Des présidents diversement influents

Existant en tant que dirigeants agricoles à l’extérieur de l’APPCA, les présidents de chambre d’agriculture doivent encore être appréhendés dans leur cohabitation au sein de l’assemblée permanente. Des considérations relatives aux notions de génération s’imposent. Âgés en moyenne de 58,3 ans, les présidents de chambre d’agriculture se définissent aussi par la date à laquelle ils ont été élus 2819 : ainsi, si quatre d’entre eux ont été choisis au printemps 1955, sept ont été élus avant 1939, dont Hervé Budes de Guébriant, président de la chambre d’agriculture du Finistère, qui est président depuis 1927 sans autre interruption que celle commandée par la suppression effective des chambres d’agriculture entre 1943 et 1949 ; ces deux groupes se différencient d’ailleurs par leurs âges moyens, allant de 55 à 65 ans. Quinze individus sont devenus présidents entre 1949 et 1952, en remplacement d’un président élu avant 1939, décédé ou démissionnaire. Leurs âges médians et moyens élevés incitent à voir dans leur présence, importante puisque représentant encore en 1955 17 % des élus siégeant à l’APPCA, les répercussions d’un phénomène d’étiage survenu au sein des chambres départementales au lendemain de la guerre, où le corps des élus, vieillissant et clairsemé, peine à se choisir des représentants. Le groupe le plus important est celui constitué des présidents élus à la suite des élections de 1952, qui représentent 60 % de l’ensemble et sont en moyenne les moins âgés, présentant un âge médian de 55 ans. Tous ne sont pas aussi jeunes toutefois : les présidents de l’Hérault et du Cantal, François Romieu et Eugène Cambourieu, sont élu en 1952 à l’âge de 67 et 70 ans – les âges minimum et maximum, que corroborent les écarts-types, attestent d’ailleurs une ventilation des âges importante quelle que soit la date d’entrée en fonction.

Les phénomènes générationnels mêlent la date d’accession à la présidence, et donc le nombre d’années de plein exercice enregistré. Pour, tous les présidents présents en 1955 considérés, le temps écoulé depuis l’élection atteint 4,1 ans. Un fort contraste existe cependant entre ceux qui totalisent en moyenne seize années d’exercice, et ceux qui, parvenus à la présidence après la guerre, n’en comptent que 3,1, en moyenne. Relativement à la nature des carrières de responsables agricoles et à leur répercussion au sein de l’APPCA, la classification par date d’accession à la présidence ne donne toutefois pas de clefs de compréhension décisives 2820, la dominante syndicale ou généraliste étant largement partagée. C’est plus en termes d’âges, voire de générations, que la partition devient nette. Onze présidents, soit 12 %, ont plus de 70 ans en 1955 et sont donc parvenus à l’âge des responsabilités avant la Première Guerre mondiale : ils ont connu le mouvement de développement exponentiel des syndicats et celui, concurrent, des coopératives ; ils ont vécu les contrecoups des crises phylloxériques, le développement des caisses locales, puis régionales, de crédit agricole, la loi Viger de 1900 sur les assurances mutuelles, autant de « faits dateurs de génération » 2821 à considérer. Une quarantaine a plus de 55 ans et moins de 70, soit 44 %, dont les plus jeunes sont arrivés à l’âge adulte entre 1913 et 1918, soit une moitié, et ont donc vécu la guerre largement en tant qu’adultes, sans doute mobilisés pour beaucoup. Ils ont assurément commencé leur carrière dans les années 1920 et 1930, à l’heure où sont créées les chambres d’agriculture, dans une atmosphère largement dominée par la crise économique et par la question du blé. Une troisième génération peut être identifiée dans le groupe de 36 présidents qui ont moins de 55 ans, qui n’ont vécu la Première Guerre mondiale que comme enfants ou adolescents, qui ne sont parvenus aux responsabilités que vers la fin des années 1930 ou dans le carcan de la Corporation paysanne, « étape décisive dans la réalisation de l’unité paysanne et dans la formation de ses cadres » selon Pierre Barral 2822, qui pour Gordon Wright, par la création d’un syndicat corporatif dans chaque commune, provoque une « accélération de l’ascension d’une élite paysanne compensant la lenteur initiale de la couche agricole à dégager ses propres dirigeants » 2823, ascension qui, notamment pour les plus en retrait au niveau national pendant ces années, se poursuit longtemps après guerre 2824.

