Contacts et organisations prépondérantes

Les historiens se sont peu attardés sur la première phase de l’organisation corporative, celle de la constitution des CROC : Isabel Boussard 1263 et Antoine Cardi 1264 passent directement aux assemblées générales constitutives des unions régionales corporatives agricoles (URCA) ; Gérard Bourdin y accorde avec mérite quelques lignes 1265. D’après le plan théorique arrêté par la commission nationale en février 1941, démarre une mise en œuvre qui est tout sauf rigide, qui dévoile des adaptations multiples aux situations locales et aux ambitions concurrentes exprimées à Paris, à Vichy et dans les départements. Un classeur de cuir a été conservé dans les archives de la Corporation paysanne 1266, qui contient des fiches par département, éventuellement par région 1267. En en-tête, sont citées pour information les « organisations prépondérantes » et les noms de leurs dirigeants. Suit l’énumération des correspondances échangées entre l’échelon départemental et national. Les premiers contacts sont établis sur la base de relations préexistantes avec des dirigeants locaux. 37 départements sont proposés pour être classés en catégorie A. Parmi eux, une vingtaine au moins a pour organisation prépondérante retenue une union ou fédération de syndicats agricoles affiliée à l’UNSA 1268 : cette affiliation est sans conteste l’un des biais de construction des structures locales de la Corporation paysanne dans la continuité. Il serait cependant abusif de le considérer comme le seul de ces biais.

On observe en effet que les organisations non affiliées à l’UNSA ne sont pas exclues, non plus que leurs dirigeants. Dans six départements au moins, le soin de former un Comité régional d’organisation corporative (CROC) est confié aux dirigeants des organisations prépondérantes : l’une d’elle est certes affiliée à l’UNSA, mais la ou les autre(s) ont une autre appartenance syndicale. C’est le cas en Meurthe-et-Moselle, où aux côtés de l’Union lorraine des syndicats agricoles, affiliée à l’UNSA, sont présents les dirigeants de la Fédération des associations agricoles de l’Est de la France, qui n’est pas affiliée à l’UNSA. À leur tête se trouvent le président de la chambre d’agriculture de Meurthe-et-Moselle et son suppléant-délégué élu en 1939 : le premier, Charles-Henri Cournault, 65 ans, sénateur de 1937 à 1940, est président de la Fédération des associations agricoles de l’Est de la France 1269 et conseiller national nommé par le gouvernement de Vichy en janvier 1941 1270 ; le second, Paul Cousin, 47 ans, est président de l’Union lorraine des syndicats agricoles 1271. Les principaux interlocuteurs de la COCP, de mars à mai 1941, sont Charles-Henri Cournault et l’abbé Marchal, le secrétaire général de l’Union lorraine des syndicats agricoles, en remplacement de Paul Cousin, prisonnier. Ce sont apparemment les dirigeants de l’Union lorraine des syndicats agricoles qui soumettent des propositions pour la composition du Comité régional d’organisation corporative (CROC) : ni Cournault, parlementaire, ni Marchal, ecclésiastique, n’en font finalement partie, mais leur rôle dans les négociations préparatoires ne semble pas insignifiant. Charles-Henri Cournault propose même « que M. Cousin (actuellement prisonnier) remplace son nom dans le Comité » 1272. Ici, les liens noués au sein de la chambre d’agriculture, entre un président et son suppléant-délégué, par-delà les clivages syndicaux, ainsi que les rapprochements opérés dans les années 1920 et 1930, au sein de la CNAA puis de l’APPCA, semblent faciliter la mise sur pied des structures corporatives.

