Chapitre 10
Rapports Nord-Sud : la question du développement au cœur du traumatisme

10.1 Nord et Sud : deux identités dans la catastrophe

Le clivage entre le Nord et le Sud tel que nous le connaissons existe depuis près de quarante ans. Mais cette expression utilisée pour définir, avec plus ou moins de précision, les pays riches et les pays pauvres, trouve son origine plus loin. En effet, plusieurs termes ont été utilisés avant d'être abandonnés car jugés comme non appropriés. La première de ces expressions est celle de pays « sous-développés » employée par le président Harry Truman en 1949, dans le cadre de la « doctrine Truman »475. Au sortir de la Seconde Guerre Mondiale, le monde connaît une période de fortes tensions politiques entre deux blocs : les États-Unis et l'URSS. La puissance américaine, dans sa lutte idéologique contre le communisme, entend asseoir son influence sur les pays pauvres en favorisant leur développement selon le modèle occidental, celui des pays industrialisés. Il s'agit donc de repenser l'évolution économique et politique des pays pauvres476. Le concept sous-entend que l'on impose une norme unique de ce que doit être le développement. Tous les pays du monde sont amenés à faire un choix -celui de se ranger dans l'un des deux camps- dont les conséquences sont parfois désastreuses. Le conflit débouchera sur la guerre du Vietnam, par exemple. Le ralliement à l'un des deux blocs s'avère être une erreur car les pays se retrouvent sous la coupe des grandes puissances. À l'aube des années cinquante, c'est le clivage Est-Ouest qui domine, et si les notions de développement et de sous-développement existent, il n'est pas encore question d'un Nord et d'un Sud comme identités. Ceux-ci ne sont réellement envisageables qu'à partir du moment où les empires coloniaux se désagrègent, que les pays colonisés acquièrent leur autonomie et s'érigent comme une tierce figure, indépendante du Nord et du Sud.

En 1952, un article de l'économiste Alfred Sauvy, paru dans l'Observateur politique, économique et littéraire 477, introduit une nouvelle expression, celle de « tiers-monde ». Pour Sauvy, la planète est divisée en trois mondes : le monde des pays capitalistes, le monde des pays communistes et le monde des pays sous-développés. Ce dernier est convoité par les deux autres. C’est en référence au Tiers-état, qualifiant l’un des trois ordres (noblesse, clergé et tiers-état) entre lesquels était divisée la population française sous l'Ancien Régime, qu'il crée ce terme. Il s'inspire alors du pamphlet de l'abbé Sieyès « Qu'est-ce que le tiers état ? », paru en 1789. Les réflexions de Sieyès démontrent que le Tiers-état représente la majorité de la population française mais qu'il n'a aucun poids en politique. Il propose également des moyens pour que le Tiers-état obtienne la place qui lui est due. Sauvy y voit un parallèle évident qu'il exprime clairement à la fin de son article : «Car enfin ce Tiers Monde ignoré, exploité, méprisé comme le Tiers-État, veut, lui aussi, être quelque chose »478. La notion d’identité est ici exprimée (« être quelque chose »). Toutefois, avec la disparition de l'URSS en 1991 et le développement économique de certains pays inclus dans le « troisième monde », l'expression de Sauvy perd de sa pertinence.

Dans les années cinquante, la vague de décolonisation se poursuit et les pays indépendants souhaitent affirmer leur identité tout en soutenant les pays encore colonisés. Pour signifier leur neutralité face aux blocs de l'est et de l'ouest, vingt-neuf pays d'Asie et d'Afrique se réunissent en 1955 lors de la conférence de Bandung479. C'est la première expression d'une identité internationale pour les pays du « tiers-monde », qui tendent à s'unir graduellement en un mouvement pacifiste dit des « non-alignés ». La création de ce mouvement est par ailleurs entérinée en 1961 lors du sommet de Belgrade. Malgré tout, les pays non-alignés ont beaucoup de mal à se faire entendre à l'échelle internationale, en particulier à cause des difficultés économiques qu'ils rencontrent. C’est ainsi qu’ils revendiquent, dès 1973, un nouvel ordre économique international (NOEI)480. Le programme entend favoriser l’égalité et la coopération Nord-Sud. Il est adopté en 1975 par l’ONU. La fracture Est-Ouest commence à s'affaiblir pour finalement se dissoudre dans les années 1980, c'est alors que le concept d'une fracture Nord-Sud fait son apparition. Cette fracture devient une forme d’expression de nouvelles identités politiques.

