Université Lumière Lyon 2
École doctorale : Sciences de l’éducation, psychologie, info. com
Institut des Sciences de l’Information et de la Communication
Équipe de recherche de Lyon en sciences de l'information et de la communication
Élaboration d’une théorie des représentations culturelles des identités politiques.
L’exemple de la politique culturelle du Front national de 1986 à 1998.
Thèse de doctorat en Sciences de l’Information et de la Communication
sous la direction de Bernard LAMIZET
présentée et soutenue publiquement le 28 janvier 2009
Devant un jury composé de :
Patrick CHARAUDEAU, Professeur des universités, Université Paris 13
Bernard LAMIZET, Professeur des universités, Institut d’Études Politiques de Lyon
Jacques WALTER, Professeur des universités, Université de Metz

Contrat de diffusion

Ce document est diffusé sous le contrat Creative Commons «  Paternité – pas d’utilisation commerciale - pas de modification  » : vous êtes libre de le reproduire, de le distribuer et de le communiquer au public à condition d’en mentionner le nom de l’auteur et de ne pas le modifier, le transformer, l’adapter ni l’utiliser à des fins commerciales.

Remerciements

Dans La secte des égoïstes, Eric-Emmanuel SCHMITT écrivait ceci : « Lassé d’avoir fiché, noté, annoté, relevé, discuté, médité tout le jour, les yeux usés et la main lourde, je posai ma plume et repoussai ma chaise» 1 . Je n’aurais pas pu poursuivre mon aventure doctorale si je n’avais pu compter en permanence sur de nombreuses personnes qui m’ont tendu la main quand le doute m’envahissait. Je tiens à leur consacrer ces quelques mots.

Tout d’abord, je souhaite remercier, tout particulièrement, mon directeur de thèse, Bernard LAMIZET, qui est à la source de ma démarche doctorale. Sa rigueur et son souci de clarté m’ont aidé à aller plus loin et à remettre en question certains fondements. Sa confiance en moi aura été un atout essentiel durant ces années de recherche.

Mes remerciements vont également aux pré-rapporteurs et membres du jury, Monsieur Patrick CHARAUDEAU et Monsieur Jacques WALTER.

Je tiens à remercier mes amis qui m’ont supporté et ont su gérer mon stress, mes doutes, mes humeurs, etc… Merci donc à Yannick, Nathalie, Catherine et Pascal, pour tous ces moments agréables, pour leur patience et leur compréhension. Merci d’être toujours à mes côtés !

Deux remerciements particuliers à Cathy et Céline, pour avoir su gérer mes silences, pour avoir su faire « monter le stress », et surtout pour, comme dans toutes les étapes importantes de ma vie, m’avoir rassurée au quotidien me témoignant ainsi de leurs affections.

Enfin, je tiens tout particulièrement à présenter mes plus chaleureux remerciements à mes parents et à ma sœur. Bien que cette thèse représentait à leurs yeux une sorte d’immense point d’interrogation, ils ont toujours cru en moi en m’encourageant à aller plus loin. Mes réussites sont aussi les leurs.

Liste des abréviations

A.B.F. : Associations des Bibliothécaires Français

A.F.P. : Agence France Presse

B.P.I. : Bibliothèque Publique d’Information

C.A.R. : Comités d'Action Républicaine

C.A.V. : Coordination des Associations Vitrollaises

C.N.A.L. : Comité National d'Action Laïque

C.N.A.P. : Centre National des Arts Plastiques

C.N.I.L. : Commission National de l’Informatique et des Libertés

C.N.R.S. : Centre National de la Recherche Scientifique

C.S.A. : Comité Supérieur de l’Audiovisuel

C.S.P. : Catégories Sociaux Professionnelles

D.E.P. : Département des Études et de la Prospective du Ministère de la Culture et de la Communication

