Des responsables professionnels

Notables ruraux, responsables paysans, dirigeants départementaux, ténors nationaux, les termes ne manquent pas pour désigner tel ou tel président de chambre d’agriculture qui s’est illustré, mais l’aspect concret de leur assise professionnelle reste à étudier. D’une « excellence »subodorée mais qu’il conviendrait de replacer dans le cadre local pour la mesurer mieux, au phénomène de prise de responsabilité, il semble qu’il ne faille pas tracer un chemin rectiligne, car « si les mérites professionnels sont au préalable de la reconnaissance des qualités de porte-parole, au point qu’on ne saurait désigner pour représentant un paysan au métier contesté, la promotion au rang des responsables s’obtient par la démonstration de talents qui dépassent l’excellence du métier » 2794. Dans le cadre d’une coupe et en l’absence de données plus étendues concernant l’orientation de l’exploitation, les prédispositions des meilleurs agriculteurs à devenir des dirigeants ne peuvent prétendre à être calibrées. Tout au plus constate-t-on que les plus décorés mentionnent tous quelques responsabilités professionnelles 2795, tandis que les plus mandatés sont tous décorés, mais il conviendrait d’envisager ces phénomènes dans leur dimension temporelle pour comprendre lequel précède l’autre – décore-t-on le responsable ou élit-on le distingué ?

D’après les informations contenues dans l’annuaire publié en 1955, à l’exception de trois présidents, tous se définissent largement par l’énoncé de leurs responsabilités professionnelles : de la grosse dizaine qui n’en mentionne qu’une à ceux qui énoncent plus de huit mandats, l’amplitude est large. La diversité des types de responsabilités, compliquée d’imprécisions nombreuses et de variantes régionales irréductibles, implique le recours à une classification. Nous avons opté pour une nomenclature en sept catégories 2796 : la première répertorie les mandats contractés au sein des organisations mutualistes ; la seconde dans les organismes de crédit 2797 ; la troisième retient les mandats explicitement coopératifs ; la quatrième ceux qui sont expressément syndicalistes et agricoles ; la cinquième les responsabilités prises au sein d’associations spécialisées par produits ; la sixième les implications directes au sein d’associations diverses qui sont toutefois toutes distinctement liées aux activités agricoles – comices, sociétés d’agriculture, groupements de défense du cheptel, herd-books et SICA surtout. La dernière enfin, et non des moindres, recense les fonctions occupées soit dans des groupements et associations non directement liées à l’agriculture – rares dans l’annuaire, ce sont surtout les organisations liées à l’électrification et à l’habitat rural, rarement à l’industrie –, celles détenues dans des organismes publics ou parapublics, comme les comités interprofessionnels, les comités des céréales et l’ONIC, l’Institut national des appellations d’origine, les sections de preneurs de baux ruraux, les écoles d’agriculture, les grands cénacles comme le Conseil national agricole, le Conseil supérieur agricole et l’Académie d’agriculture, et enfin l’activité consacrée et régulière de conseiller de la Banque de France. Cette classification a ses défauts, notamment celui de se fonder sur les dénominations expresses des organisations ; il conviendrait pour plus de précision d’en tester la fiabilité en faisant une analyse locale de la concordance des taxinomies et des statuts – l’alternative la plus répandue étant sans doute association-syndicat, voire peut-être coopérative-syndicat – ainsi que de pénétrer le dédale des affiliations 2798.