Une situation comparable, soit deux organisations syndicales agricoles, dont l’une est affiliée à l’UNSA et l’autre non, sollicitée conjointement par la COCP pour organiser les réunions préparatoires et proposer une liste de membres pour composer le CROC, se retrouve également dans le Morbihan, la Nièvre, la Haute-Saône, la Somme et la Vendée. Dans ces départements, le classement en catégorie A dépend de la capacité des dirigeants locaux à parvenir à une entente pour composer le CROC et cette entente n’est pas partout aisée. En Haute-Saône, sont sollicitées par la COCP d’une part l’Union des syndicats communaux de la Haute-Saône, affiliée à l’UNSA, présidée par Bernard-Henri de Menthon, 75 ans, ancien député « union nationale » dans les années 1920, et d’autre part le Syndicat agricole haut-saônois, présidé par Fernand Raguin, éleveur et président du Herd-book montbéliard depuis 1940 1273. Depuis 1930, le premier est président de la chambre d’agriculture et le second est son vice-président et suppléant-délégué. Les directeurs des deux organisations sont les véritables interlocuteurs de la COCP et l’informent des réunions tenues et de leurs conclusions. Les propositions pour les délégués, régional et adjoint, écartent d’emblée le comte de Menthon, mais alignent les noms de Jean de Maillard, membre de la chambre d’agriculture depuis 1939 et de Fernand Raguin : alors que le Syndicat agricole haut-saônois voit Fernand Raguin comme délégué régional et Jean de Maillard comme délégué adjoint, l’organisation concurrente, l’Union des syndicats communaux de la Haute-Saône, inverse la proposition. Les tensions sont lisibles et aboutissent à la proposition, acceptée par la COCP de deux co-délégués avec deux secrétaires, et de l’installation dans un siège extérieur aux deux organisations 1274 : Fernand Raguin, issu de celle des deux organisations qui n’était pas affiliée à l’UNSA, devient simple membre du comité, quand Jean de Maillard et Émile Herbert, président du Syndicat agricole communal de Fougerolles, affilié au Syndicat agricole haut-saônois 1275, sont les deux co-délégués. On voit combien la COCP, avec l’assentiment appliqué des équipes des organisations départementales, est soucieuse de maintenir les fragiles équilibres entre unions syndicales, et ce faisant, comment elles importent au sein des structures corporatives les anciennes relations, amitiés ou querelles, collaborations fructueuses ou cohabitations méfiantes.

Dans quelques départements, c’est sur des organisations non affiliées à l’UNSA que la COCP compte pour mettre sur pied la corporation. On différenciera les cas où cela semble procéder d’une volonté de non-ingérence exprimée localement. Ainsi, dans le département des Landes, la Coopérative de blé des Landes, la Fédération des syndicats agricoles, le Syndicat des propriétaires forestiers et la Fédération des syndicats des métayers résiniers ont constitué, dès avant avril 1941, un comité départemental provisoire, sous l’égide de M. Viallas, directeur des services agricoles des Landes 1276. La COCP joue le jeu de la représentation de toutes les catégories sociales syndicalement représentées, en demandant une proposition pour un second délégué-adjoint, métayer-résinier, et rien n’apparaît dans les documents des éventuelles tensions internes qui ont permis d’aboutir à la constitution du CROC dès mai 1941. Dans d’autres départements, l’entente attendue doit se jouer entre les différentes associations spécialisées : dans l’Aube, c’est entre la Coopérative de blé, la Fédération des associations laitières, la Coopérative de lait, les syndicats laitiers, les organisations mutualistes et le « Syndicat de défense paysanne de Dorgères » 1277 que cela se joue. Trois d’entre les cinq dirigeants de ces organisations appartiennent à la chambre d’agriculture en 1939. L’accord se fait sans intervention extérieure manifeste, après que le dorgériste Marchal ait donné son « accord pour une collaboration avec d’autres personnalités départementales » 1278.

