2. Les jeunes gens

C’est en Belgique que l’abbé Cardijn crée, en 1925, la JOC, et c’est en 1927 qu’elle apparaît en France, à Clichy, sous l’impulsion de l’abbé Guérin2910. Le constat étant fait que trop nombreux sont les jeunes ouvriers à être délaissés par l’Église. L’apparition de la JOC dans le diocèse est relativement rapide, puisqu’en 1927 des réunions ont déjà lieu dans ce sens, c’est-à-dire dans celui d’un apostolat ouvrier. Un article de Floraisons rappelle que 1927 « marquera sans doute une date importante dans les annales de l’ACJF, c’est tout un programme d’avenir qui s’ouvre devant nous »2911. En février, deux réunions ont lieu pour « jeter les bases […] de l’équipe ouvrière rattachée à l’ACJF »2912, cela se fait sous l’autorité de Maurice Gruffaz2913, président de la commission ouvrière d’Annecy. La première réunion constitutive de l’équipe ouvrière a lieu le 22 mars2914 en présence de vingt-trois ouvriers. Ces derniers appellent leurs « amis des centres industriels comme Annemasse, Ugine, Thonon-les-Bains, […] de s’inspirer de cette initiative et d’organiser des équipes ouvrières »2915. En octobre 1927, il est rappelé que le comité et les cadres de l’équipe d’Annecy sont militants de l’ACJF2916. Il est alors signalé qu’un accord est intervenu entre la JOC, dont le centre est à Clichy, et la jeunesse catholique. Il n’y aura alors plus qu’un « seul mouvement catholique de jeunesse ouvrière en France, la JOC qui est ACJF »2917. Pour la première fois, Floraisons des Alpes parlent de Jeunesse Ouvrière Chrétienne, journal de masse de la JOC2918. Un appel est lancé pour que les différentes commissions et équipes intensifient leur travail. En 1928, lors du congrès de la jeunesse catholique tenu à Annemasse, l’abbé Guérin prend la parole pour évoquer « l’apostolat dans les milieux ouvriers »2919. Pour compléter cette intervention, le secrétaire des syndicats chrétiens d’Annecy, Hyvrard2920, prend également la parole. Il est alors clairement rappelé dans les résolutions présentées par Mgr de La Villerabel que les « œuvres ouvrières devenant de plus en plus nécessaires dans une région où se développe de plus en plus l’industrie, les centres industriels mettront à l’ordre du jour de leurs préoccupations dominantes, la formation de la JOC […] ainsi que les syndicats professionnels en liaison avec l’union des syndicats professionnels de la région des deux Savoie »2921 et dont le siège est à la Maison du Peuple. En avril 1929, l’abbé Guérin offrant la réédition du livre de l’abbé Cardijn à Mgr de La Villerabel, lui écrit qu’il connaît sa « sympathie pour la JOC » et lui redit la « grande reconnaissance du secrétaire général pour tout ce [qu’il fait] en faveur de la JOCF »2922.

En mars 1928, déjà fort de trente-deux membres, et sous la direction de son aumônier, l’abbé Vuarnet, le cercle d’études de Notre-Dame (Annecy) faisait déjà un « gros effort pour intensifier le mouvement de jeunesse catholique dans le milieu ouvrier d’Annecy »2923. Le 7 novembre 19302924, il opère sa spécialisation en groupe JOC. Composé de menuisiers, de typographes, de mécaniciens ou d’électriciens, cet ensemble se réunit et étudie le « Manuel du jociste pour s’imprégner de l’esprit et de la méthode JOC »2925. La réunion hebdomadaire du vendredi réunit de vingt à trente jeunes2926. Cette section Notre-Dame est la première affiliée à la JOC nationale, en juillet 1932. La cérémonie a lieu sous la présidence de Marcel Muller2927. Ce dernier se rend le lendemain à Chedde pour affilier la section fondée le 1er juillet 1931 par l’abbé Berger. Ce dernier a su conquérir « le cœur des ouvriers par sa bonhomie d’ancien combattant et sa vigueur apostolique »2928. Sa paroisse avait déjà servi de secrétariat pour la JOC dans cette zone du diocèse2929. En mars, les onze jeunes de la section avaient reçu la visite de l’abbé Guérin venu en « vue de l’affiliation »2930 qui a lieu en juillet 19322931. C’est Chedde qui reçoit l’abbé Rodhain2932 venu prêcher la première retraite fermée pour jociste2933, du 11 au 13 novembre 19322934. Il n’est pas étonnant alors que l’abbé Berger soit nommé aumônier-adjoint de la JOC2935 en juillet 1933. Le curé de Chedde reçoit beaucoup de personnes dans son presbytère, il a beaucoup de contacts et, en 1937, il reçoit l’abbé Rodhain, qui lui présente le plan du congrès des dix années de la JOC pour lui demander son avis2936. Il est également en contact avec un jeune prêtre venu à Chedde en repos, l’abbé Grenet2937.

