Ce document est diffusé sous le contrat Creative Commons « Paternité – pas de modification » : : vous êtes libre de le reproduire, de le distribuer et de le communiquer au public à condition d’en mentionner le nom de l’auteur et de ne pas le modifier, le transformer ni l’adapter.
Mes remerciements auraient pu figurer en page 278, dans la partie intitulée « Question de méthode : faire parler et écouter ». Car je veux d’abord remercier celles et ceux qui ont eu la patience, la curiosité ou l’amitié d’écouter et de discuter mon travail, même dans ses formes les plus intuitives et improbables.
Ma gratitude va donc en premier lieu à François Laplantine, pour ces années d’écoute, pour son soutien, son aide et sa confiance, pour sa présence et sa disponibilité aux moments importants. Pour la fécondité toujours renouvelée de sa pensée.
Avec beaucoup de tendresse et de reconnaissance, je remercie mon ami Philippe Somnolet. Disciple de François Laplantine comme moi, il a investi – avec rigueur et extravagance – le rôle de muse. De nos discussions nocturnes sont sorties des pages dont je ne saurais dire qui, de lui ou de moi, en est l’auteur.
Un énorme merci aux relecteurs et aux correcteurs qui ont essuyé les premières épreuves : Maíra, Anne-Marie et Jean-Sylvain, Anne, Xavier, Marianne, Paulo, João, André, Ana-Maria, Marie, Julien.
Je remercie aussi : Marie, José et Martin, Guilherme Simões Gomes Jr et Matilde Maria Almeida Melo de la PUC-SP, Malu, Cris, Franck et Béné, Jakie, Van, Pau, Edna, Paulo, Mag, Patrice et Julie, Jacqueline, les participants aux ateliers des doctorants. Angelo, Gia, Skan et Anne-Sophie, Mathieu. Alexis et Youssef. Ma famille et mes proches.
À la ténacité et au courage du collectif « vacataire précaire », et en particulier à Alice, Cécile, Azam, José, Audrey, Jean-Pierre.
À Jean-Baptiste Martin, Directeur du département d’Anthropologie, Directeur du CREA, puis Doyen de la faculté d’Anthropologie et de Sociologie, qui m’a formé à l’enseignement. Merci aussi aux secrétaires de la faculté, et plus particulièrement à Françoise, Denise et Annie. Merci à Aïcha.
Aux étudiants, et notamment aux promotions 2005, 2006, 2007 du séminaire d’« étude de cas » en anthropologie de la nature. Aux étudiants du séminaire « anthropologie écologique et de l’environnement » de la promotion 2008.
Mais, comme les choses ne se passent jamais simplement, de bonne guerre, je ne remercie pas : les personnes qui ont donné au statut de vacataire ses contours indécents ; quelques voleurs d’appareils photo ; les contrats de travail bidon que le « monde professionnel » réserve aux « étudiants ».
À mes parents, pour leur soutien constant.
Je remercie la Région Rhône-Alpes qui m’a accordé une bourse de mobilité internationale pour réaliser mon séjour de recherche au Brésil.