Dans d’autres cas, l’appui de la Corporation paysanne sur des organisations non affiliées à l’UNSA procède du ralliement de certaines personnalités. Ainsi, dans l’Allier, Léon Giraud, membre de la chambre d’agriculture depuis 1927, secrétaire du Syndicat agricole d’Arpheuilles-Saint-Priest 1279, directeur de la Fédération des syndicats et associations professionnels de l’Allier, non affiliée à l’UNSA 1280 mais appartenant à la Fédération régionale agricole du Centre-Sud 1281, fondée par Joseph Faure, a été nommé membre de la COCP en janvier 1941. Le département est classé en catégorie A et l’organisation prépondérante retenue est la Fédération des syndicats et associations professionnels de l’Allier : son président, Jules Rougeron, par ailleurs vice-président de la chambre d’agriculture, n’est guère sollicité, tant Léon Giraud est d’emblée l’unique animateur de la Corporation débutante dans le département. On retrouve ce cas de figure dans les départements méridionaux où la Confédération générale des vignerons du Midi (CGV) est active : la nomination de Pierre Benet, son président, comme membre de la COCP en janvier 1941, en fait le principal moteur de l’organisation corporative dans l’Aude, quand bien même la CGV était plus proche des organisations du boulevard Saint-Germain que de la rue d’Athènes dans les années 1930. Ce sont au moins sept des membres de la COCP qui interviennent très en amont de l’organisation corporative dans leurs départements, parce qu’ils sont les présidents des « organisations prépondérantes » retenues : Henri Gindre dans le Cher, Ernest Lagarde en Dordogne, René Bardin dans la Nièvre, Henry Vidal dans les Pyrénées-Orientales et Adolphe Pointier dans la Somme.

L’implication des membres de la COCP peut prendre d’autres formes. Dans les départements des zones d’influence de l’Union des syndicats agricoles du Sud-Est et de l’Union des syndicats agricoles des Alpes-et-Provence, sous l’impulsion de leurs présidents respectifs, Félix Garcin et Étienne Estrangin, sont constitués des comités provinciaux, avant que le territoire soit « divisé en unions régionales corporatives qui auront chacune un comité » 1282. En cela, les deux dirigeants bénéficient de leur position influente au sein de la COCP et de la puissance des centrales syndicales dont ils mènent les destinées, ces deux atouts se renforçant l’un et l’autre. Élisabeth Morfin a montré brièvement comment la COCP a, « en mars 1941, invit[é] l’Union du Sud-Est à former un Comité Provincial d’organisation corporative en prenant contact avec les autres formations professionnelles ou syndicales existantes dans ce secteur ». Ce comité « se donne pour tâche l’étude du découpage territorial, la volonté des corporatistes étant de prendre un cadre naturel coïncidant avec la vie paysanne » 1283. Cela semble être le moyen pour eux de contrôler l’organisation corporative départementale dans leur fief. Pour cela, il importe de remarquer qu’Étienne Estrangin comme Félix Garcin tentent de contourner l’échelon départemental, soit en remodelant fortement les départements, par retranchement de communes et ajouts ailleurs, soit en proposant – sans succès dans le cas de Félix Garcin – la création d’unions corporatives par arrondissements 1284.

À l’évidence, la présence parmi les membres de la COCP d’un dirigeant issu du département y active l’organisation corporative : les départements dont sont issus les membres de la commission sont structurés plus tôt, ou du moins plus tôt que leurs voisins, quoique cela soit plus vrai pour la zone occupée que pour la zone libre 1285. Il semble également que les membres de la COCP soient intervenus hors de leurs départements d’appartenance, au gré des réseaux d’interconnaissance et des relations interpersonnelles nouées dans les organisations professionnelles de l’entre-deux-guerre. Il serait cependant naïf et illusoire de considérer que l’organisation corporative, précoce et volontaire, insufflée par les membres de la COCP l’a été de manière unanime et uniforme dans tous les départements où ils ont agi directement. Gérard Bourdin, dans son étude très minutieuse de la Corporation paysanne dans le département de l’Orne, pointe les intercessions contradictoires des membres de la COCP. Dans l’Orne, classée en catégorie A, l’organisation est rapide : le CROC est constitué dès le 24 avril 1941. Pour la désignation par le ministre du délégué responsable, « Gauchard, président de la Fédération des Syndicats de l’Orne, à l’étonnement de Goussault, délégué général à l’organisation syndicale corporative, est écarté en faveur du très conservateur Rochefort, dont le choix est essentiellement politique ». Dans sa lettre à Joseph Gauchard, Rémy Goussault s’en étonne et explique que « M. de Rochefort se serait flatté de ses liaisons personnelles avec M. de Guébriant pour se juger qualifié pour la construction corporative » 1286. L’opposition entre deux générations de corporatistes au sein de la COCP – les plus âgés prisonniers du « milieu agricole parisien » et les plus jeunes soucieux de promouvoir « d’authentiques paysans » 1287 au sommet des organisations agricoles à la faveur de l’organisation corporative – est simpliste : c’est l’apparence que prennent les luttes de pouvoir internes à l’UNSA, importées dans la Corporation, plus que le fondement de ces luttes, infiniment plus complexe quand à ses rapports avec l’État, avec la bureaucratie et avec la technique.

