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À mes parents,
À ceux qui savent combien ils comptent pour moi,
En premier lieu, je tiens à remercier monsieur Christian Sorrel, professeur d’histoire contemporaine à l’université de Lyon II, qui a accepté de diriger cette thèse. Je lui suis reconnaissante pour sa disponibilité, son aide, ses conseils et sa compréhension.
Je tiens à remercier messieurs Francis Python, professeur d’histoire contemporaine à l’Université de Fribourg (Suisse) et Yvon Tranvouez, professeur d’histoire contemporaine à celle de Bretagne Occidentale, pour avoir accepté d’être les rapporteurs de ce travail. Je remercie également messieurs Étienne Fouilloux, professeur honoraire de l’Université de Lyon II, Xavier Boniface, maître de conférences HDR à l’université du Littoral – Côte d’Opale et Bruno Dumons, chargé de recherches au CNRS, pour avoir accepté de faire partie du jury.
Qu’il me soit permis de remercier le personnel des archives départementales de la Haute-Savoie, où mes recherches ont débuté et pour qui je reste « miss rose ». En premier lieu, mes remerciements s’adressent à leur directeur, monsieur Yves Kinossian, qui a toujours fait preuve d’une grande gentillesse à mon égard, portant un intérêt constant à ma recherche, et m’aidant parfois dans celle-ci.
Le personnel a avancé avec moi dans les méandres de l’histoire du diocèse. Merci à ceux qui étaient à la banque de prêt au temps où l’informatique n’avait pas encore sa place en salle de lecture. Ils ont vécu, presque en direct, les découvertes, parfois surprenantes, que je faisais dans les nombreux cartons dépouillés.
En particulier, merci à Jean-Michel pour les petits clins d’œil à la numismatique ; à Alain pour le bouquet de fleurs auquel j’ai souvent pensé ; à Christian pour sa bonne humeur ; à Yves et Philippe pour leurs mots toujours sympathiques. Il me faut également remercier les présidents de salle qui ont toujours fait preuve de beaucoup de compréhension à mon égard et qui m’ont apporté leur aide selon leurs spécialités respectives. Merci à Lucille pour ses conseils iconographiques ; à Nicole pour m’avoir éclairée sur les chemins parfois sinueux de la justice ; à Evelyne et à Myriam pour m’avoir ouvert les voies de la série W et pour m’avoir aidée à ne pas me perdre dans les méandres des attentats, meurtres et autres documents de la période 1939-1945 ; à Laurent pour ses conseils sur la presse et l’enseignement ; à Danièle, qui a toujours répondu à mes questions avec rapidité et simplicité sur la série V. Merci à Georgette, Gabrielle, Denise, Stéphanie, pour leur sourire et leur bonne humeur qui, le matin, donnent le courage d’affronter la masse de documents à lire, et qui, en fin de journée, font oublier les cartons dépouillés sans succès. Un merci particulier à Gabrielle, pour ses conseils et sa relecture ; et à Julien qui m’a aidée par ses conseils et nos discussions. Je n’oublie pas non plus Mylène, Nathalie, Aude, Bertrand, Michel et Frédéric.
Ma recherche s’est ensuite poursuivie aux archives diocésaines. Ma reconnaissance va à Michel Robillot, qui m’a permis de les consulter et à Édith Chouard, qui a toujours répondu à mes questions, qui a tout fait pour faciliter ma recherche et retrouver des documents parfois presque introuvables ! Comment passer sous silence sa bonne humeur, sa disponibilité, sa rapidité pour répondre à mes nombreux messages. Je remercie également tout le personnel de la maison diocésaine et de la bibliothèque qui ont toujours pris connaissance de l’avancée de mes travaux et avec qui j’ai eu plaisir à partager des discussions. Merci en particulier, pour leur accueil et pour leur gentillesse, à Thérèse, Régine, Véronique, Catherine et toutes celles et tous ceux que j’y ai croisés avec plaisir.
J’adresse ma reconnaissance à toutes les personnes, prêtres ou militants d’action catholique, qui ont accepté de répondre à mes questions et qui m’ont apporté leur aide. En particulier, aux abbés Birraux, Chatelain, Philippe et à ceux qui m’ont apporté leur témoignage sur la Milice, soit parce qu’ils en ont été membres, soit parce qu’ils avaient un frère ou père engagés dans cette organisation.
