2-6 Formes de mobilisations au sein de la Fédération protestante de France

Ariane Bonzon dans un article de Réforme en 1987 juge les déclarations de la Fédération protestante comme étant peu nombreuses. Sur ce point plus que sur n’importe quel autre, les silences ont un sens. Comme nous l’avons vu, c’est le CSEI qui va prendre en charge le traitement de la question sud-africaine. Si la FPF s’était prononcée dans les années 60 pour condamner la vente d’armes à l’Afrique du Sud, elle fait tout de même entendre sa voix dans les années 70, notamment pour déplorer la vente de centrales nucléaires à l’Afrique du Sud en 19761182. Cette déclaration du Conseil de la FPF est répercutée dans la presse réformée1183 et figure également dans la Documentation catholique 1184 .

Datée des 29 et 30 mai 1976, la déclaration a été adoptée par 19 voix contre 1 et 10 abstentions. Le texte en est le suivant :

‘« Apprenant la vente par la France d’usines nucléaires à l’Afrique du Sud, le Conseil national de la Fédération protestante de France tient à exprimer sa désapprobation de ce type de transactions commerciales. Il estime que de légitimes préoccupations économiques intérieures ne sauraient justifier une initiative qui implique un risque sérieux de dissémination de l’armement atomique. Dans ce cas précis, il comporte, de plus, un soutien apporté, au mépris des recommandations les plus claires des Nations-Unies, à un régime qui repose sur une discrimination raciale, qui achemine les peuples d’Afrique du Sud vers un drame sanglant. Il existe aujourd’hui beaucoup d’autres chemins pour une coopération économique répondant aux besoins réels des hommes1185 ».’

Pour le conseil, le problème est double : d’une part, la transaction touche aux questions nucléaires et comporte donc le risque de la dissémination des armes atomiques. Le deuxième problème réside dans le symbole de cette relation commerciale, perçue comme un soutien à un régime raciste. La culpabilité de la France, dénoncée autant par les catholiques que les réformés, est donc multiple et comme nous l’avons déjà vu dans le premier chapitre, elle fera l’objet de nombreuses accusations dans la presse.

Cette prise de position se « calque » d’ailleurs sur la Résolution votée par la Vème Assemblée du COE à Nairobi en octobre-décembre 1975 qui appelle ses Eglises membres à « faire connaître les conséquences politiques et militaires d’une politique de collaboration avec les autorités sud-africaines » et à « inciter les sociétés et les gouvernements en cause à réviser leur politique à la lumière de considérations dépassant les critères commerciaux et économiques appliqués 1186  ».

La déclaration de la FPF et celle du COE reproduites côte à côte dans Réforme montrent donc clairement une ligne de conduite commune et le même jugement sur la double nature de la relation nucléaire établie entre la France et l’Afrique du Sud1187. C’est également ce que note Ariane Bonzon :

‘« Ces déclarations reprennent celles d’organismes internationaux tels le COE ou la CEVAA. Car selon l’expression d’un membre du bureau : « Nous ne sommes que l’écho de nos Eglises sœurs là-bas, qui s’expriment au sein du COE ou de la CEVAA »1188 ».’

Dans les années 80, la Fédération Protestante de France reste silencieuse sur la question des sanctions économiques, sujet pourtant récurrent alors que le pays s’enfonce dans la répression et la violence. Elle ne suit donc pas la prise de position formulée par Desmond Tutu qui fait de la question des pressions économiques et des désinvestissements sa priorité. Ariane Bonzon, interprète ce silence comme étant le résultat d’un malaise en son sein, comme s’il n’était plus de son ressort de se prononcer sur ce type de questions :

‘« Alors qu’elle avait, par le biais de la vente des centrales nucléaires, abordé le problème dans les années 60, elle semble opérer un certain recul. Aucune déclaration officielle ne fait allusion aux sanctions mêmes après la visite de Desmond Tutu qui, reçu rue de Clichy, avait axé ses revendications sur celles-ci (fin 1985)1189 ».’

Le fait que le groupe « Afrique du Sud » commence ses activités au sein de la CSEI au milieu des années 80 peut également expliquer le retrait de la FPF, cette dernière laissant à la CSEI le soin de traiter de la question. De plus, comme nous le verrons plus tard, un autre organisme comme la Cimade va faire de l’Afrique du Sud un champ d’action et de réflexion important.

