B. Notables et directeurs : entre délégation et dépossession

L’émergence de la figure du directeur

En 1938, d’après les notes prises par Luce Prault, treize chambres n’ont pas de secrétaire administratif propre et treize autres ont pour secrétaire administratif le directeur des services agricoles 3050. Pendant les années 1950, les chambres d’agriculture se démarquent des directions des services agricoles (DSA) 3051, même si la collaboration et la coexistence au sein des mêmes immeubles demeurent dans plus d’un tiers des départements. L’émergence de la figure du directeur de chambre d’agriculture est en cours dans les années 1950, liée à la transfiguration de l’ensemble des pouvoirs dans les organisations agricoles et dans la société en général. Gilbert Delaunay, ancien directeur de la chambre d’agriculture de la Savoie, analyse le processus ainsi : « Les Chambres d’Agriculture qui décideront de se doter assez rapidement d’un personnel propre à l’établissement, recruteront davantage sur un profil technique qu’administratif, et on verra donc ainsi arriver une nouvelle génération de jeunes ingénieurs, engagés pour des actions de formation professionnelle et de vulgarisation, rôle essentiel des Chambres d’Agriculture dans cette période de démarrage : conseiller technique, secrétaire administratif et technique, telles seront souvent leur première appellation, avant qu’ils ne se voient confier les tâches, puis plus tard, le titre de directeur » 3052. Un constat nous paraît significatif : alors que qu’en 1955, seules quatre chambres mentionnent la présence dans leurs services d’un « directeur », elles sont une soixantaine en 1959, signe de l’apparition d’un terme autant que d’une fonction. Au travers de l’étude du groupe d’une centaine de « secrétaires administratifs » et de « directeurs » de chambre recensés en 1955 et 1959, quel dénominateur commun peut-on isoler ?

La continuité avec les chambres d’agriculture de l’entre-deux-guerres est faible : seuls neuf secrétaires administratifs de 1939 sont recensés en 1955 3053. Parmi ceux-là, les itinéraires varient très fortement. Quoi de commun entre Mme Y. Mésaise, secrétaire administratif de la chambre d’agriculture du Calvados dès 1938 et au-delà de 1960 et Gaston Villard, qui occupe les mêmes fonctions, en Meurthe-et-Moselle, en 1938, mais est également recensé en 1955 comme « chef de section administrative à la Direction départementale des services agricoles » 3054 ? Joseph Parrot et Camille Robert, responsables des services des chambres de la Gironde et de la Haute-Loire, n’ont pu être repérés à un quelconque autre poste entre les années 1930 et 1960 : est-ce à dire pour autant que leur carrière est entièrement contenue dans les murs de la chambre d’agriculture ? Deux ont été repérés en tant que secrétaire de l’URCA de leur département en 1943-1944 3055 – rappelons que cinq des secrétaires administratifs d’avant 1940 ont été recensés parmi les secrétaires d’URCA 3056. Léon Paliard, ingénieur agricole issu de la promotion 1923 de l’École nationale d’agriculture de Grignon 3057, secrétaire administratif de la chambre d’agriculture de la Loire, est également impliqué dans la rédaction de Paysans de la Loire, organe de presse des organisations départementales agricoles 3058. Léon Jaloux, « ingénieur ITA », secrétaire administratif de la chambre d’agriculture de la Haute-Vienne en 1938 et en 1955, est également recensé comme directeur de l’Union départementale de la CGA et de la FDSEA de son département en 1951 3059 : situées au 54 avenue de la Libération, à Limoges, ces deux organisations sont voisines de la chambre d’agriculture, sise au n° 52 de la même avenue. Jean Massin, issu de la promotion 1930 de l’Institut agricole de Toulouse 3060, est le secrétaire administratif de la chambre d’agriculture de la Sarthe dès avant 1940 et occupe à nouveau ce poste dès la reprise d’activité de la chambre d’agriculture 3061 : à l’orée des années 1950, il est également secrétaire général administratif de la FDSEA et du Syndicat horticole et maraîcher de la Sarthe, ainsi que directeur administratif de l’Union départementale des coopératives d’utilisation de matériel agricole et enfin directeur général adjoint de la Coopérative sarthoise d’insémination artificielle et d’élevage 3062. Il est à noter que chambre d’agriculture, FDSEA, syndicat horticole, UDCUMA et coopérative d’insémination occupent le même immeuble, celui du 30 rue Paul-Ligneul, au Mans, et ont les mêmes coordonnées téléphoniques.

