« Problème humain » et « opinions constructives »

L’examen du dossier « Structures. Notes de Travail. (M. Langlade) (5) » permet de constater que c’est bien Claude Langlade-Demoyen qui a rédigé et composé le texte de l’enquête 60-7. Ainsi peut être identifiée la provenance des informations qui constituent l’exposé introductif : le tableau sur les âges médians par département provient d’un numéro de 1957 du Bulletin hebdomadaire de l’INSEE, tandis que les données sur les superficies en faire-valoir direct proviennent de la Revue du Ministère de l’Agriculture. Les paragraphes rédigés par le responsable des relations parlementaires de l’APPCA sont par contraste clairement identifiables et touchent principalement à « la politique agricole française ». Et surtout, on repère sans peine une section du projet initial finalement absente du document. Alors que la page 8 de l’enquête 60-7 se clôt sur la question de la répartition géographique et du surpeuplement de certaines régions 3774, le document préparatoire prévoyait de poursuivre ainsi : « le contraire se présentera dans les régions à sous-peuplement agricole, où toute implantation industrielle nouvelle risque de retirer de la terre une population déjà fort insuffisante pour l’exploitation rationnelle du sol. Ainsi doit-on veiller à favoriser par les migrations et les facilités de reconversion et de reclassement une certaine fluidité des travailleurs et des exploitants au travers du territoire. S’il n’en était pas ainsi, il serait à craindre pour les régions d’accueil un flux trop accentué de familles d’exploitants et d’ouvriers agricoles, en provenance des pays voisins, à compter principalement du jour de la libre circulation des hommes et des capitaux » 3775.

Les craintes suscitées par la perspective de l’arrivée d’agriculteurs étrangers sont largement partagées. Robert Mangeart et Marcel Bruel, vice-président et secrétaire-adjoint de la FNSEA, y font allusion dans leur rapport « La parité doit devenir une réalité » en mars 1961 3776. Martial Brousse, âgé de 68 ans, ancien membre de la COCP en 1941 et ex-syndic régional et provincial, président d’honneur de la CGA, membre de la chambre d’agriculture de la Meuse depuis 1953, à la fois président de la Société d’agriculture de Verdun et de la Fédération nationale des groupements de productivité, écrit : « souvent on donne à l’agriculture française l’exemple de certains pays voisins. Or en Europe les exploitants agricoles ne disposent que d’une surface bien inférieure à celle dont disposent les paysans français, ce qui incite du reste ces étrangers, considérablement aidés par leurs gouvernements, à venir s’installer en France. Une augmentation des surfaces des exploitations françaises ne va-t-elle pas les attirer encore davantage ? » 3777. Cette appréhension guide également Eugène Forget, premier rapporteur de l’enquête « Structures », qui considère que c’est un argument en faveur d’un droit de préemption accordé à contrecoeur aux SAFER : pour lui, ce droit est « le seul moyen dont l’Agriculture Française puisse disposer pour se défendre contre l’introduction d’étrangers qui, grâce à leurs capitaux et à leurs moyens propres, pourraient nuire aux agriculteurs français » 3778. Quoique faisant écho aux peurs d’un Augustin de Villeneuve-Bargemont, président de la chambre d’agriculture de la Somme, relevées par Claude Langlade-Demoyen, il est singulier de constater que les rédacteurs de l’enquête 60-7 ont préféré ne pas faire mention de cette dimension dans le questionnaire et le texte qui l’accompagne.

