Entre le calcul et le rêve

Les projets d’embellissement de la capitale publiés dans le Journal de Paris définissent également deux façons d’approcher et de maîtriser l’espace : la promenade et le plan, représentées, dès les premières lettres, par le “Marin” et “Pro Patria”. Si le premier se donne pour un esprit infatigable et énergique, spirituel et moqueur, curieux et imaginatif, le second conçoit des idées urbanistiques en homme doué de sang froid, et d’une réflexion lente, attachée à la raison et à l’utilité.

Le promeneur arpente allègrement la capitale d’un bout à l’autre, à la recherche de nouveautés en matière d’embellissements, l’autre met en place des projets concernant l’ensemble de la capitale, le plan de la ville déployé sous les yeux. La promenade à travers les rues de la ville occasionne une vision concrète, tridimensionnelle de l’espace urbain, le lecteur est tenté à son tour de tourner de façon imaginaire autour des monuments, d’élever ’ses yeux pour regarder une statue ou d’embrasser du regard une magnifique vue depuis un pont de la capitale1568.

Le partisan du plan général est surtout occupé par la géométrie d’ensemble de la ville, il offre une vue à vol d’oiseau, un tableau plus abstrait, avec une portée totalisante. Le plan de la capitale comme moyen de conception et de communication des projets est le sujet central de plusieurs lettres au Journal, et le signe d’une vision raisonnée de la ville. Rédiger son projet d’embellissement, le plan de Paris sous les yeux, comme avoue le faire “Le Bon, Parisien”, représente une garantie de validité de celui-ci. Un plan de Paris arrêté par le‘ ’Conseil du Roi, qui “‘ fixera tous les projets de destructions et de réédifications ’”‘ , ’serait utile, selon “Le Bon”, pour que‘ ’“‘ les Propriétaires actuels, ’ ‘ les vendeurs et acquéreurs futurs sachent le terrain dont ils jouissent, qu’ils voudront vendre ou acquérir ’”1569.

Devenu instrument de maîtrise de l’espace urbain réduit à une seule dimension, le plan sert à la fois à la réforme de la ville et à la spéculation immobilière. De son côté, “Pro Patria” propose la constitution d’un‘ ’“‘ plan de réformation dans les constructions qui forment la Ville de Paris ’”‘ , ’dressé par un groupe d’architectes‘ ’“‘ habiles ’”‘ ’et‘ ’“‘ désintéressés ’”‘ , ’soumis au débat public, arrêté par le Conseil de la Ville et exposé dans une des salles de l’Hôtel de Ville1570. ’Le plan est l’image géométrale de la ville, sa projection idéale et abstraite, sa représentation réduite et simplifiée, qui permet une maîtrise générale et uniforme du territoire urbain. Le recours à la géométrie revient constamment dans les lettres des correspondants, désireux de percées et d’alignements pour un centre trop étroit et labyrinthique.

L’expansion effrénée de la ville, privée désormais de ses limites murées, est perçue comme une absence de repères, d’où le besoin d’un lecteur de rétablir le centre de la capitale, le point où se nouent les rues majeures, pour y emplacer‘ ’“‘ une Tour de cent et tant de pieds ; au haut de laquelle on pratiquera une espèce d’observatoire, où sera nuit et jour une sentinelle chargée de veiller sur les incendies ’”1571. ’L’étalage de chiffres est une autre stratégie de rendre un projet plus crédible aux yeux du public. Pour défendre le projet de trottoirs pour la nouvelle Comédie Française, réalisée par les architectes Peyre‘ ’et Wailly, le correspondant “Piéton” s’adonne à des calculs censés prouver tous les avantages sans précédent de l’entreprise1572. ’La construction de la coupole de la nouvelle Halle de blé est présentée comme un triomphe de calculs ingénieux mêlés à une‘ ’“‘ économie prodigieuse ’”, une grande dépense de talent et de procédés soutenue par une dépense minimale de matériaux et d’argent, ayant pour résultat un colosse architectural‘ ’“‘ de 120 pieds de diamètre ’”‘ , ’à savoir‘ ’“‘ une circonférence de 378 de pieds de moins que le fameux Panthéon de Rome, la plus grande voûte connue ’”1573.