D.L.P. : Diffusion Libre et Presse

D.R.A.C. : Direction Régionale des Affaires Culturelles

F.N. : Front National

F.N.A.C. : Fonds National d’Art Contemporain

F.N.J. : Front National de la Jeunesse

F.R.A.C : Fonds Régional d’Art Contemporain

F.U.J.P. : Forces Unies de la Jeunesse Patriotique

G.A.J. : Groupes Action Jeunesse

G.R.E.C.E. : Groupement de Recherches et d’Etudes pour les Civilisations Européennes

H.L.M. : Habitation à Loyer Modéré

I.A.C. : Institut d’Action Culturelle

I.F.N. : Institut de Formation Nationale

M.J.R. : Mouvement Jeune Révolution

M.S.F. : Mouvement Solidariste Français

M.S.I. : Movimento Sociale Italiano

N.T.I.C. : Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication

O.A.S. : Organisation Armée Secrète

P.A.C.A. : Provence Alpes Côte d’Azur

P.S. : Parti Socialiste

R.I.F. : Rock Identitaire Français

R.P.R. : Rassemblement Pour la République

S.E.R. : Service d’Études et de Recherches

S.E.R.P. : Société d’Études et de Relations Publiques

S.I.C. : Sciences de l’Information et de la Communication

T.I.C. : Technologies de l’Information et de la Communication

T.N.D.I. : Théâtre National de la Danse et de l'Image

U.D.R. : Union Des Républicains

V.A.C.C.I.N. : Vigilance Art Culture Contre les Idées Noires

Avant-propos

L’établissement d’une rétrospective des divers ouvrages portant sur notre objet de recherche, nous a permis de faire le constat suivant : les nombreuses études, rapports, articles ayant pour sujet le Front national, ne se sont que rarement intéressés à la question du rapport entre le Front national et la culture. En effet, la majorité des études traitent de sujets mis en avant par le F.N. comme par exemple l’immigration, la sécurité, la préférence nationale.

Forte de notre envie de témoigner 2 et de participer à l’analyse des signes et de la médiation du F.N. sur la scène politique française, nous avons consacré nos différents travaux universitaires à ce sujet. Notre mémoire de maîtrise abordait le sujet des politiques culturelles du Front national par l’illustration d’une étude de terrain sur la ville de Vitrolles. L’année universitaire de DEA a confirmé notre volonté de compléter cette étude et nous nous sommes interrogée sur le fondement des politiques culturelles à travers la problématique suivante : « Comment la médiation culturelle dans le domaine du spectacle vivant constitue-t-elle une façon de refonder le politique ? ».

L’aboutissement de notre réflexion et de nos études nous a amenée à formuler le sujet suivant : « Élaboration d’une théorie des représentations culturelles des identités politiques : l’exemple de la politique culturelle du Front national de 1986 à 1998».

Le corpus fera apparaître différents types de représentations (musique, peinture et spectacle vivant), et différents lieux (à savoir les villes qui ont été administrées par le Front national, ainsi que les conseils régionaux et généraux dans lesquels ont siégé des élus frontistes). Aussi, nous avons été amenée à étudier, outre les ouvrages relatifs aux politiques culturelles françaises et au Front national, le site Internet du Front national, les différents discours des dirigeants et élus frontistes, ainsi que les ouvrages rédigés par les membres de ce parti, essentiellement ceux qui traitent des questions culturelles ou qui les abordent.

Nous regrettons de n’avoir pu obtenir tous les programmes culturels de campagne des diverses élections que couvre notre recherche3, mais l’émergence des nouvelles technologies et notamment d’Internet, nous a permis d’obtenir de nombreuses archives par le biais de divers sites institutionnels. En effet, la plupart des documents internes non-officiels ont été mis en ligne sur les sites de différents organes de presse et associations.

