C’est alors que l’on aborde une autre facette de ce rôle que se crée l’APPCA dès les premiers balbutiements des zones-témoins : celui d’une intervention directe, par une présence physique épisodique dans les départements d’abord, par le soutien à la Fédération nationale des groupements de productivité agricole ensuite, et enfin par le développement des services de l’institution, intervention qui n’estompe toutefois pas l’impression d’un certain flottement. Jean Achard, secrétaire général de l’Institut technique de la betterave, ex-secrétaire d’État au Ravitaillement en 1940-1941 2474, est sollicité dès le 1er juillet 1952 afin d’« assurer, pour la mise en route du programme d’Aide Technique, la coordination des initiatives et des travaux des Chambres d’Agriculture intéressées » 2475, mission rapidement prorogée puisqu’en septembre 1952, Jean Achard est engagé comme chargé de mission et partage désormais son temps entre l’Institut technique de la betterave et l’APPCA 2476. Dans les premiers jours du mois d’août, il visite de nombreux départements : le 1er août, il participe à la session de la chambre d’agriculture de la Savoie où il « fait un exposé très précis sur la façon dont doit être envisagée la réalisation du "Village Témoin" » et « donne des conseils très judicieux, en indiquant qu’à son avis, il y a lieu pour le départ d’envisager quelque chose de modeste, d’éviter de voir trop grand mais de poursuivre avec ténacité les projets qui seront établis » 2477.
Quelques jours plus tard, il se rend dans les Landes où il participe au débat concernant l’implantation de la zone-témoin à Saugnacq-et-Muret 2478 : cette discussion revêt une importance toute particulière, puisque alors qu’il ne figurait pas initialement dans le programme des zones-témoins, dès la fin du mois d’août « le Ministre de l’Agriculture a bien voulu donner son accord pour ajouter définitivement le département des Landes à la liste des départements de Zones-Témoins retenus pour la campagne 1952 » 2479. Jean Achard y retourne d’ailleurs à la fin du mois pour l’assemblée générale constitutive 2480, et, au vu des notes prises, il tente d’influer sur les tractations qui s’y jouent, dans un contexte d’opposition entre les membres du groupement et ceux de la chambre d’agriculture, qui se complique confusément de divergences politiques : « Visite de M. Guichot Jean / Pt du Groupement. Agent technique : OLIVIER sous-directeur de la CDAL. Le Conseil d’Administration a été conquis de justesse. Malgré Renaud qui a soutenu les marxistes. Olivier est juge et parti [sic]. Une prédominance de Courau est impensable, car la CDAL refilerait tout son invendu à la ZT. 10 membres, cultivateurs de Saugnacq et Muret ; sera ramené à 9 membres, ce qui éliminera le communiste. Renaud proposait la ligne du village. Trop lié par politique. Proposait Guichot secrét. gal ! Courau a trouvé le biais : Pt d’honneur adjoint soc. communiste. Secrét. Gal Yves Lescarret. B. dévoué. Jouffray Secrét. du Syndicat des Migrations ferait mieux l’affaire que Olivier » 2481. Dans les mois qui suivent, il poursuit ces visites quoique de façon plus espacée, occasionnellement en compagnie du directeur de cabinet d’Antoine Pinay, alors président du Conseil 2482.
Plus difficile à cerner, du fait de la rareté des documents conservés et de l’ambiguïté des statuts, les rapports de la Fédération nationale des groupements de productivité agricole avec l’APPCA doivent toutefois être brièvement éclairés. Émanation très peu spontanée des groupements de productivité agricole constitués dans les zones-témoins sous l’impulsion des circulaires ministérielles, très souvent à partir de groupes déjà constitués, la FNGPA, fondée le 13 novembre 1952 2483, est logée par l’APPCA au 11bis rue Scribe. C’est d’ailleurs elle qui fait envoyer les fichets de réduction pour le voyage à Paris à l’occasion du congrès national des groupements de productivité agricole, constitutif de la fédération, organisé à la Maison des chambres d’agriculture 2484. D’après les statuts associatifs qui sont alors consignés, les membres du CPG de l’APPCA assistent de droit à l’assemblée générale et ceux du bureau au conseil d’administration de la FNGPA 2485. Elle se donne pour président Alcide Evrard, qui est aussi membre de la chambre d’agriculture de la Moselle 2486, son secrétaire n’étant autre que Jean Achard, tandis que le secrétariat administratif est géré par Luce Prault, directeur de l’APPCA.
