Comme nous l’avons déjà constaté, les relations commerciales et économiques entre la France et l’Afrique du Sud sont à de multiples reprises relevées dans la presse chrétienne française et condamnées par la plupart des observateurs. L’indépendance du Transkei donne l’occasion aux membres de la commission mobilisés sur la question d’interpeller le gouvernement français et sa « politique ambiguë ». Cette interpellation prend forme dans un mémorandum à l’intention du gouvernement français. Signe de la difficulté de la commission de se positionner sur la politique française en Afrique du Sud, la mention « à ne pas publier » figure en haut du document. Il ne semble en effet pas que ce dernier ait été transmis au gouvernement. En voici un extrait :
‘« Grâce aux exportations d’armes réalisées par la France, non limitatives jusqu’en 1975, la puissance militaire de la République sud-africaine a pu s’établir et se renforcer. Malgré les assurances données par le gouvernement français, ces armes ont servi contre les Africains noirs. La vente de centrales nucléaires, bien qu’elle ne soit pas du même ordre et n’aboutisse pas nécessairement à la fabrication d’armements atomiques, renforce de manière importante le potentiel scientifique et technique de l’Afrique du Sud et, pas là même, la domination de la minorité blanche à l’intérieur et la pression de celle-ci sur ses voisins […]. Nous déplorons l’écart entre, d’une part, les affirmations solennelles et d’autre part, les choix et les décisions du gouvernement […]. Dès lors, il n’est pas étonnant que les pays non alignés soulignent le déclin spirituel de la France dans laquelle nombre d’entre eux ne voient plus la patrie des Droits de l’homme1042 ».’La nature propre des relations commerciales (armes, centrales nucléaires) rend le regard encore plus critique. Encore une fois, c’est la vision d’une France « schizophrène » qui est donnée : un pays qui se présente comme étant la patrie des droits de l’homme, mais qui ne s’inquiète pas de la nature des régimes avec qui elle fait des affaires…
Cette vision apparaît dans un texte écrit par Pierre Toulat à l’occasion de la vente de la centrale nucléaire de Koeberg en mai 1976 (quelques semaines avant que n’éclatent les émeutes de Soweto) et où le secrétaire général de la commission « Justice et Paix » explique qu’il n’a pas pu joindre sa signature à celle de la FPF1043 « par manque de temps 1044 ». Faisant une autocritique, Pierre Toulat regrette ce silence :
‘« La position prise par la FPF, qui a été remarquée, fait ressortir le silence de l’Eglise catholique. Silence qui peut être interprété comme une connivence ou comme une indifférence1045 ».’Soucieux de mettre un terme à ce silence, Pierre Toulat propose des actions concrètes, que ce soit directement en Afrique du Sud (solidarité avec les chrétiens engagés…) ou auprès des autorités françaises. « Justice et Paix » pourrait ainsi demander des contrôles plus stricts sur la dissémination de l’énergie nucléaire. Mais plus que tout, Pierre Toulat revient encore une fois sur les contradictions existant entre les déclarations officielles de la France et la pratique politique et commerciale menée par le pays.
Des manifestations s’élevèrent également dans le domaine sportif. En effet, dès octobre 1974, les membres de la commission se questionnent sur l’opportunité d’une action à l’occasion de la venue de l’équipe sud-africaine (exclusivement blanche) des Springboks en France. la commission est en effet sollicitée par le MRAP pour une réaction commune à la venue des Springboks en France. « Justice et Paix » ne répond cependant pas à cette sollicitation, désirant garder son autonomie à ce sujet1046. La commission prend ainsi l’initiative d’envoyer une lettre aux évêques de France dont les villes1047 seront visitées par l’équipe, réclamant ainsi une action qui serait avant tout symbolique :
‘« Il serait bon de signifier notre solidarité avec eux [les évêques d’Afrique du Sud] en publiant, là où se produisent les Springboks, des déclarations de l’espoir d’évêques de cette région1048 ».’Le but est donc bien avant tout de manifester sa solidarité avec les évêques sud-africains et de relayer leurs déclarations concernant la discrimination raciale. Il ne s’agit donc pas d’un boycott sportif, mais plus d’une manifestation symbolique du soutien des évêques français à la résistance catholique sud-africaine.