Le premier président diocésain2938 de la JOC est le cheminot annemassien Alphonse Roguet, un « vrai mystique du Christ ouvrier »2939. Il est souvent considéré comme l’un des artisans de l’implantation de la JOC dans le diocèse. En 1935-1936, le vicaire de Cluses, l’abbé Chevallier, est nommé second aumônier de la JOC, ce qui montre le développement du mouvement. Sans doute a-t-il été également préparé par son archiprêtre l’abbé Terrier, arrivé en 1934. Le diocèse ne compte pas beaucoup de sections jocistes. Le diocèse étant peu industriel, les sections jocistes sont peu nombreuses, toutefois elles sont les premières sections de mouvements spécialisés. Faut-il voir dans cette rapidité d’implantation, l’urgence de la reconquête des milieux ouvriers par rapport à ceux du monde rural ? En 1940, les principaux centres ouvriers semblent être dotés, ou en voie de se doter, de sections jocistes. Charles Bosson établit que la fédération diocésaine compte environ « cent militants, groupe quatre cents membres aux assemblées générales et influence directement plus de mille jeunes ouvriers »2940. À cette date, des sections sont présentes à Annecy (Notre-Dame, Saint-Maurice et Cran), Cluses, Chedde, Praz-Coutant2941, Faverges, Thonon-les-Bains, Évian-les-Bains, Annemasse et Ugine2942. Cette dernière paroisse bénéficie du zèle d’un nouveau vicaire, l’abbé Folliet. Ce dernier y arrive après son ordination à l’été 1932, et y établit rapidement une section jociste qui se révèle être florissante. Il y laisse le souvenir d’un « vrai prêtre aimé du petit peuple »2943 lorsqu’il est appelé à l’aumônerie fédérale en octobre 19402944.

« À mesure que les méthodes de l’action catholique vont se précisant, se spécialisant, il apparaît que les jeunes agriculteurs prennent conscience de leurs besoins et de ceux de leur profession : là aussi les âmes se perdent, et de plus la terre est toujours la terre qui meurt »2945. Le second mouvement à être introduit dans le diocèse est la JAC. Du fait de l’importance de la population rurale, il rencontre un vif succès. La JAC naît le 17 mars 1929. À peine un an plus tard, un article de la Revue du Diocèse d’Annecy annonce la parution prochaine de la revue Jeunesse Agricole 2946 . En décembre 1929, Floraisons des Alpes consacrent un article à la JAC. Ce dernier, écrit par le RP Foreau, aumônier-adjoint de l’ACJF, rappelle que les « campagnes se dépeuplent ; [qu’] il faut développer chez [les] jeunes ruraux l’amour de la terre, la fierté agricole. Il n’y a plus assez de prêtres dans [les] campagnes, pas de jeunes surtout »2947. Il lance donc implicitement un appel aux jeunes laïcs pour empêcher l’abandon des campagnes. Si la JOC est un mouvement de conquête, la JAC semble être avant tout un mouvement pour garder les jeunes à la terre, même s’il ne perd pas l’esprit d’apostolat. En 1930, un article de la Revue du Diocèse d’Annecy rappelle qu’un « mouvement rural se dessine vers l’organisation de la JAC »2948.