Ce sont au total 366 mandats qui sont énoncés, soit une moyenne de 4,1 par président et chaque élu est impliqué dans 2 à 3 types d’organisations, en moyenne. Attire d’abord l’attention la prédominance du syndicalisme, certes pas écrasante mais les mentions de mandats syndicaux agricoles caracolent assez nettement en tête, tandis que mandats mutualistes et coopératifs se disputent le second rang. Un tiers des présidents se prévaut d’un mandat dans le cadre d’une des « autres » organisations exposées plus haut, 23 % dans des associations diverses et tout de même 18 % dans des associations spécialisées par production, ce qui contraste avec la non-spécialisation des taxinomies professionnelles. Les tentatives de déterminer de manière chiffrée et « objective » un ancrage en relation avec le nombre de types de mandats détenus se révèlent assez vaines 2799 et ne font que confirmer la prééminence des mandats syndicaux et celle légèrement moindre de la mutualité, du crédit et de la coopération, révélant toutefois l’augmentation de la fréquence de l’assemblage syndical-mutualiste-coopératif au fur et à mesure que le nombre de type de mandats déclarés croît. La mesure stricte de ces conjonctions en binômes 2800 révèle quelques tendances particulières. La proximité de l’ensemble des types d’organisations avec le syndicalisme est frappante : dans le cas des détenteurs de mandats dans des associations spécialisées, elle est criante 2801 ; peu d’autres accointances remarquables se profilent toutefois. Notons enfin la très faible conjonction entre associations spécialisées, souvent actives à un échelon au moins régional, et associations diverses, plus ancrées dans la société locale.

Un premier biais permet de contourner cette opacité, qui doit être positionnée dans sa subjectivité : il s’agit de repérer des profils-types, non par leur fréquence mais par leur netteté, et d’y classer l’ensemble des 90 présidents, afin de prendre en compte l’ensemble de leurs mandats sans dématérialiser les biais de leur détention 2802. Le profil « équilibré » domine dans l’absolu, caractérisant 23 % des présidents de chambre d’agriculture : ceux-ci ont un pied dans chacun des types d’organisations les plus influentes et les plus décisives, à partir du niveau départemental. Toutefois, d’autres positions plus orientées vers le syndicalisme, quoique restant largement pluralistes, s’avèrent prépondérantes lorsqu’on les considère comme les variantes d’une seule et même tendance – qui se distingue d’ailleurs par la jeunesse de ses représentants. Ceux des présidents qui ne déclarent pas de réelle implication au sein d’organisations explicitement syndicales, mais qui sont actifs dans celles ayant trait à la mutualité, au crédit ou à la coopération, moins nombreux et légèrement plus âgés en moyenne, constituent toutefois un petit quart de l’effectif. Enfin, indubitable est le fait que très peu de présidents ont investi massivement dans les trois autres types d’organisations au détriment des premières. Associée aux données fournies par les présidents sur les distinctions reçues à cette même date, cette classification met en lumière, sans éclat particulier, la relation entre distinction dans l’ordre du Mérite agricole et position dominante équilibrée, tandis que les présidents engagés plus franchement dans les organisations mutualistes, de crédit et coopératives sont plus souvent distingués pour des faits éloignés de leurs activités agricoles.

Un autre biais probant permettant d’apprécier une diversité de situation est celui des échelons spatiaux auxquels s’exercent les fonctions considérées. Il convient alors de raisonner, comme nous l’avions fait pour les présidents de 1927, en termes d’« envergure » 2803. Par rapport à la période de création des chambres d’agriculture, on constate un accroissement de l’importance de l’échelon départemental, notamment comme échelon minimal des mandats professionnels déclarés. Les sources ne sont pas les mêmes et la comparaison longitudinale doit rester prudente, mais il semble que cette importance encore accrue de l’échelon départemental soit le résultat de la structuration professionnelle agricole, notamment syndicale, héritée de l’entre-deux-guerres mais accentuée par l’organisation corporative de 1941 à 1944 et renforcée encore par la forte structuration départementale de la FNSEA depuis 1945. Les dirigeants se prévalant d’occuper des mandats dans des organisations nationales sont plus nombreux que ceux que nous avions repérés en 1927 : 38 présidents exercent une fonction de pouvoir à l’échelon national d’une organisation agricole, soit 42 %. L’échelon international fait son apparition, discrètement.

