempêtes et du corps de la femme immobile, qui se retrouvent tous dans L’Homme assis dans le couloir, La Maladie de la mort, L’Homme atlantique, Les Yeux bleus cheveux noirs etc. Jean-François Josselin s’en déclare plus que choqué : ravi 1422 . Dans un entretien de Duras avec Aliette Armel, l’interlocutrice de l’écrivain suggère l’idée que le lecteur est gêné lors de la lecture de ces livres par l’idée du sexe et surtout par la présence de l’auteur dans le livre, déguisée derrière le « je » 1423 . Duras ne nie pas d’ailleurs ce qu’on lui dit à ce sujet. Quant à l’inflation d’obscur et de noir dans ces derniers textes durassiens, on peut bien remarquer qu’elle est associée à l’écriture érotique. L’amour entre la jeune fille et le Chinois, dans L’Amant,se fait dans la semi obscurité, la consommation supposée de l’acte incestueux entre Ernesto et sa sœur, dans La Pluie d’été, a lieu toujours la nuit, mais surtout L’Homme atlantique, livre déclaration d’amour, est pour l’essentiel tramé de noir. Noir au sein duquel surgissent quelques rares images : un pan de mer, un visage, un pan de mer encore. C’est ce que la critique apprécie chez Duras comme « littérature du noir » et la « mort de l’image » 1424 .

Revenons aux critiques portant sur les dimensions des livres. Jean-François Vilar, qui avoue son étonnement devant le nombre de pages tellement réduit de L’Homme assis dans le couloir (trente pages selon ses décomptes, quoiqu’il s’agisse de trente-cinq en tout), dit que ce texte laisse le lecteur « pantois » 1425 . Une lettre ? se demande-t-il. S’il s’agit d’une lettre, tout est explicable. En effet, dans le numéro spécial des Cahiers du cinéma qui lui est consacré en juin 1980 1426 , Duras fait quelques précisions sur la genèse du texte. Elle dit qu’un premier état de L’Homme assis dans le couloir a été écrit à l’époque de Hiroshima mon amour (1960). Ce texte, dit Duras, « je l’ai écrit pour quelqu’un ». Qui ? Peu importe, vraiment. Ecrire, « je ne crois pas que ce soit du travail », dit-elle, « vous écrire, c’est écrire ». Le cheminement du texte est curieux. Le premier état en a été vendu, dix ans après avoir été écrit, à un éditeur anglais qui l’a traduit et publié, sans faire figurer la signature de Duras. Il semble avoir connu un type de circulation semblable à celui des livres pornos, selon Vilar. Mais ce texte « pour quelqu’un », Duras voulait le réécrire. Il y avait sans doute cette phrase troublante : « Tu me tues, tu me fais du bien » qui figure dans la première version et qui reste à l’œuvre.

Duras donne à la scène qu’elle raconte un prolongement infini dans l’immensité d’un paysage, avec le fleuve, la mer… Ensuite il y a l’amour, qui était absent dans le premier état du texte, comme le note Jean-François Vilar dans son article 1427 . « J’entends que la femme parle à l’homme – je t’aime – j’entends qu’il lui répond qu’il sait – Oui. » 1428 Les amants ne sont pas seuls. Quelqu’un les voit, les raconte – qui d’autre que Duras ? disent les journaux – et noue une étrange complicité avec la femme : « Nous entendons que l’on marche, elle et moi. Qu’il a bougé. Qu’il est sorti du couloir » 1429 . Duras qui raconte, qui invente, qui écrit une lettre. C’est alors l’épanouissement, si l’on peut dire, de cette écriture de la dévastation, qui crée une histoire en même temps qu’elle la ruine définitivement : « Je vois que l’homme pleure couché sur la femme. Je ne vois rien d’elle que l’immobilité. Je l’ignore, je ne sais rien, je ne sais pas si elle dort. » 1430