L’indice le plus significatif d’une réelle volonté de prise en charge et de coordination au niveau national de la part de l’APPCA est peut-être celui du développement des services. En juillet 1952, le personnel de l’APPCA n’est constitué que d’« un directeur, une secrétaire, une sténo-dactylographe, une personne s’occupant de la bibliothèque et de la documentation, un ménage de concierges et un chargé de mission qui suit toute la partie financière » 2487. Le directeur est Luce Prault, présent depuis 1927, ingénieur issu de l’Institut national agronomique et ancien secrétaire général de la Confédération nationale des associations agricoles (CNAA) 2488. Outre le chargé d’études François Houillier « qui était, avant guerre, un des collaborateurs de l’Assemblée et qui, depuis la reprise d’activité des Chambres d’Agriculture, a continué à lui apporter son concours » 2489, sont successivement engagés, en septembre 1952, « M. David, rémunéré [...] sur les fonds de l’Association Générale des Producteurs de Blé, et M. Meyer, rémunéré par l’APEP [l’Association pour l’encouragement à la productivité] » 2490, et, toujours comme chargé de mission, Jacques de La Grandville, « Ingénieur de l’École d’Agriculture d’Angers, qui aurait pour mission de se rendre auprès des Chambres départementales, en vue de travailler conjointement avec elles, tant au point de vue administratif qu’organisation des services » 2491 ; en octobre, ce sont MM. Guille, ingénieur agronome, et M. Jauffret, ancien élève diplômé des Hautes études commerciales qui sont engagés comme chargés d’études 2492. En quelques mois, les effectifs administratifs de l’APPCA ont donc plus que doublé. Le mouvement ne s’essouffle pas : pendant l’hiver, ce sont trois stagiaires qui sont recrutés, « Pierre Ritte, licencié ès-lettres, âgé de 43 ans, Jacques Campagne, licencié en droit, diplômé d’études de droit public et d’économie politique, âgé de 34 ans, [et] Alain Robbe-Grillet, ingénieur agronome, âgé de 30 ans » 2493 ; Hubert Morhet, un ingénieur agronome de 40 ans est quant à lui engagé en avril 2494.
Outre la dynamique de recrutement, qui semble aller de pair avec la délimitation d’un domaine d’action, lié aux zones-témoins, la création d’un service éponyme – vraisemblablement le premier véritable service de l’APPCA, du moins pendant l’après-guerre et avec cette ampleur – est éminemment significative. Celui-ci se constitue autour de Jean Achard dès la fin de l’été, « pour suivre la mise en place des zones-témoins et faciliter la tâche des Présidents des Chambres d’Agriculture intéressées » 2495, il se voit ensuite adjoindre messieurs David et Meyer, puis Hubert Morhet prend partiellement la suite. Il apparaît clairement dans les propos que l’institution mise sur le développement de ce service, à qui l’on réserve les trois pièces libérées par le départ de la Fédération nationale de la coopération agricole en octobre, estimant que « le service "zones-témoins" risque, l’année [suivante], de prendre un certain développement » 2496. Les allées et venues entre Paris et les départements se poursuivent de façon régulière : P. Meyer rédige notamment un imposant compte-rendu de ses visites dans huit des 25 départements impliqués dans le programme des zones-témoins, rendant compte consciencieusement des réunions auxquelles il a assisté et de la situation des zones-témoins naissantes, faisant part de ses observations personnelles, laissant transparaître la nature de ses interventions dans ces assemblées et transcrivant les questions que les protagonistes locaux soumettent à l’institution 2497.