La commission « Justice et Paix » du diocèse de Nice1049 (créée en décembre 1972) répond favorablement à cet appel et publie un communiqué, réagissant à la venue en France de l’équipe de rugby des Springboks :
‘« Aujourd’hui, la présence de cette équipe fait nécessairement penser au pays qui la produit et très précisément à la situation d’injustice institutionnalisée dans laquelle y vivent les populations noires1050 ».’D’une manière générale, cette action aura de maigres résultats, et ceci pour plusieurs raisons. La première d’entre elle relève d’un problème de logistique puisque l’envoi des lettres fut retardé par une grève des PTT… La deuxième raison est la plus importante et est avancée par Pierre Toulat lui-même, déclarant que cet échec a relevé avant tout d’un manque d’intérêt de la part des évêques sollicités.
Les membres de la commission profitent de cette venue de l’équipe de rugby sud-africaine (symbole de la discrimination) pour manifester leur rejet du système d’apartheid, « par souci de cohérence avec la foi en J.-C 1051 ». Loin de s’en tenir à une simple condamnation morale et évangélique, les rédacteurs du communiqué saisissent « l’opportunité d’une action immédiate sur l’opinion publique à la faveur de l’événement 1052 » pour proposer différentes actions possibles : informer le plus grand nombre de la réalité du système et de ses effets ; à l’échelle locale, proposer aux paroisses des jumelages avec des paroisses noires ; réfléchir aux états de ségrégation qui peuvent exister en France (habitat, âge, race…) « qui finiraient par apparaître comme normales 1053 ».
En 1979, une action autour de la tournée des Springboks est toujours d’actualité au sein de la commission puisqu’en avril, Pierre Toulat adresse une lettre à Mgr Hurley afin de lui demander quelles démarches peuvent être imaginées autour de cette manifestation de l’apartheid dans le domaine sportif1054. A la même période, la commission adresse plusieurs lettres à M Ferrasse (président de la Fédération française de rugby), à Jean-Pierre Soisson (ministre de la jeunesse, des sports et des loisirs) et à Jean François-Poncet (ministre des affaires étrangères) à l’occasion d’une nouvelle venue des Springboks en France1055.
Avant d’aborder les positionnements officiels de la commission sur les actions possibles à élaborer dans le domaine économique, je voudrais relever qu’une lettre « officieuse » de Jean Courvoisier (président de la CSEI) et de Jacques Ménager (président de Justice et Paix) envoyée au Président de la République Giscard D’estaing rend compte de la réaction des deux commissions à la vente d’armes1056 concédée à l’Afrique du Sud par la France. Je ne crois pas en effet pas que cette déclaration ait fait l’objet d’une publication officielle et l’exemplaire retrouvé dans les archives de la commission porte la mention « confidentiel, à ne pas publier ». Si j’en reproduis un passage ici, c’est pour donner un aperçu la nature de cette mobilisation qui s’exprime dès 1975. Même si cette dernière ne s’est pas faite officiellement et publiquement, elle témoigne de l’engagement profondément militant des deux responsables chrétiens :
‘« Aussi pensons-nous que les contingences économiques, dont nous n’ignorons pas l’importance, ne doivent pas conduire notre pays à renforcer la puissance d’un régime d’apartheid. Notamment, il nous semble éminemment souhaitable que le gouvernement français ne lui fournisse plus des armes qui servent au maintien de l’injustice. Comme chrétiens, nous voulons œuvrer dans ce sens en raison de notre foi en Dieu, créateur d’une humanité où les diversités sont une richesse et ne justifient aucunement la discrimination raciale1057 ».’Ce passage démontre bien que les deux commissions sont parfaitement conscientes des enjeux économiques. Elles veulent les dénoncer sans détour. En interpellant directement le président de la République française, les signataires se placent tous les deux profondément « ancrés » dans le monde, tout en légitimant leur intervention en tant que chrétiens. Mais le fait que cette lettre conserve un aspect confidentiel témoigne bien de la difficulté d’une telle prise de position…