L’Homme assis dans le couloir est un « tout petit livre de trente-cinq pages, avec de grandes marges et de gros caractères », mais il est le plus fort, l’un des plus beaux textes que Marguerite Duras ait écrit depuis Moderato cantabile, apprécie à son tour Michel Nuridsany, du Figaro 1431 . « Un superbe Duras », voici le titre de son article plein de superlatifs adressés à l’auteur du livre qui déploie l’une des plus belles scènes d’amour physiques qu’il lui ait jamais été donné à lire. Mais d’où vient l’idée d’écrire une lettre ? En effet, ce livre-lettre est adressé au lecteur, quel qu’il soit. Duras pense plus que jamais à lui, à l’inconnu qui lira un jour son œuvre. Elle confie à Aliette Armel que l’écrit est un lieu d’égarement où elle arrive grâce à une pulsion intérieure qui vient d’un « ailleurs qui serait ma nature, ma vraie maison, là où je me tiens sans la connaître » 1432 . Ce lieu d’égarement est l’écrit par excellence, sa seule certitude. Quand elle commence un livre, elle dit qu’elle est dans ce livre et non pas ailleurs. L’espace, le large, la liberté sont pour Duras le livre. Ce qu’elle met dedans est sa liberté, son intime, le double de soi-même. C’est pourquoi il est parfois difficile de comprendre ou d’accepter ce qu’elle écrit, puisque chacun à sa propre manière de percevoir la liberté et de la vivre : « Ce que je suis en train de vous dire est difficile à exprimer. (Rires) » 1433 .

L’écriture adressée de Marguerite Duras vient, comme l’explique d’ailleurs l’écrivain, d’une autre région que celle de la parole orale. C’est une parole d’une autre personne qui, elle, ne parle pas. Mais il lui arrive, avoue Duras, d’empiéter sur le silence de la parole écrite sans plus pouvoir s’arrêter, ce qui est toujours un peu inquiétant, à son avis. Ensuite, l’écrivain se sent mal, triste. Cette parole s’adresse à une seule personne, que l’écrivain n’a peut-être jamais vue, qu’elle ne connaît pas et qui lit. C’est une expérience particulière, qui, selon ses dires, peut difficilement se comprendre. Duras se propose d’écrire des livres qui « agissent sur le lecteur », comme elle dit de L’Amant. Cette action sur le lecteur, au sens où la lecture ne le laisse pas indifférent, n’est pas sans risque. L’écrivain assume tout et fait des livres incompréhensibles, mais qui sont lus. Duras se sent libre d’écrire sur tout avec la conviction qu’on la lira toujours, comme elle le dit à Aliette Armel.

Par ailleurs, la presse parle assez souvent dans les années 80 du « poids effrayant » 1434 des textes durassiens et on demande dans les interviews à l’écrivain de s’expliquer. C’est ce qu’elle fait dans l’entretien avec Yann Andréa publié par Libération. Duras confirme que depuis quelque temps elle écrit très court, puisqu’elle se retrouve, en écrivant, dans un « périmètre carcéral, presque irrespirable, tout se voit, tout s’entend » 1435 . Elle avoue avoir mis deux mois pour écrire La Maladie de la mort. Tout un travail a été fait pour réduire le livre à sa maigreur, à ce qu’il n’était plus possible d’effacer. Le livre devrait se lire en une fois, d’ « une lecture sans répit aucun, passer entièrement au lecteur sans retombée aucune, et peut-être même le blesser par sa brièveté apparente ». 1436

A l’époque, on reconnaît un texte de Duras de loin, grâce surtout à ce degré extrême de dépouillement, de dénuement. C’est du moins ce qu’on peut lire dans les pages de Le Point qui a eu peut-être la malheureuse idée de demander à Duras où elle veut en venir avec ce genre de textes. On reste sur sa faim, car Duras répond : « Je vais vers l’inconnaissable ». 1437 D’ailleurs, comme l’écrit Le Figaro, à l’occasion de la parution du livre Yann Andréa Steiner, en 1992, vers la fin de la vie de l’écrivain, « le royaume de Duras, c’est l’inconnu » 1438 . La seule conclusion qui s’impose et qu’on peut lire aussi dans Le Point est :

‘« Duras est Duras. Entière. Exigeante. Passionnée. Aventurière. Solitaire. Pareille à ses héroïnes. Son dernier texte fait beaucoup penser au cinéma. On sent que Duras a onze films derrière elle » 1439 . ’

La Maladie de la mort n’échappe pas non plus aux remarques de la presse visant le nombre réduit de pages. Ce livre « n’a qu’une soixantaine de pages écrites gros » 1440 , constate Bertrand Poirot-Delpech, un de ses confrères qui écrit dans le journal Le Mondeetqui ne se montre guère compréhensif envers Duras, ne manquant aucune occasion de la critiquer. Il fait pourtant une exception avec La Douleur, lorsque ses propos sont miraculeusement doux et touchants. A son avis, dans La Maladie de la mort, Duras ne raconte rien de racontable, sinon « l’instant d’un couple : elle, réduite à une flaque blanche dans les draps tandis que la mer, dehors, monte ; lui, debout, penaud dans la chambre, du moins on le présume – à chaque lecteur d’imaginer la scène puisque l’auteur, comme en voix off, le désigne par le pronom vous… Et malgré ce laconisme évasif, tout un destin se scelle sous nos yeux, en nous. » 1441