Cette tripartition générationnelle met en lumière une plus forte dominante syndicale chez les moins âgés 2825, quoique les doyens de l’APPCA citent tous de nombreux mandats 2826 mais plus diversement répartis. Dominante syndicale qui est le fait notamment des moins de 55 ans – 75 % d’entre eux citent ce genre de mandat –, les présidents légèrement plus âgés bénéficiant plus souvent d’une position à équidistance des différentes organisations. La mainmise des aînés sur les organisations de crédit est assez distinctement affirmée, mainmise qui fait écrire aux enquêteurs qui, en 1963, se penchent sur les conflits de génération dans le monde rural : « il y a quelques années encore, les organismes de gestion étaient donc dirigés par des hommes dont l’âge moyen se situait autour de 75 ou 80 ans. Ils se caractérisaient par une gestion très sage et très prudente, une gestion de père de famille. Il y a encore des dirigeants de cette génération, mais ils deviennent rares » 2827. Revendication forte qui découle possiblement du rôle fondateur qu’ont pu jouer ces hommes dans le développement de ces caisses et organismes, et de l’attachement presque affectif qui en procède. Dans le spectre varié de ces affirmations, il reste qu’il faut considérer les nécessités intrinsèques à chacun, et impérieuses, de faire montre de son importance et de la nature de celle-ci, plus que de dévoiler une réalité irréductible aux quelques lignes disponibles dans l’annuaire, d’autant plus sans doute que le dirigeant est jeune et sa position peu sûre 2828.

Comment sont alors distribués les rôles au sein de l’APPCA en 1955, si l’on retient prioritairement les questions professionnelles, et politiques, et la segmentation générationnelle ? Il convient de répartir l’ensemble de l’effectif entre les différentes instances mises en place progressivement. Quatre catégories se distinguent du point de vue de leur position décisionnelle formelle. Les cinq membres du bureau – soit outre le président, deux vice-présidents, un secrétaire et un secrétaire-adjoint – disposent d’un pouvoir étendu et vivent la vie de l’institution de manière très intense, par la fréquence des réunions ou par une présence quasi permanente – c’est le cas notamment de Marc Ferré, président de la chambre d’agriculture de la Vienne. Le CPG se compose de 18 titulaires et de 18 suppléants, basés chacun dans une des régions définies à cet effet entre 1952 et 1955 2829 : la fonction de titulaire détenue par les quatorze présidents de chambre d’agriculture qui ne font pas partie du bureau constitue donc un second palier décisionnel ; tandis que le troisième serait celui de suppléant, dont la latitude n’est régie que par la pratique, mais dont il apparaît nettement qu’une moindre assiduité et un retrait certain vis-à-vis du titulaire sont susceptibles de l’affaiblir. Enfin, la masse des 53 présidents de chambre d’agriculture qui n’ont de pouvoir décisionnel que dans le cadre des sessions, donc par le vote des motions et l’intervention directe principalement, voire dans celui des commissions, représente l’échelon de base, soit 59 % de l’effectif. Une autre instance s’impose en surimpression, celle du récent comité de gestion du Fonds national de péréquation des chambres d’agriculture, institué par le décret du 24 décembre 1954.

