…aux fonctions départementales

Plus des deux tiers des présidents occupent d’importantes fonctions dans des organisations professionnelles agricoles au niveau du département, évidemment en grande partie dans les offices départementaux agricoles, mais aussi dans les sociétés d’agriculture et les syndicats. Plus, l’échelon départemental apparaît comme l’échelon minimal des engagements dans un quart des cas et comme l’échelon maximal dans la même proportion. Il est rarement évité par ceux dont les fonctions vont du local au national. Les mandats départementaux sont d’autant plus fréquemment détenus que le nombre de mandats est élevé : dans 50 % des cas lorsque deux mandats ont été repérés, 75 % pour trois mandats, et quasiment à 100 % dans les cas de cumul de quatre mandats et plus. Tous les indices pointent l’échelon départemental comme lieu de convergence des trajectoires des premiers présidents de chambre d’agriculture. La délimitation de la circonscription de celles-ci l’explique sans doute largement : les « hommes de la situation » 454 doivent y avoir fait leurs preuves. Surtout, cette unité géographique est « inscrite dans la plupart des statuts des organisations » : selon Sylvain Maresca, « la majorité des dirigeants font donc coïncider l’espace concurrentiel dans lequel s’inscrit leur carrière publique avec un département, même s’il ne s’agit pas d’une unité hermétique » 455. De même Jean-Pierre Prod’homme pointe l’intérêt d’analyser les niveaux intermédiaires entre le centre et la périphérie, entre l’État et la base. Il remarque que le département est reconnu comme cadre pertinent par les acteurs eux-mêmes et décrit des « ensembles d’organisations » fonctionnant toutes au niveau départemental et rassemblant les mêmes individus. Lui aussi y reconnaît un « élément essentiel de l’organisation administrative française entre le pouvoir central et les collectivités décentralisées » 456. À l’interface de la « société englobante » et des « collectivités locales » 457, le département, circonscription administrative issue de la révolution de 1789, espace et institution dont on peut discuter l’« unité rurale » 458, est un échelon décisif et indépassable dans les « circuits d’accès à l’appareil administratif de l’État » 459. Bien plus que l’arrondissement ou la région, le département, à la fin des années 1920, est le lieu des interactions avec les élus et avec les représentants de l’État.

Une trentaine de présidents de chambre d’agriculture appartiennent au bureau d’une organisation syndicale agricole départementale. Dans la moitié des cas, elles portent le nom d’union ou de fédération, mais par leur structure et leurs statuts, elles le sont toutes implicitement. Rassemblant plusieurs milliers de membres individuels et fédérant des dizaines de syndicats locaux, ces organisations, par le biais de leurs défenseurs, mettent l’accent sur le nombre pour affirmer leur légitimité et leur efficacité. Ainsi, il est dit de l’Union fédérative des associations agricoles corréziennes (FAAC), dirigée par Joseph Faure, que son rôle est d’« intervenir avec la puissance que donne le nombre et l’organisation auprès des pouvoirs publics et les administrations pour faire aboutir les solutions aux questions économiques se rattachant à la production agricole » 460. Tous ces syndicats n’ont pas été créés dès les lendemains de la loi Waldeck-Rousseau du 21 mars 1884, quand l’union syndicale départementale était fréquemment « suscitée par une société d’agriculture comme une filiale plus ouverte et plus libre d’agir dans le domaine économique » 461. Les dates de création s’échelonnent très régulièrement tout au long des décennies qui vont de la création des premiers syndicats agricoles à celle des chambres d’agriculture.

