Prendre le pouls des présidents

Dans les réponses qui parviennent à Abel Maumont ou à Luce Prault au cours de l’année 1948 et 1949, on entrevoit les effets de ce vieillissement des présidents de chambre d’agriculture. Le préfet de la Manche mentionne dès 1946 qu’André Rostand, président de la chambre d’agriculture de la Manche, a une « influence diminuée du fait de sa surdité » 1830. Le président de la chambre d’agriculture de la Haute-Garonne, Auguste d’Aldéguier, évoque également sa « surdité » 1831. Henri Gindre, président de la chambre d’agriculture du Cher, ex-membre de la COCP, ex-conseiller national, ex-syndic régional du Cher, est « paralysé de la main droite », selon les dires de son fils 1832. Camille Grellier, président de la chambre d’agriculture de la Haute-Vienne, signe d’une main tremblante et on comprend combien son état de santé doit être fragile 1833 : dans une lettre séparée, son épouse mentionne une « hémorragie cérébrale », évoque une santé « encore chancelante » et révèle à Luce Prault, sous couvert du secret, que c’est elle qui a rédigé la missive signée de la main de son mari 1834. Joseph Silbermann, 73 ans, président de la chambre d’agriculture du Haut-Rhin se dit « empêché personnellement par [s]on âge et [s]on infirmité » 1835. Le secrétaire administratif de la chambre d’agriculture de la Gironde évoque la situation de son président Édouard Lacroix, qui est « depuis de longs mois, complètement impotent, paralysé des jambes, et hors d’état, par conséquent, d’effectuer le moindre déplacement, même dans son intérieur où on doit le porter d’une pièce à l’autre » 1836. Pierre de Monicault ne semble pas plus en mesure de représenter la chambre d’agriculture de l’Ain, dont il a été président jusqu’en 1943 : « physiquement, je suis presque impotent » 1837.

Georges Roux, ancien secrétaire adjoint de la chambre d’agriculture de la Côte-d’Or résume bien une situation plutôt banale : « Je viens vous dire ce qui se passe en Côte-d’Or au sujet de la remise en marche de la Chambre d’Agri. De l’ancien bureau, il ne reste que le Secrétaire et moi-même qui étais son adjoint. Environ la moitié des Membres sont décédés. L’autre moitié composée des plus Jeunes (qui ont des fonctions à la CGA) et ne veulent pas prendre de décision, pensant qu’ils entreraient en lutte avec la CGA. Quelques autres membres vieux et plus ou moins impotents se désintéressent complètement de la chose. Bref, malgré mes démarches il m’est apparu impossible de rassembler mes collègues. Donc aucune autre démarche n’a été faite pour tenir la session de mai et il m’apparaît certain que rien ne puisse démarrer ici tant qu’une décision favorable ne sera prise sur le plan national » 1838. Une lettre de la secrétaire administrative de la chambre d’agriculture de la Somme, datée de novembre 1950, révèle l’état de sénilité avancée dans lequel le président Joseph Harent se trouve depuis de longs mois 1839. Les soutiens potentiels de l’APPCA, ceux qui ont exercé plusieurs années des fonctions à la chambre d’agriculture avant 1940, sont âgés et en mauvaise santé, physique ou mentale.

Outre les décès, les évènements survenus entre 1940 et 1945 et les conséquences des engagements des membres des chambres d’agriculture pèsent parfois lourdement sur les effectifs. C’est le cas du bureau de la chambre d’agriculture de l’Ain. Pierre de Monicault, qui en est le président, résume la situation en novembre 1948 : « Je suis inéligible, donc légalement je ne suis plus président, un de mes vice-présidents est mort de vieillesse, l’autre a été tué au cours d’un engagement entre le maquis et les allemands, mon trésorier est mort de maladie et mon secrétaire est exilé en Suisse à la suite d’une condamnation à mort comme président de la Légion » 1840. Dans le Doubs, en novembre 1948, il ne reste également qu’un seul membre du bureau de la chambre d’agriculture 1841.