Je remercie également l’archiviste du diocèse de Chartres, qui a eu la gentillesse de me communiquer les documents relatifs à Mgr Harscoüet.
Je remercie aussi les archivistes privés qui m’ont reçu, en particulier le père Morel des Missionnaires de Saint-François-de-Sales, frère Jean Henri de l’abbaye de Tamié, Sœur Marie-Patricia Burns (†) des Visitandines.
Merci également aux personnes de l’Académie Salésienne qui m’accueillaient avec gentillesse et disponibilité à leur permanence.
Merci à Chantal Mieusset de la bibliothèque universitaire d’Annecy-le-Vieux, qui a toujours fait preuve de rapidité et d’efficacité pour le prêt entre bibliothèques. À Lionel Bignon, du service ERAD de l’université de Lyon II, qui a toujours donné une solution à mes questions, parfois délicates.
Merci à tous ceux qui m’ont apporté une aide ponctuelle. Je pense notamment à Jean-Pierre Chantin, pour son aide sur les associations cultuelles ; à Jacques Golliet, pour m’avoir communiqué la lettre adressée par le chanoine Pasquier à ses élèves en 1940 ; à Jean-René Bachelet qui m’a proposé son aide pour la consultation des archives de sa paroisse ; à Jean Demange, avec qui j’ai eu plaisir à partager d’intéressantes conversations et qui a mis à ma disposition certains ouvrages de sa bibliothèque.
Faire une thèse, c’est presque se couper du monde, tant la recherche est prenante. Toutefois, j’ai eu la chance de croiser un certain nombre de personnes qui m’ont permis de sortir de cette « tour d’ivoire ».
En premier lieu, merci à Nicole, Sylvie et Alain qui ont partagé pendant plus de deux ans mes repas quotidiens, me faisant ainsi retourner dans le monde des vivants ! Merci à Sébastien, et à toute l’équipe des « Lutins Gourmands », à la fois pour les bons plats, mais aussi pour la bonne humeur et les petits mots toujours sympathiques.
Merci à Julien pour les discussions intéressantes que nous avons eu sur Paul Tapponnier et son époque, même si certaines de nos questions resteront pour toujours sans réponse ! À tous les petits conseils que nous nous donnions mutuellement pour essayer de faire le tour de ce fameux 52 J qui regorge de tant d’informations, et puis pour les petits articles notés dans la presse que nous nous échangions. Merci également à Thierry d’avoir partagé nos conversations et nos échanges, et de nous avoir fait découvrir un peu plus l’univers de celle qui devait être la « Der des Der ».
Merci à monsieur Raymond et à tous les lecteurs des archives que j’ai pu croiser et avec qui j’ai partagé des moments sympathiques.
Merci à monsieur Fabrice Delrieux, maître de conférences à l’Université de Savoie, pour ses conseils concernant Adobe Illustrator.
Merci à tous ceux qui ont pris de mes nouvelles, de celles de l’avancée de mon travail et qui ont été là jusqu’à la fin, je pense entre autres à Sylvie A., Isabelle, Elvire, Christelle, Delphine D., Julie A., Aurélie G., Josette, Bruno, Gilles, Jimmy, Laurent, Sébastien L., Pierre, Stéphane, Jérôme. Merci à Marie, Pierrick, et Damien R. dont j’ai croisé le chemin.
Merci à Robert et Jeannine, que j’ai toujours plaisir à voir et qui m’ont accueilli avec gentillesse.
J’ai une pensée particulière pour deux personnes qui auraient voulu lire ce travail mais qui sont parties trop tôt. Merci à Claude Anjot, le fils du capitaine, qui a toujours œuvré pour la mémoire de son père et qui a toujours fait preuve d’une grande gentillesse à mon égard. Il n’a pas hésité à m’adresser des documents pour ma recherche. Je pense également à l’abbé Maxime Birraux, qui a été plus qu’un témoin dans mon travail de recherches. Qu’il me soit permis de le remercier pour ce qu’il a fait pour moi, pour les discussions que nous avons partagées et pour son aide. Il est des rencontres qui marquent pour toute une vie, celle de l’abbé Birraux en fait partie, comme celle de l’abbé Philippe et comme celles qui suivent.