L’initiateur du mouvement dans le diocèse, mais aussi son premier président, est Edmond Prunier2949, un « véritable mystique de la terre chrétienne »2950. Il publie plusieurs articles dans Floraisons des Alpes pour inciter ses contemporains à prendre conscience du danger qui menace « la terre qui meurt »2951. Avec Albert Détraz, de Margencel, il participe au congrès tenu à Lyon en décembre 1931, et ayant pour thème « Vers la JAC »2952. Sans doute a-t-il été aidé par le chanoine Clavel, qui devient, à partir de 1935, premier aumônier diocésain du mouvement2953. Cette nomination montre que le mouvement est correctement établi dans le diocèse et compte suffisamment de militants2954. En janvier 1933, Francis Salomon, président de la jeunesse catholique depuis peu, lance un appel où il souligne que la méthode jaciste est infiniment souhaitable. Il recommande alors la lecture et l’approfondissement du Manuel jaciste 2955 , il encourage l’abonnement à JAC, Militant jaciste ou encore à Jeunesse agricole. Il incite les groupes à suivre les cours agricoles par correspondance, tout en soulignant que certains le font depuis plusieurs années. Enfin, il constate l’utilité de constituer une commission JAC au sein du comité diocésain, c’est pourquoi il y nomme Edmond Prunier et Albert Détraz. L’initiative porte ses fruits ; plusieurs articles paraissant dans Floraisons des Alpes vont dans ce sens. En février 1934, c’est un article de Prunier sur « la réalisation de la JAC »2956, et en avril c’est un appel pour le mouvement. L’article incite les jeunes à rejoindre le mouvement paysan pour que leur vie chrétienne devienne « vivante, conquérante, aimante », ils se feront ainsi les apôtres pour « faire du bien, relever les courages, entraîner les faibles, conquérir au Christ les âmes paysannes »2957. Enfin, en septembre 1934, Edmond Prunier, évoquant la spécialisation, parle du départ de la JAC dans le diocèse. Dans cet article, il rappelle les apports de la spécialisation à savoir, la prise d’initiative2958, l’adaptation des méthodes et l’acceptation d’une discipline2959.

La JAC éclot donc sur un terrain qui a été préparé par les semaines rurales apparues dès 1921 sur le modèle de celles nées des chroniques sociales de Lyon en 1911, ainsi que par les cours d’enseignement agricole par correspondance (EAC)2960. L’Union Catholique de la France Agricole (UCFA) a sans doute permis aux agriculteurs de prendre conscience de leurs capacités. Le bulletin Floraisons des Alpes avait également préparé les consciences par ses différentes rubriques, comme celle concernant « le programme d’études pour les jeunes ruraux »2961. En janvier 1928, les jeunes devaient réfléchir sur des sujets comme : « pourquoi les jeunes agriculteurs doivent s’instruire » ou encore « le rôle fondamental de la famille dans la vie rurale »2962.

La JAC s’installe donc progressivement dans le diocèse, et en 1935 a lieu la première affiliation nationale d’une section masculine, à Thonon-les-Bains2963. Des affiliations ont lieu en 1936 et 19372964. En 1938-1939 aucune affiliation n’a lieu, cela ne signifie pourtant pas que le mouvement ralentit, au contraire, il poursuit son œuvre. En 1937, a lieu la fête des moissons qui réunit près de trois mille personnes à Reignier2965. Cette grande manifestation permet la collaboration de tous les groupes du diocèse, affiliés ou non, qui participent à la confection des chars montrant des scènes de travail ou de la vie du Christ. En septembre 1938, l’abbé Dufournet2966 est nommé aumônier fédéral de la JAC. Sans doute sa nomination montre que le mouvement devient suffisamment important pour qu’un prêtre s’en occupe à temps complet. En 1939, les paysans inaugurent le pèlerinage à saint Isidore qui se tient à Montizel (La Roche-sur-Foron), et qui est l’expression d’une possibilité de rassemblement très importante2967. Il y a une messe de communion, suivie de la messe des paysans, le midi, les repas sont tirés des sacs et pris en plein air, l’après-midi est consacré à des jeux scéniques et à une allocution du président fédéral2968. En 1938, les jeunes jacistes s’étaient rendu aux pieds de Notre-Dame de la Bénite Fontaine, qui avait été faite « patronne de la JAC »2969. Le chanoine Chavanne, aumônier de l’UDH et recteur du sanctuaire marial, insiste particulièrement sur la nécessité pour les jeunes jacistes d’y assister. Il s’interroge sur la facilité à devenir jaciste, et déplore le fait que des jeunes ne se pénètrent pas suffisamment de l’idéal, ou qu’ils n’acceptent pas « intégralement les méthodes »2970. Enfin, il va jusqu’à se demander si l’insigne « n’est pas l’unique point de mire »2971. Pour terminer et pour insister davantage sur la nécessité de se rendre le 15 mai à La Roche-sur-Foron, il rappelle la mission dévolue aux jeunes ruraux : « rendre au Christ, notre terre »2972. Mgr Pernoud préside cette cérémonie, qui marque, aux dires du chanoine Chavanne, « une étape importante dans la vie de la JAC, car elle montre l’importance et la vitalité de ce groupement »2973. En 1940, Charles Bosson, président diocésain de l’ACJF depuis 1936, rappelle que le mouvement compte plus de deux cents sections, réparties en quarante secteurs. Il ajoute que dix-neuf sections sont affiliées fédéralement, neuf nationalement et qu’une centaine prépare l’affiliation fédérale2974. Le président ajoute qu’il « existe vraiment là une force organisée magnifique qui est tout entière [au service de l’évêque] pour faire de la Haute-Savoie une terre toujours plus belle, parce que toujours plus chrétienne »2975.

