À la fin des années 1940, l’auto-construction développée par les groupes « castors » ne correspond pas dans ses choix à ceux du MRU, pour lequel le logement collectif doit l’emporter sur la maison individuelle262. Pourtant, comme ailleurs, le soutien des autorités civiles et religieuses ne s’est jamais démenti. L’appartenance de nombreux « castors » à des mouvements d’Église (Chronique sociale, JOC) a sans doute favorisé cette reconnaissance.
Danièle Voldman, La reconstruction des villes françaises…, op. cit., p. 369.