René de Ceccatty de TEL 1442 s’avère encore moins indulgent envers ce livre. A son avis, c’est inacceptable pour un écrivain de la notoriété de Duras d’écrire de si mauvais livres. Duras a habitué le lecteur à des textes clamés par elle « forts et définitifs ». Ce critique se rappelle le beau texte de Hiroshima, mais aussi qu’elle a tourné India Song ou qu’elle a écrit et tourné Des Journées entières dans les arbres. Or, « savoir que Duras est le plus grand écrivain français actuel et que le plus grand écrivain français actuel écrit de mauvais livres, c’est un paradoxe qui ne se console pas de relectures. » 1443 Bien plus, Duras, méchante, crève d’orgueil et de génie en disant : « Un écrivain se tue à chaque ligne de sa vie ou bien il n’écrit pas » 1444 . Ce critique exploite un peu abusivement cette célèbre citation de l’écrivain et dit que Duras se tue donc elle-même en écrivant La Maladie de la mort.

Ses livres courts sont tout de même des textes auxquels Duras se sent la plus attachée. Bien plus, elle en affirme publiquement son amour pour diminuer l’effet de tuerie que la critique exerce sur eux :

‘« J’aime beaucoup La Maladie et j’aime beaucoup La Pute de la côte normande et j’aime beaucoup Emily L. Emily L., je l’aime autant que L’Homme atlantique et que L’été 80. Sans doute parce qu’on a essayé de les assassiner. J’ai le sentiment que le livre est vivant, qu’il est de la chair même d’Emily, innocent de la même façon qu’elle, qui ne sait pas le mal qu’on lui veut » 1445 . ’

Duras considère comme secondaire toute référence autobiographique dans les livres, en disant que le retour à l’histoire personnelle serait une régression. Elle dit en même temps qu’elle est présente en égale mesure dans tous ses livres par l’implication dans l’acte d’écrire de son double « je ». Jamais Duras n’a été aussi acharnée contre la critique et aussi motivée à défendre ses livres. Pourquoi Duras ressent-elle ce besoin de parler pour sa défense  et de protéger ses livres ? A-t-on vraiment essayé de les tuer ? Le fait de s’acharner contre les dimensions des livres en pourrait être une preuve ? Ou bien comment réagir devant le reproche que la critique fait à Duras sur le « recyclage » thématique qui serait à l’origine de l’abondance littéraire de l’écrivain ? C’est d’ailleurs un reproche dont Duras ressent l’amertume tout au long de sa carrière d’écrivain, jusqu’à L’Amant et au-delà.

Que dire encore du silence de la critique vis-à-vis de La Maladie de la mort, que l’écrivain déplore dans l’entretien avec Aliette Armel ? On apprend d’ailleurs, par l’entretien que Duras accorde à Libération via Yann Andréa en 1983, que la critique officielle ne parle plus guère de ses livres. Elle croit que c’est pourtant juste. Son propos est choquant, mais elle réagit ainsi pour défier la critique. Elle dit qu’il arrive un moment dans la vie d’un auteur où la critique abandonne son rôle puisqu’elle « ne saurait pas comment dire si elle avait à dire, qu’elle est inutile ». Duras n’a plus peur de la critique. Elle contre-attaque. Le rôle de la critique est aussi, à son avis, d’abandonner les auteurs à eux-mêmes. « Quel soulagement ! », s’exclame-t-elle.

‘« Ecoutez, les dernières critiques sur moi, c’était sur L’Amour, par P.-H. Simon, un éreintement, sur Le Ravissement, par Piatier, un éreintement. Après ça a été le silence. » 1446

Il s’agit d’un silence bienfaisant, car Duras apprend à vivre hors de la perspective de la critique, de « cette tutelle superfétatoire », comme elle-même l’appelle. Il ne faut croire qu’en soi et écrire. « Ils sont un peu durs les critiques, non ? » lui demande dans un entretien Lucien Attoun, en 1981. « Ça m’est égal » 1447 , répond désormais Duras, pour marquer son indépendance et son détachement de tout ce que représente une écriture contrainte par la peur d’une mauvaise réception qui caractérise éventuellement les écrivains en train d’être reconnus, mais pas elle. Duras n’est plus dans cette peur. Elle se rappelle que Piatier aurait refusé de publier le Ravissement et que P.-H. Simon aurait refusé L’Amour. Quant à Poirot-Delpech, il n’aurait rien lu :

