b/ Un pouvoir charismatique

Au XIVe siècle, les fondements théoriques de la thèse populiste marsilienne sont relayés par des études du droit civique et s’expriment, dans les œuvres de Bartolo et de Baldo, en des termes juridiques à travers le concept de la lex regia 1516. L’idée que le peuple est la source de l’autorité se manifeste également dans le contexte ecclésiologique sous la forme du mouvement conciliaire1517.

Mais les penseurs médiévaux établissent une nette distinction entre la force d’action populaire et la capacité de la foule à prendre les bonnes décisions. Si le peuple doit être le moteur de toute action politique, il est essentiel qu’il ne se gère pas lui-même pour autant car cela mène à la catastrophe.

Dans l’œuvre de Nicolas de Vérone, la crucifixion du Christ et la bataille de Pharsale en sont des bons exemples. La condamnation de Jésus ne se justifie que par l’envie et la jalousie des membres du Sanhédrin et l’engagement des hostilités en Thessalie ne s’explique que par un sursaut bien inopportun d’ardeur belliqueuse. Les issues tragiques de ces deux décisions irréfléchies illustrent les thèses de Dante et de Marsile de Padoue selon lesquelles il ne faut pas que le peuple gouverne mais il faut qu’il laisse gouverner. Le pouvoir, ainsi centré autour de la personne d’un chef librement consenti, se fait charismatique.

Pour le poète franco-italien, ce pouvoir idéal est incarné par le personnage de Pompée. Dans la Pharsale, ce général romain respecté n’a de cesse d’œuvrer pour son peuple et de chercher ce qui peut être le plus favorable pour lui. L’essentiel de sa stratégie repose sur la recherche d’alliés, et non pas de vassaux. A la fin du texte, s’entretenant avec Dirotalius, le vaincu lui demande d’aller chercher du secours auprès des Turcs. Il rappelle à cette occasion sa magnanimité passée envers le peuple :

‘« E onque sor li Turs ne fis aucun asal,
Qe conquir le pooie sens trou long batistal,
Si fis ceschun de lor mien ami general.
Mien compeignon fis cil qe seroit mien vasal »1518.’

Certes, l’idée est identique dans les Fet des Romains 1519 mais le poète choisit à dessein un vocabulaire proprement féodal pour souligner la différence tactique entre un César à la recherche de vassaux et un Pompée désireux d’alliances. C’est que le modèle politique de référence a changé et que la vieille féodalité française ne correspond plus aux théories sur le gouvernement du XIVe siècle.

Or, l’attitude de Pompée se révèle efficace puisque le sentiment des guerriers envers leur chef est plus proche de l’amitié que de l’obéissance craintive :

‘Li borçois mout l’ament, ond zaschun li encline ;
Mes quand il l’ont veü venir a tel traïne,
A si petite giant, ceschun bien endevine
Qe Cesaron l’avoi(n)t sconfit celle matine.
Tor luy plurent tretuit por la cruel destine
Q’estoit le zorn corue sor la giant palatine ;
Mes por ce ne motrent ne orgueil ne haïne,
Ançois se souzmetent trestous en sa seisine,
Cum s’il aüst vencu tot la giant cesarine1520.’

Cette affection du peuple pour Pompée lors de son arrivée à Larisse est déjà présente dans la chronique en prose1521 mais le poète se plaît, plus que le compilateur, à insister sur la relation bien particulière qui unit le chef d’armée à ses hommes :

‘Li borçois de Lariçe font per luy duel e criu
E maudient fortune ch’a mis a tel coriu
La franchise de Rome e le noble bayliu,
Qar jamés tel daumaje ne fu ne tel desriu.

Ne fu de dans Lariçe ne cortois ne vilan
Que nen plurast Pompiu cum suen cuisin german.
Dou remanir proient le senator roman1522.’

Ces vers n’ont aucune correspondance dans le texte source et montrent l’affliction et les pleurs des hommes devant la défaite de Pompée. Ils mettent en lumière un nouveau type de rapports humains. Il ne s’agit plus d’obéir, de suivre les décisions du chef parce qu’il a fait ses preuves, ni de reconnaître en lui sa valeur guerrière mais bien de rester fidèle à un ami, même dans l’épreuve.