[I] La période étudiée

Au cours des douze années que couvrent nos travaux (1986-1998)4, le Front national est devenu un acteur à part entière de la scène politique grâce essentiellement aux résultats obtenus aux différentes élections5. Nous avons choisi de nous arrêter en 1998, date charnière d’un « renouveau frontiste » marqué par la scission entre les dirigeants et par la perte des différentes mairies. De nombreux événements sont à l’origine d’une tension entre Jean-Marie LE PEN et Bruno MEGRET. La nomination de Bruno MEGRET au poste de délégué général responsable de la communication et de la formation, va lui permettre d’accroître à la fois son influence au sein du parti, mais surtout la confiance et la reconnaissance des dirigeants et des militants. Issu de la Nouvelle droite, tout comme de nombreux autres cadres du parti6, Bruno MEGRET, a progressivement imposé, au sein du F.N., ce courant favorable au combat culturel.

Le 5 novembre 1992, au Bourget, Jean-Marie LE PEN fête les vingt ans du Front national. La ligne qu’il défend est consacrée à la présentation et à la discussion d’un projet de programme pour les élections législatives de mars 1993. Intitulé 300 mesures pour la renaissance de la France 7 , ce projet englobe tous les sujets et donne une vision complète de «l’alternative nationale » qu’appellent de leurs vœux les dirigeants lepénistes. La culture fait, pour la première fois, partie intégrante de ce programme et en devient un élément privilégié.

La victoire à l’élection municipale partielle de Vitrolles, le 9 février 1997, à la majorité absolue des suffrages exprimés, puis l’élection de Bruno MEGRET au comité central, lors du Xe congrès du F.N. à Strasbourg du 29 mars au 1er avril 1997, consacra la progression du clan mégrétiste au sein du parti d’extrême droite8. Jean-Marie LE PEN est certes réélu sans difficulté, mais Bruno MEGRET contrôle dès lors l’appareil politique. Après un désaccord concernant son éventuelle candidature aux élections européennes de 1999, pour remplacer Jean-Marie LE PEN menacé d’inéligibilité, suite à la plainte de la candidate socialiste Annette PEULVAST-BERGEAL qu’il avait « bousculée » en 1997, Bruno MEGRET est suspendu du parti. Le numéro 2 du F.N. ne s’en va pas seul, de nombreux cadres le suivent. La médiatisation de la scission du F.N. a notamment mis en valeur le fonctionnement despotique du Front national. Jean-Marie LE PEN a préféré la fracture avec son principal lieutenant en décidant de nommer sa deuxième femme Jany LE PEN, tête de liste des élections européennes de 1999, plutôt que de lui laisser ce privilège. Fondateur et leader du F.N., Jean-Marie LE PEN n’entend pas céder sa place aussi facilement. La scission du F.N. qui a eu lieu le 24 janvier 1999 lors du congrès extraordinaire de Marignane, a scindé le parti : le Front national est depuis concurrencé par le Front national-Mouvement National (qui prendra le nom de Mouvement National Républicain à la suite d’une décision de justice) présidé par Bruno MEGRET9.

Cette scission ainsi que la perte des mandats électoraux municipaux marque la fin de cette étude. Notre réflexion étant basée à la fois sur les programmes mais aussi sur leurs mises en œuvre par les municipalités, il nous est paru légitime de nous restreindre à cette période.

[II] L’impartialité du chercheur face à l’objet d’étude

Tout comme lors de nos précédents travaux, la réalisation de ces recherches suppose de disposer de méthodes d’analyse les plus impartiales possibles. Nous avons constaté, à cet égard, combien il est difficile dans le cadre d’un travail de recherche élaboré sur plusieurs années, de faire abstraction de ses propres préférences. Le statut de chercheur nous place dans un rôle d’observateur, d’analyste et de critique, qui se fonde sur des documents précis.

Malgré tout, travailler sur un objet d’étude appartenant au champ politique, implique naturellement l’existence d’opinions et de réflexions personnelles. Nous entendons par là que tout discours critique est politique. Sans pour autant présenter une étude rédigée dans la ferveur d’un militantisme anti-F.N., nous souhaitons préciser, dès à présent, que notre idée de la politique et nos opinions personnelles ne correspondent pas à celles du Front national.

[III] Les principaux concepts du F.N.