Au niveau national, pendant ces quelques mois, la collaboration de l’APPCA avec ses deux partenaires privilégiés que sont la FNSEA et les associations spécialisées est invisible sur la question des zones-témoins 2498. Parler de collaboration avec la FNSEA relève cependant du paradoxe puisque, de mai 1952 au printemps 1954, René Blondelle en est également président : il semble d’ailleurs que cette simultanéité puisse expliquer une partie des orientations prises précisément pendant ces deux années. Répondant à un journaliste qui l’interroge sur les raisons de sa candidature, au mois d’avril 1952, René Blondelle réaffirme que « le Président de la Fédération Nationale des Syndicats d’Exploitants Agricoles, Président de la Chambre d’Agriculture de l’Aisne, n’aurait point posé sa candidature à la présidence de l’Assemblée permanente des Présidents des Chambres d’Agriculture s’il n’en avait préalablement reçu le mandat du Conseil d’Administration de la FNSEA » 2499. Il justifie par un projet à long terme la nécessité de cette ubiquité qui semble poser problème au journaliste : « lorsque dans les faits, et ensuite par la loi, les activités respectives des Chambres d’Agriculture et du syndicalisme agricole auront été nettement définies, lorsque dans les faits une collaboration confiante et efficace aura été établie, mes collègues ont estimé qu’il n’y aurait aucun inconvénient à prévoir une dualité de présidence » 2500. De fait, il semble que la tête de la FNSEA soit plus préoccupée de conquérir son autonomie vis-à-vis de la CGA 2501 que de doubler une APPCA avec qui les rapports sont momentanément normalisés par la double présidence de René Blondelle.
Est-ce à dire, comme le note Pierre Muller, que « pour autant qu’on puisse en juger, il s’agit surtout d’une absence de la FNSEA en tant qu’organisation plus que d’un désintérêt de ses membres à la base qui, eux, étaient souvent partie prenante à une action de vulgarisation » 2502 ? Il apparaît en effet que dans leurs rapports locaux, unions ou fédérations d’exploitants et chambres d’agriculture soient la plupart du temps unies dans leur appui au projet de zone-témoin : à Épinac, dans la Loire, le directeur de la FDSEA est responsable de la réalisation du bulletin de liaison de la zone-témoin et s’en voit cordialement félicité par l’APPCA 2503 ; en Lot-et-Garonne, où le président du groupement de productivité est également président de la FDSEA, la collusion est encore plus lisible 2504. Il semble que cette connivence, apparente aussi, nous le verrons, au sein du groupe des présidents de chambre d’agriculture, doit être nuancée : des échanges poussés entre l’APPCA et une fédération d’exploitants pourraient également révéler des divergences avec la chambre d’agriculture qui seraient ainsi contournée. D’autre part, l’APPCA sollicite pour les zones-témoins « le concours le plus complet des techniciens spécialistes de[s] associations [spécialisées], tant sur le plan national que sur le plan départemental » 2505, leur communiquant la liste des zones-témoins complétée par le détail des principales productions devant faire l’objet de l’« action technique d’amélioration », et aiguillant les chambres d’agriculture vers les associations idoines 2506.
