Rapidement, Mgr du Bois de La Villerabel revoit les cadres où doit se développer la vie diocésaine. Il s’occupe des archidiaconés et des archiprêtrés, établissant de nouvelles limites. Il crée de nouvelles paroisses ou modifie les limites de certaines. Sans doute le fait-il de façon à pouvoir mieux répondre aux attentes des fidèles, et aux besoins d’une nouvelle urbanisation du diocèse. Les vicaires généraux semblent jouer un rôle plus important que sous l’épiscopat précédent, même si, depuis celui de Mgr Isoard, ils se partageaient l’administration diocésaine. Un petit parallèle entre les deux hommes peut être souligné. Tous deux ont marqué le diocèse, tous deux ont porté un intérêt particulier aux vocations, notamment aux petits séminaristes. Le premier en créant l’œuvre de Saint-André, le second en créant un nouveau petit séminaire destiné à accueillir les vocations chablaisiennes. Tous deux ont créé un externat catholique pour les enfants d’Annecy. Tous deux ont laissé l’impression d’évêques dynamiques, chacun à sa façon. Tous deux s’occupent dès leur arrivée de revoir l’organisation diocésaine, et tous deux convoquent les prêtres pour un synode diocésain. Ils s’intéressent à la formation des clercs après leur sortie du séminaire, Mgr de La Villerabel instituant les récollections sacerdotales en 19271964.
En janvier 1922, l’Ordinaire procède à un nouveau découpage du diocèse. Il crée trois archidiaconés1965 : Annecy1966, Bonneville-Saint-Julien1967 et Thonon-les-Bains1968, tous placés sous l’autorité d’un vicaire général. Le premier est placé sous l’autorité du Prévôt, le chanoine Rebord. Le second sous celle du chanoine Moccand ; enfin le chanoine Morand est responsable du dernier archidiaconé. Après avoir opéré à ce nouveau découpage, l’évêque « très désireux de faire au plus tôt connaissance avec[…] les archiprêtres et de s’entretenir avec eux des besoins de leurs archiprêtrés » souhaite les rencontrer rapidement. Il leur demande de se rendre à l’Évêché entre le 7 et le 12 février pour ceux des archidiaconés d’Annecy et de Bonneville, et du 14 au 19 février pour les autres1969. En mars 1924, en cas d’urgence, les prêtres pourront joindre l’évêché par téléphone aux « heures et jours où les bureaux sont ouverts »1970. Dans les années Trente, répondant à la croissance démographique et aux changements urbanistiques, il crée de nouvelles paroisses, qui toujours s’accompagnent de la construction d’une nouvelle maison de Dieu, où la générosité des fidèles est souvent sollicitée.
Mgr de La Villerabel met également en place la commission diocésaine d’architecture religieuse et de liturgie et chant sacré1971. Elle se divise en deux sections, celle d’architecture, dont la vice-présidence est assurée par le chanoine Rebord, qui s’occupera de la construction des édifices nouveaux. Celle de la liturgie et du chant sacré revient naturellement à Mgr Harscoüet1972.
Attachant un intérêt particulier aux vocations et à l’œuvre de Saint-André, l’évêque assure les associés de tout son dévouement, leur adressant sa plus affectueuse bénédiction1973, le 30 novembre 1921, jour de la fête patronale de l’œuvre. Dès son arrivée, il lance le projet d’ouverture d’un petit séminaire à Thonon afin de combler le vide laissé par la disparition du collège d’Évian. L’ouverture de l’établissement se fait en avril 1923, soit moins d’un an et demi plus tard. Il lance également le projet de recouvrer la possession du grand séminaire. Soucieux des vocations et du problème que cela pose au clergé, il instaure en 1924 les journées de Saint-André, durant lesquelles des quêtes sont effectuées exclusivement pour l’association des vocations. C’est également lui qui donne une église à la colonie italienne d’Annecy, l’installant dans l’église Saint-François1974.