Dans la Prise de Pampelune, cette nécessité morale de constance dans les relations avec les autres est défendue par Roland qui s’oppose à ce sujet au souhait de son oncle. Charlemagne a proposé à son neveu d’acheter le siège d’un des Pairs pour l’offrir à Maozeris qui le lui a demandé en échange de sa conversion1523. En guise de réponse, Roland prône le respect dû à ceux qui se sont affirmés ou s’affirment comme compagnons :

‘« Ne conterai je mie por tot l’or de Costançe
Entre mes compeignons, car male proveançe
Feroie envers celour qe por ma bienvoilançe
Ont gerpi lor païs e lor metre abitançe
Mout par me scemblerait maovese costumançe
A gerpir suen ami por avoir la acontançe
D’un strançe qe soit pris, ou n’est pont d’afermançe »1524.’

A la différence de ce qui se passe dans les Fatti de Spagna, Roland défend les liens de druerie. Dans le texte italien en prose, il ne voit pas la moindre objection à la demande de Maozeris d’intégrer le corps des douze Pairs : « Io ve zuro suxo lo croce de mya spada s’el ve piaxerà poriti esser soto lo penone, e sarò in vostra compagnìa, s’el ve piaxerà »1525. Mais le personnage de Nicolas de Vérone prêche la loyauté. Au cœur de la problématique éthique envisagée, cette dernière s’affirme comme vertu principale.

De fait dans la Pharsale, le vaincu conseille l’opportunisme à ceux qui l’honorent encore, il leur enjoint de se tourner du côté de César, favorisé par Fortune, mais le peuple de Larisse, Mytilène ou Sélines n’est pas de cet avis. Nicolas de Vérone décrit l’insistance avec laquelle les habitants veulent retenir Pompée1526 et souligne l’importance d’offrir l’hospitalité à celui qui ne se présente pourtant pas en vainqueur. Cet épisode est le même dans les Fet des Romains 1527 mais l’éclairage est sensiblement différent : quand la chronique dépeint des hommes tout prêts à aider Pompée, mettant en avant la sûreté du lieu, la chanson de geste les montre désireux de s’honorer de l’hospitalité offerte à celui qu’ils considèrent toujours comme leur héros national :

‘« Se une nuit demores, tu nos meriras si
Qe lous e pris en aurons plus qe nul reingn basti,
Qand en ta adversité t’auromes recoili
Si bien cum se tu fustes de l’estor departi
Cum honor, cum vitoire, e Cesar fust honi »1528.’

Un même sentiment de fidélité sans borne et d’amitié profonde explique l’attitude des habitants de Sélines quand ils revoient leur seigneur :

‘Mout en ferent grand joie sens nul maovés coraçe,
Que plus le amoient qe frer ne qe soraçe1529.’

Ces deux vers résument la relation qui unit Pompée à ses hommes : amitié forte, tenace, proche de l’amour que l’on doit à un frère ou à un cousin. Nicolas de Vérone ajoute cette comparaison dans son œuvre1530 pour montrer à quel point l’autorité se comprend désormais comme une estime mutuelle et non plus comme un simple rapport de domination.

C’est la raison pour laquelle Pompée, lorsqu’il s’adresse à ses hommes, rappelle d’abord l’amitié réciproque qui les unit avant de proposer un plan ou une stratégie militaire :

‘« Segnor baron qi estes ensamble moi ici,
Ze ay prové zeschun de vous por mien ami […]
Or devisons ensamble - por amor vos en pri – » 1531.’

L’autorité de Pompée sur ses hommes s’apparente à un « pouvoir de type charismatique », c’est-à-dire concentré autour de la personne du chef et librement consenti par les hommes sur lesquels il s’exerce1532.

En ce sens, il est différent d’un « pouvoir traditionnel » dont jouissait Charlemagne dans les premières épopées et qui se légitimait par le simple poids des coutumes. Mais on a vu comment l’épopée franco-italienne modifie cette vision primitive de la monarchie carolingienne au profit de la peinture d’un monde où le statut de roi évolue jusqu’à être subordonné à celui de héros. L’autorité de Pompée et celle de Charlemagne sont alors comparables en ce que la personne du chef devient l’élément central de l’exercice du pouvoir. Précisément, dans la Prise de Pampelune, l’image de l’empereur tend à perdre de son éclat au profit d’une focalisation sur les mérites de Roland qui en arrive à supplanter son oncle et à devenir une véritable figure politique.