Les mouvements étudiants et bourgeois se développent mais de façon plutôt citadine. Seuls les centres urbains semblent en bénéficier. La Jeunesse Indépendante Catholique (JIC) comporte deux sections : celle des jeunes des classes moyennes et celle des jeunes de la bourgeoisie. Le président fédéral est Alfred Paccard, fils du patron de la fonderie de cloches annéciennes. Les groupes des classes moyennes sont en cours de création à Annemasse et à Thonon-les-Bains, alors qu’Annecy possède à la fois une section bourgeoise et une section de classes moyennes2976. L’aumônier de ces mouvements est l’abbé Dechavassine, alors vicaire à Notre-Dame d’Annecy2977. La JEC est également implantée dans le diocèse. Elle touche particulièrement les lycées, mais ne peut conserver ses cadres qui partent rapidement à l’extérieur pour poursuivre leurs études. En 1938, le mouvement est présidé par Léon Garnier, alors que l’aumônerie est assurée par l’abbé Riguet2978. Des sections sont présentes à Bonneville, Thonon-les-Bains, Annecy.

1938 marque le point d’orgue de la vitalité des mouvements spécialisés qui se réunissent à Frangy pour leur dernier congrès d’avant-guerre. C’est l’occasion pour eux d’affirmer que la spécialisation a réussi dans le diocèse et ce, en présence d’André Colin, président national de l’ACJF2979. Les séances de travail permettent de dresser le bilan de la situation des mouvements spécialisés, dix ans après leur naissance.

En marge de ces mouvements spécialisés nous trouvons également les scouts dont l’apparition est concomitante de celle de la JOC. Les troupes des Scouts de France d’Annecy sont constituées le 18 août 1927 sous l’impulsion du lieutenant Humbert Clair2980. Le président est le chanoine Clavel, le vice-président est Gérard Ducrot, déjà largement engagé dans d’autres mouvements2981, enfin le secrétaire est l’abbé Marcel Gauthier2982. Constitués en association selon la loi 1901, les scouts ont pour but « l’éducation physique, morale, civique et professionnelle de ses membres ainsi que l’éducation populaire, suivant les méthodes du scoutisme »2983. C’est en décembre 1928, qu’un article des Floraisons des Alpes rappelle que Mgr de La Villerabel accepte la constitution des Scouts de France dans le diocèse. L’année suivante, un communiqué de l’évêché rappelle aux familles « qu’il n’y a qu’une seule Fédération catholique de scoutisme reconnue et approuvée par l’autorité diocésaine : c’est celle des scouts de France »2984. Afin de dissiper tout doute possible il est alors souligné que « les Parents catholiques qui désirent faire entrer leurs enfants dans une organisation scoute ne doivent donc les envoyer que dans une troupe de “scouts de France” »2985.

Notes
2910.

La naissance de la JOC au sein de l’ACJF a posé un certain nombre de problèmes, les uns s’y opposant, les autres refusant des concessions. Sur cette question voir a.-r. michel, Catholiques en démocratie…, op. cit., p. 106-124.

2911.

Floraisons des Alpes, avril 1927, p. 757-758.

2912.

Ibid.

2913.

Ibid.

2914.

Ibid.

2915.

Ibid.

2916.

Ibid., octobre 1927, p. 824.

2917.

Ibid.

2918.