Malgré tout, le conseil de la FPF adopte les 1er et 2 février une résolution sur l’Afrique du Sud. Le conseil invite ainsi ses membres à « persévérer dans l’intercession et à observer le 16 juin prochain (ou le dimanche 15) le 1Oème anniversaire du soulèvement de Soweto, par une journée de prière consacrée au sud de l’Afrique […], en communion avec de nombreuses Eglises dans le monde, en particulier celles qui sont membres du COE, à répondre à l’appel de la Cimade en faveur de l’Association de défense des détenus et de leurs familles, soutenue par le Conseil des Eglises d’Afrique du Sud et par le COE 1190  ». Poussant plus loin la réflexion, le Comité établit une liste d’objectifs à atteindre :

‘« Améliorer la circulation de l’information […] ; faire bénéficier les Eglises françaises et les chrétiens des expériences et de la vitalité spirituelle des chrétiens sud-africains […] ; centrer l’information sur le rôle des Eglises en Afrique du Sud dans la situation présente […] ; préparer dans les paroisses protestantes la journée du 16 juin […] 1191».’

Face à ces objectifs, le Conseil propose toute une série de moyens : si le premier d’entre eux vise à analyser les obstacles à une bonne circulation de l’information, le deuxième présente de manière plus précise les arguments qui peuvent être avancés pour défendre une mobilisation plus efficace vis-à-vis de l’Afrique du Sud :

‘« Préparer un « argumentaire » pour répondre à ces obstacles : identification « tribale » des protestants français avec les Afrikaners ; problèmes vus en termes d’oppositions entre Blancs et Noirs ; reproche de donner toujours raison aux Noirs contre les blancs ; idée que le présent régime fait régner l’ordre et la loi et que tout changement serait la porte ouverte au désordre et à l’effondrement économique ; idée que toute lutte contre l’apartheid « ferait le jeu du communisme » ; idée que les réformes amorcées « vont dans le bon sens » et qu’il suffirait donc de les soutenir 1192».’

Le Conseil de la FPF envisage ainsi tous les points « épineux » qui se présentent dans leur mobilisation, que ce soit concernant l’appartenance religieuse commune avec les Afrikaners, leur regard sur le régime de Pretoria, leurs positions et soutiens vis à vis des réformes et combats à mener… Ils devront surtout s’apprêter à répondre à plusieurs questionnements qui pourront naître face à un engagement à la teinte forcément politique.

Ces questionnements témoignent ainsi d’une certaine réflexion qui s’élabore au sein du Comité central de la FPF en 1986. Comme nous l’avons déjà évoqué dans le premier chapitre de cette thèse, ils révèlent aussi et surtout le caractère profondément épineux de la question sud-africaine.

Si la FPF reste silencieuse face à une question qui revêt une nature économique importante, elle ne sera pas plus diserte devant un événement théologique : même si la FPF salue la « vitalité spirituelle des chrétiens sud-africains 1193», le contenu et la diffusion du document Kairos ne feront l’objet d’aucune déclaration et là encore (et comme nous l’avons déjà vu), c’est le groupe chargé de l’Afrique du Sud qui va rendre compte du document1194. Si nous avons pu voir dans la presse que le document est, d’une manière général, passé relativement inaperçu en France (sans parler des milieux chrétiens militants et « informés »), il est là encore peut-être utile de tenter d’interpréter un tel silence. Ariane Bonzon propose une « piste » tout à fait plausible :

‘« Ce silence révèle combien les protestants de France sont démunis face à la question de la théologie de la libération1195 ».’

Il est en effet possible que la théologie contextuelle telle qu’elle est formulée dans le document Kairos soit difficilement « audible » pour les réformés français : sa critique virulente de la théologie d’Etat et encore plus celle adressée aux Eglises missionnaires sud-africaines (dans leur condamnation « tiède » du système d’apartheid), l’appel aux chrétiens pour une action réelle, autant d’aspects qui ont pu décontenancer des réformés français qui ne sont pas confrontés aux mêmes réalités politiques et sociales.