L’importance de l’organisation et l’aura du dirigeant s’affirment interdépendantes : elles se confortent mutuellement au fil des discours. Le Syndicat départemental agricole du Puy-de-Dôme serait « devenu, grâce au zèle de son président, M. Côte, l’une des plus notables associations du Centre [aurait] joué un rôle des plus utiles dans la reconstitution du vignoble du Puy-de-Dôme [et aurait] appris aux viticulteurs à soigner leurs vignes et leurs vins ». Henri Côte, ingénieur agricole 462 et fils du « fondateur du syndicalisme agricole en Auvergne » 463, avait quatorze ans lors de la création du syndicat : c’est son rôle d’héritier, de continuateur, voire de sauveur face à la crise phylloxérique qui semble avoir assis sa réputation de dirigeant. À côté de celle, évidente, de Joseph Faure, c’est la figure du « fondateur » qui émerge parmi les présidents élus. Charles de Rodat, président de la chambres d’agriculture de l’Aveyron est le fondateur de la coopérative Rouergue, Auvergne, Gevaudan et Tarn 464. Louis Brunehant, président de la chambre d’agriculture de l’Aisne, est le président fondateur de l’Union des syndicats agricoles du Soissonnais, créée en 1920 465. Olivier de Framond, en Lozère, est le président et fondateur du Syndicat agricole de Marvejols 466. Eugène Bizet, dans la Somme, est quant à lui le président fondateur du Syndicat agricole du Marquenterre depuis 1901 467. La recension ne peut être exhaustive mais les cas sont nombreux et ne concernent pas les seuls présidents les plus âgés.

Est-ce parce que les auteurs de l’annuaire Silvestre sont très étroitement liés aux dirigeants de l’USESA 468 et aux dirigeants proches de la « rue d’Athènes », lesquels clament, tout en l’encourageant partiellement, leur « désaveu du "syndicat-boutique" » 469 depuis le début du siècle ? Toujours est-il que l’accent est mis sur la diversification des activités des syndicats agricoles. Le Syndicat agricole de la Haute-Savoie, présidé par le comte Antoine de Menthon, rassemblant 7 000 adhérents et affilié à l’USESA, « est vendeur de fromages, foin, avoine, sainfoin [et rend des] services divers [tels que] location d’instruments agricoles, renseignements, expertises ». Mise à disposition d’une bibliothèque, diffusion d’un enseignement agricole, organisation de conférences 470 sont fréquemment à l’actif des unions de syndicats départementales dans les années 1920. Le Syndicat général des agriculteurs du Tarn-et-Garonne, qui « sert de fédération à tous les syndicats communaux de Tarn-et-Garonne [met à disposition un] office de renseignements agricoles et [un] service des offres et demandes d’emplois [en plus de l’]organisation de dépôts d’engrais » 471. Le Syndicat des agriculteurs de la Mayenne a « vulgarisé l’emploi des engrais et s’[est] efforc[é] de réprimer la fraude qui se pratique dans leur commerce, [et] il encourage le développement du progrès agricole et cherche à éclairer les cultivateurs sur le choix des matières professionnelles qui leur sont nécessaires, [enfin il] organise en outre chaque année un concours agricole départemental, peut-être un des plus beaux de France et des concours spéciaux d’exploitations, d’enseignement et de mutualité agricoles » 472.

Au gré des configurations locales, la diversification devient spécialisation : la Fédération des associations agricoles de la région de Bordeaux crée ainsi une « commission mixte, dite de l’accord de Bordeaux, datant de 1913 et composée de 12 viticulteurs et 12 négociants en vins, à l’effet de préparer l’application de la loi du 6 mai 1919 » 473. Des unions de syndicats spécialisés sont apparues. De l’Union des syndicats d’élevage du Doubs, il est dit qu’elle a rendu des services à la « cause agricole [qui aurait] attiré sur elle l’attention générale du monde agricole en France » 474. La légitimité qu’en aurait tiré le président de la chambre d’agriculture du Doubs, Edmond Nétillard, est formulée le jour de ses obsèques par son secrétaire général : il loue le « cran », l’« activité » et le « dévouement de tous les instants » de cet « animateur précieux », « connu et estimé dans toute la région ». Il relate les conditions dans lesquelles Edmond Nétillard a pris, dès 1903, « la tête de la pleïade des éleveurs d’avant-garde [qui] allai[en]t donner [au] troupeau bovin [du Doubs] un élan remarquable en imposant sa sélection vers un standard défini et pourvu de précieuses aptitudes zoo-économiques » 475. Au village et au-delà, dans la « hiérarchie de la compétence et de l’excellence conférant prestige et honneur » 476, les dirigeants de syndicats d’élevage occupent une place de choix. Leur rôle dans la sélection des races, bovines notamment, laitières ou à viande, s’exerce principalement par la « location aux enchères de reproducteurs de choix » comme c’est le cas au Syndicat des éleveurs nivernais, présidé par le sénateur Émile Chomet, dont l’objet est « l’amélioration de la rave bovine charollaise et de la race chevaline nivernaise » 477. Cinq présidents de chambre d’agriculture dirigent un syndicat départemental d’élevage : les succès, notamment économiques, de ces organisations, rejaillissent sur les dirigeants qui y ont pris part et contribuent grandement à asseoir leur légitimité.

