La région valentinoise : l’expansion de l’aire d’urbanisation

Contrairement à celle de Lyon, la population de la ville de Valence ne décroît pas entre 1936 et 1999. Cependant, les taux de croissance les plus forts concernent les communes de la périphérie valentinoise, marquant l’expansion spatiale de l’aire d’urbanisation de la ville. En rive gauche, ce sont les communes de la périphérie valentinoise. Elles se répartissent en arc de cercle autour de la ville-centre : de Saint-Marcel-lès-Valence au nord à Portes-lès-Valence au sud. En rive droite du Rhône face au centre urbain de Valence, la commune de Guilherand-Granges connaît le taux le plus important (152%). Au sud de Valence, il faut noter les taux de croissance importants de deux communes : Charmes et Saint-Georges-les-Bains ; ces dernières bénéficient des retombées économiques et sociales du barrage C.N.R. de Charmes.