Si la FPF reste relativement silencieuse concernant cet événement théologique majeur, elle réagit davantage, individuellement ou plus souvent aux côtés d’autres organismes catholiques et réformés, pour dénoncer les nombreuses vagues de répression qui touchent les milieux chrétiens sud-africains engagés dans la lutte anti-apartheid. Citons par exemple la déclaration de la FPF à l’occasion, en septembre 1985, de l’arrestation d’Allan Boesak, pasteur sud-africain mais aussi homme d’Eglise à l’envergure internationale puisqu’il occupe le poste de président de l’ARM depuis 1982 :

‘« En s’en prenant aux responsables de la lutte non violente pour l’émancipation des Noirs, le régime de Pretoria prend la lourde responsabilité de provoquer lui-même la violence qu’engendre son entêtement à maintenir l’inacceptable régime de l’apartheid1196 ».’

En février 1986, le Conseil de la FPF adopte une résolution concernant l’Afrique du Sud, se déclarant « attentif aux témoignages qui lui parviennent de la situation en République sud-africaine, notamment en provenance des Eglises, du Conseil des Eglises d’Afrique du Sud et de l’assemblée d’Harare (décembre 1985) 1197  ». Le Conseil invite ainsi ses Eglises, Mouvements, Institutions, Oeuvres et Mouvements à se maintenir informés, à participer à la journée d’intercession organisée par le COE le 16 juin 1986 pour commémorer le 10ème anniversaire des émeutes de Soweto et surtout à « répondre à l’appel de la Cimade en faveur de l’Association de défense des détenus et de leurs familles, soutenue par le Conseil des Eglises d’Afrique du Sud et par le COE 1198  ». Cette résolution témoigne ainsi d’une mobilisation accrue à la veille de la commémoration des émeutes de Soweto et surtout d’une action commune entre la FPF et la Cimade.

En mars 1988, le pasteur Jacques Stewart, en tant que président de la FPF, envoie conjointement un message au président Botha1199 et un autre à Allan Boesak à l’occasion des mesures de répression prises à l’encontre de 17 organisations anti-apartheid1200. La Fédération exprime ainsi au pasteur métis sud-africain sa sympathie en ces temps de répression exercée notamment à l’encontre de l’UDF dont A.Boesak est l’un des fondateurs.

La FPF apporte ainsi sans tiédeur son soutien aux chrétiens victimes de la répression sud-africaine, victimes car ils « osent » mettre leur foi au service de leur combat pour la libération des opprimés. Le Conseil de la FPF attend l’année 1988 pour se positionner officiellement sur la question des sanctions. La déclaration commence par une interrogation :

‘« Le Conseil de la Fédération protestante de France doit-il inviter les Eglises, Institutions, Œuvres et Mouvements et leurs membres à militer pour le boycott culturel et économique de la République sud-africaine1201 ».’

Dans la déclaration, le pasteur Jean-Pierre Montsarrat présente quelques faits qui pourront donner des « clés » pour mieux comprendre la réalité du système d’apartheid. Le pasteur revient ainsi sur l’idéologie du système, l’arsenal de lois entraînant une « violence institutionnelle 1202  » croissante, la répression mise en place à l’encontre des mouvements anti-apartheid (UDF en tête)…

Devant la gravité de la situation, il est ainsi nécessaire de se questionner sur l’action à mener et l’aide à apporter. Alors que plusieurs partenaires sud-africains (Boesak, Tutu…) prônent l’adoption de sanctions et que ce point de vue est relayé par plusieurs groupes et institutions (commission « Justice et Paix » française, COE, ARM, Fédération luthérienne mondiale…), la FPF, tout en acceptant cette ligne de conduite, a du mal à se positionner clairement sur la question des boycotts :

‘« Devons-nous, comme Conseil de la FPF, préconiser le boycott de la République sud-africaine ? Cette question ne relève pas du domaine moral et idéologique. Elle implique une analyse des mécanismes économiques et sociaux en République sud-africaine. Le boycott est-il à même de mettre le système de l’apartheid en difficulté et de favoriser l’accession des Noirs à la majorité politique ? […] Le conseil pourrait faire connaître les points de vue et analyses français et étrangers sur ces questions, contribuer à mettre en relation des membres de nos Eglises professionnellement engagées avec la République sud-africaine et ceux qui militent pour des sanctions, etc… Il ne me paraît pas qu’il soit compétent pour donner des consignes de participation à telle ou telle campagne de boycott1203 ».’