La « montée des associations spécialisées » 478 du début des années 1920 est discrètement lisible au vu des mandats professionnels des présidents de chambre d’agriculture. Selon l’annuaire Silvestre de 1923, dix présidents sont à la tête de syndicats de vignerons ou de sociétés de viticulture, tous échelons confondus, quatorze appartiennent au bureau d’une organisation d’éleveurs et quatre à celui d’un groupement de maraîchers, producteurs de fruits ou de légumes, arboriculteurs ou horticulteurs. Céréaliers et betteraviers sont présents parmi les présidents en tant que producteurs, comme nous le verrons, mais leur organisation en syndicats spécialisés n’en est qu’à ses balbutiements au moment de la publication de l’annuaire, qui n’en reflète rien. Quelques présidents sont présents dans des syndicats départementaux incarnant l’avant-garde moderniste 479, comme la Fédération des syndicats de culture mécanique du Tarn-et-Garonne, dont le docteur Jules Delpeyrou, président de la chambre d’agriculture, est le vice-président 480. Charles de Rodat, président de la chambre de l’Aveyron, préside par ailleurs le Syndicat d’encouragement à la motoculture du département qui s’est fixé pour objectif d’« encourager les cultivateurs de l’Aveyron dans la voie de la motoculture, [de] les aider de son appui moral et de ses conseils afin de leur apporter les appuis financiers que ses ressources lui permettront, [et d’]acquérir, en outre, les appareils qu’il lui paraîtra intéressant d’introduire dans le pays » 481.

Étudier les présidents de chambre d’agriculture qui sont présents dans les syndicats agricoles au niveau du département implique de prendre en considération les processus de dédoublement et de fondation en cascade à l’œuvre depuis la fin du 19e siècle. Ainsi, le Syndicat des agriculteurs de la Manche, présidé depuis 1900 482 par Émile Damecour, devenu président de la chambre en 1927, a fondé des « sociétés filiales [parmi lesquelles] une caisse régionale et une caisse locale de crédit, une coopérative agricole traitant 6 à 7 millions d’affaires par an » ; il a créé et subventionne des « œuvres [dont] 15 caisses d’assurance contre la mortalité du bétail, 40 caisses d’assurance mutuelle contre l’incendie » 483. De façon évidente, la légitimité des hommes qui sont à l’origine d’un tel développement des organisations au sein du département s’en trouve considérablement renforcée : en 1939, il sera même écrit d’Émile Damecour qu’il est « considéré en France comme un second père de l’agriculture, un apôtre des associations professionnelles syndicales » 484. Dans l’Indre, celui qui est élu à la tête de la chambre d’agriculture en 1927 est également depuis 1899 président de l’Association des éleveurs, des agriculteurs et des viticulteurs de l’Indre et du syndicat fondé par celle-ci « dans le but de favoriser l’amélioration du mouton berrichon par la sélection et d’en faciliter l’écoulement ». Ce syndicat a constitué en 1901 une Caisse régionale de crédit agricole mutuel 485, dont il a été et reste le premier président 486. En 1919, il est devenu membre de l’office agricole départemental et président du comité départemental de l’Indre au sein de la Fédération régionale des associations agricoles du Centre, tout juste créée 487. L’articulation de l’individuel et du collectif se lit parfaitement dans le déroulement diachronique de l’arborescence des organisations, d’une échelle à l’autre : la photographie qu’offre l’annuaire des chambres d’agriculture permet cependant dans un premier temps de traquer « des structures stables de combinaisons de postes et de fonctions » 488.