Il apparaît assez clairement, d’emblée, au vu de la répartition par type de mandats, que le nombre moyen de mandats déclaré est corrélatif du pouvoir décisionnel formel contracté au sein des positions électives de l’APPCA 2830 : plus le nombre de mandats est important, plus la position est éminente, atteignant au sein du bureau une moyenne de 7,5 – relation dont le sens ou la réciprocité ne pourrait être éclairé qu’en considérant avec attention sa dimension temporelle. Cela est étayé par une corrélation de même nature touchant au nombre moyen de types de mandats. D’autre part, les présidents déclarant des mandats syndicaux surtout, mutualistes et de crédit aussi, sont surreprésentés au sein du Bureau et du CPG. Cette distorsion est encore plus visible quand on considère le problème en termes de profils-types 2831 : les détenteurs de positions équilibrées et ceux pour qui existe une dominante syndicale marquée ont investi le bureau et le CPG, principalement en tant que titulaires, tandis que les présidents uniquement investis dans des organisations mutualistes ou de crédit, ou encore des coopératives, ne sont quasiment pas représentés. De même, les responsables professionnels se trouvent d’autant plus facilement en position de décideurs qu’ils ont une envergure nationale 2832 – là encore, il conviendrait d’étudier ces carrières au niveau de plusieurs organisations de façon concomitante pour percevoir le sens de l’impact. Assiste-t-on à une mainmise des « spécialistes des responsabilités » 2833 sur les instances décisionnelles de l’APPCA ? Il reste que les situations, des membres du bureau notamment, sont assez peu comparables : Louis Richier n’a pas de réelle envergure nationale, Henri Chatras est administrateur de la FNSEA, Marc Ferré est président de la Fédération nationale porcine et Albert Barré vice-président de l’ONIC ; tandis que les présidents des puissantes associations de producteurs de blé d’une part, de maïs d’autre part, ne font pas partie du comité permanent.

Au sein de ses instances, la répartition des présidents distingués révèle que l’ensemble des membres du bureau a été décoré : dans l’ordre du Mérite agricole, au grade d’officier au moins, pour quatre d’entre eux ; la Légion d’honneur leur ayant été remise dans la même proportion, sans qu’aucune autre médaille ne soit déclarée. Cette constatation, dont, encore une fois, rien ne dit le sens, ne doit cependant pas faire accroire à un quelconque déterminisme, le reste de la ventilation étant quasiment équilibrée. Il faut tenir compte aussi sans doute des questions générationnelles dans ce partage interne des responsabilités agréé par le vote de l’assemblée réunie. Les plus âgés n’occupent pas de siège au sein du bureau, et sont d’ailleurs assez peu représentés de façon générale 2834, tandis que les plus jeunes ont investi le bureau, en en abaissant la moyenne d’âge à 55,8 ans. Un schéma surprenant se dessine, puisque les rênes semblent avoir été prises par les plus jeunes, tous élus en 1952 d’ailleurs, tandis que les seniors sont très présents au sein du comité permanent, et que les « anciens », sauf deux d’entre eux, sont exclus des lieux du pouvoir. Faut-il voir par là une volonté concertée de renouvellement et de rajeunissement ? Est-ce à une passation de pouvoir transgénérationnelle que l’on assiste alors ? La répartition des détenteurs de mandats politiques au sein des instances internes de l’APPCA révèle que ceux-ci ont été partiellement exclus, notamment dans leur variante parlementaire : la présence de René Blondelle au sein du bureau, en tant que sénateur de l’Aisne mais surtout en tant que président de l’association « l’Action Civique et Républicaine », ne suffit-elle pas toutefois à infléchir l’action du bureau ? De même, si les trois quarts d’entre eux ne sont pas représentés au sein du comité permanent général, la présence d’un sénateur au moins dans chaque réunion est assurée, en comptant sur une assiduité irréprochable.

La jeunesse relative du comité permanent général, dont six des membres ont moins de 55 ans, est tempérée par la présence de présidents comptant parmi les plus âgés au sein de ce groupe : ainsi cohabitent deux générations éloignées, incarnées aux extrêmes par l’encore jeune Pierre Collet, né en 1913, syndicaliste de la Loire où il préside la FDSEA, et par le très décoré et très distingué Joseph Aveline, âgé de 74 ans, qui outre ses mandats syndicaux et son implication marquée au sein d’organisations mutualistes et de crédit, est aussi président du « Comité Fédératif National des Livres généalogiques » 2835. Générations d’hommes qui se doublent de générations de présidents de chambre d’agriculture : Louis Le Léannec côtoie Joseph Aveline au sein du CPG où ils représentent tous deux les présidents de chambre d’agriculture ayant franchi le cap de la Seconde Guerre mondiale sans perdre leur siège de président. Jean-Pierre Prod’homme estime que « dans ce monde agricole où le pouvoir des anciens peut rester très fort, il se constitue une catégorie de "monstres sacrés" de l’agriculture, c’est-à-dire de responsables professionnels souvent âgés, de grande expérience au plan régional voire national. Ils se tiennent en marge des grandes décisions, mais pas tout à fait au dehors. Leur intervention peut à tout moment bloquer ou infléchir les décisions en cours de préparation. La Profession conserve ainsi ses anciens leaders et les met en avant, parfois, face au pouvoir politique. Dans une certaine mesure, les leaders en place sont une émanation de ces anciens et leur liberté d’action est partiellement bridée par la discrète présence de ceux-ci » 2836 : faut-il alors se méfier des apparences formelles du pouvoir, destinées peut-être plus à une représentation externe qu’à un réel aménagement des forces, et songer à des biais plus diffus de l’ascendant des aînés ?