Quoiqu’il ne soit pas possible de déceler toujours la même simultanéité dans l’occupation des postes administratifs au sein des grandes organisations agricoles départementales – notamment du fait des dates de publication des sources utilisées, distantes de quelques années –, on peut déceler des régularités dans les itinéraires des secrétaires administratifs et des directeurs des chambres d’agriculture en fonction en 1955 3063. Deux constats dominent. Un secrétaire administratif sur trois a été recensé à un poste administratif au sein d’une organisation agricole du département entre 1945 et 1952, tandis qu’ils ne sont apparemment que deux à faire partie du corps des fonctionnaires de la DSA. Un secrétaire administratif sur quatre a été identifié comme directeur de la FDSEA au début des années 1950.

En 1960, la situation est sensiblement différente. En considérant les postes occupés simultanément dans les organisations professionnelles agricoles, on ne réussit à repérer qu’un tiers des « directeurs » ou assimilés. 21 % des directeurs de chambre sont ainsi également directeurs de FDSEA 3064. Si l’impression donnée est celle d’un détachement de ces hommes vis-à-vis des fonctions au sein des fédérations affiliées à la FNSEA, est-ce à dire que chambres d’agriculture et FDSEA s’éloignent les unes des autres ? Les fonctions occupées par les élus montreront qu’il n’en est rien. Par ailleurs, le repérage des immeubles occupés par les chambres d’agriculture, les DSA et les FDSEA incite à lire plutôt les indices d’un rapprochement : alors que 34 chambres partageaient leurs locaux avec la FDSEA en 1952 3065, elles sont 56 en 1960, soit 62 % 3066. Cette évolution va de pair avec un détachement vis-à-vis de la direction des services agricoles (DSA) : en 1939, une chambre sur deux est installée dans le même immeuble que la DSA, en 1952, ce n’est plus le cas que d’une chambre sur trois, et en 1959-1960, 28 % des chambres d’agriculture indiquent la même adresse que la DSA. Les cohabitations d’organisations agricoles dans un même immeuble et les partages de bureau, voire de secrétaire administratifs, révèlent-ils cependant des alliances objectives ou des promiscuités subies ? Il faut envisager autant les connivences que les éventualités de frictions. Un même numéro de téléphone est-il le signe d’une communauté d’idées, ou plus sûrement d’un arrangement lié au faible maillage du territoire par les réseaux de télécommunication ? Ces constats permettent toutefois de prendre de la distance vis-à-vis du discours : des désaccords idéologiques très marqués peuvent aller de pair avec une proximité spatiale importante – même rue, bâtiment, escalier, couloir, bureau. Les outrances du discours n’auraient-elles pas pour raison d’être de faire oublier cette cohabitation ?

