a.2 Le prêtre Kô et le prêtre Sî : entre tableau d’honneur et légende dorée

‘« Les statistiques, sans doute, ont leur langage ; mais ce langage n’est pas toujours clair ; de plus on peut en abuser jusque dans les meilleures choses. Aussi n’est-il pas mauvais, lorsque l’occasion se présente, de les illustrer de quelques preuves capables de fixer les convictions1546. »’

Au fur et à mesure, la liste des anciens élèves dignes de figurer au tableau d’honneur du Collège général s’est allongée. Les registres s’efforcent, nous l’avons vu, de tenir la comptabilité du martyre. Heureusement, le martyre n’est pas l’unique exemple à suivre. Quelques destinées remarquables firent la fierté des directeurs et des séminaristes. Le cas de Petrus Truong Vînh Ky est bien connu. Étudiant au collège entre 1852 et 1858, il fut par la suite un lettré célèbre1547. D’autres sont devenus évêques ou archevêques, comme Mgr Chan, premier évêque indigène de Penang, en 1955. Ces sujets exceptionnels étaient très certainement donnés en exemple aux séminaristes. Mais dans la plupart des cas, on ignorait à Penang ce que devenaient les anciens. Les correspondances évoquent de temps à autre le courage d’élèves jetés au milieu des persécutions en Chine ou au Vietnam à l’époque impériale ou subissant, plus tard, l’hostilité des régimes communistes. Aucunes archives du Collège général ne portent sur le suivi des carrières ecclésiastiques. Tout au plus certains directeurs recevaient-ils, surtout dans les premiers mois après le départ d’un élève, une lettre en latin dans laquelle le nouveau prêtre exprimait sa gratitude, en termes souvent très formels.

Pourtant, une légende dorée des anciens du Collège de Penang circulait, constituée de récits de missionnaires, de prêtres ou de chrétiens indigènes. Certes, c’est le plus souvent une littérature apologétique, destinée à la publication. Comme pour les martyrs, ces récits de vies illustres obéissent à des règles quasi-immuables. Il en existe de très nombreux, aussi m’en suis-je strictement tenu à ceux qui concernent d’anciens élèves du Collège général. La vie d’Augustin Kô est d’emblée placée par le narrateur sous le signe du martyre : « Augustin Kô naquit à Suifu, Setchoan Méridional, en 1815, l’année même du martyre du Bienheureux Taurin-Dufresse 1548. » Il grandit au milieu « d’honnêtes chrétiens » ; ses parents, qui tiennent un commerce de médecine, sont originaires du Yunnan, mais ils sont venus s’établir dans le Sichuan afin « de se rapprocher des chrétiens qui y étaient assez nombreux. » Le temps est aux persécutions. Les chrétiens et les néophytes doivent se cacher pour assister à la messe. Augustin tira de ses souvenirs d’enfance une qualité primordiale : la prudence. Son père avait un associé, un néophyte du nom de Jean Tchen. Celui-ci avait dû s’enfuir de sa région natale pour échapper à ses parents qui n’acceptaient pas sa conversion au christianisme et voulaient le noyer de leurs propres mains. Tchen ouvrit un commerce d’onguents « que Dieu bénit au-delà de toute prévision. » Cette rencontre fut décisive ; elle est « l’origine de sa vocation. » Jean Tchen avait le zèle typique des nouveaux convertis. Il fit vœu de célibat et utilisa sa fortune à soulager les pauvres : « Sa prospérité temporelle ne refroidit pas sa ferveur, comme il arrive souvent en Chine. » Mais surtout, c’était un prosélyte. Il persuada au père d’Augustin, « devant les bonnes dispositions de l’enfant pour l’étude et la piété », d’envoyer son fils au séminaire et s’offrit à payer tous les frais des études. Un missionnaire local se chargea de commencer l’éducation chrétienne et latine du jeune garçon et l’envoya au séminaire que les Missions Étrangères viennent d’ouvrir à Longki, dans le Yunnan. Puis, « avec l’approbation du vicaire Apostolique, Mgr Fontana, il fut envoyé à Pulo Pinang. » Il partit en 1829 et y resta dix ans. Les registres ont conservé la trace de son passage. Les appréciations portées sur lui par François Albrand sont élogieuses : l’élève était « doué d’une piété solide, le caractère est souple et docile, sa santé robuste 1549 . » Lorsqu’il quitta le Collège, il était diacre mais n’avait pas encore été ordonné. En 1840, il se rendit à Macao et devint l’interprète d’un jeune missionnaire, Louis Taillandier, affecté au Sichuan. Or, à cette date, l’entrée en Chine était interdite aux missionnaires. De plus, Louis Taillandier ne connaissait pas la langue. Le voyage s’annonçait donc particulièrement périlleux. Après quelques semaines, les deux hommes furent dénoncés, arrêtés par des douaniers près de Canton et jetés en prison. La seconde partie de cette narration se déroule selon le scénario habituel. Les interrogatoires se succèdent et, en dépit des menaces et des coups, les deux hommes refusent d’apostasier. Le missionnaire français fut libéré au bout de quelques semaines grâce à l’intervention de la marine britannique, que commandait en Chine l’amiral Eliott. Augustin, lui, demeura trois ans en prison, ravitaillé clandestinement par la procure des MEP à Macao. Mais il fut régulièrement torturé :

