Deuxième hypothèse opérationnelle

Hypothèse II : Les jeunes d’origine russe et les représentants des groupes ethniques minoritaires revendiquent des identités ethniques opposées à l’idée d’une identité nationale avec comme objectif d’entrer en conflit avec les tendances d’assimilation et d’unification sur la base d’un modèle d‘Etat-Nation dominant.

Ici nous présumons que, face à la construction de l’identité nationale basée sur le composant kazakh, les jeunes Russes et les représentants des groupes ethniques minoritaires renforcent leurs appartenances ethniques comme moyen d’opposition (de résistance ou de refus) à l’identité nationale, qu’ils ressentent comme un rabaissement de leur identité de valeur.