L’initiative de la chambre d’agriculture de la Dordogne se heurte à une difficulté majeure. Au fil des années qui séparent 1948 du début de la guerre, les locaux des chambres d’agriculture ont souvent été occupés par les organismes corporatifs, puis par l’Union départementale de la CGA après la Libération. Ainsi, Gaston Briand, président de la chambre d’agriculture de la Charente, raconte-t-il à Luce Prault, en novembre 1948 : « En Charente, nous ne disposons plus de local : notre modeste mobilier a été dévolu à la Direction des Services Agricoles et tout est à reprendre en mains » 1842. Dans bien des départements, citons notamment l’Ain et le Maine-et-Loire, comme à Paris, l’immeuble des chambres d’agriculture est occupé par les services de la CGA, et d’interminables procédures judiciaires sont en cours pour en récupérer au moins l’usage. Cette période, qui est aussi celle où Luce Prault remplit sa fonction de directeur des services depuis son domicile de la rue Pierre-Nicole, est restée dans les mémoires comme « la période héroïque où l’on travaillait dans les escaliers, sur un pas de porte » 1843.

Une vingtaine de réponses ont été adressées à Abel Maumont avant le 25 juillet 1844, et onze autres auraient été reçues par la chambre d’agriculture de la Dordogne à la date du 12 août 1948. Les éléments précédemment évoqués expliquent la faible réactivité enregistrée : la difficulté qui existe à reprendre contact et à faire paraître plausible une reprise d’activité des chambres d’agriculture est patente. Abel Maumont mentionne « deux retours du Cantal et de la Hte Saône avec la mention "Retour à l’envoyeur, la Chambre d’Agriculture n’existe plus" » 1845. Contacté, en tant qu’ex-ministre de l’Agriculture, Henri Queuille fait cette réponse à Abel Maumont : « Monsieur le Président, Je vous remercie de votre aimable lettre et des félicitations que vous avez bien voulu m’adresser. J’ai, en effet, au temps de ma jeunesse ministérielle, travaillé à la création des Chambres d’Agriculture et souvent, ensuite, collaboré avec elles. Je ne pense pas toutefois, qu’il soit possible, dans le climat présent, et avec la composition actuelle du Parlement, de faire renaître des organismes dont, personnellement, je reste partisan » 1846. Abel Maumont semble compter sur une aide extérieure : « Autant que vous je regrette bien la disparition du Président Joseph Faure. Il nous reste des personnalités pour ne citer que MM. Henry Girard, Rouvière, Rémond, Caquet, d’Aldéguier et d’autres que j’oublie, qui ne manqueraient pas, j’espère, de concourir au mouvement. Je termine en vous rappelant combien nous comptons sur votre bienveillant et bien autorisé concours en faveur d’un projet de rénovation auquel nous restons très attaché » 1847.

Luce Prault répond le 24 août. « Persuadé qu’un grand nombre de chambres d’agriculture [n’]ont pas répondu du fait que [la] circulaire n’a dû être transmise aux personnes intéressées », il a envisagé de faire parvenir une lettre réitérant la demande du 26 juin : il fait parvenir à Abel Maumont un projet de lettre qui s’achève sur ces mots : « N’ayant pas reçu de réponse de vous, je crains que notre circulaire du 26 juin ne vous ait pas été transmise. C’est pourquoi je prends la liberté de vous l’adresser à votre domicile personnel. J’espère que, par un très prochain courrier, vous voudrez bien vous associer à notre initiative tendant à la reprise urgente du fonctionnement des Chambres d’Agriculture conformément, d’ailleurs, aux lois en vigueur. Élus, avant la guerre, et investis par nos mandats, dans le cadre des lois, d’un mandat professionnel public, nous avons le devoir d’assurer la reprise d’activité des institutions professionnelles, légalement représentatives des intérêts agricoles que sont les Chambres d’Agriculture. Nous sommes convaincus de pouvoir compter sur votre entier concours ». Surtout, l’ancien directeur des services de l’APPCA fait bénéficier Abel Maumont de la liste complète des noms et adresses personnelles des « personnes à saisir » : sans doute Luce Prault détient-il toujours le répertoire dans lequel il a consigné de précieux renseignements sur chaque chambre d’agriculture, entre 1938 et 1940, notamment la composition du bureau, l’adresse et la date de naissance du président, le nom du secrétaire administratif 1848. En cela, Luce Prault fait la démonstration de sa grande utilité et de sa maîtrise du réseau que constituent les chambres d’agriculture et par leurs présidents, l’APPCA défunte. Plus, il fait montre de ce qu’en tant qu’ex-directeur et depuis la mort du président Joseph Faure, il est vraisemblablement le seul à être capable de mettre en relation entre elles des chambres d’agriculture atomisées et somnolentes. Il sous-entend aussi au passage qu’il « connai[t] des présidents qui, [n’]ayant pas encore répondu, sont, cependant, tout-à-fait d’accord ».

