II. Un souci de formation et d’encadrement

L’entre-deux-guerres est une période féconde pour le diocèse. La reprise des ordinations comble en partie les vides laissés par la guerre, l’arrivée du nouvel évêque permet de donner un souffle nouveau à ce diocèse qui entretient son dynamisme. Ce dernier se matérialise à la fois par les lieux de formations destinés à recevoir les futurs prêtres comme les laïcs, mais également par la construction de nouveaux édifices cultuels qui associent recherche liturgique et esthétique, tout en s’inscrivant dans le nouveau maillage paroissial redéfinit par l’évolution démographique de la population diocésaine.