En octobre 1977, Mgr Etchegaray, président de la Conférence épiscopale française (de 1975 à 1981), se joint à la mobilisation de la commission « Justice et Paix » et rédige une lettre à l’attention de Mgr Joseph Fitzgerald1058, président de la Conférence épiscopale sud-africaine. Cette lettre témoigne bien, à cette époque, de l’unanimité (exprimée) entre la Conférence épiscopale sud-africaine et la commission « Justice et Paix ». La lettre fait suite à la lecture en France de la lettre des évêques sud-africains diffusée en France en mars 1977. Tout en relevant que la plupart des déclarations ont été prises collectivement aux côtés d’autres organismes catholiques, je voudrais citer celle de Mgr Etchegaray rappelant la solidarité des évêques français et celle exprimée au sein de la commission « Justice et Paix » française :
‘« […] Nous tenons à vous dire combien nous nous sentons en communion avec vous dans le rappel que vous faites des droits et de la dignité de tout homme […]. Avec vous nous reconnaissons que le sens de la justice et des problèmes sociaux est au cœur même de l’évangélisation et constitue un élément essentiel […] de l’activité et du témoignage de l’Eglise. [Cette déclaration] nous invite, enfin, à tout faire pour que notre pays apporte sa contribution positive dans le concert des nations à la promotion de la justice et de la paix. C’est dans ce sens que la commission française « Justice et Paix » éclairée par les informations données par Mgr Hurley lors de son passage en France, est intervenue plusieurs fois ces dernières années à propos du statut de la Namibie, des ventes d’armes, du marché nucléaire conclu avec la République sud-africaine ou de « l’indépendance » du Transkei. Nous ne savons pas toujours comment nous pouvons vous manifester concrètement notre solidarité. N’hésitez pas à me le dire […] 1059».’Si ce passage témoigne avant tout d’une solidarité morale et fraternelle avec les évêques sud-africains, la commission épiscopale proposera aux Français des actions concrètes pouvant être d’ordre économique. Ainsi, la lettre propose de veiller à ce que les entreprises françaises et européennes ne pratiquent pas l’apartheid en leur sein et d’agir auprès des banques pour qu’elles revoient leurs investissement en Afrique du Sud1060.
Ces mesures trouvent un cadre en janvier 1978, alors que la commission intervient aux côtés de plusieurs organismes de patronats chrétiens pour soutenir le code de conduite publié par la CEE et réclamant que les entreprises présentes en Afrique du Sud prennent des mesures afin de ne pas perpétuer en leur sein des pratiques discriminatoires1061. En effet, la commission « Justice et Paix » soutient ce code de conduite, mesure éthique et concrète de la communauté européenne contre la discrimination en Afrique du Sud :
‘« La publication d’un code de conduite par la CEE apparaît dès lors comme un effort positif pour plus de justice et comme une ouverture vers la réconciliation entre les communautés1062 ».’A la même période, plusieurs membres de la commission proposent l’idée d’une action à mener en direction des banques françaises1063. Cette mobilisation qui se manifeste au sein de tous les groupes de chrétiens mobilisés autour de la question sud-africaine est suscitée par la publication d’une brochure, « Votre banque et l’apartheid », initiée par le mouvement anti-apartheid dont nous avons déjà parlé, la CAO (Campagne anti-Outspan), et qui marque le début d’une campagne de longue haleine en France sur les prêts à l’Afrique du Sud. Les mesures proposées visent à mettre l’accent sur les prêts que plusieurs banques françaises accordent à l’Afrique du Sud et à susciter une réaction chez les clients de ces institutions financières. Cette action est abordée lors de la réunion du 14 décembre 1978 et est rapportée de la manière suivante dans le compte-rendu de la réunion :