Ce texte, adopté par le Conseil de la FPF le 24 septembre 1988, donne ainsi, pour la première fois, la position officielle de la FPF sur la question des sanctions économiques et du boycott. Le conseil précise qu’il ne relève pas de son domaine de se positionner sur des questions qui relèvent de mécanismes économiques. La FPF se dissocie donc, en 1988, de la ligne de conduite adoptée par le COE.

On peut cependant légitimement croire que plusieurs des membres de la FPF, et notamment ceux travaillant au sein de la CSEI étaient favorables aux sanctions. D’autre part, les nombreuses invitations de la FPF faites aux interlocuteurs chrétiens sud-africains et la reproduction de leurs déclarations sur l’utilité et l’efficacité de telles mesures montrent sans conteste que ce message a été tout à fait « audible » et défendable. Nous sommes donc en présence ici en quelques sorte d’un « soutien implicite », d’une attitude prudente d’une fédération qui se refuse à aborder des questions qui ne relèvent pas directement du domaine moral et idéologique mais qui soutient l’engagement de chrétiens sud-africains qui s’expriment en faveur de telles sanctions.

En février 1989, soit moins de 5 mois après le message précisant qu’il ne relevait pas de l’autorité de la FPF de se prononcer sur la légitimité de sanctions, le Conseil de la Fédération adresse une nouvelle lettre à ses membres1204. Dans un premier temps, la lettre fait en quelque sorte le « bilan » des actions entreprises par les Eglises françaises vis-à-vis de l’Afrique du Sud : soutien aux communautés sud-africaines, accueil de responsables d’Eglises, protestations auprès du gouvernement de Botha… Les visiteurs sud-africains ont permis d’informer les chrétiens français de l’aggravation du climat de répression, des efforts faits pour atténuer les aspects les plus choquants du système et ont exprimé « leur conviction que les pressions gouvernementales sur le gouvernement de la République sud-africaines sont efficaces, qu’elles l’empêchent effectivement d’aller jusqu’au bout d’une politique d’anéantissement de l’opposition et le contraignent à composer dans une certaine mesure avec les Etats voisins 1205  ».

Le Conseil aborde ensuite la question de la légitimité des chrétiens à se positionner, en vertu des lois de l’Evangile. Il se doivent donc de continuer à dénoncer le système d’apartheid, de poursuivre leurs efforts en informant des actions des chrétiens sud-africains, en adoptant une attitude de solidarité (prières…), et surtout en démarchant auprès des gouvernements européens pour qu’ils revoient leurs relations commerciales avec l’Afrique du Sud :

‘« L’Evangile nous appelle à […] prendre l’initiative de démarches auprès des gouvernements de notre pays et des pays d’Europe pour que ceux-ci assortissent le maintien de relations commerciales avec l’Afrique du Sud de conditions susceptibles d’amener ses autorités à s’engager dans la voie de cette transformation1206 ».’

Avec le maximum de précaution dans la formulation, le conseil de la FPF estime donc légitime pour les chrétiens d’interpeller les gouvernements qui maintiennent des relations avec le régime de Pretoria. L’idée de sanctions ou de boycotts n’est pas abordée ici mais le conseil s’exprime en faveur de « pressions » et de l’intervention de la FPF auprès du gouvernement français et des banques concernées, à l’occasion des négociations pour le renouvellement des prêts bancaires à la République sud-africaine, en 1990. Cette déclaration témoigne bien d’un nouveau positionnement de la FPF qui se décide à se positionner officiellement sur des questions d’une nouvelle nature :

‘« Cette décision implique des choix politiques. Elle ne met pas en cause la reconnaissance de fait du gouvernement de Pretoria et celle du rôle qu’il pourrait jouer dans la naissance d’une RSA démocratique1207 ».’