Plus loin dans le document cité, des passages entiers d’un rapport d’Henri Trémolet de Villers – député de la Lozère, membre influent du CNIP 3779, que son fils décrira plus tard arpentant « les routes de la Lozère, de villages en hameaux et de hameaux en fermes » 3780 – sont coupés. Dans le texte finalement publié dans Chambres d’agriculture, l’auteur constate que « les exigences actuelles de la production agricole démontrent que le volume de la main-d’œuvre rurale est à l’étiage » et insiste sur les dangers d’un exode rural accéléré, mais l’exemple qui illustre l’argumentaire a été retiré. Henri Trémolet de Villers y racontait : « dans un petit village des "Grandes Causses", j’ai entendu un jeune exploitant, père de trois enfants, me dire : "Sans doute veut-on nous forcer à partir, et il faudra bien que nous partions. Nous n’avons ni chemin, ni eau, ni électricité, et l’on vient de fermer notre école. Pourtant, avec mon troupeau, je gagne bien ma vie et celle de ma famille, et je pourrais améliorer mon exploitation si nous étions équipés". S’il part, celui-là, combien partiront-ils avec lui et après lui ? Car l’exode se fait en chaîne, et ses effets se répercutent à l’infini. Il ne peut pas ne pas être contagieux ». Derrière le « problème humain » évoqué laconiquement ça et là par René Blondelle 3781, expression-valise qui pointe les lourdes implications qui découlent de la détermination de la superficie minimale d’une exploitation à 2 UTH rentable, affleurent des conceptions divergentes du rôle social et économique de l’agriculture.

L’« agriculture de peuplement » est présente dans les premiers débats parlementaires autour de la loi d’orientation puisqu’il est question « de la superficie que devrait normalement avoir une exploitation agricole pour assurer tout à la fois un peuplement conforme aux nécessités démographiques et une utilisation rationnelle des capitaux et des techniques » 3782. Activité économique dont la finalité socialement admise est non pas de réaliser les virtualités du capital foncier, biologique et technique, mais d’assurer la subsistance, la répartition des biens et des dignités et la relation à l’englobant de communautés rurales sinon denses, du moins tendant à une occupation importante et couvrante de l’espace agraire. L’agriculture de peuplement est donc soit un état de fait, majoritaire dans les sociétés préindustrielles, soit une fonction reconnue a posteriori dans les espaces où un développement industriel et capitaliste a lieu mais où les élites et/ou l’État jugent préférable de maintenir, par l’action ou l’inaction, une partie significative de la population dans les espaces ruraux. Évidemment, l’agriculture de peuplement n’est pas purement agricole, elle implique la pluriactivité. Pour résumer, on parle d’« agriculture de peuplement » lorsque « la fonction assignée à l’économie rurale est, et demeure, de fixer la population » 3783.

Jean-Luc Mayaud emploie cette expression pour décrire l’agriculture française de la seconde moitié du 19e siècle 3784, mais c’est bien à cette fonction peuplante que le député lozérois fait appel dans le second extrait de son rapport, que l’APPCA avait prévu d’adjoindre au texte de l’enquête 60-7 avant d’y renoncer finalement puisque la version publiée n’y fait plus allusion. Pour Henri Trémolet de Villers, il s’agit clairement de se soucier de l’occupation des espaces ruraux : « s’il est facile de dire : les milliers d’hectares que voici nourriront mieux 60 000 habitants que les 80 000 qui y vivent, il est impossible de connaître ce qu’entraînerait le départ des 20 000 habitants présumés "excédentaires". Sur le plan de la population d’abord, car, partie la clientèle paysanne, les artisans et les commerçants qui les servaient, s’en vont à leur tour, la perte des services entraîne un nouvel exode des agriculteurs : ainsi les chefs-lieux de canton et les petites villes se vident également, aggravant l’appauvrissement de la région. Quant aux sols, ils restent la plupart du temps à l’abandon. En effet, il faut prendre garde au fait que, dans beaucoup d’endroits, les voisins ne se chargeront pas de ces terres parce qu’ils ne peuvent pas "les faire" ; si l’équipement de base indispensable n’a pas été fourni à un village qui comptait trente feux, le lui donnera-t-on plus aisément quand il n’en aura plus que dix ? L’isolement est une chose de plus en plus lourde à supporter pour l’homme moderne » 3785.