Enfin, il apprend à Abel Maumont qu’il a entrepris un travail d’information et de relais auprès de la presse, notamment, qui est celui d’un véritable porte-parole : « Je vous signale que Radio-Luxembourg, sur mon intervention, dans une de ses récentes émissions, a parlé de votre initiative. J’ai aussi rédigé des articles qui sont passés et d’autres qui vont être publiés dans plusieurs journaux agricoles, notamment "L’Agriculture Pratique", "La Renaissance Agricole Métropolitaine et Coloniale", "La Vie Agricole". Je pense que ces articles décideront les hésitants » 1849. Dans un article publié dans le numéro d’août 1948 de La Renaissance agricole, Luce Prault militait déjà pour une « reprise du fonctionnement des seules institutions professionnelles agricoles publiques que sont les Chambres d’Agriculture » 1850. Dans son article publié en septembre, il insiste, au nom de la « liberté d’association » et contre le « syndicalisme unitaire obligatoire [et la] coopération unitaire obligatoire imposés directement ou indirectement par l’État » : ainsi, « si l’agriculture a besoin d’organisations libres, de droit privé (associations, syndicats, coopératives etc…), elle a aussi besoin d’une " représentation " indiscutable auprès des Pouvoirs Publics. Les Chambres d’Agriculture , institution professionnelles reconnues établissements publics, représentation de l’Agriculture auprès des Pouvoirs Publics, existent, en vertu des lois en vigueur. Elles ont fonctionné et rendu d’immenses services à l’agriculture et au pays, de 1927 à fin 1940. Nous demandons à nouveau qu’elles reprennent leurs travaux. Nous osons espérer que le Gouvernement, qui a charge de veiller à l’application des lois (loi du 3 janvier 1924 et textes législatifs ultérieurs), ne faillira pas plus longtemps à son devoir » 1851

Dans sa réponse à Abel Maumont, Luce Prault fait montre d’une capacité d’initiative qu’il présente comme une anticipation sur les souhaits des présidents de chambre d’agriculture. Sa position et son expérience rendent cependant les choses infiniment plus complexes. Derrière la continuité affichée et construite du rejet de la tutelle de l’État sur les organisations agricoles, de 1940-1944 à 1944-1948, se cache un changement de taille : de 1941 à 1944, Luce Prault est au ministère de l’Agriculture, en tant que directeur des services économiques puis comme secrétaire général aux questions paysannes et à l’équipement rural, sous quatre ministres successifs 1852 ; entre 1944 et 1948, c’est clairement dans l’opposition qu’il se situe. Nous aurons l’occasion de revenir sur le sens de ses positionnements hors et dans l’État et sur le sens d’une double rhétorique opposant représentation et politique d’une part, technique et politique d’autre part.

Les réponses continuent d’arriver, au compte-goutte, à la chambre d’agriculture de la Dordogne. Un questionnaire signé « pour le Président » de la chambre du Var parvient à Abel Maumont : « Absolument partisans remise en marche Chambre Agriculture et nous désirons que notre adhésion à ce mouvement soit transmis aux pouvoirs publics. Nous demanderons aux élus du Var de nous aider dans cette action » 1853. Victorin Henry est le dernier président de la chambre d’agriculture du Var, celui qui était en fonctions à la fin de l’année 1943. On a évoqué dans le chapitre précédent son itinéraire des années 1920 à 1946, mais qu’en est-il en 1948 ? En 1947, il est membre du conseil d’administration de la Confédération nationale des coopératives vinicoles 1854. Depuis janvier 1945, il préside l’Union varoise des coopératives agricoles (depuis le 16 janvier 1945). Surtout, Victorin Henry a été candidat du Parti socialiste (SFIO) aux élections législatives du 10 novembre 1946, en cinquième position, sur la liste "d’Union socialiste et républicaine de la Résistance" qui obtint 43 210 voix sur 21 6683 inscrits 1855 : est-ce à dire que sa position vis-à-vis de la reprise d’activité des chambres d’agriculture est toute d’opportunisme et soumise à des ambitions politiques ? Rien ne permet de l’affirmer, sinon quelques indices ténus. En octobre 1948, c’est Léon Gueit, autre ancien président de la chambre d’agriculture – de 1928 à 1929 et de 1935 à 1936 –, autre maire socialiste 1856, plus âgé d’une vingtaine d’années que Victorin Henry et André Bouis, qui répond au questionnaire de la chambre d’agriculture de la Dordogne en se disant « président de la chambre d’agriculture » 1857 – alors que de 1938 à 1943, il n’en est que l’un des vice-présidents. La chambre d’agriculture serait-elle l’enjeu de luttes entre dirigeants socialistes, se disputant la présidence, tentant surtout d’en apparaître comme le premier des « reconstructeurs » 1858 en cette période où la communication entre les membres est momentanément rompue ou ralentie et où la chambre n’a plus guère d’existence physique, notamment de siège social ?

