b) Des projets naturalistes ancrés dans l’action

Les projets (48/52) s’inscrivent dans une perspective naturaliste et ressourciste (courants ressourcistes et naturalistes). L’environnement est alorssoit une ressource à gérer soit un milieu naturel à comprendre ou à connaître (LARRERE C. et R., 1988 ; ARNOULD P. et SIMON L., 2007). Il conserve néanmoins dans la majorité des projets un sens large, c’est-à-dire incluant l’aspect humain. Deux projets sur trois (soit 33/51) prennent en compte la dimension économique du sujet sur lequel il porte et un tiers la dimension sociale. C’est ce que montre la figure ci-dessous.

Figure 48 : Les dimensions du développement durable investies dans les projets d’EEDD
Figure 48 : Les dimensions du développement durable investies dans les projets d’EEDD

Le questionnement se construit autour de la question de la protection et de la conservation de l’environnement ce qui explique qu’un grand nombre de projets ait abouti à une action concrète. 24 des 52 projets relèvent du courant praxique (ancré dans l’action).