Le concept Nord-Sud aurait été élaboré en 1959 par Sir Oliver Franks, ancien ambassadeur britannique aux États-Unis, puis intégré par le chancelier allemand Willy Brandt en 1980. C’est le titre donné au rapport « Nord-Sud : un programme de survie »481, produit au nom de la Commission Indépendante sur les Problèmes de Développement International482, créée en 1977 et qu’il présida jusqu’en 1983. La commission, qui se voulait autonome, avait pour but de réfléchir sur les failles de l'économie globale et les difficultés rencontrées par les pays pauvres. Elle proposa donc une série de recommandations pour endiguer la pauvreté, favoriser le développement et revoir le système économique mondial. Géographiquement parlant, la distinction Nord-Sud demeure relativement imprécise, puisqu'un pays comme l'Australie, situé dans l'hémisphère Sud, est considéré comme faisant partie des pays du Nord. La distinction Nord-Sud désigne plutôt une division de type économique entre pays développés et pays en voie de développement, basée sur divers critères sociaux comme la démographie ou économiques comme le revenu par tête (PNB). Or il se trouve que les pays développés sont plutôt situés au nord de l'Équateur et les pays en développement au sud de celui-ci. Globalement adoptée depuis les processus de décolonisation, cette ligne de séparation reste fortement discutable, ainsi que l'admet lui-même Willy Brandt dans son rapport :

‘« Il y a des objections évidentes à une image simplifiée montrant le monde divisé en deux camps. Le «Nord» comprend deux pays riches et industrialisés, au sud de l’équateur, l’Australie et la Nouvelle-Zélande. Dans le «Sud», la gamme va d’une nation à demi industrialisée, en pleine expansion, comme le Brésil, à des pays pauvres enserrés par les terres, comme le Tchad, ou insulaires, comme les Maldives. Quelques pays du Sud, généralement exportateurs de pétrole, disposent d’un revenu plus élevé par habitant que certains pays du Nord. Mais d’une manière générale et bien qu’il n’y ait pas de classification uniforme ou permanente, «Nord» et «Sud» sont synonymes grosso modo de «riche» et de «pauvre», de pays «développés» et de pays «en voie de développement» »483.’

Le Sud est constitué de façon hétérogène de pays ne disposant pas tous des mêmes ressources et dont le développement s'effectue à des rythmes différents. L'éducation, la santé, l'alimentation sont autant d'éléments qui caractérisent ces pays à différents niveaux et, à l'occasion d'une catastrophe comme le tsunami, nous avons remarqué que TF1 aborde chacune de ces questions et que c’est à travers elles que le discours sur le tsunami parle des rapports Nord-Sud. Le rapport des pays du Nord avec ces pays du Sud ne peut pas être uniforme, il doit s’adapter à des situations variées. Le tsunami soulève des questions importantes liées à l’antagonisme Nord-Sud, mais ces questions s’inscrivent dans un temps long. En effet, la problématique de l'économie politique n'est pas récente et la chaîne évoque cette notion de développement tout en la confrontant au temps court d'un événement aussi soudain.

Voici un exemple de carte (figure 97) représentant la ligne de séparation entre le Nord et le Sud. Au Nord, nous retrouvons les pays de la Triade (États-Unis, Union Européenne et Japon) mais également la Russie ou l'Australie. Quelques pays sont en pleine expansion, comme les dragons asiatiques (Chine), le Brésil, l'Inde ou l'Afrique du Sud. Une grande partie des pays situés au Sud sont dans une situation précaire, soit qu'ils connaissent des guerres soit qu'ils soient dominés et exploités par les puissances du Nord. Nous y retrouvons beaucoup de pays d'Afrique, d'Asie du Sud-Est, du Moyen-Orient ou d'Amérique Centrale.