Ibid., p. 825. L’accord intervient le 21 septembre, date à laquelle la Commission Ouvrières Centrale (COC) disparaît pour laisser place à la JOC. Avant cette date, la COC était considérée comme la seule organisation ouvrière de jeunesse. Alain-René Michel rappelle que François de Menthon date de juin 1927 la naissance de la JOC, alors que la question de son intégration dans l’ACJF n’apparaît que plus tard. Toutefois, il est un fait certain : la JOC tient son premier conseil fédéral le 5 février 1928. a.-r. michel , Catholiques…, op. cit. , p. 112-113.

2919.

Les Floraisons des Alpes, juillet-août 1928, p. 965.

2920.

Ibid. Il s’occupe également de l’Assurance sociale de la mutuelle catholique.En 1935, il est remplacé dans cette fonction par Julien Clavel, secrétaire administratif de la jeunesse catholique. Floraisons des Alpes, février 1935, p. 24.

2921.

Floraisons des Alpes, octobre 1928, p. 1006.

2922.

ADA. 1 D 21. Boîte Mgr du Bois de La Villerabel, n° 1. Lettre de l’abbé Guérin à Mgr de La Villerabel, 29 avril 1929.

2923.

Floraisons des Alpes, mars 1928, p. 911.

2924.

Ibid., décembre 1931, p. 1545. C’est en octobre 1931 que le bulletin Floraisons des Alpes accorde une rubrique pour les militants ouvriers, sous le titre : « Le coin des jocistes ». (Floraisons des Alpes, octobre 1931, p. 1526-1528).

2925.

Floraisons des Alpes, décembre 1931, p. 1545.

2926.

Ibid.

2927.

Ibid., septembre 1932, p. 1687. Il est rappelé que le président de la section de Chedde remercie M. Muller et les membres du groupe d’Annecy affiliés la veille.

2928.

Rapport présenté par Charles Bosson, président de l’ACJF à Mgr Cesbron, le 28 décembre 1940. Archives Charles Bosson. Document communiqué par M. Ch. Sorrel.

2929.

Revue du Diocèse d’Annecy, n° 15, 14 avril 1929, p. 248.

2930.

Floraisons des Alpes, avril 1932, p. 1621.

2931.

Ibid., septembre 1932, p. 1687.

2932.

L’abbé Jean Rodhain, né en 1900, est alors aumônier d’un groupe de JOC à Neufchâteau dans les Vosges. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il aura à cœur de s’occuper de l’aumônerie des prisonniers de guerre et au sortir du conflit, il crée le Secours Catholique.

2933.

Revue du Diocèse d’Annecy, n° 46, 12 novembre 1926, p. 546. À Toussaint 1926, une retraite fermée est organisée pour les ouvriers ou employés des centres urbains et industriels.

2934.

Floraisons des Alpes, janvier 1933, p. 10. Les participants sont les onze jeunes de Chedde, neuf viennent d’Annecy et quatre d’Annemasse.

2935.

Revue du Diocèse d’Annecy, n° 27, 7 juillet 1933, p. 451.

2936.

Entretien avec l’abbé Philippe, 15 novembre 2006. Afin de mieux présenter son projet, l’abbé Rodhain utilise des projections lumineuses sur le mur.

2937.

Entretien avec l’abbé Philippe, 15 novembre 2006. En 1938 ce dernier est aumônier de la JOC et de la JOCF pour la région d’Annecy en même temps qu’il occupe cette fonction pour la JEC du même secteur.

2938.

Floraisons des Alpes, décembre 1935.

2939.

Rapport présenté par Charles Bosson, président de l’ACJF à Mgr Cesbron, le 28 décembre 1940. Archives Charles Bosson. Document communiqué par M. Ch. Sorrel.

2940.

Rapport présenté par Charles Bosson, président de l’ACJF à Mgr Cesbron, le 28 décembre 1940. Archives Charles Bosson. Document communiqué par M. Ch. Sorrel. Il convient de souligner que Françoise Richou, dans son étude sur la JOC/F, estime à trois mille cent cinquante le nombre de jeunes travailleurs encadrés par la JOC. Même si le rattachement d’Albertville modifie les données départementales, les chiffres avancés par F. Richou paraissent poser problème. Sans doute a-t-elle comptabiliser les jeunes touchés indirectement par la JOC. f. richou , La JOC/F dans l’Ouest…, op. cit., p. 141.