La place des membres et des présidents des chambres d’agriculture dans cette organisation est loin d’être dérisoire. Évidemment d’autant plus discrète que l’institution est récusée par le nouveau régime, elle n’est pourtant pas absente du processus d’organisation corporative. Nous avons vu que dès les premiers contacts, dans les départements, les protagonistes sont souvent liés aux chambres d’agriculture. Sur la fiche du Comité régional d’organisation corporative des Ardennes on trouve la mention suivante : « Lettre à M. Caquot, président de la chambre d’agriculture le remerciant de l’accueil fait à nos délégués et lui transmettant copie de n/ lettre à M. Moreaux » 1288, qui montre bien que l’implication des présidents de chambre d’agriculture est parfois indiquée comme telle : toutefois le fait qu’aucun des membres de la chambre de 1939 ne soit nommé dans le CROC des Ardennes laisse penser que l’on remercie Fernand Caquot comme l’on remercierait un adversaire qui vient d’être battu aux élections. Henri Decault, membre de la COCP et du Conseil national de Vichy est, en mars 1941, présenté comme le « président de la chambre d’agriculture du Loir-et-Cher » 1289.

En Mayenne, « le régime vichyste [par l’intermédiaire de la COCP] réalisa de force une unité syndicale impossible à trouver par la négociation » 1290. Dans ce département où fermage et métayage sont la règle, le Syndicat des agriculteurs de la Mayenne, affilié au boulevard Saint-Germain, et l’Union des syndicats agricoles de Mayenne, dépendant de la rue d’Athènes, sont tenus par les propriétaires fonciers. Ils se sont alliés pour présenter des listes communes pour les élections à la chambre d’agriculture de 1927, pour contrer l’opposition du Syndicat du Craonnais, mené par le « chrétien-démocrate » Isidore Pasquier dont les revendication touchent à l’amélioration des conditions de vie des ouvriers ruraux, au droit à l’indemnité de plus-value pour le fermier ou métayer sortant et à la révision des usages ruraux. Dans l’arrondissement de Château-Gontier, la liste du Syndicat du Craonnais l’emporte. Ainsi, dans un premier temps, « la chambre d’agriculture, en réunissant dans une même assemblée les différentes tendances, révèle et exacerbe les oppositions » 1291. Après son soutien à Guy Menant, candidat démocrate populaire aux législatives de 1932, et au Parti agraire de Fleurant Agricola, Isidore Pasquier cristallise les oppositions. Après son échec aux élections à la chambre d’agriculture en 1933, l’union ne règne toutefois pas entre les organisations mayennaises : Raymond Delatouche « rejeté tout d’abord par I. Pasquier, trouve au SAM un cadre propice à l’épanouissement de ses talents d’organisateur et de créateur. Cependant, le poste de responsable suprême lui ayant échappé, frustré ainsi dans ses ambitions personnelles, il déménagera avec armes (idéologiques) et bagages (CALD : Coopérative Agricole de Laval et du Département) de la rue Magenta à la rue des Fossés » pour fonder la Fédération des syndicats agricoles de la Mayenne, au sein de laquelle « dès 1934, il clamera haut et fort son espérance dans la Corporation unificatrice » 1292. Parallèlement, « les curés encouragent plus ou moins ouvertement la création des Comités de défense paysanne, même dans les zones d’implantation du syndicat du Craonnais » 1293.