Réponse des migrations qui est aussi celle d’Henri Noilhan et a le mérite de ne pas remettre en cause les revendications sur les prix. Pour l’ancien avocat, membre de l’Académie d’agriculture et ami de longue date de Luce Prault, « qu’il y ait des exploitations trop petites pour assurer la vie de ceux qui les mettent en œuvre, voilà qui est non moins certain. Il y a, d’ailleurs, bien des façons de faire mieux vivre leurs détenteurs ; par exemple, en organisant de vastes courants de répartition de populations, des zones surpeuplées vers les zones sous cultivées » 3786. Opposant viabilité humaine et rentabilité financière, laquelle serait mesurable à l’investissement des « gens de finance et d’affaires », la position d’Henri Noilhan est classée par l’APPCA dans le dossier « contre », aux côtés de Martial Brousse, ainsi que de Roger Lecamu, jeune dirigeant syndical manchois de 33 ans, qui considère que la politique des structures envisagée dans la loi d’orientation est une « formule reposante, mais elle n’est pas de celles qui élèvent et imposent le respect et n’a que rarement le mérite efficace dans le temps »  3787. Parmi ceux qui sont hostiles à la détermination de la superficie de l’exploitation rentable figurent également Emile Parnière 3788, agriculteur et militant socialiste du Bourbonnais 3789. En soi, il est intéressant d’observer que les documents rassemblés sous l’intitulé « Structures et La Presse. Pour ou contre » précisent la volonté de l’APPCA de faire la preuve que l’on peut contourner l’alternative proposée, de sortir de l’ornière d’une opposition entre partisans de la politique des prix et de la politique des structures. L’organisation du dossier en trois sous-chemises est révélatrice. Les liasses « pour » et « contre », composées d’une grosse demi-douzaine de textes chacune, montrent la prise en compte d’un antagonisme qui transcende les orientations politiques et les appartenances. Face à Martial Brousse, président de la chambre d’agriculture de la Meuse et « contre », Olivier Desbarats, président de la chambre d’agriculture et de l’UDCGA du Gers, conseiller économique et « socialiste SFIO » 3790, membre titulaire du CPG, est classé parmi les « pour » : tous ces derniers montrent d’ailleurs une prudence extrême et attestent la difficulté qui existe à fixer des superficies valables.

Surtout, se trouve dans ce dossier une chemise dénommée « les opinions constructives ». Parmi elles se trouvent des coupures de presse témoignant du large spectre d’intérêt des salariés de l’APPCA attelés au dossier des « structures ». Issu de La grande relève,hebdomadaire de réflexion socio-économique français prônant l’économie distributive, l’article présente comme solution le mouvement abondanciste et le « marxisme catholique » de Maurice Laudrain 3791. Il témoigne de l’intérêt de l’APPCA pour la quête d’un « pont entre milieux chrétiens et extrême-gauche laïque » 3792 et on ne peut que faire le parallèle avec l’engouement de Luce Prault et de certains de ses successeurs pour les théories corporatistes de Louis Salleron, vantée par Jean Madiran 3793, dans la même logique de recherche d’une troisième voie socio-économique. L’implication confessionnelle reste très présente, dans la référence à la revue Purpan 3794 ou à Responsables, bulletin de liaison du mouvement des ingénieurs et chefs d’industrie d’Action catholique (MICIAC), supplément de L’écho de l’USIC, organe de l’Union sociale des ingénieurs catholiques(USIC). Ce long article de sept pages est très éloigné des idées corporatistes et s’attache à lister les moyens de « maintenir à l’agriculture le plus de travailleurs possible [et de] conserver et même développer dans l’agriculture française une large dominance d’exploitations à base de travail familial, mais à condition que ce type d’exploitations puisse être compétitif sur le plan économique avec l’exploitation à base de travail salarié ». L’importance décisive d’un haut niveau de mécanisation de l’exploitation est rappelée et est reliée au temps de travail.

