b. Les objectifs de la mission

La mission tente de répondre à plusieurs buts parmi lesquels celui de donner de nouveaux objectifs apostoliques. En effet, les équipes liturgiques, composées de laïcs engagés4932, se mettent en place au moment de la mission régionale. C’est également l’occasion de la mise en place d’une révision de la liturgie et de la publication d’un nouveau « directoire de la messe »4933. Le père d’Haëne rappelle que l’un des buts des missions est la promotion de la « lecture aux messes, [la présence] des enfants avec les adultes lors des offices »4934. Un questionnaire réalisé auprès des paroissiens du secteur douvainois montre que les fidèles souhaitent voir les enfants participer à la messe avec les parents4935. Les paroissiens n’acceptent plus les messes durant plus d’une heure et demie et ils espèrent avoir des offices d’environ une heure et dix minutes4936.

Les enfants sont un des centres d’intérêts particuliers de la mission, notamment par le biais des commissions pastorales de l’enfance. Déjà au moment des lois Barangé et Marie, une enquête avait été menée pour connaître le taux d’implication des enfants dans les mouvements d’action catholique de l’enfance. Les plus jeunes sont l’objet de toutes les attentions parce qu’ils représentent les vocations futures. Les prêtres du secteur de Saint-Julien – Viry rappellent que, « sans le souci des vocations religieuses et sacerdotales, tout plan d’évangélisation est voué à l’échec »4937. Le catéchisme est au centre des préoccupations des missionnaires4938. Un intérêt particulier est porté au recrutement et à la formation des catéchistes. Plusieurs missions ont d’ailleurs comme but d’établir, là où elle n’existe pas, la Formation Chrétienne des Touts Petits (FCTP). D’ailleurs, à l’occasion du lancement de la mission de la vallée de l’Arve, des objectifs précis sont fixés afin d’obtenir un meilleur succès. À cette occasion, les organisateurs recommandent l’ouverture dans « chaque quartier » de centres de « formation chrétienne des tout-petits » mais également la « diffusion intensive de la presse chrétienne de l’enfance »4939. En 1958, la mission de la région annemassienne souligne que le « secteur de l’enfance doit être travaillé »4940 car pour « remédier à l’insuffisance d’enseignement religieux constatée dans les paroisses du secteur, il […] est demandé de faire commencer le catéchisme plus tôt en organisant la FCTP, afin d’apprendre aux mamans à se faire elles-mêmes les premières catéchistes de leurs petits enfants »4941. Le compte-rendu souligne également qu’il serait bon que des catéchistes soient recrutées et formées pour prendre en charge « les petits » et ainsi libérer le « clergé paroissial pour s’occuper des plus grands ». Pour les enfants plus âgés, c’est-à-dire ceux qui ont déjà fait leur communion solennelle, des cours de « catéchisme de persévérance » ou des réunions d’adolescents4942 seraient à prévoir. Les auteurs du compte-rendu souhaitent ardemment que les parents prolongent « l’enseignement religieux au-delà de la communion solennelle »4943. À la même période, les missionnaires de la vallée d’Aulps soulignent aussi l’importance de la prise en charge du catéchisme. À cette occasion, ils rappellent que la totalité des familles « a le souci d’envoyer les enfants au catéchisme et de veiller à leur assiduité jusqu’à leur communion solennelle. Mais la fréquentation des cours de catéchisme n’a jamais suffi à faire de petits baptisés de véritables chrétiens. Pour initier les enfants à une authentique vie de foi, d’espérance et de charité, il faut une collaboration étroite et intime entre les éducateurs chargés des cours de religion et la famille »4944.

En 1956, les mouvements d’enfance Cœurs vaillants et Âmes vaillantes sont réunis au sein de l’Action Catholique de l’Enfance (ACE)4945. À l’occasion des missions régionales, un certain nombre de groupements ACE sont lancés sur le territoire diocésain, comme dans le Bas-Chablais, en 19604946. Déjà en 1947, Mgr Cesbron soulignait que les mouvements d’enfants avaient rencontré des difficultés. Il notait à ce propos qu’en 1946-1947, « il y a une crise très profonde… M. Benoît ne s’en occupe guère… tout s’en va ». Il poursuit en soulignant qu’en 1947, « M. Lambrey, nommé aumônier, reprend bien, semble-t-il, toute cette affaire délicate, avec mademoiselle Champetier, recrutée uniquement pour cela [et] c’est M. Levet, nommé en 1948, qui va remonter l’action catholique de l’enfance et l’organiser »4947.