Mais ce qui est impressionnant à propos des projets urbanistiques publiés par le Journal de Paris, c’est leur caractère très pratique, leur souci pour le détail, leur préoccupation constante de proposer des idées d’embellissement de la capitale dans les limites du raisonnable et du réalisable.‘ ’“‘ Je n’ose proposer de renverser la ville pour la mettre à neuf, avoue un correspondant, dans la crainte de ’ ‘ passer pour un homme extravagant ’”1574. ’Nous avons vu d’ailleurs, l’homme à projets extravagant, tel celui qui avait reconstruit Paris à sa façon, dans son grenier, avec des jeux de cartes, ne passe pas pour quelqu’un parfaitement sain d’esprit et son histoire n’a pas de fin heureuse. Aussi les faiseurs de projets sentent-ils le besoin de se justifier aux yeux du public :‘ ’“‘ ce que je propose ici n’est point une chimère, n’est point une dépense ’”1575, précise un correspondant du Journal, alors qu’un autre avertit :‘ ’“‘ Ce ne sont pas des Châteaux en Espagne que je propose ’”1576. ’Persuadé que même les projets qui passent apparamment pour raisonnables ou réalisables contiennent des idées susceptibles d’induire le public en erreur, de le nourrir d’idées chimériques, un correspondant déclare écrire au Journal en qualité de censeur de tous ceux qui ont déjà publié, dans le quotidien et ailleurs, leurs idées urbanistiques : “‘ Je ne fais point de projets, je me borne pour l’instant à voir si ceux que l’on propose pour Paris sont exéxutables ; je m’aperçois souvent que faute d’observation et de travail, on en impose au Public par des idées chimériques qui ont quelque apparence de réalité ’”1577. ’Le chasseur de chimères observe également que l’erreur fondamentale de ceux qui produisent des projets non exécutables est de se servir de mauvais plans de la ville.

Faut-il conclure que les faiseurs de projets urbanistiques du Journal embrassent exclusivement la voix de la raison ? Si l’on s’empresse d’exprimer la méfiance quant aux projets utopiques de réformation de la capitale, on se montre tout de même tolérant avec les‘ ’digressions badines de “L’Hermite de Pyrénées”, qui s’amuse à imaginer des projets pharaoniques, mêlant allégrement des idées déjà avancées dans d’autres projets avec des images utopiques. Selon “L’Hermite”, la réformation de la capitale est entravée par deux difficultés : d’abord, l’inefficacité comme trait de la nature humaine et défaut national :‘ ’“‘ l’homme, note-t-il, [est] souvent plus heureux en projets qu’en exécutions, surtout les Français ’”1578. ’D’autre part, il remarque le caractère irrécupérable de la capitale, telle qu’elle se présente aux contemporains :‘ ’“‘ il faudrait refaire totalement Paris, pour que cette Capitale eût seulement une ombre de rapport avec les célèbres villes de l’Antiquité ’”1579.‘ ’La réforme de Paris n’est possible, aux yeux de “L’Hermite” qu’“‘ idéalement ’”‘ , ’en faisant réaliser‘ ’“‘ le plus beau plan de la ville ’”‘ , ’fruit de la compétition des plus habiles artistes.

Ce n’est donc pas une réforme concrète de la capitale que propose “L’Hermite”, qui se montre plutôt pessimiste là-dessus, mais un plan idéal, un‘ ’“‘ beau rêve ’”‘ , ’comme il l’appelle, une somme d’idées grandioses à transmettre à la postérité. Et tout comme dans un rêve, les images de cette ville idéale s’entassent à profusion, sans aucun souci de connexion logique, ni d’une éventuelle réalisation :

