Université Lumière Lyon 2
École Doctorale : Science de l’éducation, psychologie, info.com.
Groupe de Recherche en Psychologie Sociale
L’ennui en contexte scolaire : Représentations sociales et attributions à l’école primaire
Thèse de doctorat en psychologie
Mention : Psychologie Sociale
Sous la direction de Annik HOUEL
Présentée et soutenue publiquement le 5 juin 2009
Membres du jury :
Annik HOUEL, Professeur des universités, Université Lyon 2
Christine MORIN, Maître de conférences, Université Lyon 1
Thémis APOSTOLIDIS, Professeur des universités, Université Aix Marseille 1
Michel BATAILLE, Professeur des universités, Université Toulouse 2
Ivana MARKOVÁ, Professeur d’université, University of Stirling

Contrat de diffusion

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Dédicace

A mes sœurs…

Remerciements

Je remercie d’abord Annik Houel, qui m’a suivie pendant ces quatre années, et qui a contribué à l’aboutissement de ce travail, grâce à ses conseils, ses relectures attentives, son soutien…

Je ne remercierai jamais suffisamment Christine Morin-Messabel, sans qui rien n’aurait été possible, et qui là encore, depuis quatre ans, non seulement m’a suivie, mais m’a encadrée, cadrée, portée, supportée, motivée, remotivée… Elle m’a fait partager ce qu’était le quotidien d’une enseignante chercheuse, pas toujours simple ! Merci pour tout…

Je remercie toute l’équipe du GRePS, ancien GERA, où j’ai grandi... Je remercie Jean-Pierre Durif-Varembont, qui a eu la bonne idée de me confier une recherche sur l’ennui en Maîtrise… depuis ce sujet ne m’a plus quitté.

Merci à Patrick Scharnitzky pour ses bons conseils au bon moment ; Nicolas Fieulaine, pour tellement de choses… son soutien méthodologique, technique, théorique, moral… ; Nikos Kalampalikis pour le temps qu’il m’a accordé afin de m’apprendre et me conseiller, là encore, aussi bien au niveau théorique que méthodologique ; Frédéric Martinez, pour son aide, sa grande patience et son soutien. Merci aux doctorantes du GRePS, et merci à Sabrina et Safiétou.

Merci au personnel de l’Institut de Psychologie de Lyon 2, pour leur sympathie, leur aide, ainsi que leurs encouragements.

Merci à toute l’équipe de l’I.U.FM. de Lyon qui m’a accueillie pendant deux ans, et m’a tellement appris. Merci à Yannik Joyeux, pour sa collaboration au tout début et à la toute fin de ce travail ; à Xavier Poulard pour son aide précieuse ; à Michelle Zancarini-Fournel pour son regard toujours bienveillant. Et merci à toutes celles et tous ceux avec qui j’ai travaillé…

Merci à l’équipe du CIO de Villeurbanne, pour son accueil, pour avoir toujours pris le temps de répondre à toutes mes questions, et m’avoir montré que faire des recherches, ça peut être utile sur le terrain !

Merci bien sûr à tout-e-s les enseignant-e-s, et les élèves qui ont participé à ce travail, et tout particulièrement à Samuel et Sophie, mes souris de laboratoire depuis tant années…

Merci aux différents relecteurs et relectrices, mais surtout merci merci merci à Cédric et Sunny. Merci aussi à Fabien pour ses traductions... Merci à Gaëlle, Salima, Marion, Cédric, qui n’ont pas douté une seule seconde que j’y arriverai. Et merci à tout-e-s celles et ceux qui ont supporté au quotidien mes humeurs changeantes…

Merci à mes sœurs et à Nora, qui m’ont plus que soutenue et encouragée, merci à mes parents, à mes grands-parents, ma grand-mère, ma tante, pour l’admiration que je peux lire dans leurs yeux, et qui me porte.

Et merci à tous ces anonymes, qui un jour m’ont demandé ce que je faisais, et le sujet de ma thèse…

[Epigraphe]

La France s’ennuie
« La jeunesse s’ennuie (…). Seuls quelques centaines de milliers de Français ne s’ennuient pas : chômeurs, jeunes sans emploi, petits paysans écrasés par le progrès, victimes de la nécessaire concentration et de la concurrence de plus en plus rude, vieillards plus ou moins abandonnés de tous. (…) Mais n’y a-t-il pas vraiment d’autre choix qu’entre l’apathie et l’incohérence, entre l’immobilité et la tempête ? Et puis, de toute façon, les bons sentiments ne dissipent pas l’ennui, il contribue plutôt à l’accroître. (…) Un pays aussi peut périr d’ennui. »

Editorial dans Le Monde, 15 mars 1968,
Pierre Viansson-Ponté’