Localement, des échos tranchent néanmoins. En Savoie, l’un des protagonistes les plus influents qu’est le préfet 2507, s’il adhère au principe de l’Aide technique et financière de productivité, regrette amèrement d’être « tenu à l’écart de l’exécution du programme ministériel en la matière, le Président de la Chambre d’Agriculture et l’Ingénieur en Chef, Directeur des Services Agricoles étant les seules personnalités chargées d’en assurer la réalisation » 2508. Toujours dans ce département, l’enthousiasme des membres de la chambre d’agriculture faiblit ; dès octobre, Pierre Millon fait part à René Blondelle des problèmes que pose la gestion des zones-témoins : « la faiblesse de notre budget (malgré le vote de la totalité des centimes légalement percevables) paralyse nos moyens de travail. Nous devons réaliser un "Village Témoin" et, malgré nos efforts, nos difficultés risquent de devenir insurmontables si une solution nationale (sous les angles financiers et assouplissement des méthodes de travail) n’intervient pas à très brève échéance. C’est dire qu’en cette attente tous nos efforts tendent vers le "Village Témoin" et absorbent nos faibles disponibilités » 2509. Lors de la session de novembre 1952, la chambre vote d’ailleurs une motion demandant « 1°. l’assouplissement des instructions administratives et la possibilité pour le cadre départemental de disposer de certains pouvoirs de décision ; 2°. les crédits utiles pour mener à bien la tâche demandée et notamment la possibilité de prélever, sur les fonds attribués à la "Zone Témoin" un pourcentage permettant de faire face aux frais exigés » 2510. La situation de l’agent technique, Gilbert Delaunay, pose particulièrement problème : celui-ci nous révélait récemment les conditions précaires de ses premiers mois de travail dans la zone-témoin, sans émoluments jusqu’au mois d’avril 2511. En décembre, dans une lettre au ministre où il affirme d’abord que « le lancement des Zones-Témoins apparaît incontestablement comme l’action la plus efficace qui ait été engagée pour le bien de l’agriculture » 2512, René Blondelle ne fait cependant part que de la « crise de découragement et de scepticisme qui atteint [...] les Groupements de Productivité » 2513 relativement aux retards de versement des prêts à caractéristiques spéciales.
De l’élaboration du projet à la gestion de ses premiers aléas, en passant par le soutien didactique, l’APPCA parvient en quelques mois à occuper un espace que les circulaires ministérielles ne lui réservaient pas. Cet espace, du niveau national au niveau local, largement interdépendants, est occupé aussi, à des degrés de visibilité variés, par les autres organisations agricoles, notamment par la FNSEA et les puissantes associations spécialisées, par les chambres d’agriculture qui, partageant la même aventure, vivent toutefois une toute autre expérience, mais aussi par les agents techniques, les groupements de productivité et les DSA.
Pierre BARRAL, Les agrariens français de Méline à Pisani... ouvrage cité, Annexe : les Ministres de l’Agriculture, p. 352.
Arch. APCA, FNCUMA à Groupement 1952-1965, circulaire adressée par l’APCA aux présidents des chambres d’agriculture, le 5 juillet 195[2].
Arch. APCA, Comité Permanent Général, 1948 à mars 1954, projet de PV de la séance du 2 septembre 1952, p. 9.
Arch. CA Savoie, Procès-verbaux des réunions de bureau 1952-1978, Procès-verbal de la réunion du bureau du vendredi 1er août 1952.
Arch. APCA, CA Landes Loir-et-Cher 1949-1965, lettre adressée par Joseph Courau, président de la chambre d’agriculture des Landes au directeur de l’APCA, le 18 août 1952.
Arch. APCA, CA Landes Loir-et-Cher 1949-1965, double d’une lettre adressée par le service « zones-témoins » de l’APCA au président de la chambre d’agriculture des Landes, le 25 août 1952.
Ibidem.
Arch. APCA, Zones-Témoins avril 1953 à 1955, note intitulée « Z-T Landes. Saugnac », sans date. [vraisemblablement écrite consécutivement à l’Assemblée Générale du 31 août].
Arch. APCA, Documents officiels (2) 1950-1955, double d’une lettre envoyée par Jean Achard à M. Yrissou, directeur de cabinet d’Antoine Pinay, le 12 novembre 1952.
Arch. APCA, Circulaires début 1952-fin 1953, rapport sur le premier Congrès national des groupements de productivité agricole, 17 novembre 1952, adressé aux chambres départementales.
Arch. APCA, Circulaires début 1952-fin 1953, circulaire adressée par Luce Prault, directeur des services de l’APCA aux présidents des chambres d’agriculture, le 6 novembre 1952.
Arch. APCA, Zones-Témoins avril 1953-1955, Statuts de la FNGPA, [novembre 1952].
Annuaire APCA 1955, p. 77.
Arch. APCA, Comité Permanent Général, 1948 à mars 1954, projet de PV de la séance du 1er juillet 1952, pp. 6-7.