Afin de favoriser la diffusion des journaux catholiques, il charge les comités paroissiaux de la Ligue des femmes françaises de s’occuper de cette question. Pour aider cette œuvre si nécessaire, il institue en juillet 1925 la journée diocésaine de la presse1975 qui se tient annuellement, dans chaque paroisse, le quatrième dimanche d’août1976. Une quête « spécialement annoncée et recommandée » est effectuée ce jour précis et le produit est ensuite envoyé à la chancellerie. L’évêque souhaite que le prône de la grand’Messe soit l’occasion pour les prêtres de rappeler à leurs paroissiens l’importance de la presse catholique, et le devoir qui s’impose à eux de « soutenir, de répandre et de lire les journaux soucieux de défendre la doctrine et les intérêts de la sainte Église, notre Mère »1977. En 1926, il constitue un comité diocésain de la presse1978, dont l’un des buts est de gérer les fonds obtenus lors de la journée de la presse. Avec le temps, il tend à devenir un lien entre les différents groupes qui se dotent de journaux spécifiques.
S’intéressant à l’éducation religieuse des enfants, et pour obéir aux intentions de l’Église qui « prescrivent un examen pour la réception au Sacrement de Confirmation »1979, l’évêque demande que les enfants1980 soient interrogés sur le catéchisme avant de recevoir la Confirmation. Pour les citadins, cet examen est fait par les vicaires généraux, « avant l’admission à la première Communion dans les paroisses et établissements d’instruction publique »1981. C’est également sous son épiscopat qu’Annecy se dote d’un collège catholique. Il n’est pas étonnant de savoir qu’il est placé sous la protection de saint Michel1982.
En décembre 1921, alors qu’il n’est pas encore installé à Annecy, Mgr du Bois de La Villerabel constitue un « comité d’organisation des pèlerinages à Notre-Dame de Lourdes »1983. En 1936, il crée l’Hospitalité diocésaine de Notre-Dame de Lourdes. Ce comité s’occupe de recruter des volontaires pour être brancardiers ou aider les malades se rendant aux pieds de la Vierge de Massabielle. Les membres les plus dévoués reçoivent une médaille. En février 1922, l’évêque invite ses diocésains à se rendre aux pieds de Notre-Dame de Lourdes afin d’honorer le vœu fait par l’épiscopat français en 1916. Le diocèse s’y rend début mai 1922. C’est par une lettre pastorale du 11 février qu’il annonce à ses diocésains la tenue d’un pèlerinage votif de la Haute-Savoie à Lourdes1984. Un comité diocésain pour le pèlerinage est constitué, son but est d’organiser au mieux la manifestation ; trois prêtres se répartissent par archidiaconés, la réception de la correspondance1985. Une « application diocésaine des pèlerinages de Lourdes »1986 est sans doute la consécration à la Vierge. C’est le dimanche 17 avril 1927, jour de Pâques, que le diocèse est « solennellement consacré à la Très Sainte Vierge par une cérémonie spéciale »1987. L’évêque demande à ses prêtres de veiller à ce que chaque famille soit représentée au moins par un de ses membres à cette consécration1988. Il souhaite également que les paroissiens se préparent à cette cérémonie et qu’ils s’y associent « de tout cœur, afin que cette manifestation collective du Diocèse tout entier attire sur tout le pays les plus abondantes bénédictions de Dieu et lui mérite une protection très spéciale de la part de la Très Sainte Vierge »1989. Les enfants y sont particulièrement associés. Ils doivent être « très spécialement » préparés soit dans les écoles libres, soit dans les catéchismes paroissiaux et ils doivent prier à cette grande intention tout le temps de Carême1990. Enfin, Mgr du Bois de la Villerabel souhaiterait que toutes les familles bénéficient de l’image de la Très Sainte Vierge ; il demande que la distribution soit faite par les dames de la Ligue des femmes françaises1991. La consécration du diocèse à Marie semble réjouir les étudiants savoyards qui se trouvent alors au séminaire de Rome, comme l’abbé Bublens, qui a « une douce […] joie […] à apprendre la consécration du diocèse à Marie et à [s’] y unir »1992.