‘Que le génie de nos plus célèbres Artistes n’ait point de bornes : qu’ils puissent réunir toutes les beautés des Arts Babyloniens, Egyptiens, Grecs et Romains, même Arabesques et Chinois ; que tous les ordres d’Architecture puissent y être exprimés dans leur plus vive splendeur. Prodiguons les Fontaines, les Canaux, les Bains publics, les Ponts, les Amphithéâtres, les Cirques, etc. etc. Reculons encore les barrières de ce nouveau Paris ; divisons-le en autantde quartiers nécessaires pour séparer les Artistes bruyants de ceux qui sont paisibles ; les hôtels superbes des riches et des habitations simples et commodes des citoyens modestes. Décorons-le de places immenses où le commerce puisse briller dans tout son lustre : que des toits Babyloniens couvrent cette grande Cité ; que l’air circule sans obstacles dans toutes les rues alignées ; que de vastes portiques offrent en tout temps des abris salutaires contre l’intempérie des saisons… Que le Palais de nos Rois soit au centre et que nos Temples prennent des formes plus analogues à leur objet1580.’

Telle est, selon “L’Hermite des Pyrénées”, l’image de Paris digne d’être transmise à la postérité : une image idéale, de rêve, une accumulation d’éléments prestigieux et syncrétiques, de styles architecturaux et de bénéfices pratiques, libérée du souci concret du détail et de leur co-existence cohérente. L’idée de ville idéale de “L’Hermite” a cependant le goût d’une superchérie plaisante. Comme il considère avec pessimisme la possibilité de réforme de la capitale, il souhaite que, le jour où la postérité mettra au jour, à travers des fouilles, son plan idéal “‘ gravé sur l’airain en plusieurs planches numérotées ’”1581, ’celui-ci soit pris pour l’image réelle de la ville. Si la capitale dont il rêve n’est pas, à ses yeux, réalisable, il s’amuse à faire‘ ’croire au moins à la postérité, qu’elle a vraiment existé. En sa qualité d’“Hermite des Pyrénées”, il ne manque pas non plus de plaisanter à propos du caractère utopiqe de son projet :‘ ’“‘ on ne boit point impunément aux eaux de la Garonne et l’on n’est pas si près de l’Espagne sans être tenté d’y faire des châteaux ’”1582.

Soucieux de l’héritage que les Parisiens vont transmettre à la postérité, “L’Hermite” propose la construction, au cœur de la capitale, d’une‘ ’“‘ pyramide encyclopédique ’”1583, ’dont les profondes entrailles serviraient de dépôt sûr de toutes les connaissances essentielles pour la‘ ’“‘ félicité de l’homme ’”, sous formes de modèles réduits1584 ’(idée qui ne peut pas ne nous faire penser à la pyramide du Louvre). Jamais à court d’idées et toujours prêt à avouer au‘ Journal ’les‘ ’“‘ écarts de [son] imagination ’”, l’ingénieux “Hermite” abandonne en fin de compte son projet de “‘ pyramide encyclopédique ’”‘ , ’pour confier‘ ’“‘ l’elixir de toutes les connaissances (…) essentielles à la félicité de l’homme ’”‘ , ’enfermées “‘ en bouteilles hermétiquement bouchées ’”‘ , ’aux entrailles de la plus haute montagne des Pyrénées. La nature l’emporte finalement sur la ville lorsqu’il s’agit de sauvegarder les productions de l’esprit humain des ravages du temps.

Si “L’Hermite”, avec ses images utopiques de la capitale, représente un cas isolé dans la foule de projets d’embellissement publiés dans le quotidien de Paris, les autres réflexions sur la ville ne relèvent pas toujours de la géométrie et de l’ordre. L’image de la capitale qui se construit à travers les textes brefs envoyés par les citadins au Journal est celle d’une ville qui cherche une nouvelle identité entre la raison et le rêve. Si les lecteurs souhaitent une capitale avec des rues plus larges et alignées, ils n’hésitent pas à refuser la symétrie et à soutenir un espace urbain réglé à la fois par l’ordre et la variété. “Pro Patria” se déclarait “‘ ennemi de la froide et insipide symétrie des rues ’”1585. ’En proposant la décoration de la pompe de la Samaritaine comme alternative à sa destruction, Cochin montre qu’au lieu de boucher la vue, elle la sauve de la monotonie des maisons mitoyennes :

‘J’oserai encore vous assurer qu’il n’est point d’Artiste qui, ayant à dessiner cette vue, ne fut charmé d’y rencontrer ce petit bâtiment pour interrompre l’uniformité ennuyeuse de cette longue suite de maisons. Les grands espaces vides d’objets variés sont très insipides : je dis plus, un Artiste ingénieux, l’inventerait s’il ne l’y trouverait pas1586.’