C’est bien en termes de carrière et d’ambitions que Roger de La Bourdonnaye pose implicitement la question. Se disant « entièrement favorable à la remise en fonctionnement de [sa] compagnie et [croyant pouvoir] réunir une grosse majorité de ses anciens membres dans le même sens », il juge utile de poursuivre ainsi : « Je puis le dire avec d’autant plus de liberté que si la Chambre d’Agriculture d’Ille-et-Vilaine était convoquée, mon premier geste serait d’offrir ma démission de Président » 1859. La conviction serait donc jugée inversement proportionnelle aux ambitions qui la sous-tendent, mais encore faut-il garder à l’esprit les conditions dans lesquelles le président de la chambre d’agriculture, comte de La Bourdonnaye, a été destitué de son poste de syndic régional de l’URCA d’Ille-et-Vilaine à l’automne 1943, dans un contexte houleux de prise de pouvoir par les dorgéristes 1860 : Roger de La Bourdonnaye ne fait-il pas que se prémunir contre les possibles accusations qu’il anticipe, de la part de ceux qui seraient susceptibles de voir dans la reprise d’activité de la chambre d’agriculture une possibilité de revanche de sa part contre Jean Bohuon ?

Notes
1830.

Arch. nat., F1a 4034 : Réponse des préfets à la circulaire n° 287 du Ministère de l’Intérieur sur la composition des fédérations départementales du syndicat des exploitants agricoles, février-mars 1946, Lettre du préfet de la Manche, le 6 mars 1946.

1831.

Arch. APCA, CA Haute-Garonne à Gers, 1949-1965, lettre d’Auguste d’Aldéguier, président de la chambre d’agriculture de Haute-Garonne, à Luce Prault, le 14 novembre 1948.

1832.

Arch. APCA, Charente-Maritime à Cher, 1949-1965, lettre de M. Gindre fils à Luce Prault, le 8 novembre 1948.

1833.

Arch. APCA, CA Haute-Vienne, Vosges et Territoire de Belfort, 1949-1965, lettre de Camille Grellier, président de la chambre d’agriculture de la Haute-Vienne, à Luce Prault, le 10 novembre 1948. Voir Annexes. Dossier n° 6. Document 4.

1834.

Ibidem, lettre de Mme Camille Grellier à Luce Prault, le 10 novembre 1948.

1835.

Arch. APCA, CA Bas-Rhin à Haut-Rhin, 1949-1965, lettre de Joseph Silbermann, président de la chambre d’agriculture du Haut-Rhin, à Luce Prault, directeur honoraire des Services de APCA, le 20 novembre 1948.

1836.

Arch. APCA, CA Gironde à Hérault, 1949-1965, lettre du secrétaire administratif de la chambre d’agriculture de la Gironde, à Luce Prault, directeur de l’APPCA, le 17 novembre 1948.

1837.

Arch. APCA, CA Ain, 1949-1965, lettre de P. de Monicault, président de la chambre d’agriculture de l’Ain, à Luce Prault, le 13 novembre 1948.

1838.

Arch. APCA, CA Côte-d’Or à Côtes-du-Nord, 1949-1965, lettre de Georges Roux, secrétaire-adjoint de la chambre d’agriculture de la Côte-d’Or, au président de l’APPCA, le 12 mai 1949.

1839.