‘« S’il n’y avait eu que ces trois là, je n’aurais pas été publiée. La critique littéraire est souvent en retard. Piatier date de la machine à vapeur, Simon de la loi Combes 1448 , Poirot-Delpech de l’hypocondrie générale des hommes » 1449 . ’

Ces mots expriment l’indignation de l’écrivain face à la réception qu’on lui fait à l’époque. Le fait de se voir mal comprise par la critique la motive cependant à continuer d’écrire. Poirot-Delpecha pour une fois raison de dire que Duras doit savoir pourtant que « les silences et les embarras à son sujet sont autant d’éloges » 1450 . C’est vrai que les articles critiques dans la presse sur les livres durassiens n’abondent pas pendant la première partie des années 80. Si la presse écrit tout de même sur Duras, elle le fait pour apprécier son retour à l’écriture, pour critiquer parfois l’aspect réduit des livres, ainsi que pour mettre en exergue le « talent » que Duras a à s’autopasticher. En accordant peu d’importance aux avis de la critique, Duras poursuit l’impulsion intérieure et écrit en 1984 le livre qui la rend célèbre et mondiale : L’Amant, tout en compensant ainsi le manque d’intérêt de l’institution médiatique à son égard.

Notes
1415.

Marguerite Duras, L’Homme assis dans le couloir, Minuit, 1980

1416.

Marguerite Duras, L’Homme atlantique, Minuit, 1982

1417.

Marguerite Duras, La Maladie de la mort, Minuit, 1982

1418.

« Les bijoux de Marguerite », par Jean-François Josselin, Le Nouvel Observateur, 13 avril 1981

1419.

Journal de Genève et Gazette de Lausanne, Samedi Littéraire, les 18 et 19 septembre 1993, p. 19, “Ecrire l’épouvante d’écrire”, par Isabelle Martin

1420.

« Les bijoux de Marguerite », par Jean-François Josselin, Le Nouvel Observateur, 13 avril 1981

1421.

Ibid.

1422.

Jean-François Josselin, op. cit.

1423.

« J’ai vécu le réel comme un mythe », propos recueillis par Aliette Armel, Magazine littéraire, juin 1990, p. 18

1424.

La Nouvelle Revue Française, n° 356, 1er septembre 1982, par Florence de Mèredieu, p. 157

1425.

Jean-François Vilar, « Vous écrire tout le temps, toujours ça, voyez… » dans Rouge, n° 924, du 21 juin au 26 juin 1980 

1426.

Il s’agit des Yeux verts.

1427.

Jean-François Vilar, op. cit.

1428.

Marguerite Duras, L’Homme assis dans le couloir, Minuit, 1980, p. 23

1429.

Ibid., p. 14

1430.

Ibid., p. 36

1431.

« Un superbe Duras », par Michel Nuridsany, Le Figaro du 9 mai 1980

1432.

« J’ai vécu le réel comme un mythe », propos recueillis par Aliette Armel, Magazine littéraire, juin 1990, p. 19

1433.

Ibid.

1434.

« Marguerite Duras : C’est fou c’que j’peux t’aimer », Libération, 4 janvier 1983

1435.

Ibid.

1436.

Ibid.

1437.

Le Point, n° 538, 10 janvier 1983, “La Duras”, par Jacques-Pierre Amette

1438.

Le Figaro, 29 juin 1992, « L’Amant de Trouville » par Patrick Grainville

1439.

Le Point, op. cit.

1440.

Le Monde, 14 janvier 1983, « Scénariste ou écrivain », par Bertrand Poirot-Delpech

1441.

Ibid.

1442.

TEL, n° 16 des 20-26 janvier 1983

1443.

Ibid.

1444.

Libération, 4 janvier 1983

1445.

« J’ai vécu le réel comme un mythe », propos recueillis par Aliette Armel, Magazine littéraire, juin 1990, p. 19

1446.

Libération, 4 janvier 1983

1447.

Le Figaro, 13 mars 1981, “ Duras frappe trios coups”, par Lucien Attoun

1448.

La Loi du 9 décembre 1905 dite de Séparation des Eglises et de l’Etat, initiée par Emile Combes

1449.

« Marguerite Duras : C’est fou c’que j’peux t’aimer », Libération, 4 janvier 1983

1450.

Le Monde, 14 janvier 1983