Figure 97 États du Nord et États du Sud dans la Mondialisation
Figure 97 États du Nord et États du Sud dans la Mondialisation

Source : http://www.ladocumentationfrancaise.fr/dossiers/banque-mondiale-fmi/carte-etats-mondialisation.shtml

Au-delà des thèmes majeurs comme l'éducation, l'alimentation ou la santé, les questions environnementales touchent directement aux relations Nord-Sud dans la mesure où les intérêts de chacune des parties divergent. La difficulté des relations entre le Nord et le Sud se cristallise autour des questions de santé, d’environnement et de développement. Parce qu’ils cherchent à sortir de la pauvreté, les pays pauvres essaient de se développer économiquement en tirant profit de leurs ressources. Par ailleurs, ils considèrent que le Nord fait preuve d’une forme de protectionnisme déguisé en invoquant le non-respect des normes sociales et environnementales pour refuser les échanges avec leurs marchés. Les pays du Sud n'ont qu'une place mineure dans le commerce mondial : rappelons par exemple que l'Organisation Mondiale du Commerce (OMC) est dominée par les pays du Nord. Pour le Nord comme pour le Sud, concilier développement économique et écologie est problématique, comme en témoignent les Sommets de la Terre 484, conférences internationales censées engager le monde sur la voie d'une coopération. Chaque sommet, tenu tous les dix ans, a été l'occasion de mettre en lumière une problématique environnementale. La Conférence de Stockholm en 1972 a permis la création d'un Programme des Nations Unies pour l'environnement (PNUE). La conférence de Rio de Janeiro en 1992 aboutit à l'adoption de trois textes : Action 21 (plan d'action mondial), la Déclaration du sommet de Rio (principes définissant les droits et les devoirs des états en termes de développement et d'environnement) et des principes concernant la gestion des forêts. Le sommet de Johannesburg en 2002 a largement été focalisé sur la notion du développement durable. Économie, social et environnement sont les trois composantes du développement durable. C’est un défi pour l’ONU de faire en sorte que les états allient ces trois composantes, c’est un défi dans les relations Nord-Sud.

En matière de santé et d’environnement, le clivage Nord-Sud se réaffirme car les pays du Sud demandent au pays du Nord de s’engager les premiers. Du côté des États-Unis, c’est le facteur économique qui prime alors que pour les pays de l’Union Européenne, la dimension environnementale prend de plus en plus d’importance. Les responsabilités sont partagées même si elles ne sont pas de même ampleur. Les sociétés du Nord ont une consommation bien plus importante. Solidarité et aide financière occidentale sont les pendants de cette problématique, car à l'évidence, les catastrophes naturelles contribuent à aggraver la pauvreté dans les pays touchés. Dans le corpus de TF1, on peut observer une différenciation entre les pays, qui va bien au-delà de la simple géographie du tsunami. Une catastrophe d’une telle ampleur, lorsqu’elle survient, souligne les difficultés qu’ont les pays du sud à survivre et à faire face à leurs problèmes sans une contribution extérieure. Ils sont d’ailleurs présentés comme des « pays pauvres », à « situation politique instable » : « Au Sri Lanka et en Indonésie, la majorité des personnes vivait déjà dans la précarité »485. Ils sont dépeints comme des états dont le rayonnement international est loin d’être évident : « Oui, d’ailleurs, ce sont des îles très peu connues du monde […] »486. Leur économie de dépendance basée sur le tourisme, dont nous venons de parler car elle est largement mise en lumière par TF1, souligne elle aussi la différence de statut entre ces deux mondes. Les images présentant le mode de vie dans les pays touchés contribuent à l’expression de cette différence. Elles montrent des maisons construites avec le strict minimum et, de fait, entièrement détruites par le tsunami.

D'autres points attirent l'attention sur la différence de ces pays. Abordée de manière plus diffuse, la question de l'assurance des habitants est l'une des preuves de leur pauvreté. La plupart des habitants n'avaient pas les moyens de souscrire une assurance comme le rappelle l'un des journalistes : «neuf victimes sur dix ne sont pas assurées »487, alors que ce sont des régions particulièrement menacées par les catastrophes naturelles. Le graphique et la carte suivante montrent le degré d'exposition de l'Asie. Il s'agit du continent le plus touché, classé au niveau maximal d'exposition. Sécheresses, cyclones, typhons, tremblements de terre, inondations, éruptions volcaniques s'y succèdent.