Les efforts des missionnaires portent principalement dans les zones où l’enquête Boulard a souligné de faibles taux d’enfants non-catéchisés. Dans ces secteurs, le travail sur le catéchisme se retrouve parmi les premiers objectifs et les premiers travaux des missionnaires. Tel est le cas pour la mission de La Roche-sur-Foron – Reignier où le canton de Reignier présente un taux de 15,73 % d’enfants non catéchisés4948. À l’inverse, dans les cantons comme Thônes, Cruseilles ou encore Thorens, c’est-à-dire ceux qui présentent de bons taux de catéchisation, les efforts des missionnaires portent plus sur le développement de l’ACE. Dans le cas de la mission dans la vallée de Thônes, les missionnaires rappellent que l’un des objectifs est de « faire comprendre la nécessité de l’ACE »4949. Dans cette vallée, la population enfantine est d’environ huit cent cinquante enfants, âgés de zéro à six ans. Ils se répartissent dans quatre cents foyers, parmi lesquels trois cent soixante sont pratiquants4950. Le rapport de l’équipe « vie paroissiale » insiste sur le rôle que doivent jouer les parents. En effet, s’ils attachent « une grande importance à la politesse, au savoir-vivre », il semble qu’ils n’ont pas vraiment « conscience de leur rôle d’éveilleur de la vie de foi » puisqu’ils « se déchargent facilement de l’éducation religieuse sur le prêtre, les religieuses, les catéchistes »4951. La mission doit faire prendre conscience aux parents de la tâche que le « Seigneur leur confie »4952. L’équipe pastorale compte « sur les missionnaires pour éveiller les parents à cette vocation d’éducateurs religieux »4953. La question de l’ACE intéresse principalement les enfants de sept à treize ans. La vallée de Thônes en compte mille cent seize4954, soit environ un septième de la population totale de la vallée. Si la répartition entre garçons et filles est assez proportionnelle, la situation est différente avec les milieux socio-professionnels, puisque 67,5 % des enfants sont issus du milieu paysan, alors que les 33 % restant se répartissent entre les différentes catégories composant les petits artisans et commerçants4955. Dans le cas des paroisses du haut de la vallée, il est rappelé que les enfants « pratiquent à 100 % » qu’ils « ont une foi à l’image de leurs parents »4956.

L’action catholique des adultes est également au centre des préoccupations puisque des efforts sont menés pour intensifier ou développer les actions de l’ACGH (Action Catholique Générale des Hommes), héritière de la FNAC, et de l’ACGF (Action Catholique Générale Féminine), héritière de la LFACF4957. Ces deux groupes ont en charge l’animation de services paroissiaux comme la liturgie, le catéchisme ou encore la presse4958. Christian Sorrel rappelle que le processus de la mission régionale passe par la « promotion de l’action catholique générale puis spécialisée, voie de dépassement nécessaire des pratiques traditionnelles »4959. Il poursuit en soulignant que « la première, dont la vitalité est inégale selon les sexes – l’ACGF est plus vivante que l’ACGH – et les diocèses – l’ACGH est inexistante à Chambéry, alors qu’elle tire bénéfice du succès de la FNC à Annecy –, est toujours définie comme “un service du pastorat du clergé” (gestion du temporel, liturgie, presse, catéchèse, écoles libres), mais le “laïcat” est aussi invité à exercer “en tant que tel” une “action apostolique” en partant des “besoins réels” de la société »4960. La seconde se donne pour but d’évangéliser les « milieux », avec une attention spéciale pour les ouvriers, dont beaucoup, doubles actifs ou non, vivent dans une ambiance rurale qui « fausse toutes les réactions de la classe ouvrière4961 », et « le monde scolaire, à l’heure où la scolarisation secondaire progresse et instaure une dualité dans la vie des jeunes (résidence-collège, parents-enseignants, paroisse-aumônerie) »4962.