L’élaboration d’une théorie des représentations culturelles des identités politiques implique de définir certains concepts élaborés par le F.N. dans le domaine de la médiation culturelle. Nous estimons en effet qu’une analyse critique du discours du F.N. sur la culture et sur les politiques culturelles nécessite de présenter les définitions, telles qu’elles sont exprimées par le F.N., des concepts de « culture », de « civilisation », et d’« identité ».

[A] Culture

En 1982, Jean-Marie LE PEN, dans son ouvrage Pour la France 10 , propose la première définition officielle de ce terme en expliquant que « [l]a culture, ce n'est pas un simple divertissement, ce n'est pas seulement les beaux-arts, c'est aussi le support symbolique d’attitudes, de règles, de représentations collectives, de symboles, de signes, de moeurs qui constituent une identité. Bref une culture est l’ensemble des façons de penser, d’agir, de sentir qui sous-tendent le système des valeurs d’un peuple et qui font son identité» 11 . Cette définition illustre selon nous l’approche normative de la culture, telle qu’elle est conçue par le F.N., c’est-à-dire en termes de lois et d’impératifs.

Cinq années plus tard, dans l’article publié dans l’ouvrage de Jean-Marie LE PEN, Une âme pour la France 12 , Bruno MEGRET reprend une partie de cette définition : « la culture, ce n’est pas seulement les beaux-arts et les belles lettres, les musées et les monuments historiques. C’est d’abord l’ensemble des normes, des mythes, des règles, des valeurs qui fondent notre société et qui nous ont faits ce que nous sommes. Elle n’est donc pas seulement l’expression actuelle de l’art et de la création, elle est le fruit d’un très long effort collectif qui plonge ses racines dans la nuit des temps, héritage mille fois métamorphosé de la longue lignée dont nous sommes issus. […] Puisque la culture est tout ce qui se rajoute à notre nature : est culture façon de célébrer la naissance et la mort, l’attitude face à la vie» 13 .

Nous souhaitons relever le fait que le terme « culture » n’est pas défini dans le programme de 1993, 300 mesures pour la renaissance de la France : l'alternative nationale : programme du gouvernement.

[B] Civilisation

Comme l’a rappelé Bruno MEGRET lors d’une conférence14 intitulée « Civilisation contre barbarie. Lorsque le système politico médiatique affaiblit nos valeurs »,« [u]ne nation n'a de sens qu'au regard de la distinction entre nationaux et étrangers ». La notion de « civilisation » exprime la dimension exclusive de l’identité prônée par le Front national qui compare la société à une « construction organique [faite] de cellules, de groupes humains bien identifiés, organisés, hiérarchisés qui, par définition, n'existent qu'en excluant ceux qui ne peuvent en faire partie ».15 L’utilisation de l’adjectif « hiérarchisé » s’inscrit également dans une approche normative de la culture.

Sur le plan culturel, le terme « civilisation » est défini pour la première fois dans le programme de 1993, 300 mesures pour la renaissance de la France : l'alternative nationale, plus précisément dans la partie « Liberté ».

« La « civilisation » est à la fois état et mouvement. Elle est état en ce sens qu’elle forme un tout ordonné, produit du Beau, du Bien et du Vrai dans tous les ordres de l’activité humaine : la civilisation française est autant dans sa gastronomie que dans ses cathédrales, dans l’harmonie de ses paysages […] que dans la perspective des jardins de Versailles. Elle est mouvement en ce sens qu’elle propose un modèle vivant dont chaque génération s’inspire pour le porter plus loin, plus haut, à la fois enrichi et différent».

[C] Identité

Bien qu’il constitue le socle de l’appareil idéologique du parti, la signification et l’interprétation du terme « identité » ne sont données que dans la partie « Liberté » du programme de 1993, 300 mesures pour la renaissance de la France : l'alternative nationale : programme du gouvernement 16  :

‘« L’identité au sens le plus banal, pour un individu, c’est d’être ce qu’on est, c’est-à-dire de rester soi-même au cours de la vie et différent des autres ».’ ‘« L’identité de la France découle de son passé commun, de valeurs philosophiques et morales issues de la civilisation chrétienne qui est la nôtre, elle-même pour partie héritière de la civilisation gréco-latine qui l’a précédée. Cette identité s’exprime dans des coutumes, des mœurs, un mode de vie. »’

Ces différentes définitions vont être analysées tout au long de notre recherche. Nous avons néanmoins choisi de les relever et d’en commenter l’emploi afin de poser, dès à présent, notre objet d’étude.