47 présidents, au vu des indications qu’ils ont eux-mêmes fournies, brillent essentiellement dans des organisations départementales surtout, parfois régionales. Seuls deux présidents ne mentionnent que des mandats exercés localement, quoique l’un d’eux, Jean Deshors, président de la chambre d’agriculture de la Haute-Loire, soit par ailleurs conseiller général. Réparties entre les différents types de mandats, ces considérations relatives à l’envergure font toujours ressortir l’importance du cadre départemental, dominant pour chaque type sauf pour les associations spécialisées et les organisations parapubliques ou non-agricoles. Comme dans les années 1930 et de façon même plus marquée, le cadre départemental est le plus récurrent au vu des dénominations des organisations dans lesquelles les présidents de chambre d’agriculture sont recensés. C’est justement dans ce cadre que s’exercent deux des mandats les plus récurrents : d’une part ceux qui ont pour cadre les Fédérations départementales des syndicats d’exploitants agricoles (FDSEA) et, d’autre part, ceux brigués au sein des Caisses régionales de crédit agricole. Parmi les 90 présidents de chambre d’agriculture, 15 sont aussi présidents de la FDSEA de leur département. Parmi ces derniers, quatre sont simultanément présidents de l’Union départementale de la CGA, au nombre de sept au total parmi les présidents de chambre d’agriculture. Huit présidents de chambre d’agriculture, dont René Blondelle, sont présidents d’honneur de la fédération de leur département et 14 exercent un mandat autre que celui de président au sein de la FDSEA : six en sont vice-président, trois secrétaire général, cinq administrateur ou membre du bureau, un simple membre. Au total ce sont 38 présidents sur 90, soit 42 %, qui appartiennent aux instances dirigeantes d’une FDSEA.

On note que peu mentionnent un mandat au sein de la CGA : là aussi, il conviendrait de connaître les relations entretenues localement entre CGA et FNSEA, qui si elles sont déjà tranchées au niveau national, sont susceptibles de divergences locales. Par ailleurs, il convient de signaler que 166 membres de chambre d’agriculture, en dehors des présidents, ont été recensés comme appartenant au bureau ou au conseil d’administration de la FDSEA de leur département : ce sont principalement des membres du bureau d’une chambre d’agriculture, les seuls pour lesquels l’annuaire des chambres d’agriculture de 1955 fournit de riches renseignements sur les mandats professionnels exercés. 51 d’entre eux sont présidents d’une FDSEA, ce qui porte à 66 le nombre de départements où le président de la FDSEA appartient à la chambre d’agriculture, soit une écrasante majorité de 74 %.

Dans le département du Rhône, le président de la chambre d’agriculture, Jules Calloud, est vice-président de la FDSEA, tandis que le président de celle-ci, Florent Nové-Josserand, est le deuxième vice-président de la chambre d’agriculture : pareille intrication se retrouve-t-elle d’un département à l’autre ? On constate que 10 % des vice-présidents de chambre seulement sont des présidents de FDSEA, mais qu’un tiers d’entre eux comptent parmi les dirigeants de la fédération départementale 2804. Secrétaires, secrétaires-adjoints et délégués à l’APPCA, soit l’ensemble des bureaux des chambres d’agriculture, sont fréquemment très impliqués dans la direction de la FDSEA. Seuls une quinzaine de présidents de FDSEA se tiennent à l’écart des chambres d’agriculture. Mais la configuration du Rhône ne se retrouve nulle part ailleurs en France métropolitaine : la répartition des rôles est souvent moins symétrique. Dans une dizaine de départements, le président de la FDSEA est secrétaire ou secrétaire-adjoint de la chambre, et le président de la chambre est vice-président, secrétaire ou administrateur de la FDSEA. Ainsi, dans la Creuse, Raymond Labouesse, président de la FDSEA, est secrétaire d’une chambre d’agriculture présidée par l’un des vice-présidents de la FDSEA, Ferdinand Barlet.