Il convient de ne pas omettre que l’importance accordée par les présidents souvent détenteurs de plusieurs mandats à la dynamisation de la chambre d’agriculture, notamment au sein de puissantes organisations départementales, varie suivant les configurations locales. Des faiblesses institutionnelles locales sont ainsi dénoncées : le 15 juin 1954, en session de l’APPCA, au cours du compte-rendu du président sortant sur l’action de l’assemblée permanente, « René Blondelle souligne l’erreur commise par certains présidents de chambre d’Agriculture, qui sont en même temps présidents d’organisations syndicales et qui laissent les premières en sommeil. Il fait remarquer que les Présidents des chambres d’agriculture sont des élus et que vis-à-vis des pouvoirs publics ils doivent veiller à ce que ces organismes jouent le rôle qui leur a été fixé » 2837. Élément difficile à mesurer que celui de l’investissement personnel, qui serait pourtant indispensable à une réelle compréhension des mécanismes de représentation au sein de l’APPCA.

Il convient enfin de considérer que d’autres moyens d’expression décisifs existent au sein de l’APPCA. Le comité de gestion du Fonds national de péréquation des chambres d’agriculture en est un, quoique sept de ses dix membres soient également membres du bureau ou du comité permanent général 2838. Les commissions sont peut-être le lieu d’une expression plus ouverte : celle du progrès technique, mise sur pied dès 1952, est notamment très fréquentée par les présidents de chambre d’agriculture. La réunion du 30 mars 1955 accueille des représentants de 43 chambres départementales – dont, pour la Savoie, Michel May, délégué-suppléant et Joseph Dardel, secrétaire-adjoint, qui l’est aussi de la chambre régionale d’agriculture de Lyon 2839. Cette commission a élu un bureau dont la composition est des plus bigarrées : son président est Maurice de Solages, déjà présenté, dont nous rappellerons seulement la position surprenante sur le plan professionnel, entre agriculture, industrie et finance ; les vice-présidents sont Achille Naudin, président de la chambre d’agriculture de la Nièvre, ancien sénateur et ancien avocat de 67 ans, dont les seuls mandats évoqués sont ceux de président de la Société départementale d’agriculture de la Nièvre, de membre du Conseil supérieur de l’agriculture et enfin de conseiller à la Banque de France ; et Gilbert Martin, âgé de 56 ans, président-fondateur de l’Union départementale de la CGA dans l’Eure, président de coopératives laitières et d’une SICA d’habitat rural, membre aussi du Conseil supérieur de l’agriculture 2840 ; les secrétaires sont André Bégouin, 52 ans, président de la FDSEA de la Charente et du Syndicat des producteurs de Pineau 2841, ingénieur agricole, bientôt élu député de son département et inscrit au groupe paysan de l’Assemblée nationale 2842 ; et le Mosellan Prosper Semin, ancien agriculteur de 64 ans, « administrateur de Coopératives et d’Associations agricoles », président de la Société coopérative « La Ferme-témoin Saint-Ladre », des Caisses locale et régionale de crédit agricole, de la Caisse régionale de mortalité-bétail et du Comité interprofessionnel pour la consommation du lait et des produits laitiers, ainsi qu’adjoint au maire de sa commune 2843. Ces hommes aux engagements, aux âges et aux origines géographiques diverses ont toutefois pour point commun de ne pas appartenir au groupe des titulaires du comité permanent général. La liste d’émargement de la réunion du 30 mars révèle par ailleurs que les commissions, dès 1955, sont le lieu où peuvent s’exprimer des membres de chambre d’agriculture, en lieu et place de leurs présidents, en fonction des domaines de compétence qu’ils ont développés localement et qui leur sont reconnus par les chambres départementales.