2941.

Pour les malades des sanatoria.

2942.

Il convient d’ajouter le secteur d’Albertville (plaine et ville) qui est rattaché à la JOC fédérale du diocèse d’Annecy. Rapport présenté par Charles Bosson, président de l’ACJF à Mgr Cesbron, le 28 décembre 1940. Archives Charles Bosson. Document communiqué par M. Ch. Sorrel.

2943.

h. vulliez, Camille Folliet…, op. cit., p. 50.

2944.

En octobre 1938, il est nommé aumônier des secteurs JOC et JOCF de la région d’Ugine et de Faverges. Revue du Diocèse d’Annecy, n° 43, 27 octobre 1938, p. 776.

2945.

Revue du Diocèse d’Annecy, n° 5, 31 janvier 1930, p. 74.

2946.

Ibid.

2947.

Floraisons des Alpes, décembre 1929, p. 1217.

2948.

Revue du Diocèse d’Annecy, n° 5, 31 janvier 1930, p. 74.

2949.

Charles Bosson associe sur le même plan Prunier et Roguet.

2950.

Rapport présenté par Charles Bosson, président de l’ACJF à Mgr Cesbron, le 28 décembre 1940. Archives Charles Bosson. Document communiqué par M. Ch. Sorrel.

2951.

René Bazin a écrit un livre intitulé La terre qui meurt.

2952.

Floraisons des Alpes, janvier 1932, p. 1570.

2953.

Ordo 1936. Il conserve ses fonctions auprès de l’ACJF.

2954.

Il est rappelé que des journées nationales se tiennent à Annecy les 19 et 20 pour les dirigeants et futurs dirigeants jacistes. Revue du Diocèse d’Annecy, n° 39, 26 septembre 1935, p. 674.

2955.

Floraisons des Alpes, janvier 1933, p. 4.

2956.

Ibid., février 1934, p. 18-20.

2957.

Floraisons des Alpes, avril 1934, p. 54-55.

2958.

Nous avons évoqué précédemment que le chanoine Clavel insistait sur la responsabilisation des jeunes en leur apprenant la prise d’initiative.

2959.

Floraisons des Alpes, août-septembre 1934, p. 103.

2960.

Revue du Diocèse d’Annecy, n° 43, 22 octobre 1926, p. 506. En 1926, une retraite fermée est organisée place Aux Bois pour les personnes de la campagne.

2961.

Floraisons des Alpes, janvier 1928, p. 872-875.

2962.

Ibid.

2963.

ADA. Document sans cote, en cours de classement. Voir la carte en annexe n° 90.

2964.

En 1936, Hauteville-sur-Fier, Vétraz-Monthoux et Aviernoz sont affiliées. En 1937, ce sont Choisy, Vaulx, Megève et Sallanches qui le sont.

2965.

Revue du Diocèse d’Annecy, n° 31, 12 août 1937, p. 562.

2966.

Ibid., n° 36, 8 septembre 1938, p. 652.

2967.

Entretien avec Alphonse Métral.

2968.

Revue du Diocèse d’Annecy, n° 26, 26 juin 1941, p. 357.

2969.

Floraisons des Alpes, avril 1938.

2970.

Ibid.

2971.

Ibid.

2972.

Ibid.

2973.

Ibid.

2974.

Rapport présenté par Charles Bosson, président de l’ACJF à Mgr Cesbron, le 28 décembre 1940. Archives Charles Bosson. Document communiqué par M. Ch. Sorrel.

2975.

Ibid.

2976.

Ibid.

2977.

Ordo 1936. Il est aumônier adjoint pour la JIC.

2978.

Revue du Diocèse d’Annecy, n° 38, 22 septembre 1938, p. 694.

2979.

Floraisons des Alpes, juin-juillet 1938. Mgr Harscoüet participe également à ce congrès.

2980.

Floraisons des Alpes, janvier 1933, p. 8.

2981.

Il fut secrétaire de la jeunesse catholique, secrétaire permanent du comité diocésain, et secrétaire de l’UDH.

2982.

ADHS, 4 M 58. Déclaration d’association faite à la préfecture de la Haute-Savoie.

2983.

Ibid.

2984.

Revue du Diocèse d’Annecy, n° 23, 7 juin 1926, p. 364.

2985.

Ibid.