Pour remercier les fidèles de leur engagement dans la vie de l’Église, mais aussi sans doute pour susciter de nouvelles vocations, l’évêque institue, en 1926, la « Croix de saint François de Sales » ou médaille de la reconnaissance diocésaine. Cette médaille, suspendue à un ruban moiré blanc et vert, porte en son centre le portrait de saint François de Sales. Elle est de deux types : d’argent ou d’or. La première est destinée à ceux qui « compteront un minimum de vingt-cinq années de bons et loyaux services à l’église, dans les œuvres de la paroisse ou du diocèse »1993. La seconde est offerte à ceux qui ont servi pendant quarante années. Il n’hésite pas non plus à demander que certains fidèles soient distingués de la médaille de Saint-Grégoire-le-Grand, tel est le cas de Léon Lalanne, homme engagé depuis longtemps dans les œuvres diocésaines, qui est fait commandeur de cet ordre en 19291994. Pour toutes ces distinctions, il appartient aux prêtres de faire la demande auprès de l’évêque pour l’obtention de la médaille par leurs paroissiens1995.
Le dernier synode diocésain s’était tenu sous la présidence de Mgr Isoard du 3 au 5 septembre 1889. C’est pour étudier la « refonte de ces Constitutions »1996 qu’en mars 19241997 Mgr du Bois de La Villerabel nomme une commission synodale1998. Celle-ci élabore un projet qui est soumis à l’examen de tous les prêtres du diocèse qui se réunissent en synode les 13 et 14 avril 1926 à la cathédrale. Cette refonte se fait « dans l’esprit et selon la lettre du Nouveau « Codex Juris canonici », [et elle est] une œuvre délicate et considérable »1999. Les confréries du Très Saint-Sacrement (canon 711 § 2) et du Saint-Rosaire sont obligatoires partout. Les curés auront soin d’établir et de maintenir, là où elles sont érigées, les autres confréries qui leur paraîtraient utiles à leur paroisse2000. La confrérie de la « doctrine chrétienne » est rendue obligatoire dans les paroisses par le Codex Juris Canonici (canon 711 § 2). C’est donc pour répondre « à cette injonction » que les prêtres doivent faire appel, surtout dans les paroisses les plus peuplées, aux membres de la Ligue des femmes françaises, « qu’ils établiront en confréries locales, comme “catéchistes volontaires” »2001. Ils les détermineront, partout où ce sera possible, à subir les examens du « brevet d’instruction religieuse » institué dans le diocèse. L’article 299 rappelle que les enfants doivent passer un examen avant de se présenter à la communion solennelle. Celui-ci se fait par le passage de l’élève devant un jury composé de son curé et de deux autres prêtres étrangers à la paroisse2002.
À propos du denier du clergé, il est clairement rappelé que tous les fidèles « sont obligés, en conscience, de verser une cotisation proportionnée à leurs ressources »2003. L’article 345 stipule que seuls ceux qui versent leurs oboles ont le droit « aux honneurs qui rehaussent et classent les cérémonies de baptêmes, communions solennelles, mariages et funérailles »2004.
De nouveaux articles concernant les œuvres apparaissent. Il est alors rappelé que les « curés donneront une attention toute particulière aux œuvres de la Jeunesse catholique, de l’Association des Pères de Famille et de la Ligue des Femmes Françaises »2005. Ces trois associations « sont obligatoires dans chaque paroisse et y forment le cadre des “Unions paroissiales” dont la fédération constitue l’Union diocésaine pour la défense des intérêts religieux »2006. Le 27 février 1926, un feuillet de deux pages intitulé « l’Union diocésaine pour la défense des intérêts religieux »2007 est publié à dix mille exemplaires par l’imprimerie Abry2008. S’il s’agit des statuts de l’union, nous pouvons supposer qu’un exemplaire est adressé à chaque membre de l’association. En juillet 1926, l’Union relève onze mille quatre-vingt-une cotisations.
Concernant la formation des prêtres, le synode de 1926 instaure les examens décennaux destinés à vérifier les connaissances des prêtres après leur sortie du séminaire. Cela oblige ainsi les prêtres à continuer leur travail pour être toujours meilleurs. Nous retrouvons ici ce que Mgr Isoard souhaitait de la part de son clergé : qu’il soit bien formé.