Les combinaisons possibles sont évidemment nombreuses et la faiblesse numérique de l’effectif considéré des 90 présidents de chambre d’agriculture ne permet pas de faire surgir des récurrences indiscutables 489. Notons d’emblée une partition en trois : un tiers des présidents n’a pas été identifié au niveau départemental, un autre tiers n’exercerait qu’un mandat à cet échelon, tandis qu’un dernier tiers y cumulerait deux à cinq fonctions importantes dans des organisations différentes. Quelques constats s’imposent facilement : 16 % des présidents ne sont présents qu’au sein de l’office agricole et les combinaisons observées deviennent d’autant moins récurrentes que le nombre de mandats départementaux s’élève. Un président de chambre d’agriculture sur dix était en 1923 à la tête d’un syndicat agricole départemental et de l’office agricole. Un sur dix jouait alors un rôle-clé dans deux syndicats à circonscription départementale. On touche alors du doigt l’importance de considérer les fonctions comme une composante de la combinaison, ceux qui sont les présidents de deux syndicats paraissant être dans une position plus dominante que ceux qui cumulent une présidence et une vice-présidence. Seul l’examen de l’ensemble des organisations professionnelles départementales doit permettre d’apprécier les éventuelles réciprocités et symétries, témoignant d’arrangements tacites et d’équilibres constamment renégociés.

Les cas de cumul de trois mandats départementaux sont rares mais saillants. Mentionnons Augustin David-Gastu qui reçut un hommage posthume pour son « rôle éminent dans l’Agriculture départementale ». Ce « mutualiste de premier plan » 490, viticulteur à une dizaine de kilomètres de Perpignan, est devenu président du Syndicat professionnel agricole des Pyrénées-Orientales, créé en 1886, et comptant en 1923 quelques 9250 membres 491. Dans la foulée, il devient président de la Caisse régionale de réassurance des mutuelles agricoles contre l’incendie des Pyrénées-Orientales. En 1919, à la création des offices départementaux agricoles, il prend la présidence de celui de Perpignan et l’année suivante, c’est la Société d’élevage des Pyrénées-Orientales, tout juste fondée, qui le choisit pour président. En 1927, quand il est élu membre de la chambre d’agriculture par les associations et syndicats agricoles, puis élu président par ses pairs, il a 63 ans. On lit bien un double mouvement : la légitimation des hommes par l’expérience accumulée et l’« habitus » 492, véhiculés entre les organisations par le biais des hommes et infléchissant leur action dans la durée. Ainsi, les organisations pyrénaliennes sont vues a posteriori comme « prospères grâce à son active impulsion » et il est dit que « l’affabilité de M. David-Gastu, sa longue pratique des hommes lui donnaient une grande maîtrise dans la marche des organisations agricoles comme dans la conduite des assemblées » 493. Il serait cependant erroné de considérer ses seuls mandats départementaux. Augustin David-Gastu est le président de la coopérative de distillation « La Catalane », fondée en 1914 à Perpignan, qui compte 305 sociétaires. Son action se prolonge au niveau régional, au sein de la Fédération des syndicats agricoles du Midi, et au niveau national comme membre de la deuxième section « syndicats agricoles et institutions similaires » de la Fédération nationale de la mutualité et de la coopération agricoles (FNMCA) et de la Caisse nationale de réassurance des mutuelles agricoles 494.

Notes
454.

Sylvain MARESCA, Les dirigeants paysans, ouvrage cité, p. 16.

455.

Ibidem, p. 24.

456.

Jean-Pierre PROD’HOMME, Agriculteurs organisés… ouvrage cité, p. 14.

457.

Henri MENDRAS, Les sociétés paysannes, Éléments pour une théorie de la paysannerie, Paris, Armand Colin, 1976, nouvelle édition refondue, Gallimard, 1995, 368 p.

458.

Agnès GUELLEC et Jean GUELLEC, Le département. Espace et institution, Paris, Dunod, 1993, 196 p.

459.

Pierre GRÉMION, Le pouvoir périphérique… ouvrage cité, p. 46.

460.

Annuaire Silvestre 1923, p. 356.

461.

