Des responsables professionnels

Des dirigeants syndicaux occupés

Comme en 1955, les présidents de chambre d’agriculture déclarent quatre à cinq mandats professionnels, selon ce qui a été imprimé dans l’annuaire des chambres d’agriculture publié en 1960. Cette publication est considérablement plus riche pour l’ensemble des membres qu’elle ne l’était cinq années plus tôt : avec des irrégularités d’un département à l’autre, elle fournit le plus souvent à ses lecteurs des informations sur l’ensemble des membres de la chambre. Ainsi on ne compte que 399 membres et trois présidents pour lesquels aucune mention d’un quelconque mandat professionnel ne soit indiquée. Faire la part entre le biais indéniable de la source et la distinction accordée aux dirigeants dominants n’est pas chose aisée. La répartition des membres et des présidents suivant le nombre de mandats cités en regard de leur nom fait apparaître que près des deux tiers des membres mentionnent un à trois mandats quand la même proportion de présidents en déclarent deux à six 3458. On n’observe cependant aucune rigidité dans le principe qui voudrait que la quantité d’informations soit strictement proportionnelle à la place dans l’organigramme de la chambre. Ce n’est pas seulement que cette règle souffre des exceptions, mais, à l’analyse, elle apparaît bien moins valide qu’attendu. Ainsi, on observe que dans 44 chambres départementales, c’est le président qui indique le nombre le plus élevé de mandats professionnels dans sa notice de l’annuaire. Dans 31 autres cas, certains membres évoquent plus de mandats professionnels que le président, mais ce dernier reste l’un de ceux dont les engagements professionnels sont les mieux renseignés. Enfin dans quinze cas, il n’est cité dans l’annuaire, à propos du président de la chambre d’agriculture, qu’un nombre de mandats professionnels inférieur au nombre moyen de mandats indiqué par les membres de la chambre d’agriculture.

Les présidents qui mentionnent le moins de mandats professionnels sont certes légèrement plus jeunes que ceux qui en indiquent une longue liste, sans que ce soit un critère déterminant : les présidents dont la notice affiche le plus grand nombre de mandats sont en moyenne âgés de 58,8 ans, contre 54,4 pour les autres. De plus, ce constat révèlerait-il que les plus âgés des présidents ont eu le temps d’accéder à des responsabilités nombreuses ou que les plus jeunes des présidents concentrent leur attention – dans leur vie de dirigeant comme dans ce qu’il faut bien appeler une stratégie de communication, même si elle est élémentaire – sur quelques mandats-clés, dont ils estiment qu’ils appuient leur revendication de légitimité ? Les deux phénomènes existent sans doute en parallèle, toutefois, la mention d’une responsabilité au sein des instances dirigeantes de la FDSEA ne semble pas dispenser les présidents de chambre d’agriculture d’énumérer d’autres engagements, au contraire : les dirigeants de la FDSEA semblent en moyenne évoquer plus de mandats professionnels que ceux qui n’ont pas été identifiés à la tête de la fédération départementale.

Parmi les membres comme parmi les présidents, les mentions de mandats syndicaux sont de loin les plus nombreuses avec 1444 occurrences parmi les membres et 130 parmi les présidents. 1013 membres, soit 52 %, sont cités comme responsables dans des syndicats agricoles, et cette proportion atteint les deux tiers si l’on ne considère que les 1533 membres qui indiquent au moins un mandat professionnel. 78 % des présidents sont des responsables syndicaux. La surreprésentation des responsables syndicaux parmi les présidents est alors évidente mais elle ne saurait masquer leur importance globale dans les chambres d’agriculture de 1959 : plus de la moitié des membres des chambres d’agriculture sont présentés comme appartenant à un syndicat agricole, que ce soit comme adhérent, militant, responsable ou dirigeant. Ces différents degrés d’appartenance et d’engagement sont d’ailleurs inextricables et les intitulés des fonctions mentionnées sont en l’occurrence d’un piètre recours. Le plus évident est bien que les présidents de chambre d’agriculture se disent – ou « sont dits », l’incertitude doit être lue comme présente constamment dans notre propos – bien plus volontiers présidents de syndicats que les membres. Souci de symétrie valant attestation de légitimité à la tête de la chambre ou reflet d’une réelle prééminence dans les structures syndicales qui expliqueraient une élection à la tête de la chambre d’agriculture, les raisons et l’ordre des relations de cause à effet ne sont guère aisés à établir.