‘Il vit plusieurs fois son corps déchiré par les verges et son sang couler dans les prétoires ; il subit le supplice des soufflets et la torture de l’écartèlement, il fut suspendu par les pouces. Rien ne put ébranler la fermeté de sa foi. Il est regrettable qu’on n’ait pas plus de détails sur les interrogatoires, les tourments qu’il endura et les grâces spéciales par lesquelles Dieu fortifia son courage. ’

Cette dernière phrase confirme ce que nous disions précédemment quant à l’importance que revêt la narration des plus horribles traitements, la résistance du supplicié ne pouvant être due qu’à un soutien surnaturel, dont elle prouve l’existence. Dans sa prison, « il s’était attiré le respect et l’amitié de tous […] Les bourreaux, les plus féroces criminels se prirent d’attachement pour lui. » Ne pouvant lui faire abjurer sa foi, les mandarins le condamnent à l’exil : « C’est alors que la divine providence intervint par la main de la France. » Le contexte historique est celui de la Guerre de l’opium. Après le traité de Nankin, en 1842, alors que la Chine s’est vue contrainte d’ouvrir plusieurs de ses ports au commerce étranger et de céder Hong-Kong à l’Angleterre, Louis-Philippe envoit plusieurs corvettes sous les ordres de l’amiral Cécille, sous le couvert de protéger les missionnaires. Le bruit des « infortunes apostoliques » d’Augustin Kô parvint aux oreilles du ministre plénipotentiaire Lagrenée, chargé de mener les négociations avec la Chine. En fait, les Français ont besoin d’interprètes. Des missionnaires ont recommandé le jeune chinois pour cette fonction, ce qui lui vaut d’être libéré et de devenir catéchiste et interprète de la mission militaire française1550. La suite de cette histoire est riche en péripéties diverses mais anecdotiques. Ce récit entremêle légende sacrée et histoire politique. L’enfance d’Augustin fait quelque peu songer à l’enfance du Christ : ses parents sont des exilés fuyant la persécution, son père est un honnête homme, Augustin grandit en sagesse et en mérites. Puis arrive Tchen, le messager, qui s’appelle Jean, on l’aura noté. Dieu bénit, protège et oriente ces trajectoires, dont l’aboutissement est l’entrée d’Augustin à Penang. Commence alors le « ministère terrestre » d’Augustin, l’épreuve de la prison, la condamnation à l’exil, son sauvetage providentiel, enfin, par la France. Augustin Kô, jeune Chinois du Sichuan, sert désormais des intérêts coloniaux. L’histoire du prêtre Si présente de multiples parentés avec la précédente. Elle est connue grâce à une compilation de déclarations destinées à l’établissement de sa qualité de martyr par les autorités romaines1551. Le dossier comporte la retranscription de témoignages directs : ceux de prêtres indigènes, Petrus Phu o’c et Tho i ; de catéchistes, Hyacinthe Chât (témoignage entendu en 1867) et Thanh ; d’élèves du prêtre, Du’c et L’y et de la dame Qu’oc de la paroisse de Lang Sôn. Enfin, le journal du prêtre Joseph Pham An Sî (écrit en vietnamien versifié et traduit en latin) a été versé au dossier1552. Joseph naquit sous le règne de Minh Mang (le « Néron annamite ») à Tân Quan, dans la province de Binh Dinh. Ses parents, Pierre Tu’c et Marie Nhon, étaient des chrétiens. À l’âge de dix ans, Joseph entra au service d’un prêtre indigène du nom de Ngû, lequel l’initia au latin et lui enseigna le catéchisme. Bientôt, ils durent s’enfuir vers le sud, en Cochinchine puis au Siam, pour échapper aux persécutions. C’est là que le jeune vietnamien entra en contact avec les missionnaires français, en la personne d’Étienne Cuenot. Remarqué pour « sa modestie et son bon caractère », le jeune homme fut admis dans l’entourage du missionnaire qui l’emmène tout d’abord avec lui à Singapour. Étienne Cuenot, devenu vicaire apostolique de Cochinchine (succédant à Mgr Taberd), l’envoie à Penang en 1836. Joseph Sî fait donc partie de la deuxième fournée d’élèves vietnamiens arrivés au Collège à l’époque des persécutions de Minh-Mang. Il y resta pendant sept ans. Les registres indiquent à son sujet : « Caractère réfléchi, esprit grave et pondéré, santé fragile. » Son évêque le rappela, alors qu’il commençait tout juste l’étude de la théologie, le mit encore à l’épreuve deux ans puis l’ordonna. Plusieurs témoins le décrivent comme un prêtre zélé et courageux. L’un d’entre eux rapporte qu’il aurait suggéré aux chrétiens de sa paroisse de démanteler, jour après jour et pierre après pierre, une vieille pagode placée au bord du chemin qu’ils prenaient, chaque matin, pour se rendre à la messe : « Ce fait, qui n’est d’ailleurs pas à imiter, prouve du moins sans aucun doute que Joseph Sî était un prêtre ardent, ne craignant pas, quand il s’agissait de l’œuvre de Dieu, la colère des puissants de ce monde 1553  », commente l’auteur du témoignage, Petrus Phu o’c. Pendant plusieurs années, Joseph Sî mena une vie presque clandestine. Il remplit la fonction de prêtre de paroisse dans la province de Quang Nam, prit la défense des chrétiens que les notables locaux houspillaient : « Joseph Sî, qui était très versé dans la connaissance des caractères chinois et était naturellement éloquent, combattit et condamna si facilement ces notables que ceux-ci malgré leur haine cessèrent leurs vexations. » Il vendait des médicaments et faisait également office de médecin, semble-t-il. C’est en se rendant au chevet d’un malade de sa paroisse qu’il fut arrêté par des soldats. Commença alors une longue période de captivité, entrecoupée d’interrogatoires, dont les minutes sont partiellement reproduites dans le dossier :

‘Le prêtre : Les lois du royaume font de moi un criminel, mais de crime, je n’en ai point commis […]. Ma seule ambition est de servir Dieu, qui récompensera les bons en leur donnant la vie éternelle et punira les méchants qui n’auront pas observé ses commandements.
Le mandarin : Les hommes ne vivent que de cette vie mortelle, et il n’y a rien au-delà. Il en a toujours été ainsi, même pour le mandarin Dé.
Le prêtre : Ce mandarin fut pendant sa vie un homme d’un esprit médiocre et eut une fin peu glorieuse, s’étant écarté du bon chemin. Tout ceux qui l’imitent perdent le droit de vivre après leur mort.’