Le 22 mars 1941, les dirigeants départementaux sont convoqués par Hervé de Guébriant, président de la COCP, en présence de Rémy Goussault et d’Henry Dorgères. Les organisations prépondérantes retenues sont présentes par l’intermédiaire de leurs présidents : Auguste Couillard pour le Syndicat des agriculteurs de la Mayenne, Raymond Delatouche pour la Fédération des syndicats agricoles de la Mayenne, Marc de Montalembert pour l’Union des Syndicats agricoles de la Mayenne. Sont également présents R. Delhommeau, sous-directeur de la branche mutualité de la Caisse régionale du Maine 1294, Aubry, président de la Caisse régionale agricole de la Mayenne, Eugène Beaumont, métayer à Craon 1295, et M. de Montecler, vice-président et membre du bureau de la Fédération des syndicats agricoles de la Mayenne aux côtés de Raymond Delatouche 1296, Marcel David 1297 président des comités de défense paysanne, et enfin Pierre Vauquelin, président de la chambre d’agriculture 1298 et du Syndicat d’élevage hippique de la Mayenne du cheval de trait du Maine 1299. Ainsi, si ce dernier semble impliqué en tant que président de la chambre d’agriculture dans la « fusion des organisations existantes » et la formulation de propositions pour la composition du CROC, parmi de nombreux autres, cela semble dû à l’intense intrication des organisations départementales et aux oppositions vives qui les traversent, notamment autour des revendications des métayers. Celles-ci sont devenues un facteur de division bien plus fort que la molle opposition entre républicains et conservateurs, tout en alimentant le répertoire des dorgéristes, avec laquelle la Fédération des syndicats agricoles de la Mayenne de Raymond Delatouche aurait des accointances 1300. En aucun cas la chambre d’agriculture ne semble être restée en dehors de ces fortes oppositions, bien au contraire, puisque Marc de Montalembert, Raymond Delatouche, Auguste Couillard et Eugène Beaumont en sont membres : le fait que les trois derniers n’y aient été élus qu’en 1939 laisse même entendre que la chambre est restée l’un des principaux terrains des affrontements syndicaux départementaux.

Mais la plupart du temps, l’appartenance à la chambre départementale n’est pas mise en avant : dans le Rhône, cette totale absence de visibilité ne révèle que l’absence de tous les membres de la chambre sauf un. Dès lors que les membres des CROC sont nommés, il devient cependant possible de repérer l’importance précise de l’engagement des membres et des présidents de chambre d’agriculture dans cette structure provisoire, et éventuellement d’en déceler les motivations.

Notes
1263.

Isabel BOUSSARD, Vichy et la Corporation Paysanne… ouvrage cité, pp. 106-107.

1264.

Antoine CARDI, « La Corporation paysanne (1940-1944). Entre le local et le national : l’exemple du Calvados », dans Histoire et sociétés rurales, n° 14, 2e semestre 2001, pp. 127-152.

1265.

Gérard BOURDIN, Les paysans dans l’Orne de 1940 à 1944. La double déception.– Le pays Bas-Normand, revue trimestrielle, n° 3-4, 1995, 149 p., p. 37.

1266.

Arch. nat., F10 4972, archives de la Corporation paysanne, organisation des Comités régionaux d’organisation corporative, 1941-1942.

1267.

Voir Annexes. Dossier n° 5. Document 2.

1268.

Arch. nat., F10 4972, archives de la Corporation paysanne, liste des unions régionales affiliées à l’Union nationale des syndicats agricoles en zone occupée, liste des associations agricoles non rattachées à l’UNSA en zone occupée et en zone libre, [1941].

1269.

Annuaire national agricole 1939, p. 515.

1270.

Journal officiel de l’État français, 24 janvier 1941, décret portant nomination des membres du conseil national de Vichy, 23 janvier 1941.

1271.

Annuaire national agricole 1939, p. 515.

1272.

Arch. nat., F10 4972, archives de la Corporation paysanne, organisation des Comités régionaux d’organisation corporative, 1941-1942. Fiche du CROC de Meurthe-et-Moselle.