Si seul un cinquième des directeurs de chambre ont été identifiés comme directeurs de FDSEA en 1960, il faut sans doute y lire un effet de source important : dans les volumes du Guide national de l’Agriculture, les directeurs de 49 FDSEA seulement sur 90 sont évoqués 3067. Il reste qu’une trentaine d’entre eux n’ont pas en charge la gestion de la chambre d’agriculture. L’élargissement des domaines d’intervention des organisations et leur meilleure délimitation respective, ainsi que l’augmentation du volume des tâches administratives à réaliser en sont sans doute la raison principale. Se repèrent ainsi de nombreux cas où un secrétaire administratif ou directeur de FDSEA a été recruté au cours des années 1955-1959, permettant au secrétaire administratif qui cumulait les deux postes de se consacrer à la seule gestion de la chambre d’agriculture. C’est le cas dans le Cantal, où André Gard cumulait les postes de directeur de la FDSEA et de la chambre d’agriculture, en autres, en 1955, et se recentre sur les activités de la chambre au moment du recrutement de Paul Besse à la direction de la FDSEA 3068. En Haute-Savoie, en 1951, la chambre d’agriculture avait pour secrétaire administratif Joseph Gaudin, qui dirigeait alors également les services de l’UDCGA, de la FDSEA et était directeur du Paysan savoyard, organe de la FDSEA. Né en 1911, cet « ex-cultivateur », formé par le biais de l’enseignement agricole par correspondance, dit « mutilé guerre 39-40 », devient « rédacteur stagiaire »puis « conseiller technique rural »au secrétariat général à la jeunesse de Vichy, de décembre 1940 à février 1942, puis est secrétaire général administratif de l’URCA de Haute-Savoie de mars 1942 à fin 1944 3069. En 1961, Johannès Beauquis est désormais directeur administratif de la FDSEA tandis que Joseph Gaudin ne semble plus se charger que de la direction des services de la chambre d’agriculture, bien que les deux organisations soient installées au sein des locaux de la Maison paysanne, au n° 19 de la rue des Marquisats, à Annecy. Les deux hommes sont cependant tous deux administrateurs de la Caisse départementale de mutualité sociale agricole, attestant du flou des limites existant entre titulaires de fonctions électives et d’emplois administratifs, dont il sera à nouveau question. Rappelons que seuls quatre secrétaires administratifs de 1955 avaient été identifiés comme secrétaires généraux d’une URCA en 1944 3070. Ainsi, Raymond Grenet, né en 1903, titulaire d’un baccalauréat « Latin-Grec-Philosophie », « ingénieur d’agriculture IAB » 3071, sorti de l’École de Beauvais en 1923 3072, exploitant agricole en Seine-Inférieure de 1927 à 1940, est devenu directeur de la Coopérative forestière et de carbonisation de Haute-Normandie de 1940 à 1942 3073. En juillet 1942, il est recruté comme secrétaire général de l’URCA de Seine-Inférieure : y a-t-il continuité avec les fonctions qu’il occupe au début des années 1950 au sein de l’Union syndicale agricole de la Seine-Inférieure 3074 ? Continuité dans le temps et/ou continuité logique ?

Se posant la question « qui sont ces directeurs ? », Jean-Pierre Prod’homme distingue « trois origines différentes, correspondant à trois degrés d’ancienneté » : ainsi « pendant longtemps, les responsables professionnels étaient tentés de choisir les dirigeants administratifs parmi des hommes très proches d’eux-mêmes, parfois d’origine agricole assez directe, ayant suivi des filières voisines (JAC par exemple). Cette génération de directeurs, que l’on rencontre dans de nombreux départements, souvent dans des organisations à vocation générale ou de petites coopératives, partageait les mêmes références idéologiques ; les directeurs se formaient "sur le tas", s’adaptant progressivement à la complexité grandissante des problèmes à régler. Puis est apparue plus nettement une seconde couche de directeurs et de cadres de direction, souvent de formation agronomique, et pas nécessairement originaires du département où ils exercent. Cette formation de nature pluridisciplinaire appliquant des connaissances scientifiques aux multiples facettes de la réalité agricole, apportait l’assurance que ses détenteurs seraient aptes à traiter des problèmes "pointus", tant techniques que réglementaires, tout en ayant une bonne capacité de contact avec les agriculteurs » 3075. Enfin, la tendance à recruter des cadres de formation économique ou administrative serait plus tardive. Se pose la question de leur légitimité : celle-ci repose-t-elle sur leur capacité d’expertise ? Le cas échéant, cette dernière découle-t-elle de leur formation ?