Pierre BARRAL, Les agrariens français de Méline à Pisani… ouvrage cité, p. 108.

462.

Élève diplômé de l’École nationale d’agriculture de Grignon, promotion 1893 (Annuaire des ingénieurs agricoles1928).

463.

« Nécrologie. M. Henri Côte, ingénieur agricole, ancien président de la chambre départementale d’agriculture », dans Revue agricole du Puy-de-Dôme, mai 1963.

464.

http://gw.geneanet.org/index.php3?b=hbourj&lang=fr;p=charles;n=de+rodat

465.

Guy MARIVAL, Notice biographique de Louis Brunehant, Laon, Chambre d’agriculture de l’Aisne, 2000, 1 page, p. 1.

466.

Arch. nat., Dossiers de Légion d’honneur, L 1022064, Framond (de) Auguste Marie Joseph Olivier. Renseignements produits à l’appui d’un projet de décret tendant à nommer M. de Framond, 13 juin 1933.

467.

Ibidem. L 0246038, Eugène Alphonse Augustin Bizet, Renseignements à produire à l’appui des candidatures à la Croix de Chevalier de la Légion, 15 septembre 1925.

468.

Claude Silvestre est vice-président de l’USESA en 1923. Annuaire Silvestre 1923, p. 852.

469.

Pierre BARRAL, Les agrariens français de Méline à Pisani… ouvrage cité, p. 119.

470.

Annuaire Silvestre 1923, p. 922.

471.

Ibidem, p. 1021.

472.

Ibidem, p. 717.

473.

Ibidem, p. 490.

474.

Ibidem, p. 569.

475.

Bulletin mensuel de la Société départementale d’agriculture du Doubs, 44e année, n° 7, juillet 1933.

476.

Jean-Luc MAYAUD, « Spécialisation pastorale et hiérarchies villageoises en pays de démocratie rurale », article cité, p. 437.

477.

Annuaire Silvestre 1923, p. 758.

478.

Gordon WRIGHT, La révolution rurale en France… ouvrage cité, p. 60.

479.

Voir à ce sujet Renaud GRATIER de SAINT-LOUIS, « Du fléau à la batteuse : battre le blé dans les campagnes lyonnaises (19e et 20e siècles) », dans Ruralia, 2000-06, [En ligne], mis en ligne le 25 janvier 2005. URL : http://ruralia.revues.org/document139.html.

480.

Annuaire Silvestre 1923, p. 1023.

481.

Ibidem, p. 293.

482.

Nath IMBERT, Dictionnaire national des contemporains, Paris, Lajeunesse, 1939, 680 p., p. 194.

483.

Annuaire Silvestre 1923, p. 679.

484.

Nath IMBERT, Dictionnaire national des contemporains… ouvrage cité, p. 194.

485.

Annuaire Silvestre 1923, p. 520.

486.

Arch. nat., Dossiers de Légion d’honneur, L 2189073, Etienne Poisson. Renseignements à produire à l’appui des candidatures à la Croix de Chevalier de la Légion d’honneur, le 29 décembre 1906.

487.

Annuaire Silvestre 1923, p. 520.

488.

Pierre GRÉMION, Le pouvoir périphérique… ouvrage cité, pp. 212-213.

489.

Voir Annexes. Dossier n° 1. 1. Profils de dirigeants professionnels. Tableau 9.

490.

Arch. nat., AD XIX C 115 Basses-Pyrénées, Chambres départementales d’agriculture. Pyrénées-Orientales, 1928-1943, session extraordinaire du 27 janvier 1941.

491.

Annuaire Silvestre 1923, p. 844.

492.

Soit « ce qui fait que les agents qui en sont dotés se comporteront d’une certaine manière dans certaines circonstances », selon Pierre BOURDIEU, « Habitus, code et codification », dans Actes de la recherche en sciences sociales, année 1986, volume 64, n° 64, pp. 40-44.

493.

Arch. nat., AD XIX C 115 Basses-Pyrénées, Chambres départementales d’agriculture. Pyrénées-Orientales, 1928-1943, session extraordinaire du 27 janvier 1941.

494.

Annuaire Silvestre 1923, p. 844 et p. 967.