Dans le cas de la mission d’Annemasse, le compte-rendu de la prémission rappelle que pour l’« ACGH, le premier problème est d’achever le passage de la FNAC à l’ACGH et d’organiser leurs groupes paroissiaux »4963. Une équipe d’archiprêtré existe, mais elle est à renforcer. Les mouvements d’adultes chargés d’animer la communauté paroissiale n’ont pas dans ces paroisses la vitalité et le dynamisme indispensables pour cette tâche d’Église. Cela est particulièrement vrai pour l’ACGH, qui connaît depuis des années « une crise de cadres sur le double plan paroissial et interparoissial, qui en paralyse toute l’activité »4964. La Mission doit être l’occasion de sortir de cette crise.

La mission régionale met également l’accent sur le développement de la presse catholique, qu’elle s’adresse aux enfants ou aux adultes4965. L’attention porte à la fois sur les publications des mouvements d’action catholique comme Militantes ou sur les publications dont le tirage est plus important comme La Vie ou Le Pèlerin. Ces efforts sont probablement destinés aussi à empêcher un développement trop important de la presse neutre, que les prêtres appellent parfois la « presse de cœur »4966. Il devient donc nécessaire de créer des comités de presse4967 qui auront pour but de diffuser les titres de presse catholiques mais également des bulletins paroissiaux ou interparoissiaux. Ces comités existent déjà dans certaines paroisses puisque le compte-rendu de la mission de la vallée de l’Arve souligne que le comité de presse est « souvent mixte » et pas très vivant. Il semble organisé à Marnaz et aux Contamines par exemple. Le groupe d’archiprêtré de l’ACGH du secteur d’Annemasse demande la « diffusion accentuée du Courrier Savoyard », en soulignant la nécessité de trouver un correspondant local pour le journal4968.

Des objectifs spécialisés sont également mis en place afin de développer des aspects particuliers de la vie diocésaine. L’enquête Boulard a mis en évidence des points sensibles sur lesquels il serait nécessaire de porter une attention particulière. Les missionnaires peuvent ainsi faire porter leurs efforts sur des points spécifiques et mieux s’adapter à chaque situation. La mission de la Vallée Verte (secteur de Boëge) met l’accent par exemple sur « l’action catholique rurale avec le Mouvement Familial Rural (MFR) et la jeunesse rurale »4969. La préparation de la mission dans ce secteur montre en effet que le milieu agricole ne se mobilise pas véritablement autour de l’action catholique. La situation semble être identique pour les jeunes filles. Le compte-rendu de la mission souligne que « si, avant la mission, le MFR était dans les langes, au cours de la mission, le MFR a fait un premier pas, un pas hésitant, chancelant, mais un premier pas quand même »4970. Il est à souligner que la situation des mouvements de jeunesse ne semble pas être meilleure puisque Boëge ne possède plus de section JAC ; à Bogève, les promoteurs de la JAC rencontrent une « grande difficulté pour intéresser les jeunes à l’action catholique »4971 ; à Saint-André-de-Boëge il n’y « a rien dans la paroisse »4972.

Nous avons vu que la mission s’adaptait aux différents besoins des secteurs, c’est pour cette raison, par exemple, que celle d’Annemasse s’intéresse principalement à la question ouvrière. En effet, nous avons pu voir que la cité frontalière avait été un centre important de la JOC durant l’entre-deux-guerres. Toutefois, cette prépondérance n’a pas véritablement continué malgré les efforts menés par les militants. La pré-mission souligne que « la JOC d’ Annemasse, dans le passé, a vu sortir de ses rangs des militants de classe qu’elle avait formés. Actuellement, cependant elle ne semble pas repartie de la crise générale des mouvements de jeunes de l’après-guerre »4973. La mission de ce secteur a pour « premier objectif le monde ouvrier, déchristianisé ou du moins éloigné de la pratique religieuse »4974. Ses autres objectifs portent sur le « monde indépendant, deuxième milieu de vie par son importance et son équipement […] et le monde rural [connaissant] une attraction urbaine très forte, des transformations industrielles et des évolutions très rapides qui s’accomplissent hors de l’influence religieuse » ; le troisième objectif était « le monde scolaire du fait de son importance numérique et stratégique »4975.