L’exemple de la chambre d’agriculture du Rhône n’est que partiellement éclairant. À la veille des élections de 1959, un seul des quatorze membres avait été élu en 1927, huit en 1952 et cinq en 1955. L’élu de l’entre-deux-guerres, Jean-Baptiste Reynaud, âgé de 70 ans, éphémère président de la chambre de 1949 à 1952, est contesté par nombre de ses pairs 3459. Deux autres membres ne sont pas réélus, qui étaient entrés à la chambre en 1952. L’examen du bulletin des candidats proposés pour l’élection au suffrage universel des agriculteurs est instructif 3460. Précisons que le nom de chaque candidat est en premier lieu suivi de la mention de sa profession et de sa commune de résidence. Les quatre premiers candidats dans l’ordre d’apparition sont des membres sortants. Jules Calloud, président de la chambre depuis 1952, est mentionné comme tel mais également comme vice-président de la FDSEA. Le président de cette dernière, Florent Nové-Josserand, vient ensuite, à ce titre et comme conseiller économique, mais sans que son mandat de vice-président de la chambre d’agriculture ne soit même évoqué. Jean Petit, secrétaire sortant de la chambre d’agriculture, est d’abord présenté comme le président de la puissante Union viticole du Beaujolais. Benoît Aurion, dont le nom vient ensuite, est cité comme président de la Fédération des producteurs de lait du bassin lyonnais. Six des sept nouveaux membres sont élus par les agriculteurs au suffrage direct : trois d’entre eux sont qualifiés de « présidents », de CETA, de cave-coopérative, de Groupement départemental de défense sanitaire du bétail, de la Fédération des vins du Lyonnais, un comme secrétaire général de l’Association des propriétaires du Beaujolais, et les deux derniers sur la liste ne le sont que comme administrateurs, mais dans des organisations prépondérantes telles la Mutualité sociale agricole du Rhône et la FDSEA. La comparaison avec les informations données dans l’annuaire des chambres d’agriculture ne révèle que d’infimes écarts et le constat est bien celui d’un choix complexe des mandats professionnels qu’il est opportun de citer. Tandis que les dirigeants les plus en vue du département n’ont guère besoin d’autre carte de visite que celle de leur nom, les nouveaux impétrants se doivent de se dévoiler au mieux comme des présidents d’organisations dont l’importance est reconnue, au premier rang desquelles figurent les fédérations de syndicats, sinon comme membres du bureau ou administrateurs de ces mêmes organisations prééminentes, enfin, à défaut, comme présidents d’organisations locales ou plus marginales.

Parmi les présidents 3461, il apparaît que l’échelon départemental est privilégié, sans grande évolution depuis les années 1930 3462. Malgré cela l’envergure des présidents de chambre d’agriculture reste en général large, couvrant plusieurs échelons spatiaux. Si seize présidents mentionnent un mandat professionnel au niveau communal, 25 au niveau du canton et dix à celui de l’arrondissement, seuls quatre présidents ne citent de mandats qu’en-deçà du département. De même, et de façon quasi symétrique, seuls quatre présidents ne sont présentés que comme responsables professionnels régionaux ou nationaux, tandis que 41 le sont avant toute chose comme des responsables de rang départemental, éventuellement présents aussi au niveau régional, national et international. Référence administrative et politique et lieu d’existence de réseaux préexistants, malgré une « unité rurale » parfois incertaine, le département, et en l’occurrence la préfecture de ce dernier, est bien le lieu principal où les présidents de chambre d’agriculture ont fait et font leurs preuves.

Comme en 1955 mais de façon encore peut-être plus appuyée, les présidents de chambre d’agriculture sont avant tout des dirigeants syndicaux, mais ils montrent un souci manifeste d’agir également dans des organisations coopératives, mutualistes ou de crédit. 24 présidents, soit 26 % d’entre eux, ont des responsabilités apparemment comparables dans un syndicat, une coopérative et un organisme mutualiste ou de crédit. On ne recense qu’une petite centaine de membres de chambre d’agriculture – soit moins de 5 % –, hors présidents, qui présentent le même profil.