Notes
1.

Eric-Emmanuel SCHMITT, Paris, Livre de poche, 2004, p.10

2.

En 1998, nous avons effectué notre année de licence en Sciences de l’Information et la Communication au sein de l’Université de Provence, située à Aix-en-Provence. Active sur le plan culturel grâce notamment à l’élaboration et à la rédaction d’un journal étudiant d’informations culturelles, empreinte, nous avons pu nous rendre compte, sur le terrain, des actions culturelles mises en œuvre dans les villes de Vitrolles, Orange et Marignane. Nous avons ainsi pu rencontrer de nombreux acteurs politiques et culturels de la région Provence-Alpes-Côte-d’Azur, et partager avec eux leur expérience de l’«avant/après » élection.

3.

Nous avons en effet effectué plusieurs démarches pour obtenir des documents « officiels » (appels téléphoniques, mails, courriers) mais elles n’ont jamais abouti.

4.

Nous tenons dès à présent à rappeler quelques dates-clés de notre période d’étude

1986 : élection de 4 députés F.N. dans la région PACA (Gabriel DOMENECH, Jean ROUSSEL, Pascal ARRIGHI et Ronald PERDOMO). Le F.N. s’installe dans le jeu politique dans la région PACA

1992 : élections de 34 conseillers régionaux.

1995 : élections municipales, quatre élus F.N. deviennent maires à Toulon (Jean-Marie Le Chevallier), Vitrolles (Bruno MEGRET), Marignane (Daniel SIMONPIERI) et Orange (Jacques BOMPARD).

1997 : aux élections législatives, Jean-Marie LE CHEVALLIER obtient 53,16% des voix au second tour de la 1ère circonscription du Var.

1998 : 4 triangulaires dans les conseils régionaux de Picardie (Charles BAUR, R.P.R.), Bourgogne (Jean-Pierre SOISSON, U.D.F.), Rhône-Alpes (Charles MILLON, R.P.R.) et du Languedoc-Roussillon (Jacques BLANC, U.D.F.) Ces quatre présidents de région ont ainsi été élus grâce aux voix des élus frontistes.

1998 : scission entre les dirigeants du Front national. Bruno MEGRET crée le Mouvement national républicain (M.N.R.) auquel se rallient certains cadres du parti.

5.

Pour des informations plus détaillées sur les résultats électoraux de la période étudiée, nous vous suggérons de vous référer à l’Annexe n°1 « Résultats électoraux du Front national de 1986 à 1998»

6.

Principalement Yvan BLOT, Pierre VIAL, Jean-Yves LE GALLOU, et Jean-Claude BARDET.

7.

Cf. Annexe n°2

8.

Le délégué général y triomphait en obtenant 3 758 voix, devant son ami Jean-Yves LE GALLOU (3 439) et devant Bruno GOLLNISCH (3 398), Roger HOLEINDRE (3 381), Franck TIMMERMANS (3 362), Jacques BOMPARD (3 328), Yvan BLOT (3 316), Marie-France STIRBOIS (3 288), Carl LANG (3 287) et Damien BARILLER (3 166).

9.

Le 20 mai 2008, Bruno MEGRET a annoncé officiellement son retrait de la vie politique.

10.

Cf. Annexe n°3

11.

LE PEN (1982), p.167

12.

Cf. Annexe n°4

13.

MEGRET in LE PEN (1987), pp.99-100

14.

Cette conférence, dont le compte-rendu est disponible sur le site Internet de Bruno MEGRET, a eu lieu le 3 septembre 1993.

15.

Ibid

16.

Nous tenons à rappeler que les définitions de ces termes ont été recherchées uniquement dans les ouvrages relatifs aux questions culturelles.