Il est intéressant de voir que l’on invoque la sensibilité artistique comme preuve de validité d’un projet. La ville où l’on veut vivre est celle du confort et de la sécurité, et en même temps, on s’efforce de la voir à travers l’œil de l’artiste, d’en apprécier les coins pittoresques, vifs en couleurs et animés, qui pourraient facilement offrir des sujets pour les tableaux du Salon de peinture1587. La capitale est perçue à la fois comme plan qui géométrise l’espace et comme tableau qui éveille les émotions. Tout en se gardant de glisser, par leurs projets, dans le pays des “chimères” et des “châteaux en Espagne” les correspondants du Journal avouent leur penchant pour le rêve. Le Marquis de Villette“‘ voit déjà ’”‘ ’son projet de statue du Roi sur le pont Notre-Dame, comme dans un rêve éveillé. Un autre lecteur remercie le Corps municipal qui, précise-t-il,‘ ’“‘ réalise aujourd’hui les rêves que faisaient depuis un siècle les bons Parisiens sur les embellissements et la salubrité de la Cité ’”1588.‘ ’La ville comme tableau et comme rêve individuel ou collectif sont deux représentations qui concentrent le désir des lecteurs du Journal d’une capitale qui soit non seulement un espace de l’ordre, mais aussi de l’épanchement émotif.

Le Paris des correspondants du quotidien n’est pas une ville qui fonctionne avec la perfection d’un mécanisme de précision, mais d’un espace qui s’adapte et s’améliore sans cesse par de multiples et souvent pénibles transformations et métmorphoses, abattements et démolitions, réaménagements et restructurations, afin de devenir plus commode et plus agréable à vivre, et qui favorise à la fois l’épanouissement de l’individu et celui de la collectivité. Entre le désordre actuel de la ville et l’idée de perfection rationnelle s’ouvre la voie moyenne d’une reconstruction pas à pas, patiente et tâtonnante, en accord avec les usages et les comportements nouveaux. Le but des projets n’est donc pas de construire une ville parfaite, mais une ville conçue comme une entité vivante, espace ouvert au mouvement‘ ’et à tous les échanges, et en même temps, propre à l’éclosion d’une société plus harmonieuse. Les projets d’embellissement du Journal de Paris évoluent, il nous semble, entre la vision abstraite et géométrisée de la ville réduite comme plan et celle des tableaux vivants d’une capitale débordant de vie et de joie, ou, pour citer un lecteur, entre la nécessité du calcul et le besoin de rêve :

‘J’avoue qu’il est facile d’ouvrir des places et de former des rues à coup de plume ; et que souvent en pareil cas on se rit de l’Auteur. D’ailleurs, j’ai contre moi le plus grand de tous les arguments ; celui du calcul. Tel est le sort de tous les projets de ce genre. Mais enfin je soumets le mien, tel qu’il est, aux lumières du Public et des gens de l’art. Je ne peux que former des vœux pour son exécution. Si elle n’a pas lieu, j’aurai du moins fait un beau rêve1589.’

L’absence du calcul peut être entendue d’un double point de vue. D’une part, elle constitue une limite du projet d’embellissement, dans la mesure où celui-ci manque d’un support de précision pour aspirer à sa réalisation. Les projets urbanistiques publiés par le quotidien n’offrent qu’une perspective partielle de la ville, composée d’une série réduite d’éléments sur lesquels on revient continuellement, laissant en revanche dans l’ombre une bonne partie du tissu urbain. Ce procédé débouche forcément sur une vision morcelée, fragmentée et incomplète de l’espace urbain, faite de pleins et de vides, menée un peu au hasard de la plume ou des pas des promeneurs qui veulent réformer la capitale. La ville reconstruite sous la plume du faiseur de projets, a en quelque sorte la fragilité de sa version construite avec des jeux de cartes. D’autre part, la grande force du projet d’embellissement, dans sa forme épistolaire prédominante, tout comme celle du périodique quotidien qui lui sert de véhicule et de miroir, consiste en sa capacité à attiser et à entretenir, de façon vigoureuse et joviale, la flamme du débat public.