Ainsi, Estout n’hésite pas à rappeler à Charlemagne que les Pairs se sont engagés en Espagne sous la bannière de Roland et que c’est à lui seul qu’ils sont dévoués :

‘« Sire emperer, par dieu le roi dou mont,
Nous ne somes par toi en host ci a cist pont,
Mes pour amor de cil qe de bien fer est pront :
Ce est Rolland tuen niés, a cui danideu dont
Acomplir suen voloir, car maint preu en auront. »1533

Fidèle à ce principe, il éconduit vertement le roi qui lui demande de l’héberger à Toletele dont il s’est rendu maître et lui précise un peu plus tard que seule l’intervention de Roland le fait changer d’avis :

‘« Ne ferai, dist le duc, parlé avés en perdon !
Alés vous aoberzier par delez cil boison,
Car ci (de) dens ne entreriés, bien le vous afion. […]
Nen saziés gres a fors che a Rolland le baron !
E se vous eusiés de hors dit tiel raison,
Vous ne i serisiés hui entré, par seint Simon ! »1534

Dans cet extrait, le personnage du baron de Langles démontre la place centrale occupée par Roland. Et ce n’est pas un hasard si, dans cet épisode de refus de l’hospitalité due à Charlemagne, Nicolas de Vérone a substitué Estout au Désirier de la tradition italienne. Dans les Fatti de Spagna, le Lombard accepte d’ouvrir les portes de Pampelune au seul Roland1535 car le champion français, qui a lui-même fait venir le roi de Pavie en Navarre1536, est le seul qui ne se moque pas de la valeur des Italiens1537. La réaction de Désirier vis-à-vis de l’empereur se justifie donc par une certaine rancune d’avoir été tenu pour vil. A l’inverse, dans la Prise de Pampelune, le personnage se caractérise par sa constante déférence et ne profère pas le moindre propos désobligeant à l’encontre de Charlemagne1538. C’est donc logiquement Estout, « irreverente burlone »1539 et « malalingua irrefrenabile »1540, qui explique à l’empereur que l’autorité dont il jouit est moindre que celle de son neveu. Tel est également le sens de la lamentation de Maozeris qui regrette que Charlemagne ne soit « mie poesti / De rien fer s’il ne pleit a Rolland le marchis »1541. Le héros français qui guide les armées impériales devient un reflet de la figure de Pompée.

Comme lui, il jouit du soutien inconsidéré de ses hommes et c’est précisément Estout qui, dans la tradition franco-italienne, se fait le héraut de l’amitié. Souvent décrié1542, le personnage témoigne cependant d’une exemplaire fidélité envers son cousin. Lorsque Charlemagne vient proposer aux compagnons d’armes du héros de renoncer à leur siège en échange d’une confortable récompense, le chevalier, qui ose dire tout haut ce que les autres pensent tout bas, affiche un profond mépris des biens matériels qui paraissent futiles en comparaison de l’attachement pour Roland :

‘« Mieus amons nous morir ou le cuens de Clermont
Che tenir qant qe vaut Paris jusque en Piemont. »1543

Cette relation d’amitié bien particulière qui unit le fils d’Odon et le neveu de Charlemagne est une donnée propre aux remaniements italiens des chansons françaises1544.

Dans l’Entrée d’Espagne, Estout fait à Feragu un véritable panégyrique de Roland1545 qu’il considère comme « le melor home qu’ancor manjast de pan »1546. Ogier et Gerard reconnaissent d’ailleurs la singularité des liens qu’entretiennent les deux parents :

‘« Che plus amez Rollant, le niés le rois,
Che tot les homes ch’en vis se facent crois ».
*
« Tu qe des feiz Rollant seis plus d’ome dou munt »1547.’

De fait, le sentiment est réciproque et lors de son exil en Orient, Roland souffre d’être privé de la compagnie de celui qui est « d’amors plus proçan »1548 :

‘Et por Estof li est son duel creü :
Non seit s’il ert o mort o retenu1549.’

Cette affection ne se dément pas dans la Prise de Pampelune où Estout, bien qu’il ne soit jamais d’accord avec les avis de Roland, l’assure de son inconditionnel soutien : « jamés ne vous faudra »1550. Et en effet, le guerrier contestataire finit toujours par suivre les ordres de son cousin et se soumet à ses moindres souhaits1551.

De la sorte, les similitudes entre le neveu de Charlemagne et le héros de la Pharsale ne manquent pas et le trouvère, à la suite du Padouan, fait de Roland un « sénateur romain » ou un « gentil sénatour »1552. Cette distinction sociale qui rapproche les deux personnages introduit une certaine novation dans la geste traditionnelle puisque le héros français par excellence se voit gratifié d’un statut privilégié romain. Or, la noblesse des intentions et actions de Pompée est évidente si bien que le titre de sénateur accordé à Roland permet non seulement d’adapter le personnage à une société italienne bourgeoise et de reprendre une donnée de l’Entrée d’Espagne, mais bien aussi de compléter son portrait héroïque par des vertus dignes du héros malheureux de Pharsale 1553. Comme lui, Roland assume désormais une tâche de meneur d’hommes.