Le mandarin pose diverses questions qui trahissent l’existence d’une légende noire du christianisme : « On dit, je ne sais si c’est vrai ou faux, que les chrétiens arrachent les yeux aux enfants. Pour quel motif, quel usage ? » Le prêtre Sî dément aussitôt. Puis le mandarin demande pourquoi les chrétiens « honorent-ils les dépouilles des enfants plus que celles des adultes ? » Le prêtre Sî fait alors un exposé assez alambiqué sur la nature de l’homme, le péché et conclut en distinguant le rite chrétien du culte « que les païens adressent à l’âme de quelqu’un après sa mort. » Par la suite, le mandarin fait placer une croix sur le sol et ordonne au prêtre de la fouler aux pieds, ce qu’il refuse, naturellement : 

‘J’aime mieux mourir, s’il le faut, que vivre après avoir foulé aux pieds la croix. Ma mort sera d’un grand exemple pour l’enseignement de mes chrétiens et m’attirera une gloire éternelle […]. Je rougirais de prêcher aux autres après avoir commis moi-même le crime d’apostasie.’

Les interrogatoires se poursuivirent durant cinq mois, au terme desquels la sentence fut proclamée. Le prêtre sera exilé et marqué à la joue. Or, les caractères que l’on allait graver sur sa peau signifiaient « transgresseurs des lois ». Le prêtre récuse cette inscription et demande qu’on lui substitue « religion de Jésus ». Il est envoyé au Tonkin sous bonne garde mais ici le récit s’interrompt, par manque d’informations sur les « longues années d’exil qui suivirent. » L’un des témoins précise cependant que Joseph Sî fut arrêté une seconde fois : « Plus tard, quand les bateaux entrèrent dans la baie de Tourane, les mandarins, craignant des complications et croyant d’ailleurs que le prêtre Sî était un évêque, le condamnèrent à mort et lui firent trancher la tête. » Les bateaux étaient très probablement ceux de l’escadre française de l’amiral de la Grandière, chrétien notoire par ailleurs, proche des missionnaires français. L’arrestation aurait donc eu lieu en 1862, lorsque l’Annam céda la Cochinchine à la France, un an avant l’annexion du Cambodge, sous l’empereur Tu Duc. Au terme d’un procès expéditif, Joseph Sî fut condamné à être décapité. « Seize jours » après l’exécution, des chrétiens se rendirent sur les lieux du supplice du prêtre pour enlever le corps et lui donner une sépulture décente. Ils trouvèrent sa tombe grâce à une inscription apposée par les mandarins : « Nugyen An Sî, dit le prêtre chef de religion, a refusé de marcher sur la croix, a été condamné à mort et exécuté. » Lorsqu’ils exhumèrent le cadavre, les chrétiens firent le constat suivant :

‘On ne sentit aucune mauvaise odeur ; au contraire, c’était comme le parfum de l’huile ou du riz gluant. Le corps était entier sans aucune trace de corruption […]. Cinq mois s’écoulèrent depuis le jour où le corps du prêtre Sî avait été transporté de Thai Nguyen à My Ky et il ne répandait aucune mauvaise odeur mais au contraire l’odeur fraîche et suave d’un parfum.’

Une odeur de sainteté, en somme. Rappelons que ces documents visent à nourrir le plaidoyer en faveur de la reconnaissance du martyr et peut-être à permettre que soit ultérieurement envisagé un procès en béatification. Ce récit, comme le précédent, mélange les genres, la réalité historique voisinant avec des événements providentiels et des faits miraculeux. On pourrait multiplier les exemples de ces petites hagiographies d’où s’extrait une typologie du prêtre indigène. Né dans un milieu chrétien le plus souvent persécuté ou en passe de l’être, le futur prêtre fait preuve de bonnes dispositions pour l’étude ; il est modeste, docile. Une rencontre ou un évènement providentiel le mettent en relation avec des missionnaires qui l’envoient à Penang, où il arrive au terme d’un voyage souvent périlleux. Après ses études, le jeune prêtre rentre chez lui où il est regardé comme un étranger, un renégat, par la majorité de ses congénères. Il lui faut alors reconquérir leur confiance. La tâche est rude, mais il peut compter sur le soutien divin :

‘Dans mes premières lettres datées d’ici, en parlant de nombreuses tribus qui se partagent le midi du Yu-Nân, j’ai eu l’honneur de dire à V.G. que pour leur conversion, nous comptions beaucoup sur un élève de leur sang envoyé au Collège de Pinang en 1839, et qui, dès son entrée nous donna les plus belles espérances. Cette année cet élève est revenu au milieu des siens, revêtu du sacerdoce. Je l’accompagnais à son entrée dans son village […]. Il appartient à la tribu des Lolo. Dès les premiers jours il leur a parlé des motifs de son absence et de son retour. Dieu leur a fait la grâce de comprendre ; et en moins de quinze jours, presque tout son village natal avait adoré le vrai Dieu et renoncé au culte des idoles1554.’