Au milieu des années 1950, les chambres d’agriculture sont à la fois très actives, depuis le début du programme des zones-témoins, dans le champ de la vulgarisation du « progrès technique », par le recrutement de conseillers agricoles, mais en même temps très insérées dans le système agricole départemental, notamment par l’intrication entre chambres d’agriculture et FDSEA. D’un côté, l’APPCA renforce et relégitime son action en anticipant sur les besoins des chambres d’agriculture en matière de « soutien logistique » notamment, mais également par la publication d’enquêtes et de bulletins et fascicules consacrés au « progrès technique ». De l’autre, elle dévoile la fragilité de sa position et l’inertie de la force conservatrice qui l’anime : les réflexes corporatistes se font jour dès le printemps 1953 et ne trouvent pas toujours d’écho dans les départements. Au-delà du groupe des présidents, des préfectures à Paris, il faudrait sans doute considérer, à l’instant de Jean-Pierre Prod’homme, que les « administratifs » sont partie intégrante du « système » : entre services techniques et administratifs des chambres et directions de l’APPCA, entre directeurs et élus, se lirait ainsi une révolution technocratique.

Notes
2819.

Au poste de président, puisque les informations concernant la première élection en tant que membre de la chambre d’agriculture seraient à rechercher localement. Voir Annexes. Dossier n° 8. 1. tableau 29.

2820.

Voir Annexes. Dossier n° 8. 1. Tableau 30.

2821.

Jean DARCET [dir.], Les conflits de générations, Paris, Presses universitaires de France, 1963, 190 p., p. 101.

2822.

Pierre BARRAL, Les agrariens français de Méline à Pisani... ouvrage cité, p. 282.

2823.

Gordon WRIGHT, La révolution rurale en France... ouvrage cité, p. 134.

2824.

Isabel BOUSSARD, Vichy et la Corporation Paysanne... ouvrage cité, pp. 368-369.

2825.

Voir Annexes. Dossier n° 8. 1. tableau 31.

2826.

Voir Annexes. Dossier n° 8. 1. tableau 32.

2827.

Jean DARCET [dir.], Les conflits de générations... ouvrage cité, p. 92.

2828.

Ce constat est toutefois contredit par l’examen de la notice, laconique, de Roland Viel, benjamin de l’assemblée, qui ne mentionne qu’un mandat coopératif régional, mais sa dissidence serait à prendre en compte.

2829.

Voir Annexe 2.

2830.

Voir Annexes. Dossier n° 8. 1. tableau 33.

2831.

Voir Annexes. Dossier n° 8. 1. tableau 34.

2832.

Voir Annexes. Dossier n° 8. 1. tableau 35.

2833.

Sylvain MARESCA, Les dirigeants paysans... ouvrage cité, p. 71 ; Sylvain MARESCA, « La représentation de la paysannerie, Remarques ethnographiques... », article cité, p. 4.

2834.

Voir Annexes. Dossier n° 8. 1. tableau 37 à 39.

2835.

Who’s who in France, Paris, Éditions Jacques Lafitte, 1957, 2304 p.

2836.

Jean-Pierre PROD’HOMME, « Les relations entre les organisations professionnelles et les agriculteurs ».. article cité, p. 50.

2837.

Documentation APPCA, « Compte rendu du Président sortant sur l’action de l’Assemblée Permanente », dans Chambres d’agriculture, n° 54, 15 juin 1954, pp. 10-11.

2838.

Voir Annexes. Dossier n° 8. 1. tableaux 32 à 41.

2839.

Annuaire APCA 1955.

2840.

Ibidem. Who’s who in France, Paris, Éditions Jacques Lafitte, 1957, 2304 p.

2841.

Ibidem.

2842.

Who’s who in France, Paris, Éditions Jacques Lafitte, 1957, 2 304 p.

2843.

Annuaire APCA 1955.