Si cette décision implique en effet bien une intervention de la FPF dans le domaine politique, cette citation témoigne d’une prudence toujours réelle : certes la Fédération est prête à interpeller les gouvernements en lien avec l’Afrique du Sud mais il n’est pas question de se positionner sur l’illégitimité politique du régime de Pretoria. Il est certain que les réformes que le régime commence à mettre en place en cette année 89 influence cette « prudence » française qui ne tient pas à condamner un régime qui tend à s’assouplir. On peut aussi croire que la FPF estime qu’il n’est pas de son ressort de se positionner vis-à-vis d’une autorité politique, position qui l’amènerait à aborder la question contenue dans la Bible de la soumission (ou pas) des peuples à un régime tyrannique.

Alors que dans sa déclaration de septembre 1988 la FPF déclarait ne pas devoir s’exprimer sur la question des sanctions, cette décision du Conseil en février 1989, bien que très prudente, témoigne d’une nouvelle implication de la FPF, même si celle-ci arrive dans un contexte de réformes en Afrique du Sud.

Enfin, l’adoption de cette lettre par le conseil par 33 voix pour, 0 contre et 3 abstentions témoigne bien d’une certaine unanimité des Eglises, institutions, œuvres et mouvements membres de la FPF.

Suite à cette décision, le président de la FPF Jacques Stewart adresse une lettre au président de la République concernant le renouvellement de prêts bancaires français à l’Afrique du Sud. Le 24 mai 1989, la réponse de Jean-Louis Bianco, secrétaire général de la présidence fait l’objet d’un BIP :

‘« le gouvernement peut très difficilement intervenir dans des négociations entre la République sud-africaine et un consortium de banques internationales1208 ».’

Si les déclarations de la FPF concernant la situation en Afrique du Sud sont peu nombreuses, la Fédération protestante va témoigner d’une certaine mobilisation, d’une part par l’intermédiaire de ses bulletins d’information, d’autre part en accueillant en son sein, officiellement ou officieusement, des chrétiens sud-africains capables d’informer des réalités du système d’apartheid.

Notes
1182.

Il s’agit de la vente à l’Afrique du Sud de la centrale de Koeberg. Voir chapitre I, 2.

1183.

Une déclaration du conseil national de la Fédération protestante de France, Réforme, 5 juin 1976, p. 16.

1184.

« Des protestants opposés à la vente de centrales nucléaires à l’Afrique du Sud » (1976), op.cit.

1185.

« Une déclaration du Conseil national de la FPF » (1976), op.cit.

1186.

« La collaboration avec l’Afrique du Sud dans le domaine nucléaire », Réforme, 5 juin 1976, p. 16.

1187.

La déclaration du COE visent plusieurs multinationales et pas seulement la société française Framatome. Citons par exemple Général Electric (Etats-Unis), Brown-Boveri International Corporation (Suisse), Kraftwerk Union (RFA).

1188.

Ariane BONZON, « Les protestants et l’apartheid » (1986), op.cit.

1189.

Ibid.

1190.

Résolution sur l’Afrique du Sud adoptée par le Conseil de la FPF des 1er et 2 février 1986.

1191.

Ibid.

1192.

Ibid.

1193.

Ibid.

1194.

« Afrique du Sud » (1985), op.cit.

1195.

Ibid.

1196.

Anne-Marie GOGUEL, « L’engagement non-violent de l’Eglise », op.cit.

1197.

Résolution sur l’Afrique du Sud adoptée par le Conseil de la FPF des 1er et 2 février 1986 .

1198.

Ibid.

1199.

Le télégramme adressé au président Botha est reproduit dans Réforme . Voir « Afrique du Sud : Gandhi ou Malcom X ? » (1988), op.cit.,

1200.

Ce message est reproduit dans le BIP n°1088 daté du 2 mars 1988

1201.

BIP, n°1110, 28 septembre 1988, 3 p.

1202.

Ibid.

1203.

Ibid.

1204.

« Afrique du Sud : lettre du conseil de la FPF aux Eglises, institutions, œuvres et mouvements », BIP, n°1129, 22 février 1989, 2 p.

1205.

Ibid.

1206.

Ibid.

1207.

Ibid.

1208.

« Prêts bancaires français à l’Afrique du Sud : réponse de la présidence de la République à Jacques Stewart », n°1140, 24 mai 1989, 1p.