Ce cumul de mandats dans tous les types d’organisation, pour certains présidents, dans au moins deux à trois organisations, pour l’immense majorité des autres, implique très concrètement l’adoption d’un mode de vie très éloigné de celui de l’agriculteur constamment présent sur son exploitation. Jean-Pierre Prod’homme l’observe aussi à propos de l’exemple marnais : « les contraintes sont nombreuses pour l’emploi du temps et la disponibilité au niveau de la famille, de l’exploitation agricole comme de l’environnement. Il en résulte un engagement accru de l’épouse du responsable sur l’exploitation, amenée à tenir une sorte de permanence à la maison (notamment téléphonique) et à pallier l’absence de son conjoint dans diverses circonstances, en particulier dans les relations avec l’environnement immédiat : rôle de dépendance discret et ingrat, imposé par les faits, faisant rituellement l’objet d’une allusion élogieuse lors de toute cérémonie officielle concernant le responsable » 3463. Sylvain Maresca théorise habilement ce constat à propos de ceux qu’il distingue en deux catégories, soit les « paysans dévoués » et les « spécialistes des responsabilités » : « on constate souvent que les dirigeants paysans entretiennent avec l’activité agricole une distance – mesurable à la durée de leurs études générales, au nombre de leurs parents et relations hors du milieu agricole et à la fréquence de leurs absences d’une exploitation qu’ils tendent à ne gérer plus que par main-d’oeuvre salariée interposée – d’autant plus grande qu’ils occupent des positions plus hautes dans l’espace des organisations agricoles car cette distance est à la fois principe et conséquence d’une vie publique qui les détourne de la pratique du métier d’agriculteur et les conduit à adopter un autre mode de vie ponctué par les réunions de travail, les voyages, les congrès, les repas professionnels, les cérémonies etc. » 3464.

L’exemple d’Henri Chatras, président de la chambre d’agriculture du Doubs, est fort illustratif. Il est, en cette année 1959, président de la FDSEA, du Groupement sanitaire du bétail, vice-président de la Mutualité sociale et enfin administrateur de la Caisse régionale de crédit agricole de ce département 3465, mais également secrétaire de l’APPCA, membre du conseil d’administration de la FNSEA 3466 et membre du Conseil économique et social. D’après les souvenirs de sa fille aînée, ces années où les responsabilités prises à différents niveaux s’accumulent sont celles où Henri Chatras était le moins présent dans sa ferme de Pierrefontaine-les-Varans : retenu à Paris du lundi matin au mercredi soir, il laissait sa voiture à la gare ; puis passait la journée du jeudi à Besançon 3467. Comme l’observent en chœur Jean-Pierre Prod’homme et Sylvain Maresca, l’objectivation de cette situation de relative absence de l’exploitation est avant tout ramenée à l’échelle de la famille : « l’immense force de travail, l’abnégation de sa femme, qui se révélèrent toujours dans le silence, la discrétion et la modestie, furent les bases concrètes et sûres qui permirent à Henri Chatras, dès la fin de la guerre, de rester agriculteur exploitant, tout en se déplaçant au moins une fois par semaine à Paris, tout en passant de nombreuses journées à Besançon, tout en sillonnant sans cesse le département. De rester agriculteur, et de faire vivre une ferme tout en n’y passant qu’une petite part de son temps. Mais dans l’ombre, "la mamie" agissait, organisait, distribuait le travail aux commis, élevait les enfants, et nourrissait tout ce monde qui immanquablement se retrouvait à table. Dans l’intimité, le mari écoutait les conseils ; il faisait beaucoup confiance à l’intuition de sa femme » 3468.

