La région lyonnaise : une croissance périphérique

Si la ville de Lyon connaît une diminution de sa population entre 1936 et 1999, les communes de sa périphérie présentent de forts taux d’accroissement. Il s’agit en particulier des communes de l’Est comme Saint-Priest, Genas, Chassieu ou Saint-Laurent-de-Mure (les taux record sont atteints à Meyzieu, Corbas et Mions), mais aussi des communes du sud de l’agglomération bordant le Rhône. L’Ouest lyonnais connaît des taux de croissance relativement moins importants.