Surtout, sont proposées de nombreuses « interventions qui pourraient favoriser l’évolution vers une meilleure structure dimensionnelle des exploitations agricoles ». La seule question de la superficie minimum et, partant, des moyens de l’augmenter, est dépassée par la prise en compte de trois questions concomitantes : « comment freiner l’extension des exploitations déjà assez grandes ? comment favoriser l’agrandissement de ceux qui en ont besoin ? comment reclasser les familles ou les individus qui doivent de ce fait abandonner leur exploitation pour permettre l’agrandissement des autres ? » 3795. Une collection importante d’articles corroborant ce point de vue est présente dans le dossier. Dans un article de Foyer rural – l’organe de presse de la Fédération nationale des foyers ruraux (FNFR), lesquels sont, depuis le milieu des années 1950, « marginalisés sur les actions de formation agricole, [et] se recentrent sur une stratégie culturelle autour des "3D" : Délassement, Divertissement, Développement » 3796 –, René Poupry, responsable agricole, tente de déconnecter la question de la superficie de celle de la rentabilité. Élargir l’horizon 3797, mais surtout focaliser l’attention sur d’autres mesures 3798 semble être la priorité. S’y lit la propension de l’APPCA à accepter l’intérêt d’une solution proposée mais à en fournir quantité d’autres, complémentaires ou alternatives, parmi lesquelles figurent non seulement la question de l’indexation des prix, mais également celles des migrations, de la formation, du reclassement et de l’augmentation de la productivité, notamment par la vulgarisation du « progrès technique ». Autre tendance : celle de convoquer les experts, économistes et statisticiens, dont Claude Baillet, ingénieur agricole issu de la promotion 1948 de l’École de Grignon, et directeur de l’Union nationale des offices de comptabilité et des centres d’économie rurale, sur les difficultés d’« atteindre à la connaissance de l’économie de l’exploitation » et le nécessaire recours aux « chiffres obtenus et [aux] études réalisées par les organismes spécialisés » 3799. Ces constatations ouvrent sur les formes données à la suite et aux suites de l’enquête par l’APPCA.

Notes
3774.

Arch. APCA, Structures (1) Positions de l’APPCA et éléments de base, 1960-1962. Positions de l’APCA (chronologiques). Fascicule Enquête 60-7 : Les structures agricoles.

3775.

Ibidem, Document préparatoire : exposé introductif annexé à l’enquête 60-7 « Le problème des structures » .

3776.

« Mais entre cet exode limité et raisonné, conséquence éventuelle d’une situation qu’on aura préalablement tout fait pour assainir, et l’exode actuel imposé dans les pires conditions de reclassement, il y a toute la différence qui sépare l’économie libérale de l’économie concertée. Encore faudrait-il, si les agriculteurs français acceptaient sciemment une telle solution pour bâtir une économie agricole saine, qu’ils ne soient pas remplacés immédiatement par des agriculteurs étrangers dont la venue incontrôlée en France constituerait un grave facteur d’inquiétude ». Doc. APCA, Compte rendu du XVe Congrès de la Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles, 28 février et 1er mars 1961. Rapport général. La parité doit devenir une réalité. Tome 1 : La loi d’orientation et le IVe Plan.

3777.

Martial BROUSSE, « L’amélioration des structures et le malaise paysan », dans La Meuse agricole, 24 septembre 1961.

3778.

Arch. APCA, Comité Permanent Général, septembre 1961 à février 1962. Procès-verbal de la réunion du 31 octobre 1961.

3779.

http://www.assemblee-nationale.fr/sycomore/fiche.asp?num_dept=7145

3780.

Yves POURCHER, « Mémoire généalogique et représentation politique en Lozère », dans Ethnologies comparées, n° 4-2002. Consultable sur : http://alor.univ-montp3.fr/cerce/r4/y.p.htm

3781.

Arch. APCA, Comité Permanent Général, juillet 1960 à octobre 1960 à février 1961. Procès-verbal de la réunion du 6 octobre 1960, examen du rapport sur les obstacles à l’expansion économique présenté par le Comité institué par le décret n° 59-1284 du 13 novembre 1959.

3782.