L’emploi du temps d’Henri Chatras n’est pas celui du commun des dirigeants agricoles, mais ils sont quelque 35 présidents de chambre d’agriculture à naviguer entre l’échelon local et/ou départemental et le siège d’une organisation nationale, le plus souvent situé à Paris. Entre juillet 1960 et juillet 1962, les 18 membres titulaires du comité permanent de l’APPCA font montre d’une réelle assiduité aux réunions de celui-ci 3469, en venant à plus de quatre réunions sur cinq : si dix d’entre eux exerçaient d’ores et déjà des fonctions dans des organisations professionnelles agricoles nationales, huit font vraisemblablement par là leur entrée dans « le milieu agricole parisien » 3470. Décalage ontologique, la propension des dirigeants agricoles à adopter un mode de vie qui diffère de celui de ceux qu’ils représentent, à mesure qu’ils exercent des fonctions de plus en plus nombreuses, et à des niveaux de plus en plus élevés, procède d’un raisonnement circulaire que ne vient rompre que la progressive « retraite » de ce qui a fini par ressembler à une « carrière » 3471 de dirigeant.

Multi-appartenances au niveau départemental et présence à tous les niveaux potentiels d’action – local, départemental et national – des organisations agricoles apparaissent comme des constantes parmi les présidents de chambre d’agriculture. Pour Ali Aït Abdelmalek, en quête de médiateurs entre la société rurale, l’État et Bruxelles, qu’il traque dans les organisations professionnelles, « les grands exploitants ont constitué une nouvelle catégorie de notables, cumulant honneurs, titres et responsabilités » 3472. Élément de définition, cette propension au cumul est en elle-même signifiante. Rappelons d’emblée qu’elle n’est propre ni au 20e siècle, ni au sujet embrassé : étudiant les sociétés rurales du 19e siècle, Jean-Luc Mayaud observe alors un phénomène proche, où « le cumul des fonctions favorise la confusion à la faveur de laquelle est pérennisée dans l’informel la communauté de village » 3473. De même, un siècle plus tard, il nous semble que la récurrence de quelques noms au niveau départemental entretient l’idée de l’existence de dirigeants « naturels » et institués. Pierre Coulomb et Henri Nallet remarquent à leur tour que « les mêmes hommes cumulent les responsabilités dans les différentes institutions qui encadrent les producteurs, et aux différents niveaux organisationnels de ces institutions, réalisant des croisements de fonctions si nombreux et si serrés qu’ils paraissent à la fin doués du don d’ubiquité » 3474. Loin d’être une plaisanterie, la question de l’ubiquité des dirigeants agricoles traduit l’importance du phénomène de multi-appartenance parmi les dirigeants agricoles.

Jean-Pierre Prod’homme, quant à lui, considère qu’« un effet quasi automatique des modalités d’enchaînement des responsabilités est le cumul de celles-ci pour beaucoup de responsables. Ce cumul des responsabilités a des incidences collectives sur le fonctionnement du système professionnel et individuel. Plus un responsable aura atteint un niveau élevé de la hiérarchie professionnelle, plus nombreuses seront ses responsabilités de toute nature. […] Ces appartenances multiples facilitent l’accès à des sources variées d’information, permettent de préserver une certaine distance par rapport à la position occupée dans chaque organisation – source d’incertitude et parfois d’ambiguïté – et donc renforcent le pouvoir et le prestige du responsable concerné » 3475. Plus largement, et selon les analyses des sociologues des organisations notamment, cet invariant des cumuls semble être la clé des régulations entre organisations et vis-à-vis de l’administration, dans une « relation de dépendance entre une organisation et son environnement » 3476. D’aucuns évoquent une « relation dynamique de "négociations conflictuelles" » 3477 ou des « régulations croisées » 3478 pour qualifier avec plus ou moins de justesse les équilibres fragiles établis entre des organisations et des institutions rivales ou opposées, agissant à la fois dans deux buts liés : le renforcement de leur légitimité et de leur utilité sociale, subjective, et le service des intérêts de ceux qu’ils défendent ou représentent, ce dans quoi leur réussite est tout aussi subjective. Gardons en tête ce système d’interdépendance à l’heure de l’analyse des conflits et des processus de décision.