Dans seulement 13 départements, ni le président de la FDSEA, ni son président d’honneur, susceptible d’avoir encore un ascendant important sur les dirigeants de la fédération, ne compte parmi les élus de la chambre d’agriculture. La symétrie est donc factice : les représentations cartographiées des situations respectives des présidents des chambres d’agriculture et des FDSEA vis-à-vis de l’autre organisation montrent bien le déséquilibre en faveur des FDSEA, qui semblent en position dominante 2805. La distance entre chambres d’agriculture et FDSEA semble moindre dans la partie Nord de la France : en bref, il n’y a disjonction apparente des deux organisations que dans une zone d’un vaste Languedoc-Roussillon englobant Toulouse et Millau ainsi qu’une partie du nord du Massif central. Le fait que ces zones de vide repérables sur la carte coïncident grossièrement avec les départements des FDSEA adhérentes au Comité de Guéret de 1953 est à double tranchant : est-ce à dire que les fédérations de syndicats d’exploitants de ces départements se sont tenues à distance de chambres d’agriculture jugées trop conservatrices ? Les liens maintenus par les chambres départementales avec les organisations affiliées à la Fédération nationale de la propriété agricole n’ont pu être attestés que dans une dizaine de cas : ils sont ténus et ne se dévoile que le « sommet de l’iceberg », soit les quelques présidents de fédérations locales 2806. Aucun président de chambre d’agriculture n’a été identifié parmi eux. Dans l’un et l’autre cas, les biais des sources sont criants : les appartenances et adhésions syndicales de base restent invisibles et ce ne sont que les intrications d’appareils qui ressortent. Pour comparaison, dans les caisses régionales de crédit agricole, 23 présidents de chambre d’agriculture occupent un mandat, dont douze en tant que président ou vice-président, neuf comme administrateur et deux à un quelconque autre titre.

Considérant conjointement les notions de profil et d’envergure, il apparaît que pour trois présidents sur cinq dont le mandat peut être considéré comme équilibré, un mandat d’audience nationale est détenu : d’ailleurs mis à part les représentants des associations spécialisées ou d’organismes autres, la plupart des dirigeants nationaux bénéficie d’appuis diversifiés. Neuf de ces dirigeants actifs dans les organisations centrales sont par ailleurs présidents de la FDSEA de leur département. Cinq sont impliqués dans la vie de la fédération nationale, à des postes influents : à celui, bicéphale, de secrétaire-général adjoint, René de Tocqueville et Fernand Vangraefschepe, présidents des chambres de la Manche et du Nord, Pierre Collet et Paul Pellegrin, présidents des chambres de la Loire et des Bouches-du-Rhône, en tant que secrétaires-adjoints, et Henri Chatras, du Doubs, comme administrateur. Outre Pierre Martin, président de la CGA, qui l’est aussi de la Fédération nationale des caves coopératives et de la Fédération nationale des coopératives agricoles, on compte parmi les présidents Louis Tardy, président de la Fédération nationale et administrateur de la Caisse nationale du Crédit agricole, et Edmond Jollit, président de la chambre d’agriculture de l’Indre-et-Loire et administrateur de la FNCA, ainsi qu’Henry Magne, président de la chambre d’agriculture de l’Aveyron et administrateur de l’Union nationale des coopératives agricoles d’approvisionnement (UNCAA). Michel Dalle, président de la chambre d’agriculture du Pas-de-Calais, préside également l’Association générale des producteurs de lin (AGPL), tandis Jacques Benoist, de l’Eure-et-Loir, est président de l’Association générale des producteurs de blé (AGPB), que Louis Bidau dirige d’Association générale des producteurs de maïs (AGPM) et que Marc Ferré conduit l’action de la Fédération nationale porcine (FNP).

Parmi les présidents les plus influents au niveau national, ou du moins occupant les sièges a posteriori considérés comme les plus stratégiques, figurent encore Albert Barré et Joseph Courau, présidents des chambres d’agriculture de la Marne et des Landes, respectivement président et premier vice-président de l’Office national interprofessionnel des céréales créé en 1936. Enfin, cinq présidents de chambre d’agriculture sont membres de l’Institut des vins de consommation courante, créé par le gouvernement à l’automne 1953 pour apaiser le mécontentement paysan. Cette importance d’une implication nationale est incontournable : pour deux présidents sur cinq, les voyages à Paris ne se règlent pas seulement sur le rythme des sessions de l’APPCA ou des réunions du CPG, et en cela ils se distinguent de ceux pour qui l’action est centrée sur le cadre départemental ou régional : certains énoncent d’ailleurs avec justesse qu’« il y aurait toute une sociologie à développer sur le "milieu agricole parisien" » 2807 auquel ces hommes appartiennent, même momentanément.

