Nos résultats montrent que 78% des agriculteurs ne communiquent pas par le réseau Internet. L’accès à ce réseau aurait été une solution aux contraintes liées à l’isolement de l’agriculteur et son éloignement des sources d’information ; il peut être également un excellent outil d’échange, de mutualisation et de travail collaboratif rassemblant l’ensemble des acteurs du secteur : agriculteurs, chercheurs, vulgarisateurs, fournisseurs…
Nous avons voulu analyser l’impact du réseau Internet sur l’origine des connaissances en production animale, il s’avère que l’agriculteur ne procède pas à la recherche de l’information sur le réseau Internet pour ceux qui ont répondu avoir recours à ce réseau d’information. Pour acquérir les connaissances, ils font plutôt appel aux documents, qui représentent dans le tableau un effectif nettement supérieur de « 14 ». Le niveau d’instruction est un paramètre important, car ce sont les agriculteurs qui ont un bon niveau d’instruction qui surfent sur Internet, d’où l’effectif nettement supérieur de « 16 » qui correspond à la formation, cette même catégorie fait appel également au document comme source principale d’acquisition des connaissances
Negroponte. Internet et développement rural. (Page consultée le 15 octobre 2005)
Adresse URL. http://www..globenet.org/archives/web/2006/www.globenet.org/horizon-local/shelter/