‘« La perspective dans laquelle se situe cette campagne est surtout pédagogique (faire prendre conscience , dans un cas particulièrement patent, de l’utilisation des fonds déposés en banque par des particuliers) mais dans la mesure où, selon des modalités propres, syndicats et partis politiques s’y intéresseront, elle peut prendre une dimension politique ».’Les membres de la commission engagés dans cette action (initiée par la CAO) ont donc bien conscience que cette action sort un peu du domaine auquel sont habitués les Eglises1064. La commission française va cependant s’inscrire dans un mouvement d’action qui se dessine au sein de plusieurs commissions européennes. Le 15 janvier 1979, le groupe-inter envoie une lettre aux chrétiens qui est diffusée surtout auprès des groupes locaux du CCFD et de la Cimade, pour alerter leurs membres sur le rôle des banques dans le soutien aux activités gouvernementales et privées en Afrique du Sud. Les rédacteurs de la lettre mentionnent la publication par le C.R.I.A.A (collectif de recherche et d’information sur l’Afrique australe) de l’étude « Votre banque et l’apartheid » dans laquelle est présentée l’intervention des principales banques françaises :
‘« Cette étude aide à comprendre combien les liens d’ordre économique ou financier revêtent en réalité un caractère politique. En particulier les investissements français se font surtout dans des secteurs stratégiques tels que l’armement, le génie civil, les télécommunications, contribuant au renforcement de l’économie sud-africaine au profit de la minorité blanche1065 ».’Cette mention de la brochure du C.R.I.A.A publiée par le Mouvement anti-apartheid témoigne ainsi de l’adhésion du groupe œcuménique au principe d’une action auprès des banques investies en Afrique du Sud. Dans la même lettre, le groupe propose des moyens d’actions possibles sur cette question dont la première est de s’informer :
‘« - S’informer sur l’Afrique du Sud de manière à bien connaître la situation du pays et les conditions de l’apartheid.Le 4 mai 1979, Gabriel Marc, membre de la commission française, donne une conférence à l’occasion d’une rencontre d’économes d’instituts religieux, organisée par le Comité permanent des religieux de France. Il y présente la question des placements financiers et l’aborde surtout comme un problème d’ordre éthique puisque les prêts concédés au pays reviennent indirectement à soutenir le régime et le système d’apartheid. Il est donc nécessaire d’alerter les clients des banques à propos de ces placements et de les mobiliser afin qu’une action émane d’eux et que d’une façon organisée, ils réclament des « comptes » à leurs banques pour savoir si elles sont engagées en Afrique du Sud. La commission Justice et Paix belge ayant eu idée de proposer un type de lettre que chaque client qui le désire pourra envoyer à sa banque, Gabriel Marc la propose également à l’occasion de sa conférence, témoignant ainsi de son adhésion au mouvement européen. En voici la teneur :
‘« Depuis des années, je confie des fonds à votre banque. Je sais que ces fonds sont utilisés pour favoriser des activités économiques utiles à l’ensemble des populations de notre pays et d’autre pays du monde. C’est le rôle des banques de prêter de l’argent reçu des clients. Parmi les pays bénéficiant de prêts, se trouve l’Afrique du Sud. Or, vous le savez, dans ce pays, les droits de l’homme sont violés […]. En raison de la persistance de cette situation, telle ou telle banque a renoncé à octroyer des prêts au gouvernement et aux industries gouvernementales de ce pays. Etant moi-même alerté sur ce qui se passe là-bas, j’aimerais savoir quelle est la position actuelle de votre banque au sujet des prêts et crédits accordés à l’Afrique du Sud…1067 ».’La question des placements financiers est donc traitée sous son angle éthique et relayée par plusieurs commissions « Justice et Paix » européennes. Cette action est donc abordée avec précaution : comme cela avait été fait quelques mois auparavant dans une lettre émanant du groupe1068, Gabriel Marc précise bien que des informations supplémentaires peuvent être prises auprès du Collectif de recherche et d’informations sur l’Afrique australe (CRIAA), mais il remarque aussi que ce dernier utilise un « langage idéologique outrancier et parfois irritant 1069 ».
Projet de mémorandum à l’intention du gouvernement français à propos de l’Afrique du Sud, CJP/76/54.
« Une déclaration du Conseil national de la FPF », Réforme, 5 juin 1976, p. 16.