Notes
1568.

“(…) je me suis promené autour d’un monument digne de fixer nos regards, et qui, ce me semble, pourrait bien servir de modèle pour la commodité et la fierté du Public. Je veux parler de la Halle au bled”, Ibidem, 13 décembre 1780, “Variété” ; “La curiosité m’avait conduit à Saint Sulpice pour examiner les ouvrages extérieurs du Portail: de loin j’ai perçu une charpente immense dont la légèreté m’a rappelé celles que j’avais vues à Rome; (…) comme je passais sur le quai, j’ai aperçu une galerie ouverte à la galerie du Louvre, Ibidem, 4 mars 1777, “Arts, Seconde lettre du Marin”.

1569.

Ibidem, 30 novembre 1787 “Variétés, Lettre sur les Embellissements de Paris aux Auteurs du Journal”.

1570.

Ibidem, 4 juin 1777, “Arts”.

1571.

Ibidem, 30 novembre 1787 “Variétés, Lettre sur les Embellissements de Paris aux Auteurs du Journal”.

1572.

Comparez maintenant cette largeur avec celle de la rue de Richelieu, à l’angle de la Bibliothèque du Roi, et vous trouverez que la rue nouvelle aura dix pieds et demi de plus, et qu’il n’y en a presque pas dans Paris qui puisse soutenir le parallèle pour la beauté”, Ibidem, 28 novembre, “Variétés”.

1573.

Ibidem, 2 février 1783, “Architecture”.

1574.

Ibidem 2 janvier 1788, “Variété”.

1575.

Ibidem, 2 mars 1788, “Variété”.

1576.

Ibidem, 29 mars 1788, “Variété”.

1577.

Ibidem, 22 décembre 1787, “Variété”.

1578.

Ibidem, 30 août 1786, “Variété”.

1579.

Ibidem.

1580.

Ibidem.

1581.

Ibidem.

1582.

Ibidem.

1583.

“L’Hermite des Pyrénées” imagine de pouvoir conserver un concentré des lumières de l’esprit humain par le biais du travail des aveugles: “(…) extraire la moelle et la substance des ouvrages qui méritent l’immortalité et d’en confier l’impression en relief aux intéressants Aveugles, que le tant respectable M Haui a la charité d’instruire… Qu’il serait beau de voir conserver la lumière par les mains de la cécité, Ibidem, 30 juillet 1786, “Variété, Aux Auteurs du Journal”.

1584.

“(…) je voudrais seulement qu’on modelât en petit toutes les machines nécessaires à faciliter les travaux des hommes, dans le genre utile.(…) il y aurait place, dans son intérieur et le souterrain qu’on y pratiquerait en voûte sans bois ni fer pour y déposer non seulement les modèles de ce qu’on a inventé jusqu’à présent, absolument essentiel à la félicité de l’homme, mais encore tout ce que le génie pourrait créer dans l’avenir”, Ibidem, 26 août 1786, “Variété, Aux Auteurs du Journal”.

1585.

Ibidem, 20 juillet 1777, “Aux Auteurs du Journal”.

1586.

Ibidem, 7 juin 1777, “Arts, Aux Auteurs du Journal”.

1587.

Ibidem, 29 mars 1788, “Variétés, Lettre du Baron de Thunder aux Auteurs du Journal”.

1588.

Ibidem, 17 février 1788, Variétés, “Aux Auteurs du Journal”.

1589.

Ibidem, 13 mars 1786, “Variété, Aux Auteurs du Journal”. (Les soulignements nous appartiennent.)