Homo Apostolicus.
La formation du clergé indigène au Collège général des Missions Étrangères de Paris, à Penang (Malaisie), 1808-1968 : institution et représentations.
Ce document est diffusé sous le contrat Creative Commons « Paternité – pas d’utilisation commerciale - pas de modification » : vous êtes libre de le reproduire, de le distribuer et de le communiquer au public à condition d’en mentionner le nom de l’auteur et de ne pas le modifier, le transformer, l’adapter ni l’utiliser à des fins commerciales.
Qu’il me soit permis d’adresser en tout premier lieu mes remerciements très vifs à M. le professeur Claude PRUDHOMME. Après avoir accepté de diriger cette thèse, il a bien voulu m’accompagner de ses conseils avec une bienveillance et une pertinence qui m’ont été d’un irremplaçable soutien. Est-il besoin d’ajouter que la lecture de ses ouvrages a constamment guidé et étayé ma réflexion.
Je remercie également très respectueusement MM. les professeurs, membres du jury, qui ont bien voulu honorer de leur présence la soutenance de cette thèse.
Au Père Gérard MOUSSAY, archiviste de la Société des Missions Étrangères de Paris, j’exprime ma profonde et respectueuse gratitude. Sans lui, cette thèse sur le Collège général de Penang n’eût jamais vu le jour, puisqu’il m’en a suggéré le sujet, m’a accueilli dans ses archives et guidé pendant mes années de recherche avec une délicatesse et une prévenance inlassables. Il n’ignore ni l’importance ni la qualité des liens personnels qui désormais nous unissent. Je ne saurais manquer d’associer à ces remerciements l’ensemble de l’équipe des archives, toujours amicale, dévouée et compétente et tout particulièrement Brigitte APPAVOU, adjointe du P. MOUSSAY, pour son appui patient, souriant et efficace, et sa constante disponibilité.
Je tiens également à assurer les Pères Michel ARRO, Jean L’HOUR et René NICOLAS (MEP) de ma sincère reconnaissance. L’accueil qu’ils m’ont réservé, la confiance qu’ils m’ont accordée lors de nos entretiens m’obligent. Ils ont largement contribué à enrichir ce travail.
Claude GUILLOT (ÉFEO) et Claire TRAN Thi Liên (Paris-VII) m’ont fait l’honneur de m’inviter à présenter mes travaux dans le cadre de leurs séminaires de recherche, m’offrant ainsi l’occasion de faire d’utiles bilans d’étape et de clarifier mes idées.
Des amis très chers m’ont fait bénéficier de leur savoir et de leurs conseils, acceptant de distraire, de journées pourtant très chargées, du temps pour m’apporter un inestimable soutien. Fr. Dominique-Marie DAUZET, (o. praem.), Rémy MADINIER (CNRS), Michel OLLION (Archives Nationales) et Philippe PLAGNIEUX (Université de Franche-Comté, École nationale des chartes) ont joint à leur érudition et à leur expérience universitaire les marques d’une amitié sincère et dévouée. Je sais ce que je leur dois. Je ne pourrai enfin jamais assez remercier Pascal SIMONETTI qui, avec Marie-Catherine STOFFEL, a intégralement relu et corrigé ce travail, et a résolu l’ensemble des questions pratiques que seul, j’eusse eu les plus grandes difficultés à dominer.