Journal officiel. Débats parlementaires. Assemblée nationale, discussion générale du 12 mai 1960, pp. 798-802.

3783.

Pierre CORNU et Jean-Luc MAYAUD, « Le retour de la question des subsistances », dans Les cahiers du groupe Saint-Germain, n° 1, février 2008, pp. 32-35, p. 33. Expression également employée dans Jean-Luc MAYAUD, Lutz RAPHAEL, Claude-Isabelle BRELOT et Pierre CORNU, « À propos de la question d’histoire contemporaine du programme d’agrégation 2006 et 2007 "Les campagnes dans les évolutions sociales et politiques de l’Europe de 1830 à la fin des années 1920 : étude comparée (France, Allemagne, Espagne, Italie)" », dans Ruralia, 2004-15, [En ligne], mis en ligne le 30 septembre 2005. URL : http://ruralia.revues.org/document1038.html.

3784.

« L’agriculture française demeure une agriculture de peuplement dont la petite exploitation est le pivot, plus de la moitié de la population française vivant au village ou au bourg jusqu’aux années 1920 ». Jean-Luc MAYAUD, « Les dynamiques des sociétés rurales en France de la révolution de 1848 à la Première Guerre mondiale », dans Journal of Modern European History. Revue d’histoire européenne contemporaine, volume 2, n° 2-2004, pp. 280-302.

3785.

Arch. APCA, Structures (1) Positions de l’APPCA et éléments de base, 1960-1962. Document préparatoire : exposé introductif annexé à l’enquête 60-7 « Le problème des structures »

3786.

Henri NOILHAN, « La haute farce des réformes de structures. Après ce sera pire… », dans Le Nord Agricole, le 2 octobre 1961.

3787.

R. LECAMU, « Structures et liberté », dans La Manche rurale, 19 octobre 1961.

3788.

Émile PARNIÈRE, « La réforme des structures, c’est la liquidation de l’exploitation familiale », dans Le Réveil paysan de l’Allier, 15 février 1961.

3789.

André TOURET, Montluçon après la tourmente, 1944-1977… ouvrage cité, p. 34.

3790.

Arch. nat., F1a 4034 : Réponse des préfets à la circulaire n° 287 du Ministère de l’Intérieur sur la composition des fédérations départementales du syndicat des exploitants agricoles, février-mars 1946. Fiche individuelle transmise par le préfet du Gers, [mars 1946].

3791.

Marie PIERRE-DUTAIL, « L’Agriculture à la croisée des chemins », dans La Grande Relève, [1961].

3792.

Étienne FOUILLOUX, « Compte rendu. Mayeur Jean-Marie, Catholicisme social et démocratie chrétienne. Principes romains, expériences françaises. Portelli Hugues, Les socialismes dans le discours social catholique, Christophe Paul, 1936 : les catholiques et le Front populaire, Debes Joseph, Poulat Émile, L’appel de la JOC (1926-1928), Rochefort-Turquin Agnès, Front populaire Socialistes parce que chrétiens », dans Vingtième Siècle. Revue d’histoire, n° 14-1987, pp. 120-122.

3793.

Jean MADIRAN, «"Mater et Magistra" et les idées de Louis Salleron », dans Itinéraires, [1961] .

3794.

C. COUFFIN, « La défense des prix et l’aménagement des structures agricoles », dans Purpan, juillet-septembre 1961, pp. 135-144.

3795.

J. R. et L. R., « L’évolution des exploitations agricoles familiales », dans Responsables, novembre 1960, pp. 15-22.

3796.

http://www.fnfr.org/l_histoire_des_foyers_ruraux_32.php

3797.

« Les nouvelles structures de l’agriculture américaine », dans Le Nord agricole, 25 septembre 1961.

3798.

« Depuis plus de 10 ans, les Migrations rurales travaillent », dans L’Agriculteur du Sud-Est, [1961] .

3799.

Claude BAILLET, « L’économie de l’exploitation agricole », [revue non identifiée, 1961] .