Les missions régionales ont aussi pour but de solidifier l’implantation ou de réimplanter l’Église et ses valeurs qui ont été bousculées par les différents changements socio-économiques ou les modifications sociologiques. Pour mener à bien ces desseins, les missionnaires s’appuient sur les mouvements d’action catholique spécialisés, mais ces derniers connaissent un certain essoufflement, notamment dans le cas des mouvements de jeunes. Ceux des adultes semblent être un peu moins concernés, même si, en 1955, l’ACO de Saint-Jeoire-en-Faucigny, est « en train de ressusciter »4976 ; ce qui signifie donc qu’elle a connu une période de repli. En matière d’action catholique spécialisée, les objectifs des missions régionales se confondent avec ceux des mouvements. En 1955, lors de la première mission régionale, il est rappelé qu’en matière d’action catholique, la mission réussira « si les mouvements en retirent un bénéfice réel tant sur le plan de la qualité chrétienne et de l’intensité de leurs actions que sur le plan de l’expansion »4977. En effet, dans le cas présent, il est rappelé le « manque d’engagement des quelques militants qui font partie de l’ACO »4978.

Après avoir montré les buts qui sont ceux de la mission régionale, nous pouvons nous intéresser à son déroulement qui suit toujours – ou presque – le même schéma.

Notes
4932.

Il peut s’agir de personnes s’occupant activement de la paroisse comme les organistes ou encore les sacristains. n. broisat, Le diocèse d’Annecy…, op. cit., p. 123.

4933.

ADA. 8 E 1955. Prémission de l’Arve, document 1/1. Objectifs de la mission. et ADA 8 E 1958, Mission du Val d’Arly, Les buts de le mission .

4934.

ADA. 8 E 1958. Mission des archiprêtrés de Saint-Jean d’Aulps et de Morzine, compte-rendu, novembre 1958. Pour les missions plus tardives, Christian Sorrel rappelle qu’elles « encouragent le renouveau liturgique dans un temps marqué par l’évolution des directives romaines après l’encyclique Mediator Dei et les incertitudes liées à l’application du concile, du motu proprio Sacram Liturgiam au nouvel Ordo missae ».

4935.

ADA. 8 E 1960. Mission de Douvaine, Questionnaire pour les laïcs.

4936.

Ibid.

4937.

ADA. 8 E 1961. Mission de Saint-Julien Viry. Orientations apostoliques de notre travail missionnaire d’après les objectifs de la zone, p. 4.

4938.

Soulignons qu’en 1951, est créée une commission épiscopale du catéchisme est créée. Mgr Cesbron fait partie des premiers membres. ADA. 1 D 22. Boîte Mgr Cesbron, n° 3. Note manuscrite de Mgr Cesbron. En 1956, un directeur diocésain est nommé pour « susciter un service de catéchèse dynamique » qui formera les catéchistes. r. barcelini, f. paoli, d. turpault et alii, Histoire du diocèse…, op. cit., p.70.

4939.

Revue du Diocèse d’Annecy, n° 20, 19 mai 1955, p. 291.

4940.

ADA. 8 E 1958. Mission du secteur d’Annemasse. Compte-rendu du monde scolaire.

4941.

Ibid.Compte-rendu pour les paroisses et l’ACG.

4942.

ADA. 8 E 1958. Mission du Val d’Arly. Buts de la mission.

4943.

ADA. 8 E 1958. Mission du secteur d’Annemasse. Compte-rendu pour les paroisses et l’ACG.

4944.

ADA. 8 E 1958. Mission de la vallée d’Aulps.

4945.

Les clubs Fripounet et Marisette du nom du journal paraissant dans le milieu rural sont présents ainsi que la croisade eucharistique ou encore le scoutisme.

4946.

ADA. 8 E 1961. Mission du Bas-Chablais. Circulaire n° 7 du Père Nicolas, Après la réunion pastorale de Sciez, 20 octobre 1961, p. 3.

4947.

ADA. 1 D 22. Boîte Mgr Cesbron, n° 8. Note manuscrite de Mgr Cesbron.

4948.