Pour Pierre Grémion, « rien ne s’oppose (à quelques incompatibilités près) à ce qu’un homme cumule un nombre considérable de postes et condense l’essentiel de la représentation et de la représentativité face à l’administration à différents niveaux territoriaux. Le seul frein à ce processus de concentration est un frein politique et non un frein réglementaire : l’acceptation par les autres notables et par la population du cumul et de la concentration de pouvoir qu’il implique. […] Peu à peu s’institutionnalise ainsi un cursus honorum , un schéma de comptabilité des cumuls, un système de rôles dans un réseau collectif plus vaste. Le réseau fournit alors l’unité pertinente de mesure du comportement collectif des notables. […] Pas plus qu’il n’est possible de déduire l’orientation du comportement d’un fonctionnaire de sa position hiérarchique dans la bureaucratie, il n’est possible de déduire la représentativité du notable de sa position dans une institution de représentation. Ce qui " fait " le notable, c’est toujours un excédent de représentativité et cet excédent de représentativité ne peut être défini qu’aux termes d’une exploration des réseaux au sein desquels s’inscrit l’action du représentant. La compréhension de la dynamique notabiliaire trouve ainsi son aboutissement dans le dépassement d’une approche atomistique des institutions au profit d’une analyse transversale et dynamique des réseaux » 3479. Dans le cadre de l’analyse de l’histoire de l’APPCA, à l’échelle du siècle, dans 90 départements, cette approche ne peut raisonnablement être tentée. Il est toutefois possible d’évoquer quelques intrications décisives et changeantes, notamment celle, tant évoquée, des chambres d’agriculture et des FDSEA, et, partant, de l’APPCA et de la FNSEA.

Notes
3458.

Voir Annexes. Dossier n° 9. Tableau 13 et graphique 8.

3459.

Voir supra Chapitre 3. A. Les effets de l’avis du Conseil d’État, p. 454.

3460.

Arch. dép. Rhône, 3556 W 45. Chambre d’agriculture, élections. Procès-verbaux des opérations des assemblées électorales (par communes), 1959.

3461.

Le travail de délimitation de la zone d’influence et/ou d’action des syndicats agricoles cités par l’ensemble des membres des chambres d’agriculture n’a pu être mené à bien de façon satisfaisante, du fait de l’imprécision des dénominations notamment. Cependant, l’impression donnée est celle d’une importance moindre mais certaine de l’échelon départemental, ainsi que d’une grande fréquence des mandats locaux – au niveau de la commune et du canton notamment.

3462.

Voir Annexes. Dossier n° 9. Tableaux 16 et 17.

3463.

Jean-Pierre PROD’HOMME, Agriculteurs organisés… ouvrage cité, p. 182.

3464.

Sylvain MARESCA, « La représentation de la paysannerie… », article cité, p. 4.

3465.

Annuaire APCA 1959.

3466.

Guide national agriculture 1959-1962, p. 45.

3467.

Entretien avec Jeanne-Antide Prélot (née Chatras) et Bernard Prélot, le 22 juillet 2008.

3468.

Pierre-Henri PRÉLOT, Henri Chatras… ouvrage cité, p. 59.

3469.

Arch. APCA, comité permanent général, juillet 1960 à octobre 1960 à février 1961 ; comité permanent général, mars 1961 à juillet 1961 ; comité permanent général, septembre 1961 à février 1962 ; comité permanent général, mars 1962 à juillet 1962.

3470.

Jean-Pierre PROD’HOMME, « Les relations entre les organisations professionnelles et les agriculteurs »… article cité, p. 48.

3471.

Soit selon le Robert, « métier, profession qui présente des étapes, une progression »

3472.

Ali AÏT ABDELMALEK, L’Europe communautaire, L’État-Nation et la société rurale… ouvrage cité, p. 224.

3473.

Jean-Luc MAYAUD, « Pour une communalisation de l’histoire rurale », article cité.

3474.

Pierre COULOMB et Henri NALLET, Le syndicalisme agricole et la création du paysan modèle, ouvrage cité, p. 58.

3475.

Jean-Pierre PROD’HOMME, Agriculteurs organisés… ouvrage cité, p. 182.

3476.

Michel CROZIER et Jean-Claude THOENIG, « La régulation de systèmes organisés complexes… », article cité.

3477.

Ali AÏT ABDELMALEK, L’Europe communautaire, L’État-Nation et la société rurale… ouvrage cité, p. 223.

3478.

Pierre GRÉMION, Le pouvoir périphérique… ouvrage cité, p. 210.

3479.

Ibidem, pp. 213-215.