On ne trouve que de rares indices allant dans le sens d’une légitimité renforcée par la mention d’une activité parallèle d’exploitant agricole – Alain Le Guen, par exemple, le secrétaire administratif de la chambre d’agriculture des Côtes-du-Nord, est dit « agriculteur à Plouha » 3076 en 1955. En revanche, 29 des directeurs mentionnent une école ou un diplôme. En complétant ces données à l’aide des sources disponibles, on parvient à accumuler au moins un indice relatif à leur formation pour 35 des 79 directeurs ou secrétaires administratifs 3077. Notons d’emblée que les ingénieurs agricoles, issus des trois seules écoles habilitées à délivrer ce diplôme, sont les plus nombreux : les Écoles de Grignon et de Rennes notamment ont formé quelques-uns de ceux qui occupent, en 1955, le poste de dirigeant des services naissants d’une chambre départementale d’agriculture. Notons également que ces hommes ne sont pas de jeunes diplômés : tous sont issus de promotions des années 1920 et 1930, soit en moyenne antérieures à celles auxquelles appartenaient certains des conseillers agricoles recrutés en parallèle. Au total, c’est au moins 38 % des directeurs qui ont reçu une formation agricole, souvent dans le cadre de l’enseignement supérieur. Les titulaires de diplômes de sciences, d’économie et de droit ne sont pas absents mais restent peu nombreux. Les Écoles de Toulouse, de Beauvais, de Douai et surtout d’Angers ont vu passer une douzaine de ces directeurs.

Seuls trois d’entre eux ont été identifiés comme ingénieurs agronomes. Gérard Godot, issu de la promotion 1950, est ingénieur civil du Génie rural en même temps qu’il dirige les services de la chambre d’agriculture 3078. Jean-Pierre Prévot, de la promotion 1941-1945, secrétaire général du CNJA de 1949 à 1953 3079, atteint en 1955 l’âge de 35 ans qui l’exclut des instances de l’organisation et devient secrétaire administratif puis directeur de la chambre d’agriculture de l’Aisne, et enfin directeur adjoint de l’Union des syndicats agricoles, à Laon : plus jeune que l’influent René Blondelle, il ne semble pas susceptible de faire de l’ombre au dirigeant national, par la seule détention du prestigieux diplôme d’ingénieur agronome. Dans le Finistère, les deux ingénieurs agronomes, Hervé de Guébriant et François-Marie Jacq, respectivement président et secrétaire administratif de la chambre, issus des promotions 1901 et 1919, se partagent les tâches dans une évidente communion idéologique 3080. Autant de cas particuliers qui dérogent à la règle. Tandis que sept présidents de chambre d’agriculture de 1955 et sept des 26 détenteurs des postes administratifs de l’APPCA de 1956 sont ingénieurs agronomes, peu de services des chambres d’agriculture sont dirigés par des « Agros ». Est-ce à dire pour autant que l’expérience et la légitimité de ceux-là ne s’applique pas à l’ensemble de l’institution ?

Dès la fin de l’année 1954, « sur la demande du Syndicat national du personnel des chambres d’agriculture », l’APPCA s’engage dans la rédaction d’un guide du secrétaire administratif de chambre d’agriculture. Avant le lancement de l’opération, Bernard Labrosse, secrétaire administratif de la chambre d’agriculture de l’Ain, exprime sa vision de ce projet à François-Marie Jacq, secrétaire administratif de la chambre d’agriculture du Finistère depuis la fin des années 1920 : « à mon sens cette mission consistait surtout en la préparation d’un espèce de "Guide du Secrétaire administratif" car il semblait en effet en assistant à cette réunion que dans le personnel actuel des Chambres d’Agriculture, il y avait d’une part un certain nombre d’"anciens" ayant le plus souvent déjà exercé avant-guerre et donc au courant de toutes les tracasseries administratives, et d’autre part un plus grand nombre de "jeunes", en fonction depuis 1 an ou deux seulement et qui, comme moi je l’ai été au début de mes fonctions en janvier 54, malgré toutes leurs bonnes volontés semblent un peu "noyés" dans leur travail de secrétaire administratif. Ce "Guide" serait donc surtout destiné à ces jeunes pour les faire bénéficier de l’expérience des anciens » 3081.