1273.

http://www.montbeliarde.org/historique.php

1274.

Arch. nat., F10 4972, archives de la Corporation paysanne, organisation des Comités régionaux d’organisation corporative, 1941-1942. Fiche du CROC de Haute-Saône.

1275.

Annuaire national agricole 1939, p. 546.

1276.

Arch. nat., F10 4972, archives de la Corporation paysanne, organisation des Comités régionaux d’organisation corporative, 1941-1942. Fiche du CROC des Landes.

1277.

Ibidem, Fiche du CROC de l’Aube.

1278.

Ibidem.

1279.

Arch. APCA, CA Allier à Basses-Alpes, 1949-1965, Liste des membres à la suite de l’élection de février 1939, commentaires de 1949.

1280.

Arch. nat., F10 4972, archives de la Corporation paysanne, liste des associations agricoles non rattachées à l’UNSA en zone occupée et en zone libre, [1941].

1281.

Annuaire national agricole 1939, p. 449.

1282.

Arch. nat., F10 4972, archives de la Corporation paysanne, organisation des Comités régionaux d’organisation corporative, 1941-1942. Fiches des CROC des Alpes et Provence et du Sud-Est.

1283.

Élisabeth MORFIN, L’Union du Sud-Est des syndicats agricoles et l’expérience corporative (1940-1944), mémoire de maîtrise, sous la direction de Gilbert Garrier, Université de Lyon II, 2 volumes, 132 et 126 f° ; Élisabeth MORFIN, « La Corporation paysanne dans le Rhône », dans Gilbert GARRIER [dir.], Le syndicalisme agricole en France. Actes de la journée d’étude de Lyon, 22 mars 1980.- Bulletin du Centre d’histoire économique et sociale de la région lyonnaise, 1981, n° 1-2, pp. 41-44.

1284.

Ibidem.

1285.

Voir Annexes. Dossier n° 5. Cartes 2 et 3.

1286.

Arch. nat., F10 5025, archives de la Corporation paysanne, Unions régionales corporatives agricoles (suite), département du de l’Orne, [1941-1944].

1287.

Ibidem.

1288.

Arch. nat., F10 4972, archives de la Corporation paysanne, organisation des Comités régionaux d’organisation corporative, 1941-1942. Fiche du CROC des Ardennes.

1289.

Ibidem, Fiche du CROC du Loir-et-Cher.

1290.

Étienne TONIN, « L’implantation des caisses locales des assurances mutuelles agricoles du Maine en Mayenne (1924-1963) », dans L’Oribus, n° 26, 1988, pp. 2-21.

1291.

Martine PAUTREL, « Le syndicalisme agricole en Mayenne de 1919 à 1939 : le syndicat du Craonnais », dans La Province du Maine, tome 92, tome 4, fascicule 15, 1990, pp. 309-318, fascicule 16, pp. 425-435, tome 93, tome 5, fascicule 18, 1991, pp. 201-208, fascicule 19, pp. 305-311, fasc. 16, p. 430.

1292.

Étienne TONIN, « L’implantation des caisses locales… », article cité, pp. 7-8.

1293.

Martine PAUTREL, « Le syndicalisme agricole en Mayenne… », article cité, fasc. 19, p. 309.

1294.

Étienne TONIN, « L’implantation des caisses locales… », article cité, pp. 7-8.

1295.

Arch. APCA, CA Haute-Marne à Mayenne, 1949-1965, Liste des membres à la suite de l’élection de février 1939, commentaires de 1949.

1296.

Annuaire national agricole 1939, p. 245.

1297.

Robert Owen PAXTON, Le temps des chemises vertes… ouvrage cité, p. 197.

1298.

Arch. nat., F10 4972, archives de la Corporation paysanne, organisation des Comités régionaux d’organisation corporative, 1941-1942. Fiche du CROC de la Mayenne.

1299.

Annuaire national agricole 1939, p. 245.

1300.

Robert Owen PAXTON, Le temps des chemises vertes… ouvrage cité, p. 197.