Épicure écrivait que « ce n’est pas tant l’intervention de nos amis qui nous aide mais le fait que nous pourrons toujours compter sur eux ». Cette citation aurait pu être écrite pour Aurélie B., dont l’amitié n’est plus à prouver. Merci pour les longues conversations que nous avons eu, pour avoir été une oreille attentionnée, pour la relecture, le soutien, les conseils et tout le reste. En un mot : merci d’avoir été là. Bien entendu, j’associe Damien D. à cet hommage à ma meilleure amie et je leur souhaite beaucoup de bonheur.
Un merci particulier à Thibault dont la rencontre m’a apportée beaucoup, tout comme les discussions et les pauses, à la fois culturelle, sportive, et gastronomique. Merci également pour les mails, toujours plein d’humour, qui m’ont apporté quasi quotidiennement une note joyeuse. Merci d’avoir pris le temps de me lire, malgré un emploi du temps largement chargé ! Je fais miens les propos du poète lorsqu’il écrit qu’il « y a dans la vie des instants de bonheur qu’aucun poème ne peut résumer ».
Le plus grand merci et la plus grande reconnaissance vont naturellement à mes parents sans qui cette thèse n’aurait pas pu voir le jour. Je les remercie de m’avoir aidée, encouragée et d’avoir supporté mes sautes d’humeur ! Ils sont à l’origine de ma passion pour l’histoire et ils m’ont permis de toujours l’approfondir plus et cela depuis près de deux décennies. J’associe à cette reconnaissance mon grand-père qui m’a lui aussi toujours encouragée et qui m’a aussi peut-être portée vers l’histoire en me racontant ses souvenirs de prisonnier de guerre. Seconde Guerre mondiale qui a été l’objet de mes recherches en maîtrise puis en Master II recherches. Merci également à Mimi pour son soutien quotidien, à Titemous et à tous les autres.
À tous ceux qui n’ont eu de cesse de m’encourager, de me soutenir, et qui ont été là jusqu’au bout de ce travail, je redis une nouvelle fois, Merci.
ACA : Assemblée des Cardinaux et Archevêques
ACE : Action Catholique de l’Enfance
ACJF : Association Catholique de la Jeunesse Française
ACG : Action Catholique Générale
ACGH : Action Catholique Générale des Hommes
ACGF : Action Catholique Générale des Femmes
ACO : Action Catholique Ouvrière
APEL : Association des Parents d’élèves de l’Enseignement Libre
AS : Armée Secrète
BCA : Bataillon de Chasseurs Alpins
CDL : Comité Départemental de Libération
CFTC : Confédération Française des Travailleurs Chrétiens
CGT : Confédération Générale des Travailleurs
CLN : Comité de Libération Nationale
CPMI : Centre Pastoral des Missions Intérieures
CSP : Catégorie socio-professionnelle
EAC : Études Agricoles par Correspondance
FCTP : Formation Chrétienne des Touts Petits
FFI : Forces Françaises de l’Intérieur
FNAC : Fédération Nationale d’Action Catholique
FNC : Fédération Nationale Catholique
FTP : Franc-Tireur et Partisan
GMR : Groupe Mobile de Réserve
JAC : Jeunesse Agricole Chrétienne
JACF: Jeunesse Agricole Chrétienne Féminine
JEC : Jeunesse Étudiante Chrétienne
JECF: Jeunesse Étudiante Chrétienne Féminine
JIC : Jeunesse Indépendante Chrétienne
JICF : Jeunesse Indépendante Chrétienne Féminine
JOC : Jeunesse Ouvrière Chrétienne
JOCF : Jeunesse Ouvrière Chrétienne Féminine
LFACF : Ligue Féminine d’Action Catholique Française
LFF: Ligue des Femmes Françaises
LOC : Ligue Ouvrière Catholique
LPF : Ligue Patriotique des Françaises
MFR : Mouvement Familial Rural
MPF : Mouvement Populaire des Familles
MRP : Mouvement Républicain Populaire
PDP : Parti Démocrate Populaire
RI : Régiment d’Infanterie
STO : Service du Travail Obligatoire
UD : Union Diocésaine
UDH : Union Diocésaine des Hommes