ADA. 8 E 1960. Mission La Roche-sur-Foron – Reignier. ADA. 8 E 1958. Mission du secteur d’Annemasse. Le président de l’ACGH d’Annemasse demande que « soient développés … l’action en faveur de l’enfance ».

4949.

ADA. 8 E 1961. Mission de Thônes. Commission de l’enfance.

4950.

Ibid. Rapport de l’équipe vie paroissiale.

4951.

Ibid.

4952.

Ibid. Travail de la mission.

4953.

Ibid.

4954.

Ibid. Commission de l’enfance.

4955.

ADA. 8 E 1961. Mission de Thônes. Commission de l’enfance.Il y a 573 garçons et 543 filles.

4956.

Ibid.

4957.

ADA. 8 E 1958. Mission du secteur d’Annemasse. Lors de la mission de ce secteur, il est rappelé que le premier problème concernant l’ACGH est « d’achever le passage de la FNAC à l’ACGH et d’organiser leurs groupes paroissiaux ». C’est en 1955, que la FNAC devient ACGH et que la LFACF devient l’ACGF. ADA. 1 D 22. Boîte Mgr Cesbron, n° 1. Rapport du vicaire général Duret, 14 septembre 1957.

4958.

ADA. 8 E 1958. Mission du secteur d’Annemasse. Il est à souhaiter qu’une diffusion du Courrier Savoyard soit accentuée ; il est également souligné qu’il faut « trouver à tout prix un correspondant local » pour ce même quotidien.

4959.

c. sorrel, « Les diocèses français à l’heure Boulard. Missions générales et pastorale d’ensemble en Savoie dans les années 1950 et 1960 », in Mélanges Etienne Fouilloux, à paraître, p. 12.

4960.

Ibid.

4961.

Archives de M. l’abbé Vérot : programme des missions particulières.

4962.

c. sorrel, « Les diocèses français à l’heure Boulard. Missions générales et pastorale d’ensemble en Savoie dans les années 1950 et 1960 », in Mélanges Etienne Fouilloux, à paraître, p. 12.

4963.

ADA. 8 E 1958. Mission d’Annemasse. Compte-rendu de la prémission tenue du 25 janvier au 2 février. Voir la carte en annexe n° 89.

4964.

ADA. 8 E 1958. Mission d’Annemasse. Compte-rendu de la prémission tenue du 25 janvier au 2 février. Le président demande de l’ACGH demande que « soient développés par priorité les services paroissiaux suivants : information, liturgie, action en faveur de l’enfance ».

4965.

ADA. 8 E 1961. Mission de Thônes. Le rapport de l’équipe « vie paroissiale » souligne que la mission doit permettre « une plus grande pénétration de la presse chrétienne dans les foyers ».

4966.

ADA. 8 E 1961. Mission de Douvaine. ADA. 8 E 1961. Mission de Thônes : l’équipe d’information pour la vallée de Thônes souligne qu’il faut « dire le danger, la faute grave, de lire la presse neutre ».

4967.

ADA. 8 E 1955. Mission de la vallée de l’Arve.

4968.

ADA. 8 E 1958. Mission d’Annemasse. Compte-rendu de la prémission tenue du 25 janvier au 2 février.

4969.

Écho de la Vallée Verte, p. 10.

4970.

ADA. 8 E 1958. Mission d’Annemasse. Compte-rendu de la prémission tenue du 25 janvier au 2 février.

4971.

ADA. 8 E 1958. Mission de la Vallée Verte. Pochette Boëge.

4972.

Ibid.

4973.

ADA. 8 E 1958. Mission d’Annemasse. Rapport de la pré-mission.

4974.

Ibid. Objectifs de la mission. En 1963, la mission de Thonon-Bellevaux insiste également sur le monde ouvrier, notamment parce que ce secteur connaît des transformations économiques importantes avec l’abandon progressif du travail de la terre au profit de l’industrie.

4975.

Ibid.

4976.

ADA. 8 E 1955. Mission de la vallée de l’Arve. Présentation de la paroisse de Saint-Jeoire.

4977.

Ibid. Prémission-mission, plan de travail analytique, 17 p., p. 7.

4978.

Ibid. Évangélisation des milieux.