L’objectivation d’un engagement professionnel se fait rarement à un échelon univoque : sur les 38 présidents de chambre d’agriculture exerçant un mandat au niveau national, 27 signalent des responsabilités au niveau du département. 36 présidents de chambre d’agriculture citent des mandats locaux, de l’échelon communal à celui du canton, et pour une dizaine des élus considérés, l’amplitude des mandats cités, du point de vue de leur cadre d’action, est maximale, allant du village à Paris. Syndicats locaux, caves coopératives et caisses locales de crédit agricole se partagent les suffrages et ces organisations ont souvent pour cadre apparent une micro-région caractérisée par une production dominante mais non généralisable à l’ensemble du département – petites productions viticoles dans des régions de polyculture, élevage ovin minoritaire, etc. Ces mentions peuvent-elles être également considérées comme le reliquat de premiers engagements professionnels contractés dans le milieu de vie immédiat ? Il faut préciser que la majorité des présidents de chambre d’agriculture, d’après les informations appariées de l’annuaire publié en 1955 et du Who’s who paru en 1957, semblent issus des communautés locales dans lesquelles ils œuvrent alors 2808. Ainsi, parmi les 69 hommes dont le lieu de naissance est donné par l’annuaire, 77 % sont nés dans le département, dont les deux tiers dans la commune où ils résident encore 2809. Parmi ceux qui sont nés dans un autre département, huit sont nés dans un département immédiatement voisin et sont donc susceptibles d’être restés dans le même réseau d’interconnaissance supralocal. L’association de mandats campés aux trois échelons, local, départemental et national, est-elle volontairement destinée à évoquer une carrière pyramidale ? Ne représente-t-elle pas parfaitement l’idée que l’on se ferait d’un dirigeant complet, aux ressorts multiples ?

Notes
2794.

Sylvain MARESCA, Les dirigeants paysans... ouvrage cité, p. 71.

2795.

Voir Annexes. Dossier n° 8. 1. tableau 9.

2796.

Voir Annexes. Dossier n° 8. 1. tableau 10.

2797.

Ces deux premières catégories, qui ont en commun d’être organisées autour de caisses localisées dans des circonscriptions territoriales et d’impliquer un aspect gestionnaire, seront parfois regroupées ensuite.

2798.

Jean-Luc MAYAUD, « Pour une communalisation de l’histoire rurale »... article cité.

2799.

Voir Annexes. Dossier n° 8. 1. tableau 13.

2800.

Voir Annexes. Dossier n° 8. 1. tableaux 11 et 12 et graphique 1.

2801.

Au sujet de la cohabitation des intérêts sectoriels et des revendications générales, voir : Denis PESCHE, Le syndicalisme agricole spécialisé en France : entre la spécificité des intérêts et le besoin d’alliances, Thèse pour le doctorat de sociologie, sous la direction de Bertrand Hervieu, Université Paris X-Nanterre, 1998, 626 p.

2802.

Voir Annexes. Dossier n° 8. 1. tableau 14.

2803.

Voir Annexes. Dossier n° 8. 1. Tableaux 15 et 16.

2804.

Voir Annexes. Dossier n° 8. 1. tableau 17.

2805.

Voir Annexes. Dossier n° 8. 1. cartes 1 et 2.

2806.

Arch. APCA, Fédération Nationale des CUMA à groupement, 1952-1965. Dossier Fédération nationale de la propriété agricole, liste des groupements affiliés à la Fédération nationale de la propriété agricole, 1955.

2807.

Jean-Pierre PROD’HOMME, « Les relations entre les organisations professionnelles et les agriculteurs ».. article cité, p. 48.

2808.

Voir Annexes. Dossier n° 8. 1. tableau 25.

2809.

De plus, la répartition observée au sein des 42 notices du Who’s who corrobore cette constatation avec une symétrie presque parfaite.