Graphique 8

Source : "Ubyrisk Consultants - http://www.catnat.net "

Figure 98 Carte d’estimation du niveau d’exposition des pays aux aléas naturels
Figure 98 Carte d’estimation du niveau d’exposition des pays aux aléas naturels GILLES, op. cit. (Carte réalisée à partir de la somme des probabilités d’occurrence de chaque type d’aléa pondérées par la dangerosité des phénomènes).

Depuis le début du XXIème siècle, l'Asie est donc le continent qui a connu le plus de catastrophes et l'année 2004 confirme largement cette tendance. En Europe, en revanche, aucun événement grave n'est à déplorer cette année là. D'ailleurs, dans l'un des sujets du corpus, le journaliste fait une remarque en réponse à l'affirmation d'un témoin, remarque qui suscite des interrogations : «La catastrophe arrive donc au pire des moments [...] »489. Que doit-on comprendre ? Qu'il existe un moment « adéquat » pour qu'un événement tragique survienne, qu'il y avait encore plus de victimes potentielles en raison de la saison ou que le fait que les touristes étrangers soit nombreux à cette période de l'année constitue un gros problème ? Lorsqu'un autre journaliste souligne : « un raz de marée inimaginable qui ravage les plages paradisiaques pour touristes, comme les quartiers populaires »490, comme si les paysages idylliques étaient réservés aux touristes et les autochtones retranchés dans l'arrière- pays, il est difficile de ne pas faire de différence entre ces deux mondes. «un climat bien difficile à supporter pour certains touristes étrangers, on en a vu craquer car ils sont en quelques sorte prisonniers de cette île paradisiaque »491.

Le site internet de l'Emergency Events Database492 permet de noter que les pays les plus touchés ont un passé lourd en événements catastrophiques. La base de données permet d’observer les profils des quatre pays les plus touchés par le tsunami. Il fournit des tableaux complets au sujet des catastrophes naturelles survenues dans ces pays, précisant le nombre de personnes tuées ou affectées et les dommages financiers. Nous nous sommes limitée aux dix dernières années, soit de 2000 à 2009. Pour l'Indonésie, nous avons noté des inondations en 2001, 2003 et 2006, des épidémies en 2004 et 2007, des tremblements de terre en 2004, 2005 et 2006, un glissement de terrain en 2006. Mais l'on pourrait également citer un cyclone, des éruptions volcaniques et des feux de forêts. Pourtant, dans sa couverture, TF1 n'aborde pas le passé des pays touchés en ce qui concerne les catastrophes naturelles, alors qu'il le fait pour les pays occidentaux. Ces données permettent de comprendre à quel point les pays sont exposés et de voir leurs réponses à cette vulnérabilité. La catastrophe révèle le fonctionnement et, de fait, le(s) dysfonctionnement(s) d'une société. Nous n'avons pas observé, dans notre corpus, de référence de la part de TF1 au profil des pays touchés par les catastrophes, même lorsque la chaîne mentionne des événements dramatiques en tant qu'éléments de comparaison. Ni les journalistes, ni les experts, ni les acteurs de la tragédie n'en parlent. Pourtant, ils y sont légion, notamment les tsunamis. L'archipel indonésien, par exemple, compte 128 volcans en activité. Le « World Disaster Report » de la Fédération Internationale de la Croix-Rouge évoque dans son édition de 2005, l'importance des bases de données dans une optique d'éducation et d'information. « Les bases de données sur les désastres deviennent de plus en plus utiles, dans la mesure où leurs données sont nourries d'outils d'analyse permettant de favoriser l'action internationale en faveur de la réduction des risques de désastre »493.

Notes
475.

Doctrine Truman : durant la guerre froide, le bloc des Etats-Unis est opposé au bloc communiste. Le principe de la politique d’endiguement (containment) consiste à proposer un soutien financier et militaire aux pays qui s’aligneront au bloc américain.