En mars 1936, un nouveau synode est convoqué par Mgr de La Villerabel. Les principales modifications portent sur les œuvres, qui sont plus nombreuses et différentes de celles de 1926. Au cours de ce synode, il est décidé que « “l’action catholique” f[er]ait intégralement partie du ministère ecclésiastique dans la paroisse »2009. D’ailleurs, un cours d’action catholique s’ouvre au grand séminaire pour permettre aux futurs de prêtres de se préparer à l’aumônerie et à l’action de ces mouvements. Toute création d’œuvre par un prêtre est soumise à l’approbation de l’autorité diocésaine (art. 120). L’article 121 rappelle que les « œuvres de pure piété et “d’action catholique”, ainsi que les “Journées” annuelles prescrites par l’autorité diocésaine » sont obligatoires et doivent être établies dans toutes les paroisses2010.
Comme nous avons pu le constater, le diocèse prend avec son jeune évêque un nouvel élan et nous pouvons nous demander si un arbre bien planté, cultivé avec amour et savoir-faire, dans une bonne terre, doit donner des fruits de choix. Il est patent que celui de la vie chrétienne planté par Mgr de La Villerabel donne de bons fruits. S’étant toujours préoccupé autant de la formation des prêtres que de celles des laïcs, son diocèse donne de nombreux prêtres, retardant ainsi la « crise des vocations », mais il donne également de bons militants d’action catholique.
24 octobre 1927. Lettre Circulaire de Mgr l’Évêque d’Annecy au clergé de son diocèse pour lui annoncer l’institution des récollections sacerdotales, 8 pages.
Revue du Diocèse d’Annecy, n° 5, 3 février 1922, p. 58. Nous pouvons être surpris de constater que le vicaire général Harscoüet n’est pas présent dans la liste des archidiacres. Son évêque a préféré ne pas lui donner cette charge afin qu’il n’ait pas les soucis liés à cette fonction.
Il comprend les archiprêtrés d’Alby, Annecy (Notre-Dame et Saint-Maurice), Dingy-Saint-Clair, Faverges, Grand-Bornand, Marcellaz-Albanais, Megève, Menthonnex-sous-Clermont, Sillingy, Thônes, Thorens, Ugine et Vaulx.
Il comprend les archiprêtrés de Bonneville, Chamonix, Chaumont, Cluses, Cruseilles, Frangy, Menthonnex-sous-Clermont, La Roche-sur-Foron, Saint-Gervais-les-Bains, Saint-Julien-en-Genevois, Sallanches, Samoëns, Seyssel, Taninges et Viry.
Il comprend les archiprêtrés d’Abondance, Annemasse, Bellevaux, Boëge, Bonne, Bons, Douvaine, Evian, Reignier, Saint-Jean-d’Aulps, Saint-Paul, Thonon-les-Bains et Viuz-en-Sallaz.
Revue du Diocèse d’Annecy, n° 5, 3 février 1922, p. 58.
Ibid., n° 12, 21 mars 1924, p. 154.
Ibid., n° 45, 10 novembre 1922, p. 586-587.
Ibid., n° 46, 17 novembre 1922, p. 598-599. La présidence de la commission revenant à l’Évêque.
La Page de Saint-André, juin-juillet 1940, p. 84.
Cette dernière a d’ailleurs reçu le surnom d’église des Italiens.
Revue du Diocèse d’Annecy, n° 30, 24 juillet 1925, p. 353.
ADA. 1 D 21. Boîte Mgr du Bois de La Villerabel, n° 3. Ordonnance manuscrite de Mgr du Bois de La Villerabel.
Ibid.
Revue du Diocèse d’Annecy, n° 33, 14 août 1931, p. 558.
Ibid., n° 22, 1er juin 1923, p. 302.
Au départ, il s’agit de ceux recevant la confirmation à Annecy.
Revue du Diocèse d’Annecy, n° 22, 1er juin 1923, p. 302. Il s’agit de la reprise d’un « ancien usage ».