D’une valeur incontestable et incontestée, Roland est à la tête des troupes guerrières. Sa bravoure et son charisme font qu’on lui obéit : lorsqu’il propose sa propre stratégie pour l’attaque de Cordoue, stratégie qui diffère de celle de Ganelon, c’est à son avis que les Pairs s’en remettent sans contestation. « Tant com je aurai valour / Vetre comant ferai » précise Olivier1554. Le neveu de Charlemagne est considéré, apprécié et estimé :

‘Vint mil chivalers volontier, non a enuï
Sailerent a cival, e cescun d’eus se oufri
Aou gentil duc Rolland, che bien li acoili1555.’

Lors de ce même épisode militaire, les chevaliers réaffirment leur attachement à Roland et sont prêts à sacrifier leur vie pour le seconder efficacement :

‘« A toi somes aclin :
Ond par toi volons tous morir et prendre fin
Avant que tu ne aies Espagne en tuen demin »1556.’

La situation est exactement la même que celle décrite par le poète au moment de l’attaque surprise de Maozeris : partis chercher du ravitaillement à Toletele, et guidés par Ysorié, les douze Pairs tombent dans une embuscade tendue par le père du nouveau converti. Aucun ne veut aller chercher du renfort parce que « cescun d’eus voloit avant morir / Avec lu que alier pour mesaçe e garir »1557. L’idéal d’une mort auprès de celui que l’on estime l’emporte sur la possibilité de sauver sa vie en évitant le danger. Le rejet au début du vers 4478 de « Avec lu » signifie la place prépondérante de Roland dans les préoccupations de ses chevaliers et amis. Celui que l’on suit, que l’on admire, que l’on aime, acquiert un statut privilégié. Il est toujours

‘Siens compeignons ou lu, ja nul ne l’oublia.
La noble souderie pres le duc segonda,
Car cescun plus l’amoit che cil che l’engendra. […]
Mout amoient tretous Rolland le noble dus,
Che plus le tenoient plain de totes vertus
Che tous ceus che furent onque en cist mond nascus1558.’

Et lors de la dernière apparition du héros dans la narration et de la chute abrupte du texte, le poète résume le sentiment dominant à son égard à l’aide de trois vers qui prennent valeur d’adage :

‘Plus l’amoit cescun pour sa noble franchise
E pour sa grand larçeçe e pour sa gentilise
Che bazalier sa amie1559.’

Là encore, le rapprochement entre Roland et Pompée est pertinent comme le prouve la similitude d’expression : « plus l’amoit ceschun qe damiseus s’amie »1560 précise Nicolas de Vérone en parlant du général romain.

La définition du bon gouvernement n’est donc pas liée à la façon dont les dirigeants mènent leurs actions mais à celle dont leur autorité est consentie par le peuple. C’est l’attitude de ceux qui sont gouvernés, et non pas de ceux qui dirigent, qui permet de caractériser les différents systèmes politiques. C’est là un infléchissement fondamental du point de vue que la prise en considération des hommes et de la foule des anonymes pour apprécier les qualités individuelles de tel roi ou de tel prince. On accepte volontiers de servir Charlemagne, car l’hommage par les vassaux est un geste volontaire d’homme libre et la royauté librement acceptée n’est en rien condamnable. De la même façon, l’aura dont jouit Roland fait de lui un représentant majeur du système hiérarchique médiéval. La figure de Pompée synthétise quant à elle deux idéaux apparemment fort éloignés : l’ancienne féodalité française et des souvenirs républicains antiques.

Notes
1516.

Voir à ce sujet J.‑H. Burns, Histoire de la pensée politique médiévale, op. cit ., p. 442-448 ; R.‑W. et A.‑J. Carlyle, A History of Medieval Political Theory in the West, op. cit., p. 76-88.

1517.

Une grande diversité des points de vue fut exprimée par les conciliaires mais une idée de base oriente toute leur pensée : l’autorité ultime dans la communauté chrétienne réside dans le corps des fidèles tel que représenté par le concile général de l’Eglise. Voir à ce sujet J.‑H. Burns, Histoire de la pensée politique médiévale, op. cit ., p. 540-552.

1518.