476.

Les Etats-Unis ne sont pas colonisateurs au sens classique du terme.

477.

L'article intitulé « Trois mondes, une planète » est publié le 14 août 1952 dans l'Observateur, n°118, p.14. http://www.homme-moderne.org/societe/demo/sauvy/3mondes.html L’Observateur, qui publie cet article de Sauvy, deviendra plus tard France-Observateur puis Le Nouvel Observateur. C’est intéressant car cela montre que les réflexions sur le Tiers Monde sont issues depuis le départ d’une sensibilité de gauche. Plus généralement, cela indique que les questionnements sur le développement s’inscrivent dans une perspective politique.

478.

Ibid.

479.

La conférence a lieu du 18 au 24 avril 1955. Elle réunit notamment l'Inde, l'Indonésie, le Sri Lanka (alors dénommé Ceylan) ou encore la Thaïlande (alors dénommée Siam).

480.

GABAS (2002), Nord-Sud : l’impossible coopération ?, Presses de Sciences Po, Paris, 115p.

481.

BRANDT (1980), Nord-Sud: un programme de survie. Rapport de la Commission indépendante sur les problèmes de développement international, Gallimard, Paris, 535 p. Le rapport comporte 17 chapitres.

482.

La Commission, dont l'idée revient à Robert McNamara le président de la Banque Mondiale, comptait vingt-un membres: Abdlatif Y. AL-HAMAD, directeur général du Fonds Koweit pour le développement économique arabe, (Koweit) ; Rodrigo BOTERO MONTOYA, ministre des Finances (1974-1976),(Colombie) ; Antoine Kipsa DAKOURE, conseiller du président de la Haute-Volta ; Eduardo FREI MONTALVA, président du Chili (1964-1970) ; Katharine GRAHAM, rédacteur en chef du Washington Post, (Etats-Unis) ; Edward HEATH, premier ministre britannique (1970-1974) ; Amir H. JAMAL, ministre des Finances et du Plan, (Tanzanie) ; Lakshmi Kant JHA, gouverneur de Jamu et Kashmir, ancien ambassadeur et gouverneur de la Banque centrale, (Inde) ; Khatijah AHMAD, économiste et banquier, (Malaisie) ; Adam MALIK, vice-président, (Indonésie); Haruki MORI, ambassadeur, vice-ministre des Affaires étrangères (1970-1972), (Japon) ; Joe MORRIS, président honoraire du Canadian Labour Congress, (Canada) ; Olof PALME, premier ministre de Suède (1969-1976) ; Peter G. PETERSON, président du conseil d'administration de Lehman Brothers, Kuhn Loeb, secrétaire du Commerce (1972-1973), (Etats-Unis) ; Edgard PISANI, sénateur, (France), membre du Parlement européen ; Shridath RAMPHAL, secrétaire général du Commonwealth, ancien ministre des Affaires étrangères, Guyana ; Layachi YAKER, ambassadeur d'Algérie en URSS.

483.

BRANDT (1980), p.55

484.

Conférence de Stockholm en 1972, conférence de Rio en 1992, Conférence de Johannesburg en 2002. Le but de ces rencontres entre chefs d'états mondiaux et membres d'ONG est de favoriser la lutte contre la pauvreté tout en protégeant l'environnement.

485.

Sujet n°21 de Mathilde PASINETTI, diffusé le 29 décembre 2004.

486.

Duplex de Michèle FINES en direct d'Andaman (Indonésie), le 30 décembre 2004.

487.

Sujet n°1 de Pierre GRANGE, diffusé le 27 décembre 2004.

488.

GILLES, op. cit. (Carte réalisée à partir de la somme des probabilités d’occurrence de chaque type d’aléa pondérées par la dangerosité des phénomènes).

489.

Sujet n°9 de Sylvain ROLAND, diffusé le 26 décembre 2004.

490.

Sujet n°1 de Pierre GRANGE, diffusé le 27 décembre 2004.

491.

Duplex d'Anthony DUFOUR en direct de Phuket le 27 décembre 2004.

492.

Voir chapitre 1. EM-DAT est une base de données recensant les catastrophes naturelles dans le monde.