Mgr du Bois de La Villerabel porte un intérêt aux écoles libres même s’il semble plus se préoccuper de la formation des prêtres, comme de celle des laïcs dans les mouvements d’action catholique. Son successeur, Mgr Cesbron, fera de l’école libre un de ses chevaux de bataille. L’attitude de Mgr de La Villerabel peut-elle s’expliquer par le fait qu’il ait été nommé dès 1915 à des fonctions administratives ? Il inaugure cependant plusieurs écoles libres comme celle de La Clusaz, Thonon-les-Bains et Megève entre 1931 et 1933.
Revue du Diocèse d’Annecy, n° 52, 23 décembre 1921.
Ibid., n° 11, 17 mars 1922, p. 134.
Ibid., p. 136.
Ibid., n° 7, 15 février 1951, p. 119.
Ibid., n° 8, 25 février 1927, p. 86. Lettre Pastorale de Mgr l’Évêque d’Annecy au clergé aux fidèles de son diocèse sur la dévotion envers la T.S. Vierge à l’occasion de la Consécration du diocèse à Marie et mandement Carême pour l’an de grâce 1927. Article Premier.
Ibid. Article III.
Revue du Diocèse d’Annecy, n° 8, 25 février 1927, p. 86. Lettre Pastorale de Mgr l’Évêque d’Annecy au clergé aux fidèles de son diocèse sur la dévotion envers la T.S. Vierge à l’occasion de la Consécration du diocèse à Marie et mandement Carême pour l’an de grâce 1927. Article IV.
Ibid. Article VI.
Ibid., p. 88. Article VIII. Cette image sera conservée comme le « souvenir de ce jour et que cette image soit affichée au foyer familial, comme un hommage et une attestation de leur consécration ».
ADA. 1 D 21. Boîte Mgr du Bois de La Villerabel, n° 4. Lettre de l’abbé Bublens à son évêque, 22 mai 1927.
Revue du Diocèse d’Annecy, n° 8, 19 février 1926, p. 87. Ordonnance de Mgr l’Évêque d’Annecy instituant la « Croix de saint François de Sales ». Médaille de la reconnaissance diocésaine. Article 3.
Revue du Diocèse d’Annecy, n° 17, 26 avril 1929, p. 263.
Un dossier est constitué pour savoir si la médaille peut être attribuée.
Constitutions synodales, 1926.
Revue du Diocèse d’Annecy, n° 11, 14 mars 1924, p. 141.
Elle est composée comme suit : Mgr Rebord, MM. Morand et Moccand, Mgr Harscoüet, vicaires généraux, Mgr Saint-Clair et M. Bunaz, du Vénérable chapitre, M. le chanoine Pernoud, supérieur du grand séminaire, et M. l’abbé Mugnier, professeur de droit canonique, MM. les chanoines Mogenet, curé de Saint-Maurice, et Chaumontet, curé de Notre-Dame, M. le chanoine Fuzier, chancelier.
Constitutions synodales, 1926.
Ibid., article 115.
Ibid.,article 116. L’article 300 s’intéresse principalement à l’œuvre des catéchistes volontaires, qui est recommandée dans les paroisses importantes et dans celles bénéficiant d’écoles de hameaux.
Constitutions synodales, 1926.article 299. Les prêtres peuvent afficher ou publier, dans le bulletin paroissial, les notes obtenues par les enfants au catéchisme. En 1936, l’article 298 est modifié et il se présente ainsi : « Pour donner plus d’importance aux séances de Catéchisme, les curés afficheront les bonnes notes dans les églises et les publieront dans les bulletins paroissiaux ».
Ibid. Article 343.
Ibid. Article 345.
Ibid.Article 123.
Ibid.
Elle prend ce titre suite à l’affaire des Clarisses en 1924. Cf. infra, p. 243 et suiv.
ADHS, 2 T 4. L’imprimerie Abry installée à Annecy est celle qui imprime les documents de l’évêché.
Modifications aux Constitutions synodales de 1926, 1936. Article 122.
Ibid.