Après la vente de réacteurs nucléaires à l’Afrique du Sud », CJP/76/39.
Ibid.
Compte-rendu de la réunion du 29 octobre 1974, CJP/74/40.
Il s’agit des villes de Nice, Lyon, Agen, Tarbes, Clermont-Ferrand, Toulouse, Angoulême, Paris et Reims.
« Textes d’évêques catholiques d’Afrique australe sur l’apartheid », CJP/74/38.
Il est important de préciser que la ville de Nice était jumelée avec la ville du Cap. Ce lien a donc sans doute conduit à une plus grande mobilisation des chrétiens de cette ville.
« A propos de la venue des Springboks en France » , La documentation catholique, n°1665, 1er décembre 1974, col 1048.
Ibid.
Ibid.
Ibid.
« L’apartheid et le sport en Afrique du Sud », note rédigée par Mgr Hurley en réponse à la lettre de Pierre Toulat (1975).
Compte-rendu de la réunion bilan/projets, 21-22 septembre 1979, CJP/79/50.
Rappelons que la France avait voté en décembre 1963 l’appel du conseil de sécurité des Nations Unies à un embargo sur les contrats de ventes d’armes et de munitions à l’Afrique du Sud. Lors du vote, la France et la Grande-Bretagne avaient précisé qu’une distinction serait opérée entre armes offensives et défensives et que la France se réservait le droit de fournir des matériels destinés à la protection de l’Afrique du Sud contre des attaques extérieures. C’est seulement le 4 novembre 1977, à la suite du vote de la résolution 418 aux Nations Unies imposant un boycott sur toutes les ventes d’armes, que la France cessera ses livraisons d’armes à l’Afrique du Sud.
Lettre de MM Courvoisier et Mgr Ménager au président de la République, 12 mai 1975.
« La lettre de l’Eglise contre l’apartheid en Afrique du Sud » (1977), La documentation catholique, op.cit., col 256-259.
Mgr Etchegaray, toujours en tant que président de la conférence épiscopale (1975-1981) fit d’autres déclarations sur l’Afrique du Sud avant de devenir en 1984 le président du conseil pontifical « Justice et Paix ». Voir notamment « Les Eglises appuient la journée mondiale contre toutes discriminations », La Croix, 22 mars 1978, p. 12.
« Lettre de Mgr Etchegaray aux évêques d’Afrique du Sud », La documentation catholique, n°1725, 7-21 août 1977, col 741-742. Voir aussi « Répression pour le premier anniversaire de Soweto », ICI, n°516, 15 juillet 1977, p. 41.
Voir compte-rendu de la réunion du 15 juin 1977, CJP/77/48.
Dans son code de conduite, la CEE demandait par exemple aux entreprises ou filiales implantées en Afrique du Sud de permettre la formation de syndicats noirs, de contribuer à la liberté de déplacement des travailleurs noirs, de payer décemment leurs salariés, de leur assurer une formation et d’éliminer toute pratique discriminatoire dans les lieux de travail. Voir « Code de conduite de la communauté économique européenne pour les entreprises ayant des filiales, des succursales ou des représentations en Afrique du Sud », La documentation catholique, n°1733, 1er janvier 1978, col 45-46.
« Lettre adressée à leurs membres par le Centre Français du Patronat Chrétien, le Mouvement des Cadres Chrétiens, l’Action Catholique des Milieux Indépendants et la commission française « Justice et Paix » », La documentation catholique, n°1733, 1er janvier 1978, col 46.
Compte-rendu de la réunion « bilan/projets » des 15 et 16 septembre 1978, CJP/78/59.
Les Eglises chrétiennes de Belgique se sont engagées beaucoup plus nettement que les Eglises françaises dans cette action et ceci dès 1977 avec l’opération « Le dialogue inter-banques sur l’apartheid (DEBA) ».
Lettre du groupe australe d’Afrique australe, 15 janvier 1979.
Ibid.
« Pour une éthique des placements financiers » (conférence de Gabriel Marc du 4 mai 1979), CJP/79/52.
Lettre du groupe œcuménique Afrique australe, 15 janvier 1979.
Ibid.