Le prêtre indigène est devenu un homme apostolique dans son propre pays. C’est un bon prêtre. Il célèbre la messe, administre les sacrements, baptise et confesse. Il a de l’onction. Sa douceur et sa persuasion lui valent l’estime de tous, même de ses ennemis. Le contexte de la persécution en fait un martyr possible. Face à ses bourreaux, il se montre héroïque. S’il n’est pas exécuté, on le bannit. Augustin Kô, enfant d’exilés, lui-même condamné à l’exil, est en quelque sorte un apatride. Joseph Sî subit le même sort. L’un des éléments communs à ces deux récits est l’exil. Non seulement les deux clercs sont condamnés à la relégation, mais ce sont deux exilés à l’intérieur même de leur nation. Certes, leur maîtrise des langues est un atout, mais qu’ils utilisent contre la majorité de leurs compatriotes, au service d’une puissance étrangère, en l’occurrence la France colonisatrice ou d’une minorité opprimée, les chrétiens autochtones. Observons au passage que la formation à Penang était suffisamment solide pour qu’il leur soit possible de remplir efficacement le rôle d’intermédiaire. Au fond, appartiennent-ils à l’une ou à l’autre culture ? Dans les dernières pages de son journal, Joseph Sî écrit « Que m’importe l’exil ? Notre patrie n’est pas ici bas. » Notons, pour conclure, que nombre des publications relatant ces faits survenus au milieu du XIXe siècle, parurent après le premier conflit mondial et jusque dans les années 1950 : une tradition vivace s’était donc conservée au sein de la Société des Missions Étrangères, formant partie intégrante d’une culture commune aux missionnaires et à leurs élèves.

Notes
1546.

Charles Cesselin, 1882-1965, missionnaire au Japon. « Une belle figure de prêtre chinois, Augustin Kô », Bulletin de la Société des Missions Étrangères, 1924, p. 79.

1547.

J. Bouchot, « Un érudit cochinchinois, Petrus J.B. Truong-Vinh-Ky (1837-1898) », dans Extrême-Asie, 2° année, n° 13, novembre 1925 à février 1926. A. Madelin, Pétrus J.B. Truong-vînh-Ky (1837-1898) un lettré cochinchinois entre deux cultures, mémoire de Maîtrise dirigé par P. Brocheux, Université Paris 7 – Denis Diderot, Paris, 1995.

1548.

Charles Cesselin, op. cit., p. 80-87

1549.

F. Albrand, compte rendu au séminaire de Paris, 14 juin 1837, DB 340.

1550.

Sur ces questions, voir P. Collineau, « Les missionnaires agents de l’influence française : l’exemple du problème politico-missionnaire au Sichuan », dans La France en Chine (1843-1943), textes réunis par J. Weber, Enquêtes & documents n° 24, Centre de recherches sur l’Histoire du Monde Atlantique, Université de Nantes, 1997.

1551.

Summarium – proc. Vic. Ap. Cocincinae Orientalis, Die 30 Martii 1951, Joannes Della Cioppa, Franciscus Bersani, Revisa Die Junii 1951, Sylvius Romani, fidei subpromotor generalis.

1552.

« J’écris le journal en faisant quelques rimes en langue vulgaire pour mon délassement », Documentum XIII, fol. 173 terg.

1553.

Summarium, op. cit. , Documentum XII, fol. 161, p. 115.

1554.

Lettres écrites du Yu-Nân à Mgr Langres par M. Huot, missionnaire, 1849, DB 430-2.