Correspondances

Les archives détaillées ci-après n’existent que pour la période postérieure à 1949, dans le meilleur des cas 4480.

La correspondance de l’APPCA est classée en plusieurs catégories. Les circulaires sont les courriers à caractère informatif transmis par l’APPCA aux chambres d’agriculture, les réponses n’étant pas classées dans les mêmes cartons. La correspondance échangée avec les chambres départementales, recèle des coupures de presse, des listes, des procès-verbaux de session et des lettres diverses, ainsi qu’en général la copie ou le double de leur réponse. Il en est de même pour les cartons contenant la correspondance avec les chambres régionales d’agriculture. Sous la rubrique « divers départements » se trouve les courriers reçus des instances départementales autres que les chambres d’agriculture (les directeurs des services agricoles surtout, mais aussi des responsables syndicaux locaux, des patrons d’industries agro-alimentaires et des individus qui ne semblent pas écrire en tant que responsables ou représentant d’un quelconque organisme) et les doubles des réponses envoyées.

Se trouve également dans les archives la correspondance entre le ministère de l’Agriculture — soit le cabinet du ministre, le secrétariat d’État à l’Agriculture, les différents services du ministère, l’inspection générale de l’Agriculture, le Service de la documentation sur le machinisme agricole, la direction de la production agricole, le service de la répression des fraudes, la commission des investissements, et la direction des affaires professionnelles et sociales — et l’APCA. Dans les cartons cotés « d ocuments officiels » a été rangée la correspondance avec le contrôleur d’État, le commissaire du gouvernement auprès de l’APCA, avec des représentant du Fonds national de progrès agricole, avec des représentants de l’ONIC (principalement pour communication de l’ordre du jour des réunions prochaines du Comité permanent général), avec des élus siégeant à l’assemblée nationale, à l’assemblée de l’Union française, au conseil d’État, au conseil de la République puis au sénat, avec des ministres et les membres des cabinets ministériels, avec le président du conseil, avec le président de la République.

Des boîtes d’archives diversement nommées contiennent la correspondance entre l’APCA et les organisations agricoles — invitations à des réunions, à des congrès, résultats d’enquêtes ou d’études effectuées par les uns ou les autres, copies de délibérations, quelques lettres plus personnelles. Deux petits cartons contiennent la correspondance avec la FNSEA, entre les fédérations départementales de syndicats d’exploitants agricoles et l’APCA, entre les directeurs de l’APCA et de la FNSEA, dont une grande partie est à chercher ailleurs, disséminée dans d’autres dossier. Le fait qu’entre 1950 et 1966 APCA et FNSEA soient logées dans le même immeuble, au 11 bis rue Scribe, a pu contribuer à ce déficit de traces, les échanges étant largement oraux et informels. Les boîtes intitulées « Divers Paris » — contenant la correspondance avec des organes de presse, des éditeurs, des responsables d’organismes nationaux non-agricoles, des professeurs et des individus résidant à Paris mais dont les fonctions ne sont pas toujours explicites, ainsi que les archives contenant de la correspondance provenant du service des relations agricoles internationales, tardivement accessibles, ont moins été exploitées.

Notes
4480.

Se reporter à l’état des sources pour les bornes chronologiques précises et les lacunes repérées.