Who’s who in France, Paris, Éditions Jacques Lafitte, 1957, 2304 p., p. 1864.
Ibidem, p. 8.
Arch. APCA, Comité Permanent Général, 1948 à mars 1954, projet de PV de la séance du 2 septembre 1952, p. 9.
Ibidem.
Arch. APCA, Comité Permanent Général, 1948 à mars 1954, projet de PV de la séance du 7 octobre 1952.
Archives APCA, Comité Permanent Général, 1948 à mars 1954, projet de PV de la séance du 11 février 1953.
Archives APCA, Comité Permanent Général, 1948 à mars 1954, projet de PV de la séance du 21 avril 1953, pp. 5-6.
Documentation APCA, Chambres d’agriculture, n° 17, 1er décembre 1952, p. 8.
Archives APCA, Comité Permanent Général, 1948 à mars 1954, projet de PV de la séance du 7 octobre 1952, pp. 15-17.
Arch. APCA, Zones-Témoins avril 1953 à 1955, Compte rendu d’une première visite dans les départements : Jura, Doubs, Haute-Marne, Moselle, Côte-d’Or, Ain, Haute-Alpes, Aveyron, signée P. Meyer, le 26 août 1952.
Les sources, toutefois, ne sont pas complètes concernant la correspondance avec ces instances, pour le début des années 1950.
Arch. APCA, Documents officiels (2) 1950-1955, double d’une lettre de René Blondelle à Claude Darcey, rédacteur en chef de l’Unité Paysanne, le 26 avril 1952.
Ibidem.
Gordon WRIGHT, La révolution rurale en France... ouvrage cité, p. 159.
Pierre MULLER, Le technocrate et le paysan... ouvrage cité, p. 39.
Arch. APCA, FNSEA 1952-1956, double d’une lettre adressée par le service « Zones-Témoins » à M. Dubanchet, directeur de la FNDSEA de la Loire, le 22 août 1952.
Arch. APCA, FNSEA 1952-1956, double d’une lettre adressée par Luce Prault à Clovis Lascombes, président de la FDSEA, le 24 octobre 1952. : « J’espère que, grâce aux efforts conjugués de votre Fédération et de la Chambre d’Agriculture du Lot-et-Garonne, les Zones-Témoins de ce département pourront réaliser rapidement les progrès inscrits à leur programme et attendre pleinement les résultats souhaités ».
Arch. APCA, Circulaires début 1952-février 1953, copie d’une lettre adressée par René Blondelle aux président de l’AGPB, de la CGB, de la Confédération des producteurs de pommes de terre, de la FNPL, de la Confédération de l’élevage, de la Fédération Ovine, de la Confédération de l’aviculture, de la Confédération des producteurs de fruits et légumes, et de l’Association générale des producteurs de maïs, le 26 août 1952.
Arch. APCA, CA Savoie Haute-Savoie, double d’une lettre de Jean Achard à Pierre Millon, le 4 octobre 1952.
Voir notamment : Pierre GRÉMION, Le pouvoir périphérique... ouvrage cité.
Arch. dép. Savoie, M 3947 Aide technique et financière de productivité 1952-1957, double d’une lettre du secrétaire général de la Préfecture de la Savoie au chef de cabinet du Ministère de l’Agriculture, le 7 août 1952.
Arch. APCA, CA Savoie Haute-Savoie 1949-1965, lettre de Pierre Millon, président de la chambre d’agriculture de la Savoie, à René Blondelle, le 31 octobre 1952.
Arch. CA Savoie, Procès-verbaux de sessions 1952-1955, Procès-verbal de la session de novembre 1952.
Entretien avec Gilbert Delaunay, directeur honoraire de la chambre d’agriculture de la Savoie, mardi 25 mars 2003.
Arch. APCA, Comité Permanent Général, 1948 à mars 1954, copie d’une lettre de René Blondelle, président de l’APPCA, au ministre de l’Agriculture, le 24 décembre 1952.
Ibidem.