De fait, la définition du projet est entre les mains des dirigeants du Syndicat national du personnel des chambres d’agriculture 3082. L’ingénieur agronome François-Marie Jacq correspond avec Luce Prault et François Houillier et semble avoir joué un rôle important dans la délimitation du rôle à assigner à ce mémento et dans sa réalisation. Ses propositions vont dans le sens d’une uniformisation des méthodes et des directions de travail – il écrit : « sans vouloir enlever à chacune des Chambres l’initiative qui lui est propre, il est désirable, je crois, qu’elles travaillent autant que possible de façon identique et sur des sujets de même ordre » –, mais également dans celui d’une rationalisation et d’un approfondissement des rapports de collaboration entre le secrétaire administratif et les membres du bureau de la chambre d’agriculture, dans ceux d’une plus grande coordination régionale et enfin d’un encouragement aux « réalisations », notamment à la création et la gestion de services d’utilité agricole 3083. Annoncée en septembre 1955, par une circulaire de René Blondelle, cette initiative est envisagée en collaboration avec les secrétaires administratifs « qui sont aux prises avec de multiples difficultés dans le cadre départemental ». La méthode adoptée consiste en l’envoi mensuel de fiches « sur lesquelles seront portées les opérations à réaliser dans le courant du mois » par le secrétaire administratif : le but est de « permettre, dans le délai d’un an, de voir confronter avec [son] expérience une liste pratique des opérations que tout bon secrétaire administratif de Chambre d’Agriculture doit assurer dans le courant d’un exercice » 3084. Nous verrons quels échanges elle a permis et quels équilibres elle révèle, mais notons d’emblée que la genèse du Mémento des secrétaires administratifs ressortit d’une forme de « cryptocratie » 3085, les personnels administratifs de l’APPCA et ceux qui se prévalent de la formation supérieure la plus prestigieuse étant sans contestation apparente jugés comme les plus à même de fixer les cadres du questionnement en cours. Le séduisant argumentaire de Bernard Labrosse y voyant une forme de transmission des anciens aux jeunes est contredit par la mutation des missions de l’institution, faisant émerger des tâches inconnues des secrétaires administratifs des années 1930. Ce hiatus nous semble au contraire révéler que la source des nouvelles positions de notabilité potentielles se trouve dans le nœud de relations tissées entre élus et administratifs.

Notes
3050.

Arch. APCA, Répertoire des chambres d’agriculture établi par Luce Prault, secrétaire de l’APPCA, 1938-1940.

3051.

Voir notamment : Pierre MULLER, Le technocrate et le paysan… ouvrage cité.

3052.

Gilbert DELAUNAY, Les Chambres d’Agriculture. Des origines à la refondation…, ouvrage cité., p. 16.

3053.

Annuaire APCA 1955.

3054.

Guide national agriculture 1951-1952, p. 137.

3055.

Arch. nat., F10 4975 : Action syndicale (suite). Secrétaire généraux : correspondance, commission nationale du 28 septembre au 2 octobre 1942, session de mars 1944. Bulletins d’inscription à la session des secrétaires généraux d’URC en 1944.

3056.

Voir supra Chapitre 3. pour les portraits de François-Marie Jacq et de Jacques Levesque du Rostu.

3057.

Annuaire des ingénieurs agricoles1935, p. 391.

3058.

Arch. APCA, CA Loire, 1949-1965, lettre de Léon Paliard, secrétaire administratif de la chambre d’agriculture de la Loire, à Luce Prault, le 1 juillet 1952.

3059.

Guide national agriculture 1951-1952, p. 382.

3060.

Annuaire en ligne : http://www.uniagro.fr/

3061.

Arch. APCA, CA Saône-et-Loire à Sarthe, 1949-1965, double d’une lettre de Luce Prault, directeur des services de l’APPCA, à Jean Massin, secrétaire administratif de la chambre d’agriculture de la Sarthe, le 14 novembre 1950.