Elle écrit : « Je savais que lors de la récente réunion à Paris de l’Assemblée des Présidents de chambres d’agriculture M. Harent avait égaré dans la nature : sa voiture, son pardessus et son chapeau. La voiture a été retrouvée mais Mme Harent avec qui j’ai pu m’entretenir ce matin par téléphone, du pardessus et du chapeau, ignorait qu’ils étaient rue Scribe. Elle les pensait au Cercle Républicain et à la suite de démarches faites dans cette salle, démarches qui n’avaient donné aucun résultat et pour cause… elle les considérait comme perdus. Je suis tout à fait d’avis avec la petite mention que vous ajoutez à votre lettre, mais comment faire comprendre à M. Harent qu’il est imprudent pour lui de voyager seul ? Aucune personne, ni dans sa famille, ni dans ses amis, ni moi-même qui ai cependant un peu d’influence sur lui, ne pourra arriver à ce qu’il se résigne à ne plus voyager sans être accompagné. C’est une situation bien pénible et surtout bien triste. J’en ai entretenu ce midi M. Pointier et nous sommes du même avis : lui retirer contre sa volonté sa place de Président de chambre d’agriculture à laquelle il tient tant serait lui donner un coup fatal. Nous espérons sur l’influence d’amis personnels pour essayer de lui faire comprendre qu’il devrait maintenant renoncer à toute activité professionnelle mais je sais que des démarches ont déjà été tentées il y a quelques mois à ce sujet et qu’elles sont restées infructueuses ». Arch. APCA, CA Somme et Tarn-et-Garonne, 1949-1965, lettre de Melle Ducange, secrétaire administratif de la chambre d’agriculture de la Somme, à Luce Prault, le 17 novembre 1950.

1840.

Arch. APCA, CA Ain, 1949-1965, lettre de Pierre de Monicault, président de la chambre d’agriculture de l’Ain, à Luce Prault, le 16 novembre 1948.

1841.

Arch. APCA, CA Doubs à Drôme, 1949-1965, lettre de M. Garapon, chambre d’agriculture du Doubs, à Luce Prault, le 16 novembre 1948.

1842.

Arch. APCA, CA Cantal à Charente, 1949-1965, lettre de Gaston Briand, président de la chambre d’agriculture de la Charente, à Luce Prault, le 16 novembre 1948.

1843.

Entretien informel avec Bruno Cousin, sous-directeur de l’APCA, 2002.

1844.

Arch. APCA, CA Creuse à Dordogne, 1949-1965, lettre de Abel Maumont, vice-président de la chambre d’agriculture de la Dordogne, à Luce Prault, le 25 juillet 1948.

1845.

Ibidem, lettre de Abel Maumont, vice-président de la chambre d’agriculture de la Dordogne, à Luce Prault, le 12 août 1948.

1846.

Cité par Abel Maumont. Ibidem.

1847.

Ibidem.

1848.

Arch. APCA, Répertoire des chambres d’agriculture établi par Luce Prault, secrétaire de l’APPCA, 1938-1940. Voir Annexes. Dossier Méthodologie.

1849.

Arch. APCA, CA Creuse à Dordogne, 1949-1965, double d’une lettre de Luce Prault, à Abel Maumont, vice-président de la chambre d’agriculture de la Dordogne, le 24 août 1948.

1850.

Luce PRAULT, « Les Consultatifs… », dans Renaissance agricole, 3e année, n° 8, août 1948, p. 1.

1851.

Luce PRAULT, « Les Chambres d’Agriculture », dans Renaissance agricole, 3e année, n° 9, septembre 1948, p. 1.

1852.

Voir Annexes. Dossier n° 14. Tableau 1.

1853.

Arch. APCA, CA Tarn et Var, 1949-1965, lettre, pour le président de la chambre d’agriculture du Var, à la chambre d’agriculture de la Dordogne, septembre 1948.

1854.

Annuaire CGA 1947.

1855.

Jean MAITRON et Claude PENNETIER [dir.], Dictionnaire biographique du mouvement ouvrier français… ouvrage cité, pp. 300-302.

1856.

Ibidem, p. 21.

1857.

Arch. APCA, CA Tarn et Var, 1949-1965, lettre de Léon Gueit, « président » de la chambre d’agriculture du Var, à la chambre d’agriculture de la Dordogne, octobre 1948.

1858.

Jean-Marie GUILLON, La Libération du Var… ouvrage cité, p. 100.

1859.

Arch. APCA, CA Ille-et-Vilaine à Indre, 1949-1965, lettre de Roger de La Bourdonnaye, président de la chambre d’agriculture d’Ille-et-Vilaine, à Luce Prault, secrétaire général de l’Assemblée des présidents de chambre d’agriculture [sic], le 6 septembre 1948.

1860.

Voir supra. Chapitre 3. B. L’« affaire » Bohuon en Ille-et-Vilaine, p. 343.