2.3 Le terrorisme comme discontinuité

Dans cette seconde voie de l’axe continuité/discontinuité, c’est la spécificité de la violence vis-à-vis d’autres pratiques d’action collective qui est mise en avant. Ici l’usage de la violence et plus encore du terrorisme, marque une rupture vis-à-vis des mobilisations sociales et politiques traditionnelles. Plus que le fait social lui-même, ces modèles théoriques tentent d’interpréter les conditions du passage à la violence terroriste soit par une logique d’inversion, soit par la déviance de l’engagement violent.