3. Violences conjugales au Canada : études et faits :

Le Répertoire commenté des rapports de recherche exercés par plusieurs centres de recherche sur les violences faites aux femmes et aux enfants au Canada proclame que face au problème de la violence faite aux femmes, un des défis les plus critiques est de percevoir la nature de la famille nucléaire, pour voir si elle se dirige aux maisons de transition ou aux hommes religieux pour demander l’aide.

Intervention auprès des écoles, universités, des modes relationnels et de formation et des interventions dans la collectivité, est l’une des principes auxquels se base les rapports et les études canadiennes.

Plusieurs facteurs influent sur la demande de l’aide de la part de la femme comme le degré de violence, ses portées sur elle et le support qui lui a été offert de la part de sa propre famille et de son entourage.

Lorsque les hommes violents n’arrivent plus à contrôler leurs pulsions agressives et violentes et lorsque les moyens de communication raisonnable deviennent absents chez ces hommes, ils se trouvent dans des situations négatives et exercent des actes de violences et de toutes formes contre leurs conjointes.

Finalement, on remarque que le public considère l’intervention ou l’aide sociale comme humiliante beaucoup plus qu’un droit humain pour les femmes, la non intervention de l’Etat et ses faibles politiques sociales accordées à ces femmes est une violence institutionnelle en elle-même.

Selon une étude intitulée : Démocratisation de l’excellence : L’expérience des centres de recherche sur les violences conjugales au Canada et les trois axes de recherche prioritaires sur la violence faite aux femmes sont :

Les objectifs des centres de recherche sont :

Les recherches sur les violences conjugales se sont avérées un moyen rentable de mener des travaux de recherche de grande qualité répondant aux besoins des collectivités. Les produits de la recherche ont été intégrés au processus d’élaboration des politiques et diffusés dans l’ensemble de la collectivité.