La Pharsale, v. 2524-2527.

1519.

Les Fet des Romains, p. 553, l. 18-19 : « De cels que je poïsse metre soz moi, fis mes conpaignons ».

1520.

La Pharsale, v. 2090-2098.

1521.

Les Fet des Romains, p. 540, l. 19-20. 

1522.

La Pharsale, v. 2129-2135.

1523.

La Prise de Pampelune, v. 524-525 et 548-549.

1524.

La Prise de Pampelune, v. 531-537.

1525.

Les Fatti de Spagna, XLIII, p. 96.

1526.

La Pharsale, v. 2383-2391.

1527.

Les Fet des Romains, p. 549, l. 23-p. 550, l. 10.

1528.

La Pharsale, v. 2383-2387.

1529.

La Pharsale, v. 2607-2608.

1530.

Dans les Fet des Romains la joie des habitants n’est pas décrite, p. 554, l. 17-22.

1531.

La Pharsale, v. 2615-2616 et 2644.

1532.

Sur les différentes façons dont s’exerce le pouvoir, pouvoir traditionnel, pouvoir charismatique et pouvoir légal, voir M. Weber, Le Savant et le politique, Paris, Plon, 1959 (1ère éd. 1919), p. 114. Les catégories dégagées par le sociologue, bien qu’anachroniques pour nos épopées franco-italiennes, permettent de clarifier les choses.

1533.

La Prise de Pampelune, v. 553-557.

1534.

La Prise de Pampelune, v. 5082-5084 et 5101-5103.

1535.

« A vuy, nobelle conte, farò ziò che ve pyaxe », les Fatti de Spagna, XLIII, p. 96.

1536.

« Conte, vuy me avite fatto vegnire in le parte della Navarra, e io ge sonto vegnuto in vostro servixio, e no in servixio de Karlo », les Fatti de Spagna, XLIII, p. 94.

1537.

Les Fatti de Spagna, XLIII, p. 94.

1538.

Voir à ce sujet, F. di Ninni, « Il discorso diretto nelle opere di Niccolò da Verona », art. cit, p. 285-287.

1539.

A. Viscardi, Letteratura franco-italiana, op. cit., p. 34.

1540.

A. Limentani, « L’epica in lengue de France », art. cit., p. 358.

1541.

La Prise de Pampelune, v. 964-965.

1542.

Voir à ce sujet J.‑C. Vallecalle, « Fortitudo et Stultitia », art. cit., p. 1423-1434 ; C. Cremonesi, « A proposito del Codice Marciano Fr. XIII », art. cit., p. 97 ; A. Limentani, « L’epica in lengue de France », art. cit., p. 368 ; A. Viscardi, Letteratura franco-italiana, op. cit., p. 34-35.

1543.

La Prise de Pampelune, v. 560-561.

1544.

Sur cette relation privilégiée, voir J.‑C. Vallecalle, « Fortitudo et Stultitia », art. cit., p. 1429-1431 ; G.‑G. Ferrero, « Astolfo (Storia di un personaggio) », art. cit., p. 518-520 ; L. Bartolucci, « La figura di Astolfo nell’Aquilon de Bavière », art. cit., p. 300-302.

1545.

L’Entrée d'Espagne, v. 1543-1568.

1546.

L’Entrée d'Espagne, v. 1519.

1547.

L’Entrée d'Espagne, v. 3368-3369 et 9087.

1548.

L’Entrée d'Espagne, v. 1520.

1549.

L’Entrée d'Espagne, v. 5650-5651.

1550.

La Prise de Pampelune, v. 4337.

1551.

La Prise de Pampelune, v. 4216-4224, 4238-4241, 4325-4328, 4335-4338, 4450-4455, 4491-4494, 4652-4658.

1552.

La Prise de Pampelune, v. 1556 et 4796. l’Entrée d'Espagne, v. 14768-14769.

1553.

Au sujet de cette adaptation de la geste française aux modèles italiens voir J.‑C. Vallecalle, « Roland sénateur de Rome dans l’Entrée d'Espagne », art. cit., p. 769-779.

1554.

La Prise de Pampelune, v. 6036-6037.

1555.

La Prise de Pampelune, v. 6010-6012.

1556.

La Prise de Pampelune, v. 6057-6059.

1557.

La Prise de Pampelune, v. 4477-4478.

1558.

La Prise de Pampelune, v. 5480-5482 et 5571-5573.

1559.

La Prise de Pampelune, v. 6100-6102.

1560.

La Pharsale, v. 587.