3062.

Guide national agriculture 1951-1952, pp. 310-312.

3063.

Voir Annexes. Dossier n° 8. 2. Tableau 2.

3064.

Voir Annexes. Dossier n° 8. 2. Tableau 3.

3065.

Voir Annexes. Dossier n° 7. Tableau 3.

3066.

Voir Annexes. Dossier n° 8. 2. Tableaux 4 et 5, graphique 2.

3067.

Guide national agriculture 1951-1952.

3068.

Ibidem, p. 134.

3069.

Arch. nat., F10 4975, archives de la Corporation paysanne. Action syndicale (suite). Secrétaire généraux : correspondance, commission nationale du 28 septembre au 2 octobre 1942, session de mars 1944. Bulletins d’inscription à la session des secrétaires généraux d’URC en 1944.

3070.

Voir Annexes. Dossier n° 8. 2. Tableau 2.

3071.

Arch. nat., F10 4975, archives de la Corporation paysanne. Action syndicale (suite). Secrétaire généraux : correspondance, commission nationale du 28 septembre au 2 octobre 1942, session de mars 1944. Bulletins d’inscription à la session des secrétaires généraux d’URC en 1944.

3072.

Institut agricole de Beauvais, Annuaire de la Société amicale des anciens élèves (octobre 1961), [Beauvais], [Institut agricole de Beauvais], [1961], 156 p.

3073.

Arch. nat., F10 4975, archives de la Corporation paysanne. Action syndicale (suite). Secrétaire généraux : correspondance, commission nationale du 28 septembre au 2 octobre 1942, session de mars 1944. Bulletins d’inscription à la session des secrétaires généraux d’URC en 1944.

3074.

Guide national agriculture 1951-1952, p. 330.

3075.

Jean-Pierre PROD’HOMME, Agriculteurs organisés… ouvrage cité.

3076.

Annuaire APCA 1955.

3077.

Voir Annexes. Dossier n° 8. 2. Tableau 6.

3078.

Annuaire INA 1957, p. 144.

3079.

Pierre AVRIL, Monique BLANC, Patrice BUFFOTOT, Guillaume DEVIN, Hervé GUILLOREL, Paul GUYONNET et Hugues PORTELLI, Personnel politique français, 1870-1988, Paris, Presses universitaires de France, 1989, 437 p.

3080.

Voir notamment : Suzanne BERGER, Les paysans contre la politique… ouvrage cité.

3081.

Arch. APCA, Mémento des secrétaires administratifs, 1955-1956, copie d’une lettre de Bernard Labrosse, secrétaire administratif de la chambre d’agriculture de l’Ain, à François-Marie Jacq, secrétaire de la chambre d’agriculture du Finistère, Office central de Landerneau, le 22 mars 1955.

3082.

Nous n’avons pu connaître précisément, autrement que par allusions, la composition et l’activité de ce syndicat avant la fin des années 1960 : CAC, 910188, Art. 58, dossier n° 14113, Syndicat du personnel de l’Assemblée permanente des chambres d’agriculture section confédération française démocratique du travail SPAPCA Section CFDT, 1967-1982 et Art. 59, dossier n° 14747, Union nationale du personnel des chambres d’agriculture UNPCA, 1969-1979.

3083.

Arch. APCA, Mémento des secrétaires administratifs, 1955-1956, lettre de François-Marie Jacq, secrétaire administratif, chambre d’agriculture du Finistère, à François Houillier, directeur-adjoint de l’APPCA, le 19 mars 1955.

3084.

Arch. APCA, Mémento des secrétaires administratifs, 1955-1956, circulaire de René Blondelle, président de l’APPCA, aux secrétaires administratifs des chambres d’agriculture, le 9 septembre 1955.

3085.

Pierre BOURDIEU, La distinction… ouvrage cité, Chapitre 8 : Culture et politique, pp. 463-542.